L'ÉCLIPSÉ
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ïe sont les nj/lhti qui lai
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nordupaj un chien «w^.
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avenu :
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renouveau.
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énateursont^,,
rleurabdicaUon,lan
a campagne- ^ltï.
'étrideVeIëP'
de ces grappes y
a, des choses.
lIpPOlfflB«l»l,',,■
GAZETTE A LA MAIN
Le maigre ne me profite guère, — similia simUibus nm eufan-
^Ur, — et jç ip'accommode beaucoup mieux de la moindre côte-
lette aux pommes que de mademoiselle Sarah Beroardt.
Juge? compien j aï dû souffrir pendant cette semaine, d'ich-
thyophagje forcée !
Quoi! la btîliû Marie Colpmhier vous inviterait a lui prendre
l'ascendance du genou qu'il, vous' faudrait décliner ce bon-
heur I... ■
Abstenez-vous ! L'Eglise l'ordonne ! Pas1 moyen de sucer la
gju's petite cuisse de volail e!...
' Avec cela, que le poisson qsji déjà §i bon marché!...
Demande^ pinçât à madame &..'. j\1..v., laquelle est, cependant,
d'un filtre fait d'eau?
M
Un joup 4$. vendredi saint, un riche, un très-riche capitaliste
marchandait un morceau de saumon chez Chevet ; Qn le lui lais-
sait pour yiflgt irànàs, ; il n'en voulait donner que quinze. De dis-
cussion las, il céda biplace et s'en alla sur, le boulevard;, Il y ren-
contre un de sjesappiens camarades qui I141 dépeint tres=vive-
ment les misères de sa position. Le millionnaire est touché au
défaut du collYe^furt, et il met un lpuis dans, la Bâja de S.QU ex-
copin. Il m'arche encore un peu et, rarrrené; par la gourman-
dise, revienj .cjiez Chevet, décidé à ne pas être pins inhumain
pour son estomap que pour un Indigent ; mais il était trop tard :
le morceau 4e saumon venait fyefàe vendu.
—'Gombjen?
-- Le pris que, vous n'avez, pas youlu y incitée-.
— Et a <m}y
— A cet (ndjvidu qui s'en ya_ làcb,as.
Le capitaliste regarde et reéonn"aH.\. l'infortuné à qui il vepait
d^donner vifl^ patios.
— £?esfc bjgii invraisemblable d>s-je au banqnjeu rçni me ra-
contait le' trait.
— -fy- **$%&!
— -Vous y-'jitiejs ?
— Mais q^j, efgst nioi qui ai acheté le morceau d;e saumon.
Le jnallifiureu.x a aujoupd^hui trois nVïlHpos, mais,... il ne
mange plus de saumon ; son estomac ne le digère plus.
C'est toujours la vieille'l^gin'de de Charlet : « Soi dents et pas
depainl du pain et pas de deftlsl »-'
Porte-Sain*-Martin. —^Beprlae de MatittUrte.
11 n'est pas une lorette de 1840, devenue, par la grâce de
Fâge, ouvreuse de loges ou dame de charité, qui ne se rappelle
avec une douce' émotion cette épopée si vraie et si fabuleuse, —
d'une observation si minutieuse et d'une invention si vagabonde
et'si fertile...
' 'Les, grisettes de ces temps antémabiliens — aujourd'hui mères
de,famille — parler^ dp ïjiecherin, de Rochegune, de GonÈran et
àe Lugarto, commède gens de connaissance, encore si vivants
dans leur esprit et dans leur' cceur-, "qu'il semble qu'elles les
aient rencontrés hier aux 'îÇbprds de Ta Grande-Chaumière, de
la Chartreuse ou, d(i Prado....
~ Que fait Ma^h'ilde?./.
— A-t-elle bien pleurét'...
— Par quel moyen éçhappera-tielle aux pièges de tputo sorte
que l'amour et la haine tendent à sa vertu?
Telles furent lesquestfoFis^que s'adressèrent pendant dix: mois,
chaque matin,—voici tantôt-trente ans stjnneSj — les duchesses
et ie> portières, les ouyrieis et'Iea bourgeois, les ra|/op l'Opéra
et les *j0#5 diipal Mùsârd.....
' Le Ta p& or not tb (ffl d'îîamlet était bien peu de chose, en
Gomparaispp I
Jl fallait une singulière puissance de talent pour ^enir ainsi
en suspens ùneViile"qui ne s'étonne de rien, que_ le scandale
même n!éipeut pas, qui publie tout, — ses gloires et ses hontes,
— et qui répudie le lendemain son grand homme de la veille.
Cette puissance, Kugène Sue la possédait d'une façon abso-
lue, éclatante et in^iseutable, ^ l'époque ou il publiait les Mé-
riiaires d'une jeune fieinfiie, Pa^a' Aîonti,' Thérèse Dunoyer et les
iàysièrps de Paris.
"A''cette époque. \\ ne se passait pas de jqur P,4e le romancier
pe reçut quelque lettre d^ctrice, de marquise, de fillette ou de
chanoinesse, lui demmqapt :
« —'"Comment Koclolphe sortira-t-il du caveau de gras-dlouge ?
Ou:
«' Lq, pripeesse de H^psfeld yemettr^rt-elle ou nqn l'épingle à
la mulâtresse Iris. ? a ' '
^Le plus souvent, ces feutres étaient accompagnées de décla-
rations et de rendez-Vous'...
Une seule fois Ëugëxuî Sue profita de l'occa^ipp...
La lectrice étaitipïiej'du meilleur monde, spirituelle, ardente,
ennemie des temgprisatiphs...
£*û â'êdûra ^ première vue, — on se \% dit, — pn se le
prouva; .T
Yingt-û_uatre heureg plus tard, l'écrivain attendait chez lui
si .conquête, lorsqu'un doute bizarre le prit :
Etait-ce à l'amoureux, au gentleman, à l'élégant garçon que
cette femme avait cédé, ou bien à Fauteur de Mathilde ? *
Eugène Sue rêva longtemps à ce point délicat. Tout en rê-
vant, il ôta son habit et endossa la petite livrée de son valet
de chambre. Comme il- en était jjb ^ entendit gratter douce-
ment à la porte de son cabinet.
C'était ellel
Eugène ramassa un plumeau et courut ouvrir, cet insigne de
domesticité sous la bcàs.
— Monsieur Sue?
tt? 11 n'y est pa§, madame.
— Même pour moi ? C'est qu'il m'a dit hier de venir à cette
heure-çi.
vJ— Impbssibls, madame^ M. Sue est à la campagne depuis quinze
jours. 4 a» reyient qn|'ç'à"soirV- **
*
On était entre deux portes, dans un couloir plein d'ombre. La
pauvre femme ne voyait pas celui qui lui parlait ainsi. Mais
elle & crirreconnaître,.. Il lui semble que la voix... Allons
donc! sous cette livrée, avec ce plumeau, c'est impossible !
Elle tremble, elle se décide, elle ouvre la porte du salon qui
laisse passer un flot de lumière- Elle pousse,un.cri de sur-
prise.
— Comment, c'est vous? Pourquoi.cçtte plaisanterie — et ce
travestissement ?...
Mais Sue est déjà tombé à ses pieds, Il lève vers elle, des
piaina supplantes — qui n'ont pus lâché le plumeau.
— Ali ! madame, me pard-onnerez-vous?
— Et quqi vous pardonner?
— C'est que'si ypus le disiez à ty. Sue, il me chasserait.
— Comment! à jjj. Sue? mais parlez donçl
!— ^e lis sa correspondance quand il és$ absent,... en cas
d'affaires pressée^. Et yotr-e lettre était si fôqiM$e que.... :
— Qui ête^-yp^ donc ?J
— Je su)S 'le valet de chambre et l'homme de confiance de M.
Eugène Sué.
Pauvre petite dame ! avpir été }a... dnpe d'un valet.
Elle devint pâle comme que mortp ; elle écrasa le porte-plu-
meau d'un regard plein, de douleur et de mépris, et elle descen-
dit eh chapeela <t uq escalier, qu'elle ne remonta jamais.
Le sédqctenr ferina dauoement la porte, et ôta la veste du
.dor^estiqpe pour reprendre la plume du romancier.
r*-'An!'fit-il en soupirant : je ypis bien que je n'étais pas
aimé ppup nioi-niême..
Revenons h |a pie*j0 de la Pppf.erSaipt-Mar|in.
Pour ajuster an théâtre le yplumïnaux roman qui a nom Ma-
thilde ou les Méqioirfs $'une jeune f-'ernuiG, îyL Félix Pyat a été
obii^é à de larges cou-pures, à de vastes sacr fices-
C'est ainsi que l'iiifernul personnage de mademoiselle de Ma-
ran, ce diable-gupnqn coiffé, inèin^ au lit de mort, d'un cha-
peau de soie pa'r.pie'|ite, :— a disparu ab-ioluraenc. Le mysté-
rieux M. de Mortagne a'éproùvéle même sort. Le rideau se levé
à l'instant ou la vieille madame Séçl\erin, avertie par le reflet
de la glace, ypjt prsulp rppevoir une lettre de M. de Lâncry et
la lui escamoté d ins ta ppehe de sqn tabjièr.
A partir de ^à," le drame reproduit le livre très-habilement et
très-tidèleme'nt Le déjiqjiment seul diffère : Gpntran se bat au
pistolet avec Sépherin éj feçoj^ une balle pn pleine poitrine ..
' Il chancelle;.
— Du courage! murmure Lugarto en soutenant le blessé- Tu
as encore la force (le tirer ! Venge-toi!
— Oqi, je vais me venger, répond le malheureux.
Et pressant la détente de son arqie^ \i brûle la cervelle à l'ef-
froyable mulâtre !...""*"
Mademoiselle Jane Essler joue Ursule avec la grâce la plus
scélérate et la plas véqimeuse du monde! ^'intéressante Ma-
tiiide est interprétée par Lia Félix, avec pne grande vérité de
charme, de passion et de sanglots, iharly et Monta Isont con-
venables, et Lacressonnière a parfaitement rendu Sécherin, ce
personnage original, mélange de lendresse héroïque et de ma-
nières bourgeoises, de sentiments élevés et de phrases vul-
gaires. Je regrette de n'avoir pas à IpuerM. Brésil : Lugarto
n'est point un mmgnur d'enfants, mais bien un Méplustôphéley
en habit h|§ù à boutons d'or.
Tout Bfiris voudra voir Uathilde. — Pourquoi non ? — Qn nous
assure que le public va visiter en masse les arènes de la rue
-\longe. ûf,'pe cirque gallo-romain ne me paraît pas plus cu-
rieux a étudier que les modes littéraires du temps de Louis-
Philippe, là prose de M. Félix Pyat. et, en particulier, le mono-
logue de Luga.rtû.
Variété*.
Lq tyeau Dunois ne pput §e raconter : L'extravagant ne s'ana-
lyse pas.
Fjgnrez-yous K^opp — le bqn, l:excellent Kopp) successeur de
l'irnmense pdry', — se démenait dans ra,r'rpure de Lahire, et
Ilppuis piitiphbtidisant avec la femme d'icelul, — Dup is, cas-
que du heaume et du féal et preux chevalier qui partit autre-
fois pour la Syrie sur un air à n'en jamais reyenir ]...
La musique du Beau finnois, de
M Lçcoq,
M Lecqq,
>I. Lpcup
est viye, distinguée, travaillée avec soin, avec goût. Dupuis et
Mlle, Aimée là cliantept à ravir. Mais où diable est le temps où
lïûpuia, alors dqup d!un embonpoint hypothétique, ressemblait
a un I qui marche '?
En ce temps-la :
— Dupuis est ipalade, grommelait Alexandre Michel, et le
malheureux pjrJe de se purger...
— Eh bien?'
— E;h bien, s;'il réalise pe projet, il n'en restera plus rien I
L'amuaante opérette de MM. Chivot et Duru est précédée du
Ver rongeù^ qui,' lui aussi, - a obtenu un gros succès d'instn-
sêisme.
Le point de départ du Ver rongeur rappelle une spirituelle
caricature de Gavarni. Un jeune homme est en train de sous-
crire une lettre aç change a'une petite dame :
— Fin cqurant, je payerai a m'demoiselle Fëlicie la somme de cinq
cents francs, valeur reçue... Eu quoi?... En sentiment?
— pas de bêtises : en marchandises.
Antonin a signé un billet de ce genre. Or, Antonin va se ma-
rier. Il s'agit de renrer de la circulation ce chiffon de papier
timbré. Si celui-ci allait tomber dans les mains du beau-pere !
Gnouf, gnouf. gnoufl Tout serait rompu, son gendre !...
Antonin saute dans un fiacre et, court après sa signature, —
cahoté d'incident en catastrophe, d'aventure en mésaventure, et
de Oharybde giotesque en bcylla extravagant. Cette odyssée
dure trois actes. Elle est menée très-rondement par Grimier,
par Ohri tian, par Deltombe et par la belle mademoiselle de
Géraudon, qui a le défaut de s'enfariaer-comme un meunier
aussi bien a la ville qu'à la scène. Un auteur dramatique, s'é-
tant trouvé un jour placé à côté d'elle dans un banquet d'ar-
tistes, l'embrassa par surprise au dessert. Elle se cabra sous
aattfl familiarité :
'; _ prenez garde, Monsieur, fit-elle, vous allez vous échauffer.
— Soyez' tranquille, Mademoiselle, répondit Taudacîeus en
s'essuyant les lèvres avec sa serviette, le riz rafraîchit.
Les procès Teulat et Puyparlier ont mis la question, — si ar-
due, si complexe, si vertigineuse, — des aliénés à l'ordre du
jour.
J. prit un matin fantaisie à Philoxène Boyer d'aller visiter
une maison de fous. Il' parcourut, accompagné du docteur, la
section des fous ordinaires, et pamt s'y intéresser vivement.
Arrivé aux gâteux, il en trouva un qui alignait des chiffres sur
une feuille de papier. Philoxène le contempla avec curiosité.
j=r Monsieur, lui dit le gâteux,, au bout d'uû'instant, vous
$emblez vous intéresser à ce problème?...
— Oui, monsieur, beaucoup. J
— Eh bien: que ferieg-ypus? Abaisseriez--vous la perpendicu-
laire ?
— Certainement, sans hésiter.
Le gâteux se leva.
— Vous abaisseriez la perpendiculaire?
—r Ouij je-l'abaissera^-
Philoxène reçut aussitôt npe pajre de giffies à décapiter un
bœuf.
Le médecin le tjra par la manche.
.— Voulez-vous voir les fous furieux, maintenant? .
— Non, non, merci !. -
fjtfthK Bï,on»et.
, ^•s^rrircwr'>l^^^)J^}j-.. ■. ' ...-
Les poètes, comme les poules, pondent surtout au printemps :
le public ne peut vivre fans eux Or, le poète Robinot-Ber-
trand, auteur de la Légende rustique, dont nous avons parlé au-
trefois, vient de pondre sur les rives de la Loire un charmant
volume intitulé : Au bord du fleuve. — Il ne faudrait pas croire
que le poète y chante la pêche à la plombette ou à la ligne vo-
lante et adresse des prosopopées à l'ablette ou goujon : n.on !
Son fleuve est l'ardent artère où palpitent les fièvres contem-
poraines. Amant passionné de la liberté, il l'appelle de ses
vœux et entonne un éloquent super flumina '.
VII?NT TjE, PARAITRE
Le n° 28 fa h I^TOE de BÛ6BH10N.
gN VpNTE PARTOUT : 10 CENTIMES.
Uxi Nouveau Journal
Prochainement, doit paraître, sous la. diFeetion de M. Q. Le
Blond, une Revue hebdomadaire, qui nous semble destinée au plus
grand sûc'ès. ""
Cette publication sera rédigée par l'élite âé nos écrivains, entre
autres MM. Alexandre Dumas, A Dduiet, E. Siebecker, Cûaries
■iohet, Albert de la Fze ière, Eisée Reclus, A. Ranc, Etienne
Carjat, A. Denis, Paul Arène, Georges Sauto.i, Albert Brun, Bal-
hàzar, And'é L-moyne, Ë. A. Spyll, Em.Carolon, Léon Charly,
A. B'-aun, etc., etc.
Chique numéro'de 32 pages contiendra une chronique, des
iqeuun propos, un^ n luveite ou uu pe it lûman, des pens'-ed choi-
sies, des extraits de nos écrivains les pipa illustres, un fi-uiileton
deti théà res, nés comptes ran-lps dt-s 'livres nuuve-iux, des nou-
velles Nés arts, des sciences et des lei très, des recettes utiles, des
conseils pour la santé, un courrier des modes, des jeux d'es-
"rit, etc. .
Cette Revue, la plu* eonip'ète et la plus intéressante de toutes
«lies qui ont été publiées jt.squ'à ce jour, se vendra au prix in-
croyable de iO ecntiines, chez tous les hbrairep, et au siège
ie l'administration, Î6, rue du Croissaot.
Adresser tout ce qui eqncerne l'administration, à M. F. Polo,
16, rue du Croissant, à Paris.
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Nqs Députés, brochure de 64 pages............... .. >> .50
Le Frontispice de J'Ecupss, lr0 et 2e année. Chaque
année......................................... » » 50
La Parodie de Gill. Collection complète de 21 n0,)
de 16 pages,........................;"........ 4 »j »
Caries i ansparçntes (n°3 1 i\ 15}. Chaque carte..... » » 10
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