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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0181

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I" AiffA !>'/«.

si, so»s préiesle que \m &,

?nt à peine.

B'Çoit guère, entre nom.

sachez donc que. je klwkc
perdrix infortunée, el o«(!œ
ce moment dans nueiiiiaaa

rous apporter.

saintgrisl

neur de Tons le dire en eiprats

ceî — Et les truffes doutTBiià
s leur noir bocal, poor mù
e demandai mon dessert iras
EauHT n'Hnwti.

DES DU VICE-ROI

quocnla continus, il ni «•«*
roule asperge cet hiver,
tait chaque année une»'W'

décidé à raJertMW^
!rard des llaliens qu'au b*»

, marchés de Paris. .
r devenir chan*-
M voudraient»..^
„qne,p.nd.n»l.«i;«»;^

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; le dés*''■*>B ,,
"»»lrasdetd.«»*<

t/ECLIPSE

i Mon gros mimi, etc., fin

las si tu ne me voie pas reti'

trer ce soir. Maman, la bonne et moi avens été engagées par un
directeur à passer l'hiver en Egypte auprès du vice-roi. Nous se-
rons très-probab ement de retour dans une année ou deux au
plus. Aie bien soin des enfanis. Avant de partir, j'ai réglé la
note du frotteur et j'ai prisa crédit une douzaine de robes chez
le marchand de nouveautés. Je te recommande d'è re bien sage
pendant mon absence. Ecris-jnoj au Caire, poste restante.
« Ta petite femme adorpe. »
tjependant, si par hasard le projet dij yice-roi se bornait seule-
mentà vouloir enlever nos f>comes et nos belles-mamans, je le
jupplie j main» jointes de ne pas se gêner et de proclamer bien
jiaut ce légitime désir.

' Comme je connais les Parisiens, pas un d'eux n'attendra que
Von vient!» lui prendre sa ffiinme. Tous, au contraire, tiendront
à'honnenr de la couronner de marguerites et de la conduire eux-
mêmes au wagon qui deyra, l'emporter vers le beau ciel d'Egypte.

Georges Petit.

Av

Mlle Heyman me ragoûte i

-

plie

moins. Elle est épaisse e
porte eug us tache 1...
Blanche Martel gui joue — en travesti

balourde.

- le héros

rec cela, e:
C'est Mlle
de l'ouvr^^^i^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Voltaire — en 1715 — Écrivait à Mme de Mimeure :
« J ai vu, madame la marquiez, vuire petite chienne, votre petit

Mil Ga i rt' Toul cela se port9 bien' a lexception de

Mite Aub-rt, qui, si elle n'y prend garde, n'aura point de gurge
pour i'ontaititbleaa. A mon gré, c'est la seule chose qui lui
manque... «
Et à m^arn pis elle Blanche Martel aussi. ■

GAZETTE A LA MAIN

Réouverture du Chfttelct

&a Poudre de Perlimpinpin J,..

Vjjiia ui titre qiii ro flrf, — superlatif, — presque aussi é'oquent
que' |e» PHues du Diable, les Bibelots du Diab'e, les Sept Châteaux
av^Dtahlç,-et. en général, loutes les affiches de theâire dont mes-
sér S.iianas troue le papier pour passer ses peines cornes de
bouquin, son pied (o Tenu et sa queue en tire-bouchun !..

'Cpnime on itevine qu'il s'agit d'un spectacle fait à souhait pour
U plaisir des yeux^...

Hélas I te" poudre de Perlimpinpin ressemble g. la- Chatte Blanche,
— qui re^sembl- à la Biche au bots, — laquelle rassemblait elie-
même à Peau d'An", à la Lampe merveilleuse, à la Poule aux œufs
d'or et au Pied de Mouton...

Car c'est une chose réglée et convenue en France, que les féeries
ne doivent pas avoir ombre d'imprévu, d'originalité ni de bon
sens,..

On pourraif, — cependant, — en faire de nouvelles, d'intéres-
santes et de si'irituelle*,..

Il n/y aurait pour cela p'a ne pas s'adresser au père Clairville,
à Bon fi|s B.l'-m ou aux frères Cognrard...

Maiè quoi 1 si vous crViy.èz que M. Nestor Roqueplan va s'ingé-
nier à découvrir quelque chose d'amusant, d'extraordinaire ou
d'inédit i. .

Il faut favoir, — ce que chacun sait du reste, — que Nestor
Bqqupplan n'aime que les auteurs qui ne t'ont pas de pièces. Les
autres, il les joue, — ce qu est humiliant.

Un j'iur, il fut fpreé de subir la lecture d'un vaudeville mêlé de
couplets. La lecture finie, il se précipite vers la fenêtre, l'ouvre
pour changer l'air, et s'accoude sur la balustrade, en respirant
lv«c violence.

L'auteur le suit, s'accoude à ses cô.és et parvient à lui glisser
son manu-crit dans la main.

ht conversation s'entame.

— Quand jouez-vous mon vaudeville? fait l'auteur.

— Je n'en sais rien ! répond Nestor, qui tient le manuscrit dans
sa marn crispée et le serre à l'étouffer.

— Mais vous le jouerez?

— Est-ce que je sais!

— Pouvant vous me disiez il n'y a qu'un moment..,.

— Moi? Voilà une heure que, je n'ai pas ouvert ia bouche.

Et pour donner plus de sole' nité à ses par 'les, le directeur
ouvre les doigts et, le manuscrit tombe dans la cour des Variétés.

— Ah! par exemple, maintenant je ne le jouerai pas! s'écrie
Npstor. ' '

X Comment
Ifiï pas?
-— Jamais ! -

murmure l'auteur en pâlissant, vous ne le joue-

■ C'EST UNE PIECE TOMBÉE.

'.t concierg» '

ta Powlre ù*e Pe^linpinpin eût été, elle aussi, une pièce tomsêe,
si les décurs. le ballot, les costumes et la nLse -gn scène ne l'a-
vaient relevée.

Raconter une rareille inanité est impossible. L'intrige çon-
sïsie surtout dans la complication des trappes, la hardiesse des
v.ls et la magie des suspendons.

Ces groupes de femmes, aux trois quarts nues, étagéss dans le
vide, sous le coup de fouet d'un foyer électrique, ont remplacé,
dans la féerie moderne, les irucs naïfs, chers à nos pères : les
pâtés qui éclatent comme des bombes, les lits qui se dédoublent,
les maisons qui se renversent et dont le toit devient le rez-de-
chaussée, les rôtisseries qui ?e changent en officines d'apothicai
res, les bougies qui s'allongent en puise de mâts de cocagne, les
fusées qui jaillissent des bouteilles, le poisson volant qui agite ses
ailerons et jette par ses larges prunelles rondes des étincelles
phosphoriques et menaçantes, les crocodiles qui bâillent, les por-
traits qui éiernuent, 'es momies qui disent : Dleuvous bénisse ! et
ces funriidab'es estocades qui tranchent en deux un homme et un
car/osee d'un seul coup, en sorte que les jambes, du monsieur
s'en vunt avec le train de devant du véhiculé'.

Aucune dp ces enfances de l'art n'ô^aye la Poudre de Perlin-
finpîn;

■ Ji.n revanche, le machiniste Claude a su produire des effets très-
ne^fs, ïrès-cuneux et t:as gracieux, avec "une douzaine de belles
Bile» nû'ir a accrochées, dè-ci, de-Ià, dans J incendie des apo-
théoses-
Ces belles filles sont vêtues d'une, façon fort sommaire...

— Combien le- paye-i-on pour faire ce métier? demanda l'au-
tre soir au régisseur Key une grande dame espagnole qui assistait
à la repréeenta'ion.

— Trois francs par séance, madame.

r^ Trois francs l-,. Sainte madré de Dieu!... Faut-il que des
créatures soient perdues!... Se dé.-habiller pour ti'ois francsl
Lhidalya occupait une avant-scène,
fne figurante l'entendit...
Et.'du haut de sa tige de fer :

— Encore hien plus perdue, vous, là-bas dans la logo! Vous
Tous déshabillez pour rien !

Côté des hommes, Lesueur se démène dans le personnage du
roi Couriebotte comme si les lauriers qui ont âiïtr»-fois' couronné la
bure do Lebel I empêchaient dénoncer. Auprès (relui. Taçova a
fait du prince Fdrtasse un Boquilion alsacie i mmt-le uaiagouin et,
les \a la ou se aient f rt appréciés dans la cholie Milhusse ou d<*us
le peau Slradtpurg. ■

Je ne puis que plaindre Williams, Courtes, Lerlche et Tquy.'é.

GVé des demes, on a furt iem«rqu,é:dans le l'Ole de la fée'-Po-
tiche une quarteronne aux grands yeux de velours noir, dont lea
<ïhaîrg ont des tons a0aibli8 de grenade, et dont le sourire d'o-
F?«m Mt rempli d'éclair* blanc*...

Voici une histoire d'avant-lrer.

Ou me raconte qu'un b m jeune homme, qui, sans aucun doute
aPPa,rtienta la nombreuse fami le des Calino, arrive un peu lard
au Çhàceiet.— l*lus de bi lets aux bureaux'.—Un nez rouge, coif-
îe d un chapeiu gras, flaire son désappointement, et lui ofire. d'un
air ae mystère, un fauteuil de balcoa au prix doux'le vingt trancs.

i-e bon jeune nomme hésite un moment. Il prend le billet, le
relourno dans tous les sens, et finit par en offrir quinze francs,

— mais a la condition qu'il ne payera qu'une fois placé.
cri^a indignation chez l'nomme au nez rouge.

Mais si le bourgeois se méfie de lui, pourquoi, lui aussi, né se
mèUeraH-il pas du bourgeois'!1 Qui lui dit que le bourgeois, une fois
place, payera saplacs?

Pounaut, après quelques difficultés, l'homme au chapeau gras
unit par proposer une iransacùon.

— Fcout^z, bourgeois, il y a un moyen de s'arranger. Je veux
nien vous lâch-ir mon billet aux conditions que voui me dites;
seulement il faut que j'aie une garantie. Laissez-moi un gage.

ad. i eue fois, la bon jeune homme est enchanté :

— Moi qui ne pensais pas à celai...

Et vite lUemetle simple gage demandé, — un gage quelconque,

— la première chose venue.— Sa montre d'or, y compris la chaîab
d or aussi. h.. - i ^

Le billet a été pris au contrôle.
Inu'i e de dire que la mon ire n'a pas été rendue.
louiefius, le bon jeme homme n'a pas paru fort désolé de ne
pas retrouver soq donneur de bulets.

— Tiens 1 a-i-il dit d\n air épanoui au sergent de ville, cela fait
que j aurai vu gratis la Poudre de Perhnpinpin.

La Légende de Charles manrïce

Charles Maurice, — qui vient de mourir, et qui dirigea, qui ré-
digea, de 1818 à 18.49, une série de feuilles de théâtre : le Camp
volant, leCcireur, le Courrier, etc., etc., — passait, aux yeux de
lt plupart de ses contemporains, pour iine sorte de mendiam-
bandit embusqué dernèrp'les colonnes de'spn journal et menaçant
de sa plume, comme d'une escupette ou d'un tromblon, le-; anisies
auxquels il voulait Taire cracuer quelques piastres dans son gibus.

(jet'e réputation était-el e méritée?

Les uns juie^t leurs grands dieux que oui.

D autres soutienneot mordicus que non.

Pour ma part, je regrette que Charles Maurice n'ait pas publié
ses Mémoires,

Sans renier son passé, il eût pu l'expliquer , — l'expliquer sans
prétextes, sans excuses, le chapeau sur Poreilie et le poin,' sur la
hanche, — avec la crânerie, le sang-froid et la bravoure qu'il ap-
portait sur le terrain.

— Eh quoi! n'aurait-il pas manqué de dire, M. Sardou vend sa
nrose, M. Coppée vend sei vers, Mélingue vend son talent, la
Nilsson vend ea voix...

lit à quel taux exorbitant, fabuleux et déraisonnable, Sei-
gneur! 11

Les journaux, — de tous calibres et de toutes couleurs, — ven-
dent leurs annonces et leurs réclames...

Mlle H... S... vend sa beauté...

M. C.. D... vend sa çonscïe, ce...

Pourquoi un, critique r^esoigneux n'aurait-il pas vendu son blâme
ou son élokie ?

Un critique a des dents pour manger aussi bien que pour
mordre...

Je conçois qu'il lui rénugne d'enfoncer la vitre d'un changeur. .

Mais je comprends bien davantage qu'il y renarde à deux fois
avant de se laisser crever de faim, — sur le boulevard, — pour
conserver l'estime de ceux de ses confrères qui dînent chez Bré-
bant!

D'aatant plus que Brébant fait, d'ordinaire, une remise ami-
cale à ceux ci...

Pour qu'ils parlent de sa cuisine I

Charles Maurice aurait continué avec non moins de logique :

— Un architecte a reçu dernièrement cent mille francs de l'Em-
pereur pour un plan dessiné avec art...

Pourquoi n'aurais-je pas reçu cinq louis, de Mars ou de Dorva!,
ponr un article habilemont tourné?

Les acteurs, les actrices payent volontiers les claqueurs...

Mlle Lise Noblet abandonnait à Auguste. — U célèbrs chef de
claque de l'Opfra, — ses feux, qui étaient de cinquante francs par
représentation.

A raison de cinquante francs par représentation, Auguste a fait,
pendant quinze ans, \*entrée île. Mlle Lise Noblet...

S pposez que celle-ci ait dansé six fois par mois, et c'est peu,
soixante-douze fois par an, mille quatre-vingt-cinq fois pendant
quinze ans, et on arrive au chiffre énorme de CINOUANTE-
CINQ MILLE FIlAN^Sl! !

Etunnez vous, après cela, qu'Auguste ait doté royalement sa
fille, quand elle devint Mine Cogniard!...

— Et moi, — c'est Charles Maurice qui conclut,—j'aurais don-
né gratis mes bravos ou mon silence!... .

Q iand le Grand Officiel afferme, lui-même sa quatrième page !...

Quand le Peuple, de Rouher 1er, et le Public, de Routier II,
quand le tiapptt et le Réveil, quand la Gazette de France et l'Uni-
vers ont leurs entrepreneurs de publicité et leur Bulletin de la
Bou'seX... . *" f

Quand le Gaulois-nous a entretenus, — pendant trois mois, —
rî& mademoisêle Blanche d'Antigny,!..,

Et quand le Figaro nous entretient— depuis douze ans — du
Pavillon d'Àrmenonville !

que je ne nommerai pas, —

Un matin, un grand comédû
entre chez le folliculaire. '

qunïvourfHi?mTbin?eZ"™US'^?n?îeur?-"*Est-ce de logent
do tout Jïnl'L J° *lïï "J?"; Myn iuxe n'est ^'apparent0. Je
!S fmâmê?de9unietP? SSède: M* fami'Ie n'a pas ^ P«ï. Je man-

MaunrCpUïlf1? ?acaiWen' n déboutonne sa redingote...
toSr- larrete, lui promet son appui et lui prête vingt-cinq;

Il nesouifla m,ot des vingt-cinq louis.!'
-U s adressant à son valet de chambre ;

•Josepn a.dez-moi à passer une chemise de batiste.

cais, Svri^'^P.1^^ soubrettes du Th.éàtre,f?an-

solennelle ^tail quelques jours avant'qno te^çtatioti

boorrS^emplif d'œufs^uï0"' ?"* SB** «««*»• un?

Mademoiselle B... vole chez Maurice

— Ah] c est «ou,, lui dit-il en l'apercevant

ce matin.; n^%%St^ pST^ ™n à 'm *rtic,° ^

— oe Uireçu.

— Eh bien ;

— Eh bien, je n/aime plus les œufs.
''" ris'! mais les miens! les

— Les côLfs "de .
moins, les miens?
.— Ma foi, non! votre panier est

es as;-(# goûtés, au

encore là, dans 1% cuisine, on

„ j - ,.— iu|tuLD, un ne la pas même déballé. ,

— On na l'a pas déballé! Je comprends tout, Françoise, ap-
portez le panier.

Le panier fut apporté et vidé: il y avait au fond douze coquetiers
en vermeil.

Qui fut embarrassé? Ce ne fut pas Maurice. Le tertdemain, le
journal contenait la fin de l'article annoncé sur ru. ads mois elle
B.,.: elle commençait ainsi :

« Dans 1 intérêt de la vérité, nous avons rappelé hier tout ce
que les ennemis de la charmante soubrette croient avoir le droit
de reprocher à son talent; aujourd'hui, npns leur répondrons
triomphilement.,. »

Puis veaait un panégyrique complet 1

Duprez se montra, de moins bonne compo,8itïon.

Le journaliste ne'cessait, de lVremter. ' '"

Le térjor s'en fut le trouver et déposa un ïxiilet de

sur sou bureau.

— Mille francs] dit Maurice, c'est
mieux. ^i^^i^i^M^^^^H^H

— C'est vrai, répondit Duprez, m Murmit faire mieux.
Il reprit son billet, le reruit d^ns'sa boche et mm-n» i-"

en ; maii ,

mille francs
pourrait faire

?as & poche et tourna les taloni

tes Grnes.

Aux Variétés.

„, trois actes vieillots, prétentieuç et assommants.

Dans la vie, de jolies petites demoiselles qui me font plus peur
que toutes les pensionnaires réunies de la Fillion et de la Gourdan !

Ecuutfz plutôt ce dialogue sténographié au vol dans la cour du
couvent des Oiseaux :

— Comment, ma chère Berthe, tu nous quittes pour épouser le
bJron de X. .1 Mais il est affreux, ce vieillard!

— Puisque nous aurons chacun notre appartenant! ..

— Si, pouvant, il voulait n'avoir qu'une chambre à coucher...

— Ah! m'a-chère, je mouillerais te.Uejn.enc le lit de mes...
larmes 1...

— Et si ça ne lui faisait rien ?

— Alors, je m'arrangerais pour qu'il y frouyât tous les jours un
nouveau cas... de séparation.

Emile Bloptdet.

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Charles Maurice ne's'est pas défendue.

Et Fiorentino, — qui opérait sur une- plus vaste échelle, — a
obtenu le bénéfice des circonstance* aiténuaritss.

Fiorentino dit, ~ un jour, — à B,oger dç Beauvoir :

—: Qu'est-ce que vous penseriez, si je vous prouvais que j'ai
refusé es présents d'Artaxercèsî

— Je penserais, répartit Roger, qu'Artaxercës n'était qu'un
Pingre.

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