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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0145

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me de hire régaler les «j.

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B««de minïs ère donne !,

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9lle cmlear tom-h pava,
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le bon plaisir de Son hA
latame, mande les mrs
" 'es logis; puis fe ^

hefdtxrmaen undeiplo
t>«; et ajoute! à «Ijp'j

i de sa nouvelle situation ei
i...

d« l'état qui lui fournit en
«rire par je de son linge; il
i lies foui-cols, des encans
■Jli par la niai chits^aà
tfOla aux minières. Tout li
'empereur, Lb ministre 19

un bal, il n'a à sa cb
■tl, tout le reste, tenture,
klphand, etc., etc.,esttai

et on, sani une minatede
an caOmetetremeiàta

I. le c»Mi« central»"
a unefioencemonJe;ll
>au jour à la porte dnfi»-
ittchaïubre...
faut partir, remportant sh

ère formalité: d»»»»'8
lui Iran de 1 État ou ara

icend. j

ou«ortp«la«"a* j
jeté.

ÉBOtJA»» D»'5"'

L'ÉCLIPSÉ

lernièreaeol WTï

ent «lé

,s (HB*



)

On & effectivement remarqué qu'an moment môme où tout aug-
mentait, et où la vie n'était-plus guère possible qu'eu se fa'1 gant
sauter ta eervt-de, ou tcu
prix des rul

Avec les ______________

aux prênrières pages des journaux, p>
qu'une cuisse de déc 'rations revient jus

; et mèmf

moins eti faisant sauter fo coupe, l«
bat.s diminuait à v .e d'oeil.
r('clames qui ont éLé failes aux quatrièmi

ersoune rie devrait igno<er
^^^^^^^^^^^^^^^^^^ i à moitié .prix de ce.qun

coûte un plat de primeurs. Ce qui à tout piendre est juste, car
enfin, si dans la bauiieoe les petits pois ne poussent qu'au prin-
temps, on peut en toute saison cueillir des rubans sur le b >ule-
vard.

Pour mojiii j'ai toujours comparé les nigauds epi sollicitent des
décorations étrangères aux. naï's citadins qui dépensent volontiers
soixante bancs pour aller au tnéâtre gratis.

Au lieu de passer leur temps en marches et en contremarche*,
au lieu d'offrir à nîner à des minisires chinois et à des journa-
listes parisiens, qui poussent parfois l'oubli des convenances jus
qu'à boue'au dessert dans le verre de leur amphitryon, il me
semble que les uns et les autres feraient bien mieux de tirer tout
simplement leurs porte-monnaie et rie passer au bureau.

Il faudrait avoir été élevé c.-mrau un ours oucuniroe'tin honnête
homti.e pour ne pas être initié à la façon dont s'obtient un ordre
étranger. Rien n'est plus éumentaire, et d.ms notr» charmant
pays, cela s'ftpprt-nd bji même temps que le cattiêch'sme.

Vous prenez une feoil e de s apier à lettre, sur laque1 le vou»
écrî\ez cet simples mots : « J^ voudrais un ruoan tel prix, tede
couleur, trille dimension ; » Vous aj utez un bon à vue sur la pos.e
et après avoir'soigneusement cacheté le tout, vmis l'expédiez ton
à l'un des mjntt=lré«, soit à l'une'des mbure.-.aes d'un prince
étranger.

Geu-rier'-pa? counier, vou& recevez vo're petit joujou.
Je colstate avec une douleur qui me fait bien rir^ que lg» plu
part des journalistes sont avides d'enluminer la boutonnière de
leurs re liugoies.

Dès qu'un individu a écrit trois articles dans un journal vinicule
et littéraire, il KO dit :

« Me voilà arrivé à la gloire; il me reste à écrire pour avoir Un
ruban, après quoi; dès- que je l'aurai obtenu, je ne pourrai plu-
■ entrer prendre un bock dans une brasserie sans être remarqué. »

Geouges Petit.



JUILLET - LE LION

Le lion est l'emblème de la Force et de la Majesté.

Eu plaçant cet animal dans le cercle du zodiaque pour symbo*
liser le mois de juillet, il faut reconnuîire que les anciens ont eu
là une smguhèie idée s'ils ont voulu montrer que c'est pendant
ce mois que la majesté et Ja orce régnent en souveraines sur la
surfacô du globe. Juillet étant généralement acc-jm'pagné d'ui e
chaleur sénegalienne, qu'y a-t-.l tn effet, je vous prie, de moins
fort"au monde qu'un hoaime énervé parafa chaleur? da moins
'majestueux qu'une grosse femme en sueur qui t>ue sa graÏBse?

De (ou? les mortels qui ornent le globle * erre Etre, ça sont le-
marchands de poudre insecticide qui professent pour le mois de
juillet la pius profonde vénération; tt c'e-*t justice,c<r l'écoulement
de leurs pfod its est étroitement lié aux vacations de 'a tempéra
ture. — Leurs prières fr ventes auriiraient seules à faire . ontei
le thermomètre â des hauteu'S alpestres, s'il prenait taïuaisie au
mois de juillet d'oublier sa chaleur au vesùnire quand il frappe a
notre porte.

Mais si ce mois contribua puissamment à la prospérité des in-
dustriels précités, par contre il est fatal à la fromagerie; sous l'ac-
tion moriifëie de la chaleur, les homages e'agiient, se toideui
dans une animation navrante, et il n'ejt pas de jour où, dans les
épiceries, on ne découvre de nombreux cauavres des ces infortunés
dans un horrible état de déconjposijion.

Les poissons aussi sont dans le marasme; mais pour une autre
cause.

On se baigne énormément en juillet. Les fleuves, les rivières,
les ruisteaux, le moindre trou d'eau, tout est envahi par les
flois presses u'une populahon avide de se' rafraîchir ; on se lave,
on se frotte, on se rince, on se trémousse ; xout y va u la grande
fretimailla. .

■ — O f pectacle épouvantsb'el voyez-vous ces malheureux pois-
sons obi ges d'habiter, de boire des eaux qui on caressé, baigné,
ondoyé tous ces corps humainsUll

Comme il faut tout prévoir, dans le cas où l'accroissement con-
tinuel de la chaleur meltrait les directeurs de bains à quatre sous
dans la nécessité de refroilir-l'eau de leurs établissements, point
ne terait besoin de faire venir d'énormes glaçons de la Suisse.
Simplement prenez note de ceci :

Un seul académicien immergé pendant vingt quatre heures
dans un étab issnmenT. aqaatiqae ou même dans une rivière, suf-
fit pour rannuer l'eaa à la température hivernale. Avec une moi-
tié d'académicien, l'eau est maintenue dans une tiédeur satis-
faisante.

OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES

Des tempêtes terribles battront les côtes des journalistes; beau-
coup de ce-i derniers, poussés par la violence de l'ouragan, iront se
briser sur les bancs de U police correctionnelle, où la m^rée mon-
tante de-! amandes achèvera de les submerger. Les cadavres re-
trouvés à la suiie de ces sinistres seront pieusement disposée à la
Morgue d<:s journalistes, lIus connue sou3 lé nom de Sainte-
Pélagie, ucifi n ut»»

Par suite d'un mouvement insolite d'électricité, on constatera de
grandes émigrations pa<mi les oiseaux de passage. Ainsi, il nleu-
vra des grues sur les lirdsde 10c-an, et principalement dans les
villes d'eaux. Mais elles seront de qualité inférieure.

PRÉDICTIONS

Un #ôput$ très-avitteé... eu â^e déposera uft amendement pftut-
obtenir la suppression des trois règnes de U nature, règne animal,
rente végétal et règne minéral; s.'*ippuyaiii sur ce qu'un cœ<r
vraiment français no doit cannai ré que le règne de Napoléon III.-

M. Emile de Girardin trouvera una nouvelle mine d'alinéas. Il
i^ropo era de remplacer le génie à* la bberté de la colonne de la
Ba»tille par M. Emile Ollivier tn personne, qu'on ferais dorer à
Cet effet.

Les journalistes se mettront eti grève et refuseront d'écrire une
seule ligne. Ce qui fait qu'on demandera des hommes de bonne
volonté pour pa.-^er <-n police currectioamMle et payer des amendes.

Une demoiselle du meilleur monde, mais peu ferrée sur l'or-
thographe, ira prendre les bains de met et se croira obligée d'en
revenir dans un état de grossesse follement prononcé.

A. HOftIBÈRT.



GAZETTE A LA MAIN

Nous voilà donc — e.ifln —- joyeux Comme des poulets à la
broche 1 •',.

Les Saute Cheiseull saule Praslinl d9 la politique contempo-
fan-e,,.

L-k batailles de la Chambre et'les p>;gdats de Mabille..»

LtfOéclui àf la d Anug'iy ut i-^ir >ra rie (ri D'véria...

Le d^cèd de.Juie-s, — i angora uu cale de S élu» — et les com-
munications éptstolaires de F.orijjiund Rouge aUX

Malheure ce habitants
Des beau\ vallons que l'Hervé tcie...

Tout cela diminue, pâlit, s»'tff.ic« et disparaît devant cette rayon-
nante et inéluctable venté : — /( fait chand 1

Hier, à trois heures, en traversant ia place de la Concorde
pour sç renilre au Palais-Bourb m, M. d; X... a vu sa femme,
qu'd croyait aux b^ins froids, monter dans une voiture où l'at-
tendait M. 'le Y. ..

Celui-ci a baissé les stores ..

L'infortuné mari a d'abord voulu suivre ce train de plaisir pour
CytUere,.

Mars le soleil l'a cloué sur un banc d:j C-mrs-la-Reine...

Alors, le pauvrf inble éponge-mt son front trempé de sueur :

— Mon Dieui mon D.eu! .. Trompe!... .le suis en nauel...
J'attraperai un- msolanon, b en sûr!... Trompé!... Si encore
j'avais un paiapluin !... Ahl m-iis oui, trompé !...

Puis avec désespoir s

— Et pas ,mème l'ombre d'un doute!!!

Je viens de parle»- an scieur Florimond Rongé...

Ouvrez l- Dictionnaire dt$ Pieuihnymes, de mon confrère George-
d'Hr-iiiy, — Den,,. éuneur — t-n v-diutie amusant ornm'j un mas
que arraché, inrore»-HiH cwmme un taux-nez qui lomoe...

A la cent quara-te sixième pi-g« d-ce carieux recueil, ^ans le-
quel)! n'e.-t guère possible déiuiier le mo s veinent littéraire m
• MiPlijue de ces dernier- temps, vous trouverez que Ce nom d
Rongé est celui de l'auteur du Pttit F Uit, dw Chilpéric et de VOEU
orevè...

t.e Gag Te de la musique et de la poésie a alressé au Figaro un»i
réclama-ion auprà^ de laquelle les maridemHnts de NN. S^
Alexandre Damas fib et Francisque Sa cey, é-vêques in parlibut,
- infidelium — de Omeliapo is et du Bon-beus, me paraissen
d^p.c-rvua de umie b uffonjper.e. .

8< leire rappelle énergique ment la critique au respect de ci
■ilu est re-peciaBrw, — c'-st-à 'lire de la cania e qui s>-ra esécute'
ie \b' aiû proenain sur le tb>à j-e des Folies Dramatiques — me-
louie et paroles du roaèsiro.

Ci-joints quelques fragments de cette œuvre patriotique :

*

LE DUC D'EN FACE

Laissons parler el le peuple et l'armée.
Venez, amis, accounz en os lieux.
Apportez-vous pour cette da'e *imee,
Un ebant amer ou bien un cri joyeux ?

LE CtlOEUR
Ecoutez bien cette hi-toire véridique,
C'est celle de la langouste atmosphérique.
LatO'ilîa! latorilla! sautez danseur!
Trompette et basse, entonnez la ritournelle!
Ronflez, tambours, en avant la pastourelle!
Latorilla! latorilla! goud morning, sosur!

ALEXÀNDRIVÛRE

Nous, artisans, notre lâche est la rudo.
De nos travaux depeiitl tout notre sort,
El l'Empereur, dans sa: sollicitude,
A l'industrie a donné ton essor.

LE CHOEUR

Tournez, tournez, petits bâtons, à ma voix,

Laïtou, laï;ou, laïtou, tra là, là.

Pendant chaque heure, il faut que j'en fasse cent trois

Laïtou, laïtou, laïtou, tra là, là!

{Imitation de.fldte ou de.clarinette, i

s un bâloa de chaise).

GÉRÔMÉ

Il ne veut pas que ses hordes guerrières,
Pour conquérir combattent désormais.
11 ne soiuinu du ium-s meutrfères
Que pour l'honneur, la jusuce el la paix.

LE CHOEUR

Les gens qui sonl dan< V commerce
Ne comprpnn'eut pas touiça-,
Quand ils nous voient avec leurs bonnes ça 1
Ils font un pif qu'est long comme pa.
lUUtplun ! b han! eu avant!
Fa, fa, fa, fa, un roulement!

N'est ce pas, du re-te, le même écrivain qui, l'an
même époque et à la même occasion, avait p acé les
suivants dans une œuvie égaTôPasiit re.-pectable :

Wï é \

lernier, à la
quatre vers

■ •

Monsieur Godard monte en ballon...
On lire le tea d'arllice...
Vive a jamais 1 Impératrice!
Vive à jamais Napoléon !

«■■■MMi

Après cela, il n'y a plus qu'à tirer l'échelle — comme
et a Lancer M. Hervé da*s i'imoiorUlité I

Le Cliat du café de Suède

Voulant prouver, sans doute, qu'il pos-ède des repoHers, — les
reporters du peuple souverain — wttn motus bien informés que
c--ux de la maison d'rt côte te Rappel a consacré quelque prose
a la mémoire et aux obsèques de J jies, —■ l'un des animaux les
pl-is remarquâmes d'un eniaminet fréquenté par nombre de jour-
uhl str-s et de caboiius.

Honnête Ja'es !...

Jamiis on ne t'avait vu faire le gros dos devant les succès d'in-
térieur que iemé ageait une innocente camaraderie!...

Jamais tu n avns sorti de ;eur écriû <ie v lours noir tes griffes
de nacre rosée, pour riposter par une egnuignure aouinoise a une
Car.i.-se amicalei...
j^ Tu accueillais avec le même ronron -*- intelligent et doux —les
[frères ies plus ennemis, tedglo.rei les olus opposées: Uathol et
Thé'ésa, —0a"ucùe et la Toquée, —- Hippolytu et Fleur-de-Jam-
Don I...

Ant.-nrde toi, le Bouffuti émit mori, VAuwrgnal ét=ït mort, le
Hanneton était mon, les Nouvelles, le Masque^ ta Comète, la Sur-
prise, to-Jt cela était moit. L. hclipbe, s<«l« »iv«it, ^t rie» laits ces
la nO'aablfS cdta<ifophes ne(iut..rt cetie pro^péri-ô croisse te,
u avait altéié on immuable sért-mié de »pn>nx uo rô»uqu, t..

Que di-je I Tu irôuis d - ia robe soyeuse le pantalon du cousin
d- Uivnîer, et iu n'en étais oa- plus ber.'...

Tu eiuendais p rfus M.o<ère iredm Ac. — et l'idée ne t'était
potnL venue oe miauler tn paioit, du Midi d«s romances pï-éten-
ueu-es et lucraiiver !...

Tu étais simple, oigne, accessibi" et patient. De léa yéuS r^nds
taillés dans una <iûiioie éaiéraude, u regard is, sans en pleurer,
la vieillesse d--s Atberttue, et, sans en sourire, la j-un«sse de
Victor Noir !.,.

Ahl brave béte! ta place est retenue an Panthéoi des Chats,—
entre le Murr d'U-iffinann et -a (>ho,'gna d'Hogo en.'.re le B'iize
ei le Bibi de Réviilon feutre lEtijoltas et le Gavroche de fiau--
tierl....

Tous les habitués du café de Suède connaissaient, aimaient,
choydiem Joies.
J ai demande souvent :

— Henni uassez-moi Jules !...

— Monsieur, il e&t en m.iin.

— Très-bien, retenez-le-moi alors.

Jules s'est éteint, — la semaine passée, — à l'âge avancé de
quatorze ans.
Convenez que ces félins ont l'âme chevillée dan* le corps I
Q -and on pense que celui a pu rester — pendant plusieurs
nnn-es — dans un milieu où » agitent Hamburger, Hiuen.ans,
■Gi'del, Baron, Léonce, Luce, le Caillois, — tout* les comiques
« Parie, tous les comi iae» de la bamieue, tou- les comiques de
u province, et qu'il a trépassé, tranquillement, sur s* chaire,
(illeurs q^e dans un Cabanon de Bicètre ou Cbareuton et en
obsession de toutes ses facultés I...

Je oeveux pas rappe<er ici les qu-reLes auxquelles il a dû se
"•uver mê.é...
Je ne cr^is pus qu'il y ait perdu un poil de sa moustache ou
iti-ppé umi cr»q-iignule...

Ou le sait : dans tes disputas littéraires, il n'y a pas de quoi
'.Jupiter un chat.

Entrj Sèvres et le Bas-Meudon, F.fine entonne les Pompiers
deNant rre ^ur les monls de la val-a allemande du Juif polonais.

— lis-tu bête ! fut Paul. Change sur i'oir, au moins!...

— Puisque nous sommes à la campagoe...

— Eh bn-n?

— Eh bieul l'air de la campagne n'est pas le même que c,;iui
de Paris.

Nous avons failli perdre la délicieuse voix de Capoul... — Ah !
mon Dieu, ouil... — D <mmage inestimable 1,..

Le celèure ténoeino flânait — l'autre matin — dans le boudoir
de Mlle L...

La divinité s'était — pour un instant — absentée du temple...

En tureuuK de ci de la, Capoul aperçoit sur la toiiett-, entre
mil e et un cosmétiques, un peut pot de cristal renlermiint une
pnnniade non moins vermeille assurément que la bjuche mi-
gnonne de la belle créature.

Le lénor est coquet...

Il prend une or g ée de cette pommade et s'en frotte les lèvres...

Puis, au bout d'un moment, il veut filer un «on,*.

Impossible...

La voix ne so t pas..

Capoul court à une glace...

0 surprise! bous l'arcade de sa moustache blonde, il ne dé-
couvre plus qu'une pente ouverture, qui va se rétrécissant! eh!
ma s là te létrécissaut 1 Encore un peu, et l'orifice àuracumpléte-
uieot disparu.

Jugez si le i auvre garçon s'empresse de se débarbouiller.,,.

La pommade de Mlle L... était un asiringent.

Émilé Bmjndet.

Voir dans le n° 16 de la Otanson Illustrée, qui vient de
paraître, la chanson de l'Étudiante et ie charmant dess.n de Hadol
qui l'accompagne.

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