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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0073
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ira»,, ' Prête» i'

l'ECLIPSE.

leur; i """«tri 1
,e« Isabelle. B'»««.ii

messieurs

ame?

'•«u chou. le*'»Wl

qu'elle doit être „,
•tombée sur le^''H
f6 ^ dame à la Ï'H

«mmetomesi , .
'"wmmandatioo,, '

une chemue de noce.

sut-etre, madame. Ahl »,i
»s refléchi q08 c1, "*»

votre gentille blancii^

*>toîcfttsjwj{j

«m parajeujei
fl^e avant midi,

«■)•' 3[11

linge surin,

» d'Eve.

tenant!

je l'avoue d'ailleurs, de fllift

evant aller au tel, en m iX)

rcale ns valait pas do [4ll!i

3 lemme de chambra lui t «à

i un fruit défendu à sei yen
i repasser, Elle s'étalait, mije
•aviil.

ichisseuse n'ont rien de tepfex

rès-ile».

émergeant de la déûtelledift

dain dans le petit crâne de jp

ti:

le beail linge I

:11e en mtttafit, pendant ■ i

erait quitte pour la passer ai o

îtôt elle s'est épanouis MU lr.

îemiae de la pratiqué, a nMO

vréa euunsuccêjtfjpi*^

; quand on a cW, »»*»-:
de se rafraîchir. Ces! m»1

ares du matin,' un ri
Gustave et
i du bébé sari.

wti«»le

a... causé.

in

fiacre dilij

; a transportai1-

m

o^.*i,mad,e^

, toute mtn» (ta;»1*,:

.ôtementaDM»»^11'"

vertu.

■enueadullêf »■ mi

ri savait cela ;»«•«""

i'HO*1,

UN NOUVEAU CHAHT RATIONAL

Jusqu'ici nous av:ons généralement cru que Famuiiion de Ber-
thelier était de surpasser son camarade Brasseur. Comme nous
nous trompions! Quelle erreur étah lanôtrel Désopiler chaque
soir la rate de ses concitoyens aux Bouffes ou au Palais-Royal ne
pouvait dfsorma s sulûrfà cet aruste. Il aspirait à de plusgtandes
destinées, il levait ans gloire plus haute.

Depuis longtemps d--ji ce comique était agité et fiAvreux; de-
puis longtemps déji on avait cru remarquer que ses yeux se
creusaient qu'une mortelle pâleur se réuan ait sur s-a f\ice, que
nous avions vu jadis si épanouie dans l'Ile de Tulipatan.

C'est qu'une ambiiion terrible p'éiatl emparée de son âme elle
tordait impitoyablement. Gomme Paint Paul, Berthelier, le bot-
tier de la Vie parisienne, avait, lui aussi, rencontré son chemin de
Damas sur la rouie de Charemon.

Coaque nuit, dans ses rêves, il voyait se dresser la grande et
noble figure de Rouget de Lfrle. L'auteur de la Mafièillàise èï\r
trouvrait les rideaux de son lit, s'approchait de son ore lie et
murmurait tout bas ces simples paroles : « C'est à toi, Berthe-

lier. »

iit haletant, fiévreux, épouvanté, l'homme qui nous a tant fait
rire dans le Brésilien, rêvait de doter la France d'un nouveau
chant patriotique et national.

Il y a quelques jours, une auguste assemblée fait mander Ber-
tbelier et prie l'excellent comique de )ui dire une de si s chansons
favorites.

Berthelier ébouriffe convenablement ses cheveux., place une
main dans son gilet, élève l'autre vers le cïol et se recueille un
instant. L'assemblée s'étonne et frémit,, Que va-t-il faire? Que
va-t-il dire?

Il a trouvé ce qu'il cherchait. Alors, de ce ton inspiré qui sou-
lève les masses et fait bondir les cœu-s, il entonne d'une voix
mâle la sublime chanson du P'til Ébéniste.

À chaque couplet l'enthousiasme de l'auguste assemblée croît
et redouble; on se lève, on crie, on bisse, on sJembras;e, toutes
les mains se serrent, tous les yeux se moaillent, toutes les lèvres
frémissent, Belaionlet veut mourir.

On croit la chanson finie. On veut la faire recommencer. At-
tendez. Il faut encore à Berthelier un couplet patriotique inédit
Il veut le trouver, il le trouvera, il l'a trouvé.

Recueillant alors toute Té lergie de sa voix, les yeux pleins de
larmes, la tète entourée d'une auréole resplendissante, Berthe-
lier, hors de lui, ravi aux choses extérieures, et, du reste, com-
plètement ivre, Berthelier, transfiguré, chante ce coupiet qui, de-
puis deux joura^ fait la joie et l'admiration de toute la France,

Ahl comme nous nous moquons de la Prusse, maintenant!

Georges Petit.

QA2BTTK â LA MAIS

Le bilan de la semaine se sol le par ■

Une demi-douzaine d'enterrements, — un duel qui restera
célèbre dans l'histoire sai glante des haines politiques, et un pro-
cès, non moins fameux, sur lequel, les journaux s'abattent
comme des corbeaux sur des tripes à la mode de Corse.

Donc, Orléans et Bourbon uni échange quelques ph-tolades...

Je ne vois nul inconvénient à ce que les loups se matigem
entre eux.

Toutefois, — dus*ê-je vous paraître féroce, — je ne suis point
fâché que ce soit l'Espagnol qui ait écopé dans cette affaire.

Que diable 1 comme chante ta chanson :

Je suis Français, Montpensier avant toutl

Les reporters, m^s confrères, ont tellement ras-tondu la vie
privée, publique et littéraire de MM. de Riancey et de Montalem-
bert, qu'il ne me reste plus une seule anecdote à glaner dans ce
champ lugubre.

Je ne me rattraperai pas sur les trois pauvres jeunes gens
auxquels, la Murt vient de tendre un guet-apens abominable.

Charles Lemaître avait tre^e-qUaire ans; LèonOogniard, trente-
six, et Deuiarsy, trenie-neuf.

Q .elle oraison funèbre aura jamais cette éloquence du ehdfreî

Demarsy avait jadis créé avec un véritable succès Chiverny,
du Bossu, h la Pwrle-Sai ni-Martin. Céiait un gnrs mteilige t ef
de bel'e prestance. Il n'avait, p.int été depiaié à rOdéou". L'oc-
casion lui manqua. La maie chance me aussi sûrement que ie
typhus, la variole et la balle d'un revolver princier!...

Etrange coïncidence -■

Dans Patrie, Charles Lemât'ire, dont le suicide inconscient a
frappé d'un si douloureux étonûement lagranietanrille artistique;
dans Patrie, dis-je, Charies Le maître avait repris le rolo de Kar-
loo Van-der-Noit...

Or, personne n'ignore qu'au dénoûment du drame de Sardou,
Karloo Van-der-Nott se jette par la fenêtre!...

m

Quant à Léon Gognîard, nul n'était plus symoathiquemeH
connu dans ce vasi^ « foyer » qui s'étend du faunuuig- Mont-
martre à la Chaussée-d'Àotin et où le monde et le de^n-mon-ie
du théâtre et des lettres se coudoient dans une si édifiante fra-
ternité...

Joli cavalier, aimable compagnon, fils et neveu de gens d'es-
prit, — herbier présomptif d'une fortune bororablement gagn'H1,
d'une position habilement acqu;se, — plus sérieux qu'il n'en avait
l'air sous des turmes évaporées, — sagement prodigne m^gni-
fiqueavec préméditation, n'ayantjamais refusé à un malheureux
un billet de deux places pourle4 Var é es, Léon Cogniard
avait eu dans le pissé et poosédait dans l'avenir du bonheur à
revendre à tous les héros de la Bue...

Il y a juste une année, Victor Noir tira à la conscriptinn.,.
Ce rob-inte baby se souciait médiocrement d'être soldât. Dés
amis firent les fonds de son re.nnlacement...

Oui, mais ne voilà-t-il pas que son numéro l'exemptai...

Ilu'en avait pas moins touché l'argent...

La 8©mme l'aveuglait : deux mille francs en orl L'ancien 9e,u-

ri*<e ri* l'était p-,s encore ha ni toi) à remuer les écus à la pelle 1. .
I sVn fat trnuvT Léon Cugmard, lequel était alors administra-
ttur des Vari tés :

— V«ux-in me rendre un si rvice? lui demanda-t il.

— VolOi.tielS,

— Grurde-iMOi ces cent iouie Jn crains de les dépenser étourdi-
ment. Se tf*-\*m dans ta mi» e et du nue-moi ta parole d'honneur
que tu ne me les remettras, en. tout ou ei paru-*, que lorsque je
t'aurai ju-ilié d'un besoin urgent ou d'un emploi utile.

— C és\ bien fit l éon, \h te la donne

Noir vida s. s po he? et s >-n «lia, — enchanté,
Ma's tout à coup remontant brusquement l'escalier du cabînft
deOg-nind, et, entifiidiliH .1 i-i pihne :

— Opr donc, repiii-il awc embarras, lu serais bien gentil de
me prêter cent, tous pour dioer?

Plusieurs uflrsonnagesconsidérables sont actuellement assis sur
les marches du pont (les Ans qii r-gjrd'-nt l'Institut tt fredon-
nent cette supplique sur un ihjtnrne peu nenE ;

Messieurs les Quarante,
Vous savez, pourquoi
Le sommeil s'absente
Souvent de chez moi I
Or,comme il m'importe
De dormir un peu,
OuvreK moi la porte
Pour l'amour de Dieu !

C^r Messieurs lis Quarante n« pont, nour le moment, que trente-
six ou trente-sept, eties salamalecks des compétiteurs ont com-
mencé...

Lorsque P'jnsard fit ses visites, Emile Angier le présenta à
feu M. lïriff.ut. Le vénérable *cadém■cien était, je cruie, frappé
de paralysie. Il recevait ton morde,couché sur un fauieuil presque
aussi vieux que Ini, vermoulu, dôftaillé, du haut duquel il lâchait
à peine une phrase en une demi-heure.

— C'est singulier, dit tout ba> à Augier Ponsard qui voyait
M. Briffant pour la prôifliiié lois, on dirait qu'il est endormi.

— Non, répondit Augier froidement, c'e-t qu'il e^t empaillé,
voilà tout.

—i Comment ! empailiél fit Ponsard en sautant sur sa chaise..

— Cena nemeiH, réoantt Augier en montrant le fa'jtuu>l ava-
rié de l'académicien. Regardez ie plu'.ôt. Yoiia de la paille qui
lui sort du dos.

MM. Emile OlHvier, Duvergier de Hauranne et Jules Janin
ont posé leur candtdalure, — cr* damier par une lettre très-
dtane, et avec des titres, avec des droit* phvôt, que l'opimon pu-
blique arîflifiês depuis longtemps et que la capricieuse assembléo
n'osera plus mécmnaUre.

Enfin, comme rimait Barthet :

Lequel l'emportera? -- Chut! Éhacnn son métier.
Ces messieurs sont jaloux de leur omnipolence,
Ils touchent pour cela des -jetons de présence ;
Laissons-les à huis-clos décider de lenr choix.
Âbea jacta est. — Le Génie est aux voix.

Gai4é.— Gilbert et itigltitë

G'ect la parabole du Mari prodigue : Gilbert ne mange pas sa
légitime, c'est vrai ; mais U l'abandonne niaisement pour s'tccro-
cher «ux paniers d'une courtisane de qualité qui lui ruine la bourse,
la santé < t le ccejr....

Heureusement. M de Ghavannes, — l'époux copieusement
trompé de cette BoVa/y-Pompadour, — revient tout exprès de
R me pour en débarrasser, d'un coup de pistolet, son trop Infor-
tuné conf ère 1...

Maintenant, si jr> sais ce que viennent faire dans cette galère
conjugale Lonis XV, la Da<jphîne, le pamphléiatre Mauievel,
l'irupresari'Nicolet et le peintre Ju>euh Ven<e<, je veux bien que
Thùresa ?joue un couplet aux Canards tyroliens!.,.

Un journal a calculé qu^ Lsfv-rrière, q-d joUe Gilbert d'An-
giars, et E g> nie Ooihe, qui joue madame de Chavannes, attei-
gnent — ens-mble — à un iot*i de cent dix ans!...

— Cent dix anst s'est écrié madame Duché, l'autre soir, com-
bien en pri-nds-tu pour toi?

Lafeirièie a répondu galamment :

— J'en prends quatre-vingt-dix.

*

Nonl Laferrièré et madame Doche n'ont pas cent dix ans à eux
deux!...

Ils ont l'âge des personnages qu'ils représentent.

Ce sont h s gens qui nous ennuient, — seuls, — qui sont sé-
ntles et caducs.

Aussi ne me demandez pas l'âge des auteurs de VUistoire
d'hier et de Ce pauvre Enfant, qui oot r=i piteusement inauguré sa-
lue h la réouverture fi.*** ^enos-PlauLs

Se vims répliquerais, sans hé,-ier, que le plus Jeune de c«s
trois |eu»es co «p e, au bas mot aotant d'années que Lafernère
et m*dame D.iche en ueuve t • hiffrer hors du théà re, — en leur
ajoutant Fiét nck, Lafont, Adèie Page et Dv'jazet...

Adlitiont.ezl

Je me re>erve de vous parler des hallets de Gilbert d'Anglars,
miand je le* roverrai, — prochainement, — à la teprioe de la
Chatte blanche.

Il Bt-ra^t toutefois injuste dn ne pas accorder un bill d'indem-
ni'é à M. Larorhe. qui interprè e avec beaucoup .1e mordant le
hmiernitr Maurevel, et à Lacressonrnère, qui porte son bois
ii'afidouiller avec mûn ment d'élegince et de distinction.

A fn sène, ''ans l'aiener de Vernet, avec Laterrière, un tiii a
poussé cette exe am"ion :

— Ahl mon Dieu ! ils vont se prendre corne à corne!

Service t£lc£rapbfi<xue

ExceTenle repr'ae de Pra-Diavolo-Î TOp^ra-Gomique avecCapoul
et madem< iéalltt P-rioïa.

Bonne reprise de Glaudie, au théâtre de Cluny. avec Tallien et
mademoiselle Fayollo.

Aux Menus-PralTirs, M. Cournïer, le nouveau directeur, doit
recevqii les (,ièces du pape. Il a bien reçu l'Histoire d hier et Ce
pauvre enfant 1

A l'Oléon, débuts de mademoiselle Colombier. P.iurquoi cette
belle personne sa fraope-t-elle aussi souvent sur la cuisse ? Est-ce
pour wttirfr l'attention du public sur cette partie essentielle de
son talent?

Que l'on prétende encore que les extrêmes ne se touchent
pa-!

La Rue ei Paris-JoU sont, sinon pairs, du moins compagnons à
la vi-re îles éta âges.

La Ru«\...

Yio daltyosa du peuple, qui monte vers le faubourg, escarpée
comme un CUlvairel...

Dans cet ordre de réalités navrantes, je vous signale Y Hiver
du pauvre que la Librairie Centrale met en vente.

Ce tiirr t'ait froid dans le dos. Ouvre? le livre r ce n'est pas là

il- la misère dj fa illetonl Ail is true\ Le a f t ir-si i r < t . ?
plus no res de la Rue «ont d'une ça» ta fo'le à côté de c la VaUès
le ava.t convoqués : ils -on venus, — les *oici. le-, lamctabiesl
M-zibr«u I de So i nie (?) vous les .ré-^nie. Et nunc, dicites, in-
telligitel Erudimini quipossidctù terraml...

*

Pour nous remettra un peu de ro*e dans ràmp,recardons —
da s Paris-Joli ~ au cr i\o\i moelleux et filèle de Rjxan--Dpvéria.

Sur les t eiges de sa puiirine serpente un*» ri v 6r« de dia nants.

1 r li nianière dont on a recruté ces brillams e«t assez
singulière. Pnndant >.on séj*ur en Russie, la b-He prenait
à pa t chacu', des candidats à ses gracta, et lui tenait â peu
près C" lanirag-1 :

— Je veux un diamant, ou rien.

Au jour fixe, Ls diamants déciles arrivaient un à un,
chez Roxane, — les uns à l'ineu des antres, bien entendu.

Elle avait sou collier en monnaie. Il ne »'sgi*s.iit plus que de le
fairo momer. — Bagaiellel la premier bijou-ier vodu pouvait lu
arranger cela. — Certai'emfn ; — mas la difficuLé, la voici :î
chacun avait donné un diamant,—un roui 1 S'il voyait boq ca-
deau métamorphosé en c diier, — comme il est malheureusement
avéré que les pierres pré'-ie isps i e l'ont pis de petits, — il serait
amené, a ia vue lie cet mtrouueinent ina te-ida de brillants, à
soupçonner que la diva, au lieu de lui être fidèle, embellissait son
existence d'un collier d'amoureux.

Dévéria. tourna assez airoitemnat la difûcrrlié; elle confia sons
le sceau du plus grand secret, à chacun en particulier, que sa parure
était du stiass.

— M n'y a qu'un seul diamant qui ne soit pas faux ; c'est celui
que vous m'avez donné. Cbutl...il fiut à re Joaillier p«>ur s'y re-
connaître, et mes bonnes amies n'en crèveront pas moins de dé-
pit en me voyant endiamantêe.

— Sais-îu, disait hier Hamburger à GonBtant Lécuyer, sais-tu
quel est ie jour qu« l'auteur des Guêpes préfère?

— Hél parbleu! c'esi lu lôie des blanchisseuses ; parce que c'est
le jour qje l'ami Karr aime,

Emile Blond et.

L'auteur du Roman de deux jeunes Mariés, Charl*-* Ioliet oublie
chez De.ntu, suus en titre: MADEMOISELLE CHË«UBIN, un
joli roman très-vil et uès piquant, qui sera bieoiôt le «uccès du
jour. C'est une é^ude o^s ;ucetrs du théfttre, dont l'hérone ap-
partient aux types do la vie parisienne.

R&VOLVERS-GALAND

Dans notre dernier numéro, le texte concernant i> prix et frais
d'expédition de3 revolvers, a été mal compris par quelques-uns
de nos lecteurs; nous allons le rendre plus elair et plus ex-
plicite :

Pour recevoir franco :

Un revolver à 6 coups simple mouvement, de.. 15 fr.
Avec une b îte de cartouche de... % 50
Ajouter, pour la caisse d'emballage et le port....... 3

et envoyer un mandat de porte de............... 20 50

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21 numéros de 16 pages. — Prix : 5 francs.
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