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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0213

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L'ECLIPSE.

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5» ne «'analyse pas, On dirait q,'j

rasçril... u musamu ligaiacbe..
cariln'yspasdjhomiiti.-HB
pourquoi; la ramène wlenurauj
«I, dans le trajet, cingle tn tram
occupé à prendre œéthodtqnomel le

'est qu'un simple bien, Mais la dou-

re ûa au combat.

euvent s'écrier les témoins inlerli.

le ! ragardej djuc un. nen Hier.

itit incident, qui, en somme, n'a a1!*
ire très-réussie du raJirçau fn ma-

e ; vous tombe» Jacob, \o» ra»

z en face d'un innocent puait
qu'un dégagement en tierce, Oa lai
I s'en sert comme d'une bajœlli à
up cinglé qui, pour n être pus *

js cotes,

l'avïHOnS fl

touementimprévu tiiscwiîiiet
jr toutes, qu'il e»uljs«de de forcer

jeu qu'il ne connaît f »!•
jmblerait beaucoup fins l»M«-

yu Bimni.

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■ que ces. !%,*!*<'

,», i Montagnes était un. vaudeville de Scribe, que les

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0»yr«l™ r ™ une élégance belliqueuse, - leurs éperons
UP» "° S ., leurs moustaclies sacripantesques.
dévergoudéî"]''"Sellèrent. Ils accourarent en foule au théâtre,

te» P8r!' !,iln de tumulte et interrompirent la pièce par des
omnlirent la s»"°

î-VrltTâu rideau 11 au rideau II!
- M ïlriïrT mit les rieurs du côté des comédiens.
U" Titre comique s'avança au bord de la rampe :
j,acélèbre """.h n d,une voijt (erme en s adressant aux tapa-
" M8SsreneJ que (« m«bo« n'a jamais fait baisser la toile.

genrs, app j^

Une histoire de Cuiller.

•m„ de Pantin a remis à la rnode la brigade de sûreté...
l-e ?'foas un reporter qui ne se soit cru; obligé de consulter a
11 " „s les Mimmes de Carter, -l'ancien et habile chef de

Hfeofr* * û»'» uovaient, dans l'origine, être bien plus
£e, ««»w«».'c»m qt|9 ,,Mte„ avalt Juge prudent de) les

COlDP ' i

P#r 1" M Canler modiBa sa résolution : son livre parut en

P^L^revu cerïigé et considérablement... diminué.
'ttafard avait mis sous nos yeux le manuscrit primitif, -

'*rno.shrapp"eloils y avoir lu l'anecdote suivante :

*
, ,. V un des gros fonctiennaires de la coup de
i KfflipU éwiV'marié à une femme jeune et charmante que
la famille royale tenait en haute estime et en grande affec-

*?' m.rnuise de X... s'était acquis cette i auguste » sympathie,
La marqui-0 ggn f -t mal8 encore pat

"T/r. "n aïe il fnat.aquéePde probité conjugale.
'^C Sa que M. de X...,-ayant été mande pour deux
Jm°rs' à Compile, en revint un jour plus tôt qu'il n était

"Depuis douze heures, -douze heures de nuitl - la marquise

*T..ddôKqû« toerrogë» répondirent que, la veille an soir,
i.„r maîtresse était «ortiei seule et a pied.
Madame de X... avait AtamcMI 11

le mari co»™t chez tous ses amis, — partout où ses'relatiqns
iraient pu conduire ea femme.
Personne ne l'avait aperçue.
Inquiet, furieux, désespéré, il retourna alors a Çoœpiegne et

inZ<,récitada°marquis!'Louis-Philippe fronça le sourcil; ce patit.-
BU du Résent redoutait fort le scandale, et l'aventure de madame
H« \ menaçait d'en soulever un terrible à la cour et dans tout
Paris'ïiB préfet de police fut appelé : il fallait à tout prix retrou-
ver la marquise et savoir où elle avait passé la nuit.......

Pendant ce temps, une femme de chambre sortait de 1 hôtel
d0X et galopait à Vincennes, où elle était certaine de rencon-
trer s'a maîtresse — chez un officier supérieur d'artillerie.

Elle y était, en effet, depuis la veille.

Camment justifier cette absence aux yeux de son mari, de la
cour et du monde? <

La pauvre jeune femme se sentait perdue et parlait de se. tuer.

— Il n'y a qu'un homme qui puisse bous sauver, lui dit son
amant : c'est Canler. Comment? je l'ignore, mais il nous sau-
vera . Gourez chez lui et exposez-lui franchement la situation...

Madame de X... se fit conduire au cabinet du chef de police de
sûreté. Lorsqu'elle lui eut indiqué ce qu'elle attendait de lui :

— Madame, lui répondit Canler, rien ne m'est plus facile que
de vous tirer dp. ce mauvais pas. Pour en sortir, il vous suffira de
passer une heure ou'deux en "assez mauvaise compagnie. Y étes-
vous résolue?

— Oh! BieDsieur, je suis prête atout!

Canler écrivit quelques lignes a.ur un morceau de papier et le
' remit à la marquise.

— Veuillez faire tout ce qui est indiqué là, dit-il, et je reponds
de tout.

Puis il sonna.

Deux agents entrèrent.

— Emmenez cette femme au dépôt ! commanda le policier.

Dix minutes après, Canler était mandé chez le préfet. Il y trou-
va M. de X... Celui-ci lui transmit les ordres du roi.

— Monsieur le marquis, dit alors Canler, tous mes hommes
vont être mis en campagne et, avant ce soir, nous aurons des
nouvelles; seulement, comme base de nos opérations, le signale-
ment de madame de X... nous est indispensable. Voulez-vous
rue faire l'honneur de me donner ce signalement?

M. de X... commença un portrait détaillé de sa femme.
D'abord, Canler parut l'écouter avec la plus grande attention.
Mais, tout à coup, il se frappa le front, comme si la surprise
l'emportait.

— Ah I sacrebleu ! voilà qui est étrange I

— Quoi donc I demandèrent en même temps le marquis et le
préfet.

— Plusieurs plaintes déposées au parquet nous avaient signa-
lé une jeune femme, fort jolie, très-élégante et souverainement
distinguée, comme s'introduisant dans certains magasins pom y
commettre des escroqueries. J'avais, en conséquence, donné l'or-
dre que l'on recherchât cette femme. Hier soir, deux agents ont
cru la reconnaître dans le faubourg Saint-Germain. Us l'ont inter-
pellée. Elle s'est évanouie. Ils ont cru que c'était une feinte, ils
l'ont arrêtée, et, ma foi, elle a passé la nuit au dépôt... Or, le
signalement de madame la marquise de X... présente une grande
analogie avec celui de cette femme. — Si les agents avaient été
dupes d'une fatale ressemblance? Si madame de X,.. avait passé
la nuit au dépôt ?...

m

Quelques minutes après, M. le marquis et madame la marquise
de X.„ s'embrassaient en pleurant de joie au dépôt de la préfec-
ture, où la jeune femme était censée être restée depuis la veille,
victime d'une malheureuse méprise.

tout était sauvé —mêmel'honneur !

Lë cinquième VoltjME des OBuvtes complètes de Charles Baude-
laire a paru chez Michel Lévy. Il renferme ies Histoires extraordi-
naires d'Egard Poë, traduites avec cette puissante minutie qui
juxta-pose, pour ainsi dire l'expression française au mot améri-
cain, en conservant à celui-ci toute son originalité, tout son pitto-
resque et toute sa saveur.

On Ut dans les annonces du Moniteur du Puy-de-ëôme, — jour-
nal officiel, — en date du 9 courant :

ON DEMANDE
UN GARÇON PEKRUQUrER CONNAISSANT BIEN

LA PARTIE D'HOMMES

S'adresser à Mme veuve Cuvillier, place de Jaude, 45.

Veuilles nouvelles.

En même temps que la bise d'octobre arrache aux arbres leurs
dernière? feeiiles jaunies, deux nouvelles gazettes bourgeonnent
dans Paris sous les yeux du public, à la vitre des kiosques et à
l'étalage des libraires :

Voici, d'abord, le Parlement, de M. Grégory Ganesco, —hospo-
dar de Montmorency, Engtiien et autres trous d'ânes et trous
d'eaux...

Format majestueux, important et prudhommien. Nourriture
grasse et sabstantielle. Tartines épaisses à couper au couteau.
Beurre et jamlion. Sandwichs politiques et littéraires. Ah! ça,
le sel coûte donc joliment cher dans la banlieue!

Voilà ensuite Ja France militaire, — organe non officiel do la
G-arde nadpnale mobile et ds l'Armée.

La France militaire, qui compte dans ses cadres des écrivains
spécialistes d'autorité et de distinction, elïre aussi à ses lecteurs'
l'attrait d'une revue légère des choses du jour et du boulevard...

Promenons des ciseaux intelligents à travers ces

OflTcubach jettaitprc.

... Et mntes armorum fuêre\... — La gendarmerie de là garde
a vécu!,.. — Un régiment de voltigeurs a relevé au Louvre ces
Pandore d'élite, dont les Parisiens oublieront difficilement la su-
perbe tenue et l'excellente musique.

Il y a trois ou quatre ans, le chef de cette musique, le maestro
Gregsqnpois était aux cuirassiers de la garde. Olïenbach fut in-
vité au mess. Cressonnois, manifesta le désir de lui être présenté.

— Avez-vous une corne, sur vous? lui demanda un camarade.

— Une corne? Pourquoi faire 1

— Pour conjurer lé mauvais œil, parbleu 1 Ignorez-vous qu'Of-
fenbach est jeltatore?

— Allons donc I Est-ce que je crois à ces fables ?

— Ah voilà : vous êtes comme ces messieurs- Personne n'a
voulu m'écouter. Eh bien, vous verrez qu'il nous arrivera à tous
quelque chose' de désagréable.

On rit beaucoup de la prédiction...

Olïenbach se montra charmant..!

Le lendemain, le Moniteur annonçait que le régiment de cuiras-
siers se fonçlalli avec les deux régiments de carabiniers pour former
les carabiniers de la garde.

*

Cressonnois passa aux Guides. Un matin, un de ses musiciens
lui dit:

— Nous avons â dîner, ce soir, l'auteur d,e la Belle Hélèjie, de
Barbe-Bleue et de la Grande-Duchesse,

Le maestro se rembrunit. On l'interroge. Ilparje.

— Bah ! qu'avons-nous â craindre ? s'écrie-t-qn à la ronde. Nous
sommes les premiers instrumentistes dumpTlflel Qn ne nous fon-
dra pas avec les carabiniers !

On dîna...

affenbach fut exquis...
uinze jours plus tard, la suppression, des musiques de cavale-
vie était décidée, —et celle des Guides n'échappait pas, hélasl à
cette mesure I

*

Gresssnnois vint auxgendarrn.es...

Un mardi, en descendant dans la salle à manger du mess, il aper-
çoit le compositeur de la Vie Parisienne, du Mariage aux Lanternes
et de la Chanson de Fortunio...

— Ah! mon Diçut gémit notre pauvre chef de musique, ah!
mon Dieu ! je n'ai pas de corne ! nous voilà licenciés ! t !

Toute la soirée, Offenbaoh témoigna d'une gaité folle. Cresson-
nois resta sombre. Les convives se moquèrent de lui outre mesure.

Trois mois après, — jour pour jour, —le dernier gendarme sor-
tait du Louvre.

Aujourd'hui, Cressonnois porte à sa chaîne de montre deux
cernes de corail presque égales en grosseur à celles dont est orné
le front de l'un de ses prédécesseurs aux concerts des Ghamps-
Elisées, qui, comme chacun sait, ont commencé par s'appeler
Concert s-Musard.

Paul Mahalin.

Eléeuvcrturc des Délassements

Mademoiselle Mars avait trouvé le moyen d'ôter sa chemise —
dans les coulisses du Théâtre-Français — sans que personne y
vit rien de rien...

Une pièce à femmes, doit permettre à celles qui la jouent de
conserver ce vêlement indispensable... à la morale, — avec un
résultat diamétralement opposé.

Les Brigandes, de MM. de Jallai s et Lemonnier, satisfont en tous
poims à ce programme de décolletage ingénieux.

J'ajouterai même — sans douleur — que la pièce a 1 j sens com-
mun — ce qui, à la rigueur, ne serait pas indispensa)' ie ; — qu elle
abonde en couplets laits au moule, comme les bras, les jambes
et les... appendices de ces dames, et que j'y ai s' uvent salué d'un
éclat de rire des plaisanteries sans caleçon --e bain, mais d'un
esprit très-franc, très-vif et très-aphrodisiaque.

Une douzaine de belles filles bourdonne là dedans comme un
essaim de mouches... cantharides.

Un lever'de rideau de MM. Monréal et Blondeau -— la Saint-
Sylvestre — avait favorablement disposé les spectateurs.

Mais le grand succès de la soirée a été pour une opérette de
M. Samuel David, chantée délicieusement par mademoiselle Sichel.

Mademoiselle Eanny Sichel est Israélite...

Toute la tribu était à son poste : Israël et Lévy hors des
lentes 1

Grande, brune, le nez en bec d'épervier — avec une bouche
qui rappelle l'ouverture des Chambres, et des yeux qui parlent
volontiers pour un corsage qui ne parle pas.assez — mademoiselle
Sichel possède une voix fort agréable, qu'elle manie avec infini-
ment de talent. C'est une étoile qui se lève : — Zoé.. Bélia de
l'avenir !

A uii grincheux

Par deux ou trois mots que chacun approuve
Je vous ai donc bien agacé, vraiment,
Puisque, pour punir mon audace, on trouve
Le gibet clément !

MlleX... a reçu son congé du comte de Z..., pour cause d

prodigalité.
Elle s'en vient, — 1 autre jour, — trouver ce gentilhomme :
— J'ai, lui dit-elle,une peur horrible de la misère... J'ai résolu

de mourir... Je veux m'asphyxier... Prêtez-moi dix mille francs

pour acheter du charbon.

ÈMtLE BLONDET.

Les travaux cle HPardis

On a pratiqué sur le quai des Tuileries une large et profonde
tranchée dont, l'axe se relie à l'axe du portique désigné sous le
nom de guichet de l'Emperaur.

Cette tranchée occupe une moitié de la chaussé avoisinant le pa-
rapet du fleuve.

Il va être construit là un tunnel.

Ce tunnel aura une hauteur et une largeur suffisante pour qu'un
véhicule puisse y circuler.

L'orifice du tunnel sera établi sar la berge boisée de la Seine,
non praticable au service de halage, comprise entre le port. Saint-
Nicolas et le pont Royal. Cetto berge est, on le sait, entièrement
affectée au service des bains flottants.

Le tunnel se développera donc entre ce point et le guichet de
l'Empereur; il formera, da^ la voûte du guichet, un coude, se
dirigera à gauche sous la galerie et atteindra le sous-sol du pavil-
lon de. Flore, où il dôboucbera au niveau des cuisines.

C'est par cette veie souterraine que se fera le service des cui-
sines.

Le tunnel est déjà, construit sous la galerie et sous la, partie du
quai qui avsisine le guichet de l'Empereur.

La section actuellement en cours d'exéeution se soudera donc
à la section déjà faite.

Il sera pratiqué en outre une voie carrossable pour donner ac?
ces au souverain sur le talus de la berge.

Le parterre des bains subira donc une transformation consi-
dérable.

On vient d'achever les nouvelles constructions qui régularisent
la place de la Bastille, du côté de la rue Saint-Antoine.

Les angles des deux corps de bâtiments sont occupés par des
pavillons ronds supportant des lanternes en phares.

Dans la construction de droite, véritablement gigantesque, 9n
installe en ce moment d'immenses magasins portant l'enseigne
des Phares de la Bastille.

Ces magasins, qui occupent trois étages sur toute la largeur de
ce vaste bâtiment, contiendront tous les objets faisant partie de
l'habillement d'hommes et d'enfants, depuis le chapeau et la, cas-
quette jusqu'à !a chaussure.

C^est une grande maison de gros, la plus ancienne e'. la plus ré
putéede Paris, qui a eu l'idée éminemment pratique, d'utiliser cet;
immense immeuble, faisant retour sur deux rues importantes,
pour y installer cet établissement grandiose. Cette idée est toute
nouvelle,car jusqu'icion n'avait pointencore songea créer une mai-
son de ce genre pour ce quartier populeux, et en vue des besoins
spéciaux des classes laborieuses qui l'babitent en grande majorité".

Réunir et offrir à l'acheteur, dans un senl et vaste local, les
nombreux articles qui font partie de l'habillement, la coiffure, bas
habits, la chemiserie, la bonneterie, la chaussure et les vêtements
de travail, depuis la blouse et la cote jusqu'au cordage et au ta-
blier, c'est donner à chacun le moyen d'économiser un des objets
les plus précieux aujourd'hui : le temps.

Lis nouveaux magasins des Phares de la Bastille, qui vont qu^
vrir prochainement, formeront un des ornements de la place de
la Bastille, où ils sont appelés à attirer une vive et co»tiiiuelle
circulation.

Vient de paraître le MANIFESTE DE BOglilLIM
5 CENTIMES chez tous les libraires.

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pris par la Chemiserie modèle , explique les efforts faits par
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