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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0049

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le dw"'er bal /^^ ^

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™d^unpayat6lquel(S

mt<tu 'eux te détrnitbt

m'établir en Suisse.

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de garçons de salle? demanda,,,
de café. Ll

=ndit celui-ci, ils |e sml|()U!;.k,

, dont la vogue est finie,
lt, instruit, intelligent;
icile, on le prend comme agetl, '
m mot, le singe de génie.

'ier, qui parle ccmrne un ma,
a est une perle;
es gens qui ne sont pointtjris
de Set/ris.

:e Haussmann, parti sans un sep
toutonqui suit saint Jean-BapK;,
ra le cbou républicain
bonapartiste,

ens, savez-vous ce qu'ils font
secrets : — Sans reprochaetsaraL
sonnet d'Oronte,
Pays... les articles ds/onrf.

HlPfOHIE Bll*

ÉTIT, MESSIEURS

sérieuses dd pays'se diseur^
semblées; aujourd'hui toqujf
les problèmes politiques les pi-
udre dans les salles a wW-
ma s'enfermaient dani.Wf
qdeoS mains leurs ««g
pour et le contre; auH;

/courte et Miner en*jiBi|!
le fromage quel on 1»

destinées! „„„,,n|(i'e'

^journaurnousano^J^

menu do ce même <>«
le, discussions auïgaclles

L'BGLLFSiS.

*

Espérons qu'un de cesjours nous aurons le plaisir de lire dans
un journal bien informé : _ ;

> Hier, grand diner chez M. G. Après une vive discussion poli- - Ce jeu a duré plusieurs jours...
tique q'ui n'a pas duiv moinsde troisouquatre heures, la plupart Jeu déplorable!...
' t?:':.,.,?_.........,. „„ „„„. „„L.e rfw.n,il. [.'entente il y a eu des blesses et des morts. D'aucuns de nos confrères

> des honorables assistais se sont trouvés d'accorJ. L'entente
» la plus cordiale n'a pas cessé jusqu'à la fin du repas, moment
» où tas convives ont, du reste, tous roulé sous U table avec
p l'ensemble le plus touchant. »

Geouges Petit.

ON DEMANDE DES NOMS RONFLANTS

Il se passe en ce moment un fait avec lequel on pourrait pres-
que (airo un vaudeville qui ne manquerait pas d'un deitain
piquant, sous le. titre :

LE CAttOSSIER MALGRÉ LUI

Voici la chose en deux mots :

M. le comte de Houdetot, en parcourant un matin les journaux,
apprend qu'une société générale de carosseris vient de se fonder
pour rouler les actionnaires [t)i voudront bien l'honorer de leur

confiance.

Mais quelle n'est pas sa surprise, en voyant figurer son nom
parmi ceux du conseil do surveillance de ladite société.
*

M. le comte d'IIoudetot réclame; la Compagnie lui répond :

— Ehl mon Dieu!... monsieur le corntel... il n'est pas besoin
de faire tant de bruit!... C'est boni... votre démission est ac-
ceptée.

— Comment... comment!... ma démissionl .. reprend M. te
comte!... Ahçà!... Est-ce que vous êtes fous? Je nu puis pas
avoir donné ma, démission d'un emploi que je n'ai jamais eu...
et je vais vous flanquer un bel et bon proçè3 dans le gras.

* *
La chose en est là, et nous attendons avec anxiété le juge-
ment; car si réellement il est établi aux débals que l'on est ex-
posé,'pendant son sommeil, à être colloque dans la liste d'un
conseil'd'administration d'une entreprise plus ou moins... vous
m'entendez bien, ce sera toujours bon à savoir.


Nous n'avsns point à nous occuper içrdu plus ou moins de
consistance que peut offrir la sosiété de carosserie en question ;
et nous sommes même tout disposés à croire que c'est M. le
comte de Houdetot qui a tort.

11 aura oublié qu'il avait accepté; les fondions de membre du
conseil de surveillance; il y a des gens si distraits.

En attendant que les tribunaux fassent éclater l'innocence
immaculée des fondateurs de la société générale de carosserie, il
est bon de profiter de cette accasion pour mettre en

sont en prison ou en fuite...

Il faudrait bien, pourtant, que les impatients comprissent que
les révolutions ne' s'improvisent plus, que l'on ne restaure point
la itépubiiqje en se retranchant derrière les sachets ambulants
de la parfumerie Richer pour crier : Vive Rochefort] et qu'il est
plus difficile de renverser un gouvernement que l'omnibus de
Bdlleviile.ou de Chaillot!..'.

Henri de Latouche vanfait à Béranger l'efficacité des moyens
énergiques.
Le poëte secoua le front.

— Groyez-moi, dit-il, l'école de Danton a fait son temps. Logez
du plomb dans la tète du peuple, soit; mais que ce soit avec des
livres!...

Et comme de Latouche s'emportait :

— Vous avez beau taire, ajouta Etranger en souriant douce-
ment. On ne fait pan mûrir le raisin en le mettant sur le gril.

On vient de me conter sous le sceau du sf-cret — et je m'em-
presse dy briser çeseeau—une petite aventure concernant un très-
nuble étranger, le prince~P , un des plus grands noms de l'Italie.

LeprinceP... possède, dit-on, une fortune inmlcultable. Mais
en compensation, il a des habitudes d'une sage et austère éco-
nomie.

Tout récemment — se trouvant indisposé — il crut devoir re-
courir à la science du docteur Ricord. Seulement la célébrité de
notre grand médecin l'effrayait tout en l'attirant, ll craignait
qu'elle n'entrât en ligne de compte dans son mémoire. Il prisait
assez haut le mérite de M. Ricord pour être certain de se ruiner
de fou'l en comble s'il le récompensait — selon sa valeur. — Gjeq-
ment faire ?

Le prince P... imagina d'endosser la livrée d'un de ses doues-
tiques pour aller à laconsultaiion du docteur.

Mais ne vous imaginez pas, au moins, qu'il voulût frustrer ce
médecin!

Ce serait de la calomnie !

Et je ne veux point me f-iire arriver avec ce compatriote du
Dante ce qui vient d'incomber'au Figaro avec Sa Joaillerie le duc
de Bi'unswickl...

Non : la consultation finie, le malade fat le premier à parler
rie sa dette. Il sortit un supeibe porte-monnaie des poches de soo
humble livrée.

— Non, non, mon ami, fit M. Rieord en repoussant l'argent.
Je ne veux pas entamer vos gaees.

Le prince insista noblement.

— Mais, répliqua-t-il, avec un mouvement d'orgueil du dernier
sublime, je suis un domesti me plus neb* que vous ne pensez, —
car j'ai l'honneur de servir M. le prince P...

__ khi dit M. Ricord, il vous donne donc de bons appointe-
ments, votre prince? »

— Le prince est très-généreux, reprit l'homme en livrée, fière-
ment. Oa me donne de qusi reconnaîtra largement un service
rendu.

Le docteur s'obstinait à refuser son salaire. Le prince galonné
s'entêta dan? sa reconnaissance. Il voulut à toute force couvrir
M. Ricord de ses bienfaits, et ne partit qu'après avoir déposé sur
la cheminée du cabinet une pièce de cinq francs I

Parlez-moi du concert Tivoli, dirigé par un homonyme du célè-
bre Barbarinde Tarascon !

(Jn m y a donné la luge de Monselet, en contre-bas de !a scène
fous tes jarretières des actrices-...

Tranquillisez-vous, mesdemoiselles! Je suis myope I Vous aviez
beau être troi ou quatre au-dessus, t'était, je vous le jure, comme
s'il n'y avait pas un chat!

On jouait unri féerie très-amusante, — la Drogue enchantée —
sutfisamment insensée et en tous points shakespearienne par la
fantaisie immodérée de l'inirigue. du dialogue et des situations.

Il y avait là un roi plus funambulesque que Lesueur, un ministre
autrement décousu que Williams et un Génie du Mal qui m'a rap-
pelé Donato. '

Il y avait une princesse,.. — Oh lia la! Polyte, passe-moi-z'm
pour deux sous, — dans ta casquette, — avec un peu de gelée
autour!...

Il y avait, enfin, Vivier, — un garçon intelligent, travailleur,
qu'un direceur de Paris piquera, un de ces soirs, en chiffonnant
dans ce tau, pour le flanquer parmi tes comiques ..

Deux messieurs discutent politique.

— Je n'ai jamais change d'opinion 1 clame l'un.

— Et moi, hurle l'autre, je n'ai jamais crié : Vive personne!

— Parb'eu! vous êtes médecin !

Un boursier — delà tribu de Lévy — affirmait quelque chofe...

— Mon cher, je te lejure sur les centres de mon père...

— Tais-tri donc! riposte son interlocuteur, Tun père est mort
en 1850. On ne vous brûlait déjà plus en ce temps-là.

Les affaires sont les affairesI

— T'es-tu bien amusée, Martine, cette nuit, à l'Opéra?
Martine, regardant la pendu'e :

— Je le saurai ce soir à quat: e heures.

Emile Blondet.

, EN VENTE AU BUREAU DE VEGLfPSE

lrs et 2e année de Y Eclipse (édition ordinaire) chaque
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Richement reliée.............20

Envoi aux frais du destinataire.

En vente au bureau de l'ECLIPSE :
La collection complète de la PARODIE d@
21 numéros de 19 pages. — Prix : 5 francs.
N. B. — Ce journal a cessé de paraître.

Gill,

arde le
public contre' les agissements de certaines compagnies... fantai-
sistes.

Ce procédé, auquel on s'est laissé trop souvent prendre, con
siste à émaitler l'en tête des-'prospectus d'émission, de noms ron- qc qU\ a été bien ébahi au dernier bal de l'Hôtel-de-Ville? Ça
fiants, de particules innombrables et de ion

*

! écheveaux, de titres

et qualités d'un dévidage très-laborieux.

ssait son valet

où se marient agréai
.eeidepol*6- ^

, aaièreaui.W«s°miV
u libre échange aeK
arables A. etB. , ,,;

■les de Corse. ^ „«(,

„„—»•*

Inutile de dire que neuf fois sur dix ces surveillants blasounés
ne surveillent rien 4a tout, et qu'ils paraphent, de confiance,
pendant des années, les coontes d'un caissier qui entretient
quatre danseuses'et son ménage avec ses appointements de
3,000 francs.

Cependant il faut convenir q e jus 'à présent on n'avait pas
encore mis un descendant des croisés à la tête de l'exploitation
d'une carrière de pruneaux au capital de 10 millions de fraacs,
san3 lui en demander au rr in» la permission.

Le cas du comte de Houte inspecteur carossier sans le vou-
loir, serait une innovation.

•Innovation qui ne contribuerait pas peu à augmenter l'énorme
confiance qu'ont déjà les capitalistes dans les nouvelles entre-
prises placées sous la patronage des noms à particules.

Léon Bienvenu,

GAZETTE Â LA MâïK

En 1648, Mazarin avait dit que lesParisien» ressemblaient à ces
écoliers qui lancent des pierres avec une fronde dans les fossés
de la ville, et qui se dispersent dès qu'ils aperçoivent un sergent,
pour se réunir de nouveau au^shôt qu'il s'est éloigné.

Sur quoi, en apprenant, le 26 août du la même année, que le
président Blancmesnil et les conseilif-rs Broussel et Novion ve-
naient d'être arrêtés en vertu d'un ordre de la ceur, à l'issue du
Te Deum chanté à Notre-Dame en réjouissance de la victoire de
Lens, Barillon, — un de leurs collègues au Parlement, — s'était
mis a fredonner sur un air à la mode :

Un vent di frondi
A soufflé ce malin.;.

N'est-ce pas là l'histoire de la semaine 7...

Le vont de frondé a' soulfli, — apportant dans ses rafale s un
froid de douze degrés-!..: ■

Des arrestations ont eu lieu, des barricades se sont élevées,
les mousquets et les hallebardes du bon vieux temps ont été rem-
placés par les revolvers et les cannes à êpée...

Et les Parisiens ne se sont éparpillés devant les gardes et les
sergents, que pour se raaàenableY derechef, à peine ceux-Ci
ftvaien'-il6 disparu!....

M. Riwrd, en retrouvant dans un prince qui _
de chambre de l'avant-veille.

Et un vrai prince! hïbilie" d'un habit dont les broderies valaient
trois mille écus au minimuml-plastronné rie décorat-ons connues
et ayant cours! étoile décrois, cousu de grands cordons, et ma-
jestueux comme un roi I

Le prince a rougi t-n apercevant le médecin...

Pounant il ne l'a pas reconnu...

M. Ricord n'a pas davantage reconnu le prince.

lia eu la cruauté de ne recuimaUie que le valet de chambre :

— Moa ami, lui a-t-il dit, faites-mui donc le plaisir de faire
avancer ma voiture.

L'Odéon a donné," samedi, une représentation extraordinaire
dont le proluit a dû être versé dans la souscription ouverte pour
élever un peu de marbre ou de bronze à la mémoire de Louis
Bouilhet.

La reeptte en a-t-elle été aussi forte que celle du véritable fes-
tival drama'ico-lyrique organisé, il n'y a pas si longtemps, au bé-
néfice de Mlle Sarah Bernhardt?

C'est ce que j ignore.

Plusieurs pièces de vers du poète regretté ont été détaillées
av^c une pieuse intelligence par MM. B^auval ^erion père et
fils, et par Mines Aroould-Piessty, Fdv.irt, Ag-ar, e.o., etc., etc.

La Pluie et le beau Temps, de Lion Gozlan, a fait applaudir les
artisres dj la Gjriéiie-Erancaise.

Le cinquième acte de la Conjuration d'Âmboise a été l'objet d'une
chaleureuse ovation. Berton père «vair. repris son rôle. C'éiait
Raynard qui jouait Gonnelin, Sirah Bernhardt la cumlesse de
Bnsson, et Mlie Nancy la reine.

Catherine de Médiats représentée par Nancy],.,

Quel Meurtket

Au foyer, on causait de Mlle Sarah Bernhardt.

— Est-elle véritablement juive? demanda quelqu'un.

— Ou la croit protestante, répondit une deuxième personne.

— Pas du tout, fit une troisième, elle a été catuoliquement
baptisée

— Il faudrait «'enquérir du fait... Car si elle venait à mourir,
on ne saurait irop que mettre sur sa tombe.

— On ! s'écria une petite camarade, il y a un moyen de ne pas
se tromper... C'est d'y mettre un balai rôti.

Dans l'incendie de son mobilier — probablement.

Les Brigands de Schiller orchestré- par Verdi,
A l'Athénée... — Ob! ohl... —Tentative em...notante :
Le poëme est ronflant, la musique est ronflante,
Et tous les spectateurs aussi.

NOTICE

sur les obligations foncières de iOO fr., émises par la Société la
Propriété, et sur les travaux de ladite Société.

La Société la Propriété a pour but de concourir à l'établisse-
ment des petits loyers dans Paris. Elle bâtit sur ses propres ter-
rains qu'elle choisit le plus rapproché possible du centre. Le prix
des terrains ne doit pas dépasser cent francs par mètre carré, et
les constructions sont élevées sans luxe aucun mais avec soli-
dité, et de manière a présenter à chaque étage des logements in-
dépendants, sains et bien aérés.

Il y a assez de palais élevés dans Paris, il faut songer à la classe
si nombreuse et si intéressante des employés, artisans ou ren-
tiers, qui ne peuvent meUre à leurs logements un prix élevé, et
ne veulent pas cependant tomber dans les taudis des vieux quar-
tiers.

Pour établir ainsi des loyers à bon marché, il est nécessaire de
faire concorder le prix des terrains avec la dépense des construc-
tions; c'est de cette combinaison que sortiront pour la société la
Propriété des immeubles sagement entendus et rapportant un
très-bel intérêt, tout en rendant un grand service à beaucoup de
monde.

Pour éviter tout écart, toutmalentenda et toute erreur, un conseil
composé d'hommes spéciaux et les plus honorables, a été établi
par les fondateurs de la Propriété pour veiller a la stricte exécu-
tion du programme.

La Société la Propriété poursuit encore un autre but, celui d'é-
tablir dans la banlieue de Paris, également sur ses propres ter-
rains, de petites habitations, villas ou maisons de campagne, va-
riant de cinq mille à vingt mille francs, qu'elle louera, ou vendra,
avec termes et délais.

La Société la Propriété, il faut bien le comprendre, car déjà
plusieurs demandes qui lui ont été adressées ont montré qu'on
n'avait pas toujours bien saisi son caractère, n'est pas une So-
ciété d'entrepreneurs bâtissant pour les particuliers; elle cons-
truit pour elle sur ses propres terrains, et tire ensuite parti de
ses immeubles en les louant ou en les vendant, si elle y trouve
son avantage. Ce soJt des opérations de propriétaires et non pas
d'entrepreneurs, voilà pourquoi elle émet des obligations repo-
sant sur lesdits immeubles.

Chaque année uq compte-rendu des opérations sera publié et
indiquera ainsi aux obligataires les résultats obtenus.

Cette notice sa distribue gratis au siège social, à Paris, 5, cité
d'An tin.

A Paris on est sceptique, m&is on est juste, et une fois la con-
viction établie, on y est fidèle comme Je sont les gens convain-
cus; c'est ce qui a fait le succès de la CHEMISERIE MODÈLE,
gui, malgré .'élégance et la perfection dues au système de me-
sures et de coupe d'après les conformations pour lequel elle est
seule brevetée de plusieurs cours, a su en maintenir Je prix dans
des conditions de bon marché relatif.

Par la création de la chemise-tunique, qui se met aussi facilement
qu'un gilet, la CHEMISERIE MODÈLE vieut de réaliser une
heureuse innovation.

Distribution de la brochure gratuite, 45, rue Le Pelletier.

BROCHURE EXPLICATIVE

jy^ CONCBBNANT 1.83

PRETS SXJJFt TITRES

Cotés on non cotés, à â 1(2 0|0 net; les
OPÉRATIONS FINANCIERES DIVERSES

, _ Achat et venle an comptant ou à terme de toutes les valeurs cotées
; à la Bourse. Escompte de coupons non échus, payements pour sous-
I cripdons. Echange et retrait des litres.

1 Les Avances pour souscriptions ou achats de titres, dans la pro-
; portion de 50 j[0.

S'adresser, par lettre affranchie, à la
BANQUE GÉSÉ3&ALE <3ee Vt&aeurs mobilières

- 62, rue Tarbigo, 62._______________
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