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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0221

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L'ÉCLIPSÉ.

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ia« mlli9rs d'or PiS dei "'te,
■ reP"t Béatrix ki
»origioe. "Mm«'e»,Bfci

i 'ouplesgraes^ fe

ias- q™dilvo„saappmmt]i

tint les

cygnes, ce sont 1

le cherche, les cygnes ,„ Mnier,

printemps sans les avoir tramé,

idelles, aux loriots, aui rossigools,'

us ils ne purent lui donner amiai
rs d'or. *

inrs frères ailés des contrées loin-
Ht les quadrupèdes et lai poissons,
t les rochers, les sables de; déserts
l'y eut bientôt plis dans toute la
t inanimée qui ne fût ea peine des

ntr les oiseaux du monde entier on
jamais elle ne se promenait dans
er entre eux de son chagrin,
mrterelle. Quel intérêt son épons
origine ? S'il vient, comme tout
■restre, que ne l'emmène-t-il dans

jutait le bouvreuil, et craint-il de

;acs, qu'il a commis en son pays
eut tenir secrèteî
s'écriait la corneille, et aurait-il

baient goutte àgoutte sur le cœui
us traire en tournant en dehors 11
en avait pas le courage,
xaspérée par cette éternelle con-
n souhait, qn'nneidée, qu'un bal
ù venait son époux,
de tels ravages qu'elle en chut
sachant à quelle cause attribuer
ordonnèrent que, pour lacbaff
e Valenciennes.
ifants.

ns sa chambre avec B* *
revenait en mémoirei

i l'étang?

i dit i

9par un cygne?

eestarrW

se taire:

Béatrix

•époodit vive-

î*.*'""'

us n'ayez

v@ulu

Ne 1« iW

Tourne-toi et re-

- ™ effrayée se tourna et regarda par la fenêtre.
^Û, comme à pareil jour elle les avait vus sept ans

femme,

dit Bél»« '

Ît du coté où se levait le soleil, eue la vallée mondée,
T'ïnT fVftnes blancs, ayant un collier d'or au cou.
'*,, rortaîent un cygne plus grand qui tramait une nacelle
/cette vue Béatrix pâlit et se jeta en pleurant uans les bras

d'Sflir!il,»„reusiquejesuisls'écria-t-elle. Pour n'avoir pas su
" ZTottc curiosité, vais-je donc perdre tout mon bonheur I

*'!-°rt* n suoplta ne me 1uiUe pas' mon épaU% ad°ré '
° n faut' répondit Hélias, et pâle, mais le cœur ferme, il
« apporter'son bouclier rouge a l'écu d'argent, son épée d'or,
,1» ebasso et ison bracelet.
S"n donna l'épée d'or à son ûls aîné, le cor de chasse au cadet,
, bracelet à sa fille. Ensuite, il embrassa une dernière fois sa
tome.t ses enfants et, malgré leur désespoir, descendit vers
wcv^nos qui battaient des ailes.
A ri é près d'eux il monta dans la nacelle, et, toujours fixant
■,Z siens un long et triste regard, il s'éloigna lentement, len-
tement, et disparut à l'horizon avec sa flotte de cygnes.

C'est ainsi qu'il partit, et il ne revint pas. ;

Sa femme l'attendit un an, l'attendit dix ans, 1 attendit vagi

ns espérant toujours qu'il reviendrait, et il ne revint plus ja-
•' Et les blondes filles de la Flandre l'attendent encore, et
^n'attendent les filles de l'Allemagne et celles de l'Angle-
terre et celles du monde entier, mais en vain !

C'est le beau prince enchanté que rêvent les tètes de seize ans,
„t nui Coït toujours venir du pays du soleil. Une seule femme l'a
possédé et elle n'a pas su le garder, et c'est pourquoi il ne revien-
dra plus, Hélias, le chevalier au cygne I

Charles Deulin.

GAZETTE A LA MAIN

Mciiiis-PIais»»'»- —. ÎBayinoiiel Lindey.

,.. Nous sommes à Versailles, au commencement de juillet
1,89. Des gardes-françaises sodï groupés devant leur caserne.
En face, des Suisses boivent, attablés sous l'auvent d'un cabaret.

Les Suisses servent le roi; les gardes-françaises tiennent pour
la Nation. De là, querelle, jurons, bataille. On entend la Révolu-
tion qui gronde dans la coulisse.

La voici — bientôt — qui entre en scène ■

Voici Camille Desmoubn au Palais-Roya'.. Voici le peuple à la
Bastille. Voici les représailles d'août et de septembre...

Voici Fouquier-Tinville, qui monte lentement l'e3calier de
l'inexorable tribunal, et les charrettes qui attendent à la. porte de
la Conciergerie le inbnt de victimes que la grande régénération so-
ciale de 93 doit fatalement payer à l'échafaud...

Veici les volontaires, les enrôlés du Pont-Neuf, les fédérés de
Paris et des départements...

Le drapeau tricolore frémit au souffle généreux qui le pousse
Yers la frontière. Le cri ": Vive la République] est sur toutes les lè-
vres. La Marseillaise, que l'on s'entête à nous refouler dans le go-
sier, chante dans tous les cœurs : sur le théâtre, dans la salle, au
dehors, partout!...

*

Maintenant, je le déclarerai à M. Jules Claretie, avec une fran-
chise que commande son talent :

Les spectateurs, que son œuvre précipite et éperonne avec furie
i travers tous les événements politiques d'une époque dont la
réaction tenterait en vain de nous voiler l'éclat; ces spectateurs,
dis-je, ne s'intéresseront jamais que médiocrement aux tendresses
rétrospectives du conventionnel Raymond Lindey et de la mar-

Suise de l'Espars, et à l'idylle du jeune citoyen G-ilbert, leur fils, et
e la noble demoiselle Blanche, la nièce du marquis.

Le cadre efface le tableau. Le drame des faits qui se passent à
la cantonnade absorbe la comédie d'intrigue qui se joue sur le
premier plan, Les personnages disparaissent : on ne voit, plus que
des caractères.

Lorsque Raymond Lindey et le marquis de l'Espars se chamail-
lent héroïquement, sous les ailes de pigeon de celui-ci, sous le
panache de celui-là, je sens deux Principes opposés qui se cho-
quent camme des éclairs sous la nue...

. Et l'électricité qui s'en dégage me passionne, me remue, me
secoue...

Mais les petites tempêtes domestiques ou sentimentales du mari,
de l'amant, me laissent froid...

Somme toute, la nouvelle tentative de M. Jules Claretie pose
ce point d'interrogation :

Un sujet élevé, — étudié avec .une scrupuleuse attention,—
traité avec conscience, avec conviction, avec enthousiasme...

Un style clair, franc et chaleureux...

Un patriotisme intelligent; une pitié profonde et pleine d'indi-
gnation pour les opprimés, les faibles et les misérables; une phy-
sionomie sympathique, une jeunesse laborieuse et digne, des an-
técédents remarquables dans la critique, l'histoire et le roman...

Tout cela suffit-il peur bâtir une bonne pièce et obtenir du suc-
ces, au théâtre?....

Pour ma part, je n'en suis pas sûr.

11 me semble qu'il faut autre chose.

Quoi?

Est-ce que je sais, moi!,..

ai je le savais, je ssra!s plus savant que mon confrère Jules
Uaretie!... *

Et j'aurais MÏPatrte au lieu de faire la Famille des Gueuxl

lit j aurais fait le Chevalier de Maison-Rouge au lieu de faire
Raymond Lindeyl

L'ouvrage est monté avec un soin extrême. On n'a pas épargné
les comparses. Les décors sont curieux comme des gravures du
tonpa. On dirait que les costumes ont été dessinés par Carie

Madame Gaspari se montre très-spirituellement évaporée dans
un personnage qui ne tient guère à l'action que par un fil. Dans
celui du marquis, M. Gaspari ne me satisfait qu'à moitié : avec
cette fierté rogue, cette énergie têtue et cet aveuglement sublime,
l'ancien régime avait plus "d'insouciante philosophie, d'imperti-
nence et de légèreté. Aurèle joue un hobereau ridicule avec toute
sorte d'évolutions, de gambades et de petits cris effarouchés. Un
sapajou, quoi ! J'ai vu le moment où l'on allait lui jeter des prali-
nes et des noisettes !,.,

J'ai trouvé Antony et Larmet excellents : on ne saurait tenir
plus vaillamment deux bouts derôle.

Mademoiselle Oppenbeim, — dont nous n'avons encore pu
applaudir que la beauté— deviendra certainement l'Antonine ^s
Menus-Plaisirs.

Madame Delavaux est loin de nous être inconnue...

Metz a des mirabelles dont le souvenir nous est doux !

Paris a dégusté, dans les Vins de France, au Vaudeville, la jeu-
nesse et fa grâce de Pauline Delavaux, qui Rappelait alors made-
moiselle Hanne.Lrresse. Elle jouait l'Eau. La pièce tomba, etl'Eau
s'en fut couler ailleurs, — en province, — l'eau qui chante, comme
dans le conte de fée...

L'Eau chanta— et enchanta...

Aujourd'hui, Pauline Dalavaux nous est revenue,— décidée à
affronter le drame.

Elle a des qualités : de l'expérience, de l'ardeur, beaucoup d'é-
légance, de finesse et de distinction.,.

Mais le moyen de nous faire pleurer avec ce nez à la Roxelane
etceit» bouche au coin de laquelle on croit sans cesse entendre
gazouiller un fredon I

On m'a raconté ceci :

Un jour, â Rouen, on sifflait un pauvre diable de conrque, —
et c'était pitié de voir cet homme qui essayait de tenir tète à l'o-
rage ! Derrière son rire on devinait de grosses larmes !

La petite fille de cet acteur était dans la coulisse, et parais-
sait assez joyeuse.

— Comment, tu n'as donc pas de cœur? lui dit un camarade,
on siffle co,i,me ça ton père, et tu ne pleures pas I
_— Justement, répond l'enfant, il doit être content,— on le
siffle aujourd'hui; maïs au Havre on nous a cloches.

H paraît que, dans certains ports de mer, quand les matelots
ont pris un acteur en antipathie, ils apportent le soir au théâtre
la cloche de leur bâtiment, la cachent sous la banquette, et dès
qu'ils ne sont pas contents, ils se mettent à l'agiter, comme s'ils
étaient à bord. —Ils appellent cela clocher les artistes.

Ah! monsieur Pougaud, si seulement les Parisiens pouvaient
décrocher le bourdon de Notre-Dame pour leurs besoins particu-
liers !.,.

On parlait du nouvel Opéra devant la mère de Mlle P...

— Croyez-vous, demande quelqu'un, que la salle soit bien
sonore?

■— Oh! répond la maman, l'architecte nous a assuré qu'elle réu-
nit toutes les conditions T encaustique.

— Laissez-mo) donc tranquille! disait une de nos plus jolies
actrices à notre confrère D... Il a neigé sur vos cheveux; vous
êtes un vieillard. Je n'aime pas les blancs.

— Oh! mademoiselle, les blancs font mat en quatre coups.

Fei'iiancl Desnoyei'».

Le dernier des noctambules célèbres!

Sa barbe de flammèches jetait des lueurs -d'incendie dans les
nuits tapageuses du boulevard !,..

Ii était poète lyrique — et vivait de son état!...

Il en est mort!.,.

La chute de sa boutaae contre la statue de Casimir Delavigne
l'avait rendu célèbre, — un instant !...

Brave garçon, et garçon d'esprit, — un peu braillard, après
boire, — mais point si terrible, au demeurant, qu'il essayait d'en
avoir l'air...

11 y a une douzaine d'années, pour un réveillon de bohème au-
quel chaque invité devait fournir son plat, il avait été convenu
que Fernand apporterait une pièce froide.

Au jour dit, le poète se trouva sans le sou.

Il n'en vint pas moins au rendez-vous.

— Je suis en veine de générosité, dit-il à l'assemblée; vous ne
m'aviez demandé qu'une pièce froide, je vous en apporte plusieurs.

Et iljeia sur la table déjà chargée de plats et de bouteilles... un
Volume de théâtre complet d'Emile Augier.

Ambigu. — Le Dompteur.

Darthenay rencontra un matin Xavier de Montépin. Celui-ci
avait fait représenter, la veille, à l'Ambigu, un fort mélodrame,
intitulé, je crois, La nuit du 20 septembre.

— Eh bien, interrogea Montépin, êtes-vous content de ma
pièce ?

Darthenay baissa la tête sous le poids du remords...

— Pardonnez-moi. Je ne l'ai pas vue. Un dîner d'hommes de
lettrés 1...

— Ah! mon Dieul fit le dramaturge. Comme c'est désagréable!
Moi qui comptais justement sur votre feuilleton pour poser mon
succès !...

— Écoutez, reprit le bon journaliste, il y a un moyen d'ar-
ranger l'affaire : vous connaissez la pièce, n'est-ce pas, puisque
vous en êtes l'auteur! Faites m'en vous-même le compte-rendu.
Je l'insérerai sans en retrancher une ligne.

Montépin leva les bras au ciel d'un air désespéré :

— Faire le compte-rendu de ma pièce I... Ah! mais non!...
Impossible !.. J'ai bien pu la faire, oui : mais la raconter ,— ja-
mais II!

Comment voulez-vous, — après cela — que je vous narre le
Bonwteur t

Je"défie MM. Dennery et Charles Edmond d'y réussir!...

Il y a dans le Dompteur toute la rocambole du boulevard : l'en-
fant volé, — le testament supprimé,— des coquins, des honnêtes
gens, une quantité raisonnable de reconnaissances et un nombre
suffisant d'assassinats!...

Il y a aussi des scènes très-originales et tres-empoignantes...

11 y a deux su trois décorations brossées avec infiniment de
chic et des c@stu.mes fort propres, fort décents et d'une nuance
fort agréable....

IlyaM"i° Laurent, dont vous connaissez certainement les
ouragans de cris, de gestes et de sanglots, toutes les fois qu'on
lui a effarouché un mouclieron...

Il y a Dumaine, enfin...

—. Rien rugi, lion\

Ko» almsnachs

Demandez!

Voilà ce qui vient de paraître :

I/almanach de l'Éclipsé!

L'almanach du quartier latin !

Le premier est rempli de choses INÉDITES que j'ose qualî-
ner tout simplement de charmantes — coups de plume et coups
de crayon, — de notre rédaction en belle humeur...
i u*n*le fécond, Eugène Vermersch ressuscite— avec ta foi iné-
branlable des martyrs, — ce joyeux pays d'outre-Seine dont les
gattes se repercutent dans tout le reste de Paris...
Prix : vingt centimes.

Du reste, fa giboulée d'opuscules amusants n'est pas finie!.:

a bientôt, jl.Almana.ch de la Chanson.

A Talentino

La v0gUe y est retournée. Arban l'attire. Samedi, plus de vingt
équipages de la high cocotenj faisaient queue à la porte.

Allèche par cette affluence, le prince de B... prend son billet et
entre.

Le prince de B .,, allié à deux ou trois maisons souveraines,

es.lun des plus charmants cavaliers du faubourg Satnt-Ger-

t H est surtout très-fier de la distinction et de l'élégance dont on
s accorde — en haut lieu — à lui faire compliment.
11 tait un ou deux tours dans le bal.,.
Une femme lui plaît...
Il l'accoste...
Il offre un sorbet...
On l'accepte...
Puis, on cause...

— Quelle est votre profession ? demande la dame.

— Moi, répond ler. prince assez embarrassé, mon Dieu, le ne
tais rien... pour le moment...

— Ah ! oui, je comprends : à cause de la grève.

Emile Blondet."

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