Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

DOI Page / Citation link:
https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0045

DWork-Logo
Overview
Facsimile
0.5
1 cm
facsimile
Scroll
OCR fulltext
"s instn]ire ■ ■

■ * * ■
n est n« „ ^

lire 8ans doute, ,„ ■

***
''""le Torgot i„

;erenb^emeb™;^.^

:a™rad8707 °arr8ll«ta!

10ir. ïantson«»Sfc,

.'rav««etrêp011d.

"'I(">-»CfiiSto,iqM,)

»

' nevalait rien. nn

une Toij de basse
celai-Non, p„eiemI
ie voix de basset.

Hinoun im

AMI TURLUTTE

observateur, un fureteur, on fe.
î solutions, est armé*!Bf,s

écrié en se frappant 1» front
ïiet

mot d'une énigme, L'eipliafe:

pbini.

it? '

me est toujours une victoire, fô

ndit.

s, de l'œil, du jugement, de \i£
ictîon amateur.



l surprise,

M

jrieur de te le dire,
quedèteprierdemeratoilîi?
liais pas attendre ta tau*,!
ion, j'aurais bavé ton ù*®
,e....

rate en omnibus. J'allais déiste

possibles.

3i était, assis un g

les, front triste.

res.—Au bout c

le kit

le roulement rnonotoni
:r,,a fatigue aussi, --£
3emetàrespirer -*

nducteur, de sa
imri Maksherki.

1 se peint reï««œrai;i!^

L'fiCLIPSB.

— Brthl Que veux-tu dire?

— Aueruls donc! — Le gros monsieur, ayant lâché ce mot
comme par mégarde, reprend tout à fait ses sens, son inte ''gence ,; aVfc,c re„ret
se débrouille, le votle du sommeil se déchire, il se reconnaître j _ — Ah! si'j'élaïs certain qu'il y eût une ordonnance de non-

— Nous sommes, pourtant, dans ie cas de légitime défense...

— Je n'en disconviens point... Cependant... Permettez...
-Mon voisin a remis son arme dans sa poche en murmurant

' trompe, et finalement se met à rire | Heu!..

retrouve, comprend qn'il
cordialement.

— Ouais?

— Il y avait môme une nuance de soulagement dans ce rire
subit,

— Ensuite?

— Le gros monsieur descend de voiture. Je le suis. Tu le de-
vines, j'étais alléché. Un voyageur qui s'endort, qui se réveille en
criant déjà, et puis qui se met à rire, cela étonne un homme
comme moi. Je flairais un mystère. Un problème se dressait inso-
lemment devant moi. Il me fallait la suite du prochain numéro.

— Sérieusement?.. «Bh

— Parbleu I — Et je me'mis à réft'chir, à ratiociner, à sup-
puter. — Evidemment, me dis-je, c'est Je nom du boulevard, crié
par le conducteur, qui a frappé l'oreille de cet homme dans son
sommeil. II a dit déjà avec ennui, presque avec dégoût, en tout
cas avec déplaisir.. Donc la chose que lui rappelait le nom du
boulevard n« lui était pas agréable, et venait trop tôt.

— Continue. En effet, puisqu'il s'écriait : déjà, c'est que cela
venait trop tôt.

— En reprenant complètement ses sens, il a compris qu'il était
victime d'une illusion auriculaire, et comme cette illusion n'a pas
été suivie d'une réalité désagréable, il en a été fort heureux,
commed' n sursis, il s'es t mis à rire de son effroi, de son erreur,
et du quiproquo.

— Mais que redoutait-il donc?

— Là était le hic. C'est pourquoi je suivis le gros monsieur.
Cinquante fois pour cent, surtout, quand il s'agit d'un mystère
banal, la solution m'échappe, mais, en cette occasion, le. sort me
favorisa singulièrement. Le gros monsieur entra dans la première
pharmacie venue, se fit servir un liquide jaunâtre dans une petite
bouteille, paya, sortit, et repri.t son chemin;

— Te voila bien avancé.

— Immédiatement après le départ d"u gros monsieur, je me pré-
cipitais dans la boutique do. pharmacien, et d'une voix étranglée .
pai une anxiété fausse, je demandai à es négociant...

•— Quoil

— S'il ne venait pas de servir une substance nuisible quelcon-
que à l'acheteur qui venait de sortir. C'est un monomane, lui
dis-je. Il veut se détruire. Je suis chargé de le surveiller...—
« Rassurez-vous, monsieur, me répondit le pharmacien, je viens
« de lui délivrer tout bonnement quarante-cinq grammes d'huile
de ricin! »

— Bingl

— Tu devines I mon gros monsieur — c'est stupida — devait se
purger le lendemain matin, nettoyer ses entrailles, ramoner sas
viscères, curer son sac, laver ses tripes, asperger son inté-
rieur...

— Eh bien?

— Gomment t tu ne comprends pas? Quand je le rencontrai
dans l'omnibus, il venait de chez son dociear. Nature douce et
maladive, la perspective d'une purgation l'effrayait. C'était toute
une affaire pour lui. Entendant tout à coup, dans son premier
sommeil, crier à ses oreilles : Boulevard Malesherbesl — (que les
conducteurs prononcent ; boulvard Malsherbes) — il avait compris:
bouillon aux herbes.

— J'y suis. — Il a-cru que le matin fatal. était arrivé, et que
sa domestique lui apportait le triste breuvage.

— Oui. De là, son déjàl—Mais, grâce au ciel, ce n'était qu'un
rêve, et il a ri de boa cosur de sa bêtise et de sa peur.

— Turlutte, tues très-fort. Cette histoire vaut un déjeuner. Je
t'offre de partager le mien.

— Ainsi soit-il 1

Ernest.d'Heuvilly.

i ton d'un

dormeur a

GAZETTE AL*-JftAIH

Nul ne s'entend mieux qu'Albert "Wolf à mystifier les popula-
tions. .

Ne vient-il pas de leur, persuader qu'un nouvel Hugo était né et
qu'un autre Dumas poussait là-bas, — tout là-bas, — au fond des
solitudes de l'Ambigu!...

Ce qu'il y a de féroce dans cette plaisanterie, c'est que le spi-
rituel chroniqueur du Figaro l'a faite avec un sang-froid, une
bonhomie, une conviction dont, tout le monde a été dupe, ~ lui-
môme peut-être, le premier 1.,,

Chacun s'en est allé à la Charmeuse les mains pleines de bra-
vos...

Ah! non d'un petit bout d'homme... du Havre!...

Il fallait voir tenez; des gêna, à la sortie! ..

Celui de mademoiselle Dica-Petit n'était guère, en comparai-',
son, qu'un pif modéré, mesquin et minuscule! *„

J'ai interrogé l'un de ces pauvres diables qui s'en revenait en
pleurnichant ;

— Qu'est-ce que vous regrettez? Votre argent?.,.

— Oh! oui, d'abord.!... Et puis.\.

— Votre soirée, sans doute? - -

— Parbleu!... Mais ce n'est pas tout...

— Qu'est-ce que vous regrettez, alors? I

— de regrette de n'avoir pas apporté ma grande clef des Deux
Sœurs et d'Henriette Maréchal.

Un autre spectateur; «*. un étranger. Je crois, — .s'est penché
Ters moi, à l'orchestre, et, tirant un pistolet de son paletot :
-*■ Pardon, monsieur I Une question?

— Faites, monsieur,.

Mon interlocuteur m'a désigné.MM. Orner et Régnier :

— Pensez-vous que quelqu'un qui flanquerait un coup de re-
volver à. ces deux comédiens serait poursuivi?

— Dame!... Je ne sai3 pas... Vous comprenez...

On s'amuso beaucoup, dans le monde diplomatique, del'hist re
suivante qui vient d'arriver à... Gérolstein •

Un grand panier d'argenterie, estimé une soixantaine de mille
Jrauca, disparaît tout à coup à la suite d'un dîner donné a ses
collègues par un ministre récemment nommé

D abord Je maître d'Hôtel n'ose révéler ie fait à l'Excel-
lence, et a épuise en recherches. Mais désespérant de r:en dé-
couvrir, il va confier son desespoir à la pohee, pour en être aidé.
La police promet son actif concours, et va entrer en campagne...

buulemerir, elle juge à propos, avant tout, d'informer ou lait le
ministre dépouillé à son insu. Ce qu'apprenant, 1« pauvre niaîire
a hôtel demande d'être mis en prison, en attendant que la lu-
mière se fasse.

Il avait grand tort dans sa frayeur et son scrupule.

Le ministre avait pris la révélation avec une philosophie tout à
fait imprévue, à ce point que l'employé de police admira tant
d'insouciance et de dé.uonnaireté.

Sur l'Ordre formel de son maître, le domestique responsable
dut rentrer à l'hôtel, et prière fut Ul-e, par l'Excellence, de re-
noncer absolument à toute recherche du voleur...

C'était par trop I •

Le fait est que l'homme d'Etat tenait excessivement à ce qu'on
ne trouvât rjen!

Mais la police crut de -son devoir de seivir Son Exceller, ce mal-
gré elle .-

Elle dénicha le filou, — un palefrenier, qui était allé offrir son
larcin à un juif, et qu'on y avait hnppé, parce que...

Parce que ce qu'il cherchait à déposer cumme de l'argent n'é-
tait que du fer ruolzé ..

A propos des dîners de la saison. Citons un trait d'une nou-
velle parvenue :

La semaine dernière, le peintre D... et son fils firent-une vi-
site â des personnages fraîchement élevés à une position su-
périeure. Au moment où ils entraient, on était encore â table.

La maîtresse de la maison offrit du dessert aux deux visiteurs.
M. D.. refusa, tout en remerciant. La dame alors s'adressa au j
fils de l'artiste, qui manifesta une certaine hésitation.

— Ah ça, reprit vivement madame C..., est-ce que vou3 allez !
faire la beie, comme a fait monsieur votre père?

A lire

Un livre très-attachant, publié au commencement de 1869,
et dont la deuxième édition ne se fera sans doute pas atten-
dre : L'Ame, son existence, ses manifestations, par Dimys (1).

^L'auteur s'attache à démontrer l'existence de Dieu et de
l'âme, en s'appuyant sur les lois dé la physique et de la chimie-
et sur les découvertes qui constituent les autres sciences exactes,
telles que l'astronomie et la géologie par exemple.

Mais1 il ne se- borne pas à des examens scientifiques, et
par cela uu peu abstraits ; il traite également les questions so-
ciales, les considérant comme de son sujet, puisqu'elles ne sont,
après tout, que des manifestations de l'âme humaine. Il pro-
clame que c'est par l'exercice de l'équité et du droit commun
que l'humanité trouvera le bonheur et la pleine expansion de
son intelligence. Il démasque et flétrit le parasitisme des puis-
sants, cette dangereuse exploitation de 1 homme par l'homme,
et cette partie n'est pas celle qui -nous a le moins intéressé
dans cet ouvrage que nous recommandons a nos lecteurs.

LE TIR ET LA. CHASSE, SOUS NAPOLEON «I (2), Var À. de Lowmel.—

un peiit volume dont je ne puis-mie^x taire l'éloge qU'en consta-
tant qu'il-ne m'a pas ennuyé un seul instant, moi qui n'ai jamais
chassé que la pièce de cent'sous et tiré le diable par la queue ; '

En Autriche (3), par Louis Depret. — L'auteur a regardé Jea
pays' parcourus à travers le-lorgnon humoristique de Sterne. Il
les raconte avec le crayon de Calame.

— sy<* voyez-vous pas, répondit-il, que le succès de la Princess
de Trébizonde m'a grisé 7

Le jour de l'enterrement de Victor Noir, j'ai entendu deux ou-
i vriers. causer près du comptoir d'un marchand de vin.
" —Dis donc. Tu sais bien, la-Joséphine ?

— Oui. Apiès ? - f

—Eh bienl il y a Thomas et Jean Pierre qui sont entrés hier
dans son caboulot. Ils l'ont rouée de coups et ils ont tout cassé
dans le bazar.

L'autre, avec une indignation bien sentie :

■Ohl

i gueuse 1

m : a1 s ,';cii taon de'Troppmnnis.

La foule se pressait aux abords de la Roquette...
Au plus fort de la mé'éa, se déintmait une femme, — duremen
enceinte, — qui voulait profiter du spectacle effrayant...-

— Vous faites-là une .station bien fatigante pour votre position,
j lui dit quelqu'un placé derrière elle»

— Que vouiez-vous, réphgua-t-elle, il faut bien s'amuser un
peu; le pis est que depuis ce hier soir j'ai la ventre creux 1

Emile Blondet.

lie et
année.

1'
année

EN VENTE AU BUREAU DE L'ECLIPSE
2° année de VEclipse (édition ordinaire), chaque
.................. 8 fr.

et 2e année de YFclipse (édition de luxe), chaque
'...... 16

Richement reliée.............20

Envoi aux frais du destinataire.

En vente au bureau de l'ECLIPSE :

La collection, compte de la PARODIE de Gill, composée de
21 numéros de 16 pages. — Prix : 5 francs.
N.B. "■- '

■ Ce journal a cessé de paraître. '

LE CRIME DE PANTIN
Renseignements des journaux. —Documents officiels. —Infor-
mation de l'affaire. —Instruction. — Acte d'accusation. — Dé-
bats. — Plaidoiries. — Verdict. — Troppmann à la Roquette. —
Exécution.

Volume illustré de gravures sur bois, représentant les
les.plus émouvants de cette cause célèbre.— Franco : 1 franc.

NOTICE

sur les obligations foncières de 100 fr.t émises par la Société la
Propriété, et sur les travaux de ladite Société.

La Société la Propriété a pour but de concourir à l'établisse-
ment des petits loyers dans Paris. Elle bâtit sur ses propres ter-
rains qu'elle choisit le plus rapproché possible du centre. Le prix
des terrains ne doit pas dépasser cent francs par mètre carré, et
les constructions sont élevées sans luxe aucun mais avec soli-
dité, et de manière à "présenter à chaque étage des logements in-
dépendants, sains et bien aérés.

Il y a assez de palais élevés dans Paris, il faut songer à la classe
si nombreuse et si intéressante des employés, artisans ou ren-
tiers, qui ne peuvent mettre à leurs logements un prix élevé, et
ne veulent pas cependant tomber dans les taudis des vieux quar-
tiers.

Pour établir ainsi des loyers à bon marché, il est nécessaire de
faire concorder, le prix des terrains avec la dépense des <
tions ; c'est de cette rombinaison pim •nriîi'nn* ™>-... i~ .

Propriété' des immeubles sagemei ,_______

service à beaucoup de

Le maître p.n

m

Messieurs de l'Aventure (4j, par Paul Eéval.
fait d'érnotiona fortes, qui vient ne commencer da
la publication de la Tache rouge, nous donne aujourd'hui sous ce
litre l'épilogue du Quai de la Ferraille,—un drame empoignant et
mouvementé qu'encadie une curieuse étude des piemières années
du règne de Louis XIV et de ses mystérieuses galanteries.

M

Mademoiselle Giraud, ma femme (5), par Adolphe BehL— C'est
l'histoire d'un mariage d'hier. Chacun lit les noms sous la œ^s
que. Saubo avait chamé ces mœurs étranges ; Brantôme le» a^ait
commentées ; la Rducourt les avait, érigées en instif-utian.
M. Adolphe Brlot signale les progrès de cette garde nationale» ^u
vice. Mais pourquoi s'arrêter en si beau 'chemin. Il a fait Made-
moiselle Giraud, ma femme. A quand Monsieur Giraud, ma tante ?

~

Le concert de bienfaisance donné dans le but de fonder une So-
ciété de secours Hispano-Américainfe à Paris, sous la direction d u
maestro Don Avelino Valenti, aura lieu à la salle Pleyel, 22, rue
Rochechouart,le mardi, 1B ducourant,avec le'généreux concours
de.Mlle Hisson, M. Devoyod, de l'Opéra, Mlle Ponsin, M. Pru-
dhon de la Comédie-Française et autres sommités artistiques.

Chacun sait que Jules Horiac hlanchit sous le poids des recettes f
des Bouffes-Parisiens, et que les fils d'argent de sa chevelure
sont presque aus^i nombreux que les saillies charmantes dont il
émailte sa conversation.

On lui demandait la raison de cette vénérabilitô anticipée.

(J) Chez Didier.
f2) Chez Lacroix.

(3) Chez Hachette.

(4) Chez ûentu.

(8) mm, — Seizième édition J

cens truc-

que sortiront pour la société la

_________. sagement entendus et rapportant un

très-bel intérêt, tout eu rendant un grand-f""'^" A --------

mnnde.

Pour éviter tout écart, toutmalentenduettoute erreur, un conseil
composé d'hommes spéciaux et les plus honorables, a été établi
par les fondateurs de la Propriété pour veiller à la stricte exécu-
tion du programme.

La Société la Propriété poursuit encore un autre but, celui d'é-
tablir, dans la banlieue de Paris, également sur ses propres ter-
lains, de petites habitations, villas ou maisons de campagne, va-
riant-de cinq mille à vingt mille francs, qu'elle louera, ou vendra,
avec termes et délais.

La Société la Propriété, il faut bien le comprendre, car déjà
plusieurs demandes qui lui' ont été adressées ont montré qu'on
n'avait pas toujours bien saisi son caractère, n'est pas une So-

s Paris-Journal \ cit^é d'entrepreneurs bâtissant pour les particule

pas une So-
ers ; elle cons-

truit pour elle sur ses propres terrains, et tire ensuite parti de
ses immeubles en les louant ou en les vendant, si elle y trouve
son avantage. Ce so;it des opérations de propriétaires et non pas
d'entrepreneurs, voilà pourquoi elle émet des obligations repo-
sant sur iesiiits immeubles.

Chaque année un compte-rendu des opérations sera publié et
indiquera ainsi aux obligataires les résultats obtenus.

Cette notice se distribue gratis au siège soeï*î, à Parie, 5, cité
d'An tin.

A Paris on- est sceptique, mais on est juste, et une fois la con-
viction établie, on y est fidèle comme le sont les gens convain-
cus; c'est.ce qui a fait le succès de la CHEMISERIE MODÈLE,
gui, malgré l'élégance et. la perfection dues au système de me-
sures et de coupe d'après les conformations pour lequel, elle est
seule brevetée de plusieurs cours, a su eu maintenir le prix dans
des conditions de bon marché relatif.

Par la création de la chemise-tunique, qui se met aussi facilement
qu'un gilet, la CHEMISERIE MODELE vient de réaliser une
heureuse innovation.

Distribution de la brochure gratuite, 45, rue Le Pelletier.

.-.:&-£;

RH

BROCHURE EXPLICATIVE

_ aOHCERNAMT LUS

|PBBTS SUR TITRES

Cotés ou non cotés, à â 1(2 OtO net; les
OPÉRATIONS FINANCIERES DIVERSES

Achat at venie au comptant on à terme de toutes les valeurs cotées
i â la Bonrsr*. Escompte de coupons non échus, payements pour sous^
| criptiens. Echange et retrait des titres.

Les Avances pour souscriptions on achats de titres, dans la pro-
| portion de 30 )[Q. . ,

S'adresser, par lettre affranchie, à la

! BANQUE CÉa!É«AlE des Valeur» ra&ofoilgères

gg^rne Tarbigo, 62.
Image description
There is no information available here for this page.

Temporarily hide column
 
Annotationen