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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0185

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11) high life.

si, sous préteile«iieimato

îtit à peine.

îrcoit guère, entre nom.

sachez donc Que je fc fcj,,
perdrix infortunée, a oiitta
ce moment dans uiieassieuipÉ

ous apporter.

■aintgns!

nenr de tous le dire m qjmtc

:e? — Et les traies dirliia (à
3 leur noir uocil, pour otttsi
a demandai mon dessert m®

EasESi E'HssTilir,
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DES DU VICE-ROI

,ue cela continus, ilmlt!"*
Bole asperge cet h».
faitcbaoueannéenneii*.'1"
décidé S rider BPWl»Ff*
tard des Italiens f«'aB W»
marches de Paris.'
. de prévenir ebaritab *>M
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le désespoir re

L'ECLIPSE

■ Mon gros mimi, etc., t'inquiéta pas si tu ne me vois pas ren-
trer ce soir. Maman, la bonne et moi avons été engagées par un
directeur à passer l'hiver en Egypte auprès du vice-roi. Nous se-
rons très-probab'ement de retour dans une année on deux au
plus- Aie bien soin des enfants. Avant de partir, j'aï réglé la
note du frottein* et j'ai prisa crédit une douzaine de robes chez
le marchand de nouveautés. Je te recommande d'èire bien sage
pendant mon absence. Ecris-moi au Caire, poste restante.
n Ta petite femme adorée. »
Cependant, si par hasard le projet du vice-roi se bornait seule-
ment à vouloir enlever nos fVmmes et nos belles-mamans, je le
supplie à mains jointes de ne pas se gêner et de proclamer bien
haut ce légitime désir.

Comme je connais les Parisiens, pas un d'eux n'attendra que
l'on vienne lui prendre sa femme. Tous, au contraire, tiendront
à honnenr de la couronner de margueriies et de la conduire eux>
mêmes au wagon qui

e Heyman me ragoùte moins. Elle eat é

et balourde.

i devra l'emporter vers le beau ciel d'Egypte.
Georges Petit.

GAZETTE A LA MAIN

Kéouvertnre du CBiâfelct

ta Poudre de Perlinpinpinl...

Voila un titre qui ro fi-;, — superlatif, —presque aussi éloquent
<iue lei Pi'.u'es du Diable, les Bibelots du Diab'.e, les Sept Châteaux
duDtahle, et, eu général, icites les affiches de ihéâire dont mes-
ser Suants troue le papier pour passer ses petites cornes de
bouquin, son pieri fo irchu- et sa queue en tire-bouchon 1...

Comme on devine qu'il s'agit d'un spectacle fait à souhait pour
leplaisir des yeuxK..

HfMas I la Poudre de Perlimpinpin ressemble a la Chatte Blanchet
_ qui ressembla à la Biclie au bois, — laquelle ressemblait ehe-
mème à Peau d'Ane, à la Lampe merveilleuse, à la Poule aux œufs
d'or et au Pied de Mouton...

Car c'est une chose réglée et convenue en France, que les féeries
ne doivent pas avoir ombre d'imprévu, d'originalité ni de bon

On pourrait, — cependant, — en faire de nouvelles, d'intéres-
santes et de spirituelles...

Il n'y aurait pour cela qu'à ne pas s'adresser au père Clairville,
à son fils Blum ou aux frères Cogniard...

Mais quoi I si vous croyez que M. Nestor Roqueplan va s'ingé-
nier à découvrir quelque" chose d'amusant, d'extraordinaire ou
d'inédit!. .

Il faut savoir, — ce que chacun sait du reste, — que Nestor
Roqueplan n'aime que les auteurs qui ne font pas de pièces. Les
autres, il les joue, — ce qu> est humiliant.

Un jour, il fut forcé de subir la lecture d'un vaudeville mêlé de
couplets. La lecture finie, il se précipite vers la fenêtre, l'ouvre
pour changer l'air, eS s'accoude sur la balustrade, en respirant
avnc violence.

L'auteur le suit, s'accoude à ses côtés et parvient à lui glisser
son manuscrit dans la main.

La conversation s'entame.

— Quand jouez-vous mon vaudeville? fait l'auteur.

— Je n'en sais rien ! répond Nestor, qui tient le manuscrit dans
sa main crispée et le serre à l'étouffer.

— Mais vous le jouerez?

— Est-ce que je saisi

— Pouriant vous me disiez il n'y a qu'un moment....

— Moi? Voilà une heure que je n'ai pas ouvert la bouche.

Et pour donner plus de solennité à ses paroles, le directeur
ouvre les doigts et le manuscrit tombe dans la cour des Variétés.

— Ah! par exemple, maintenant je ne le jouerai pas! s'écrie
Nestor.

— Comment! murmure l'aufeur en pâlissant, vou3 ne le joue-
rez pas?

— Jamais ! — c'est une pièce tombée.

La Poudre de Perlinpinpin eût été, elle aussi, une pièce tombée,
si les décors, le ballet, les costumes et la m'se en scène ne l'a-
vaient relevée.

Raconter une pareille inanHé est impossible. L'intrigue con-
siste surtout dans la complication des trappes, la hardiesse des
vols et la magie des suspensions.

Ces groupes de femmes, aux trois quarts nues, étagees dans le
vide, sous le coup de fouet d'un foyer électrique, ont remplacé,
dans la féerie moderne, les trucs naïfs, chers à nos pères : les
pâtés qui éclatent comme des bombes, les lits qui se dédoublent,
les maisons qui se renversent et dont le toit devient le rez-de-
chaussée, les rôtisseries qui se changent en officines d'apothicai-
res, les bougies qui s'allongent en guise de mâts de cocagne, les
fusées qui jailli?sent des bouteilles, le poisson volant qui agite ses
ailerons et jette par ses larges prunelles rondes des étincelles
phosphoriques et menaçantes, les crocodiles qui bâillent, les por-
traits qui éiernuent, les momies qui disent : Dieu vous bénisse ! et
ces formidables estoc-tdes qui tranchent, en deux un homme et un
carrosse d'un seul coup, en sorte que les jambes du monsieur
s'en vont avec le-train de devant du véhicule.

Aucune de ces enfances de l'art n'é^aye la Poudre de Perlin-
pinpin.

En revanche, le machiniste Claude a su produire des effets très-
neufs, très-curieux et t:ès gracieux, avec une douzaine de belles
filles qu'if a accrochées, de-ci, de-la, dans 1 incendie des apo-
théoses...

Of6 belles filles sont vêtues d'une façon fort sommaire...

— Combien le- paye-:-on pour faire ce métier? demanda l'au-
tre soir au régisseur Rey une grande dame espagnole qui assistait
à la rpprésenta'ion.

— Trois francs par séance, madame.

— Tj-qls francs\... Sainte madré de Dieu!... Faut-il que des
créatures soient perdues!... Se dé-babiller pour trois francsl

L hidalga occupait une avant-scène.
Une figurante l'entendit...
Et, du haut de sa tige de fer :

— Encore tden plus perdue, vous, là-bas dans la loge! Vous
vous déshabillez pour rienl

Coté des hommes, Lesneur se démène dans le personnage du
roi Guurieboti.e Comme si les lauriers qui ont autrefois couronné la
bure de Lebel I empêchaient de pwneer. Auprès de lui, Tacova a
fait du prince Fadasse un Boquilion alsacie i dont le uaiaguuin et,
les la la ou se-aient f-.n appréciés dans la cholie Milhusse ou dans
le peau Strackpurg.

Je ne puis que plaindre Williams, Courtes, Leriche et Touzé.
i Côié des dames, on a fort remarqué dans le lôle de la fée Po-
tiche une quarteronne aux grands yeux de velours noir, dont leà
chairs ont des tons affaiblis de grenade, et dont le sourire d'o-
gresse est rempli d'éclairs blancs...

MU, ____________________

Avec cela, elle porte moustache! .. _^^^^^^^^^^^^^^

C'est Mlle'Blanche Martel qui joue — en travesti — le héro.s
de I ouvr.ige.

Voltaire — en 1715 — écrivait à Mme de Mîmeure :
i Y ai ^ n' Ilia(iame kl uiarquistf, vutre petite chienne, votre petit
mii Ga J.le Auberc- T(Jut c*ia fi3 po^e bien, à l'exception de
Mlle Aab/rt, qui, si elle n'y prend garde, n'aura point de gorge
pour Fontainebleau. A mon gré, c'est ta seule chose qui lui
manque... »

Et à mademoiselle Blanche Martel aussi.

Voici une histoire d'avant-hïer.

On me niconte qu'un b^n jeune homme, qui, sans aucun doufe
appartient a la nombreuse î'ami le dus Calino, arrive un peu tard
au uiâieiet.— PJUS de bi lets aux bureaux. — Un nez rou^'e, coif-
tô cl un chapeau gras, flaire sou désappointsmenr,, ei lui of^re, rl'un
air ue mystère, un fauteuil de balcon au prix doux de vingt lianes.

i-e bon jeune nomme hésite un moment. Il prend le billet, le
reiourne dans t^us les sens, et finit par en offrir quinze francs,

-mais a la condition qu'il ne payera qu'une fois placé.

b-n dindigruition chez l'nomme au nez rouge.

Mais si Je bourgeos se méfié de lui, pourquoi, lui .aussi, ne se
mélierait-il pas du bourgeois? Qui lui dit que 1« bourgeois, une fois
place, payera sapiac^?

Pourtant, après quelques difficultés, l'homme au chapeau gras
nuit par proposer un* transaction.

— Ecoutez, bourgeois, il y a un moyen de s'arranger. Je veux
Dieu vous lach-r mon oillet aux conditions que vom médites;
seulement il but quej'aie une garantie. Laissez-moi un gage.

r\n' c-tte fois, U bo i jeune hofïime est enchanté:

— Moi qui ne pensais tas à cela!...

-Et vite il remet ïe simple gage demandé, — un «ce quelconque,'
— la première chose venue.- Sa montre d'or, y cmpns U chaîne
d or aussi. - '■

Le billet a été pris au contrôle.

Inu'i'o de dire que la montre n'a pas été rendue.

■toutefois. Je bun jeune iiomms n'a pas paru fort désolé de ne
pas retrouver son donneur de billets.

— Tiens f a-t-il dit d'- n air épa&oui au sergent de ville, cela fait
que j aurai vu gratis la Poudre de Pedmpinpin.

JLa E-éffCSado «Se CB»ïag'Bes Mam'âce

Charles Maurice, — qui vient Bg mourir, et qui dirigea, qui ré-
digea, de 1818 à 1849, une série de feuilles de théâtre : le Ca mp
volant, le Coureur, ie Courrier, etc., etc., — passait, aux yeux de
li plupart de ses contemporains, pour une sorte de mendia rit-
bandit embusqué derrière les colonne's de son journal et menar ant
de sa plume, comme d'une escopette ou d'un tromblon, les art; stes
auxrjueis il voulait faire cracner quelques piastres; dans son gibus.

Gette réputation était-t'l e méritée?

Les uns jurent leurs grands dieux que oui.

D'autres soutiennent mordicus queuun.

Pnair ma part, je regrette que Charles Maurice n'ait pas publié
ses Mémoires.

Sans renier son psssé, il eût pu l'expliquer , — l'expliquer sahs
prétextes, sans excuses, le chapeau sur l'oreibe et le poing sur la
hanche, — avec la crânerie, le sang-froid et la bravoure qu'il ap-
portait sur le terrain.

m

— Eh quoi! n'aurait-il pas manqué de dire, M. Sartlou vend sa
prose, M. Goppée vend sei vers, Mélingue vend son talent, la
Nilsson vend sa voix...

Et à quel taux exorbitant, fabuleux et déraisonnable, Sei-
gneur! 11

L?s journaux, — de tous calibres et de toutes couleurs, — ven-
dent leurs annonces et leurs réclames...

Mlle H... S... vend sa be iuté...

M. C... D... vend sa conscience...

pourquoi un critique besoigueuxn'aurait-ii pas vendu son blâme
ou son élo^e?

Un critique a des dents pour manger aussi bien que pour
mordie...

Je conçois qu'il lui répugne d'enfoncer la vitre d'un changeur...

Mais je comprends bien davantage qu'il y regarde à deux fois
avant de se laisser crever de faim, — sur le boulevard, — pour
conserver l'estime de ceux de ses confrères qui dînent chez Brs-
bant!

D'autant plus que Brébant fait, d'ordinaire, une remise ami-
cale à ceux ci...

Pour qu'ils parlent de sa cuisine !

Charles Maurice aurait continué avec non moins de logique :

— Un architecte a reçu dernièrement cent mille francs de l'Em-
pereur pour un plan dessiné avec art...

Pourquoi n'aurais-je pas reçu cinq louis, de Mars ou de Dorval,
ponr un article habilemont tourné?

Les acteurs, les actrices payant volontiers les claqueurs...

Mlle Lisrt Noblet abandonnait à Auguste, — lu célèbrs chef de
claque de l'Opéra, — ses feux, qui étaient de cinquante francs par
représentation.

A raison de cinquante francs par représentation, Auguste a fait,
pendant quinze ans, l'entrée de Mlle Lise Noblet...

Supposez que celle-ci ait dansé six fois par mois, et c'est peu,
soixante-douze fois par an, mille quatre-vingt-cinq fois pendant
quinze ans, et on arrive au chiffre énorme de CINUUANTE-
CINQ MILLE FRANuSI!!

Etonnez-vons, après cela, qu'Auguste ait doté royalement sa
fille, quand elle devint Mme Cugnwrd !...

M

— Et moi, — c'est Charles Maurice qui cjnclut, — j'aurais don-
né gratis mes bravos ou mon silercel...

Quand le Grand Officiel afferme lui-même sa quatrième pa^e !...

Quand le Peuple, de Routier 1er, et. le Publie, de Kouher II,
quand le fïapptl et le Réveil, quand la Gazette de France ^t l'Uni-
vers ont leurs entrepreneurs de publicité et leur bulletin de la
Bowsel...

Quand le Gaulois nous a entretenus, — pendant trois mois, —
de mademoisel e Blanche d'Antigny !...

Et quand 'le Figaro nous 'entretient — depuis douze ans — du
Pavillon d'Ârmenonville !

pas, -

-*ê sa sirMien- -qae ia ne ■""'»»•»'

qu-i?™rS "wl'T"' ^"si7r?-,Est-ce de r.rgent
do:s iZ ceTe je oo«M N?^ n ^ " 6Sf ^'apparent'. Je
que mémo deHn^L. ' '"^ ° " ^ Ae !™ia- j8 maI"

fc'K» rnaçairim, il déboutonne su redingote...
lfflji". '"'ête, lu, promet eon appni et lui prête vingt-cinq

une demi-douzaino

Il nesoutfla mot des vingt-cinq louis.iT
■<r- ".adressât à son valet de chambre :

Le comédien rentre chez lui où il trouve
amis en train de dé.euner :

- Joseph aidez-moi à

passer une commise de batiste.

unait d'un œuf à la

coqu?.

Charles Maurice était sobre. Il déje , .

Mademoiselle B..., la plus fine! des soubrettes du Tnéâtre-Fran-
C"is, découvrit ce détail quelques joi^rs avant une représentation
solennelle. -'

Le malin de cette représenta'ion, elle expédia au critique une
bourriche remplie d'œul's hais île sa fermé de Montre-Tout.

Le lendemain, le Coureur des Spectacles parut...

La. comédioiine y était exécutée de njain de maître,
promettait la suiie au prochain numéro.

Mademoiselle B... vole chez Maurice.

— Ah! c'est vous, lui dit-il en l'apercevant.

— Oui, cest moi, moi qui ne comprends n'en à ton article
ce matin. N'as-/u pas reçu mon panier?

— Je IVi "eçu.
Eh bien r

et le maître

- Eh bien, j<; n'aime plus les œufs.
Les ceifs île Paris ! mais les miensI les

ns. Ip« ...la.,- 9

as-fy goùiés,

, ap-
uzp coquetiers

— Ma loi, l'on ! votre panier est encore là, dans h cuisme
n'y a pa- louché, on ne l'a pas mômedéhulé.

— On ne l'a pus déballé! Je comprend* tout. Français!
portez le panier.

Le panier lutapporté et vidé: il y avait au f.jnd àouz\
en vermeil.

Qui f-.t embarrassé? Ce ne fut pas Maurice. Le lendemain, le
journal contenait la fin de Partiel* annoncé sur'mademoiselle
B...; elle commençait ainsi :

" Dana l'intérêt de la vérité, nous avons rappelé hi'pr tout ce
que les ennemis de la charmante soubrette croient avoir le droit
de reprocher à son talent,; aujourd'hui, nous leur répondrons
triomphalement/,. »

Puis venait un panégyrique complet !

Duprez se montra rie moins bonne composition.
Le journaliste ne cessait de l'éremter.

Le ténor s'en fat le trouver et déposa un billet de mille francs
son bureau.

sur son bureau.

— Mille francs ! dit Mai
mieux.

— C'est.

unce, c'est bien;

.-_., répondit Duprez, on pourrait faire mieux.
li reprit son bille), le remit dans r-----'

pourrait faire

; sa poche et tourna les talons

Xes Gciiieg.

Aux Variétés.

...____, trois actes vieillots, prétentieux et assommants.

Dans la vie, de jolies petites demoiselles qui me font plus peur

que toutes les pensionnaires réunies delà Fillion et de la Gourdan I

îpgùë sténographié au vol dans la cour du

Ecoutez plutôt ce <i
couvent des Oiseaux :

— Comment, ma chère Berthe, tu n
baron de X. .! Mais il est affr

Puis

ous quittes pour éDou?or le
ce vieillard!

qun nous aurons chacun noire appartement!.,

— Si, pourtant, il voulait n'avoir qu'une chambre à coucher...

— Ah! ma chère, je mouillerais tellement le lit de mes..
larmes !„.

— Et si ça ne lui faisait rfen ?

— Alors, je m'arrangerais pour qu'il y trouvât tous les jours un
nouveau ca?... de séparation.

Emile Blondet.

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Charles Miurice ne s'est pas défendu...

Et Fiorentino, — qui opérait sur une plus vaste échelle, — a
obtenu le bénéfice des circonstances anémiantes.
Fiorentitio dit, — un jour, — à Roger de Beauvoir :

— Qu'est-ce que vous penseiiez, si je vous prouvais que j'ai
refusé ;es présents d'Artaxerces?

— Je penserais, répartit Roger, qu'Artaxercès n'était qu'un
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