L'ECLIPSE
Wte (Je i, „,
"- '« d'où,
10uests
lui
let'|I'.'.i;
ïïïïïn
' ,ra"f », P^C
,r» piston,
*
'wsstmuuid'w^i
» de passe-passe,
ouvrant deratt m, »i
sortant un certain m, '
•utin.
théâtre, on est miens plœE
msiciens, d'où I'od ni s,
nbie échappe,
lédie politique. '
éloignementdatffltrifi)
bien meilleur compte qe; 5
'es de la Stint.
une tiordas chanter.
il ja eudans.lasalleLiiiK
tion, il y a eu un tremtte
i Lég affecte l'esprit «ni
s n'a plus aujourd'ii jio
e feuille qui tombe.
IBS est une innovation te
ijjière employée par leTrss
buahles.
,-Cloud. Un clou d
hamp, ei
niner de (
dans le J
n'est If
M-contre l'i»W*«;
"disait le trfW**
jasdaie.*'«i*;
' le p$
rlDEN
•terne»'6
*w*> fipor'te»'"
j pourront surD
,$«
#»"'
IViON ENGAGEiEUT
—OWÏO—
i JfoTufcur FRANÇOIS POLO, directeur de Z'EcLirsE.
L'année dernière, t'uuclié de l'embarras où se trouvait l'Rspa-
gne, un comédien se proposa au Charivari pour être ce roi
introuvable que cherchent les vainqueurs des Maures. Mais ce
comédien ayant négligé de donner un répertoire sérieux, sa
proposition ne fut point acceptée. Je la reprends aujourd'hui
pour mon compte. Un an d'efforts infructueux depuis cette
époque, rendra peut-être les fils de Pelage moins difficiles sur
le choix de leurs monarques.
Je vous envoie, avec mon répertoire royal, un petit projet
d'engagement qui, je l'espère, satisfera les plus difficiles :
RÉPERTOIRE
La Juive....................... Sigismond (à cheval).
* Robert le Diable.............. Le Roi de Sicile.
La Reine de Chypre..... !___: Le Pape.
Les Chevaliers du Brouillard. Le Roi (je ne sais plus son
nom).
Hernani........................ Le Duc de Bavière.
Hamlet......................... Claudius.
Le Château des sept Tours___ Le Grand Turc.
Plus uae masse de petits princes, sans compter don José de
Santarera, premier ministre d'Espagne, dans Don César de
Eazan, ce qui m'a donné une teinture des affaires de ce pays
infortuné.
Entre les soussignés FERNAND CORTÈS, organisateur
des trônes d'Espagne,
D'unepart; ■- .
Et le sieur ALBERT GLATIGNY; prétendant libre de tout
engagement qui puisse contrevenir au présent,
D'autre part ;
A été convenu ce qui suit :
ArtjclE premier. — Le sieur Fernand Cortès. engage le sieur
Glatigny (Albert-Alexandre-Joseph), né à Lillebonne (Seine-
Inférieure), le 21 mai 1839, vacciné, pour l'emploi de Roi dd
toutes les Espagnes.
Art. 2. — Le voyage sera payé en première classe, de Paris
à Madrid, au sieur Glatigny, ainsi qu'à sa chienne Cosette, pour
aller.
Le voyage de retour est à la charge du sieur Glatigny,
Art. 3. — Le port des effets du sieur Glatigny lui sera rem-
boursé par le sieur Fernand Cortès aussitôt son .arrivée-à
Madrid.
Art. 4. — Les ares de triomphe, les acclamations, l'enthou-
siasme du populaire, en un mot, toute la banque, sont aux frais
du sieur Fernand Cortès.
Art. 5. -*1- La chienne Oosette aura ses entrées à l'Escurial.
Le sieur Glatigny qui ne veut, sous aucun prétexte, se séparer
de sa chienne, n'entend pas être exposé 'à avoir une affaire
d'honneur, à cause d'elle, avec un portier incivil, ainsi que la.
chose a failli lui arriver avec les portiers de Ravel et de Gï-11.
Art. G. ~t Le sieur Glatigny, jouissant encore d'une extinc-
tion de voix, il lui sera permis de mimer son. premier dis-
cours au peuple. Il a, d'ailleurs, dans sa garde-robe un costume
complet de Pierrot qui lui a été donné par son ami Charles
Debureau,. et qu'il endossera pour la circonstance. D'ailleurs,
l'art de la pantomine ne lui est pas étranger. Il a débuté comme
mime aux Bouffe s-Parisiens, en 1855, sous la direction de
M. Jacques ; Offenbach, en compagnie de Verudder et du père
Laplace, dans Arlequin Barbier et Pierrot Clown. Le passant des
Deux Aveugles, qui ne dit rien, peut également être compté
comme rôle de pantomime.
Art. 7. — Le costume royal, l'uniforme pour les revues et les
décorations seront fournis par le magasin. Le sieur Glatigny
s'engage à les rendre en bon état et à ne pas mettre les dia-
dans sa poche, à l'expiration de son engagement.
r. 8. — Le sieur Glatigny s'engage à être exact aux répéti-
s, raccords, etc., à peine d'un amende de cinquante centi-
s par quart d'heure de retard.
Art. 9. — Il s'engage également à faire le bonheur de son
>euple dans la faible mesure de ses moyens.
Art. 10. — Si, à l'expiration du premier mois, le public
trouve que le sieur Glatigny a joué son rôle comme un vrai
pignouf, le présent engagement sera résilié de droit, et le sieur
Glatigny n'aura d'autre indemnité à réclamer que le payement
de son premier mois d'appointements, que, d'ailleurs, on lui
aura compté à Paris avant son départ.
Art. IL — En cas de chute, l'effusion du sang sera rempla-
cée par l'effusion des cœurs.
Art. 12. —Les honoraires du correspondant seront aux frais
du sieur Fernand Cortès.
Art. 13. — Moyennant les conditions fidèlement remplies, le
sieur Fernand Cortès s'engage à payer au sieur Glatigny la
somme de un million par mois, en monnaie de France. (Comme
ça, si je tombe au bout d'un mois, il me restera encore quel-
ques sous pour revenir à Paris. Avec soixante-dix francs par
mois, il paraît qu'on vit très bien à Madrid.)
Art. 14. — Une représentation à bénéfice est accordée au
sieur Glatigny, au théâtre del Principe.
S'adresser, pour traiter, à M. Borssat, 21, faubourg Saint-
" Denis, à Paris. (Il y a un bureau spécial pour les cafés-
concerts.)
.Ces conditions- me paraissent acceptables. Entre nous, les
Espagnols auraient tort de ne pas m engager. J'ai parcouru à
pied une partie du Guipuzcoa. Anatole et Hippolyte Lionnet,
qui parlent très bien le basque, parleront en mon nom au peu-
ple et termineront leur discours par des chansonnettes ou des
imitations, à volonté. On s'amusera, et je ferai de VEeldpse le
journal officiel de toutes les Espagnes. C'est assez te dire, mon
cher Polo, qu'il faut chauffer ma candidature.
Albert Glatigny Ier.
Si don Carlos m'ennuie, Giîl soulève deux chaises à bras
tendu. Je ne lui dis que ca*. ■ •■ k. g.
&&\tttz à U iWain
La Cuisinière bourgeoise, — aïeule roturière du baron Brisse, —
affirme que, sans lièvre, il n'est point de civet...
Et moi qui n'ai pas même un chat à dépiauter pour ma gibe-
lote hebdomadairel...
Le duel pacifique de Monsieur le Soleil et de Madame la
Pluie est-il donc autre rùiose qu'une quereile de ménage auprès
des événenie-itR militaires qui vont faire le Rhin tricolore, en
mêlant la pourpre du sang à l'azur de sa nappe, à la blancheur
de son écume ?...
Les incendies que la sécheresse allume en nos forêts sont-ils
dignes de notre attention, quand un colossal embrasement
menace d'envahir l'Europe toute entière?...
Si canimus sylvas, sylvœ sint consule dhjnml
L'Ombre elle-même, t% je parle ici de celle de VOpéra-*Comi-*
que, arrivera-t~elle jamais à dompter par le charme nôtre
oreille en révolte contre les ariettes de Martha, alors que les
journaux s'époumonnent dans les clairons et crèvent la peau
des tambours, et que l'an entend, au lointain, avec le bruit
sourd des canons, la Marseillaise cri^r ; Aux Armesl...
—oO>o-
... Heureusement que j'ai sous la main un lapin!.,.
Quand vous vous seriez contentés d'un matou!...
Ce lapin a dans le ventre toute sorte de notes prises au cou-
rant de la plume pendant l'excursion de deux jours que nous
auons faite dernièrement à Granville, lors des fêtes d'inaugura-.
tion du chemin de fer...
J'ai été chargé de les accommoder...
Le plus souvent:...
J'aime bien mieux vous les servir nature}...
Et vous vous en lécherez les doigts jusqu'à la. fencaatî*3 de
l'humérus, de la clavicule et de l'omoplate.
EN "WAGON
Rien de la pièce de M. Verconsin.
On part.
Déjà de toute part
La nuit, sur le boul'vart,
Etend son ombre
Sombre...
Toute la presse invitée habite le même compartiment. Il y a là,
entre autres, Cochinat, de la Cloche,—Cocliinat, qu'on n'accusera
pas de manquer de couleur, — Morel, du Moniteur, trop beau
pour rien faire, et Dommartin, du Gaulois, qui change de linge
aussi souvent que Girardin d'opinion.
Un Monsieur est monté après eux...
— Tiens, s'écrie quelqu'un, vous êtes seul? Yous n'avez donc
pas amené Madame?
Mais non, puisque c'est un voyage d'agrément.
lie Paris à Vire
Léon Dommartin met :
A Ver.-ailles, une cravate bleue à pois blancs,
A Fiers, une cravate blanche à pois bleus...
On dort, on fume, on rit, on raconte des histoires...
Dans un village, un paysan voit passer un fifre des grena-
diers de la garde, harnaché de son bonnet à poil et de ses bran-
debourgs.
11 interroge un vieux de la vieille, — un grognard, — un mé-
daillé de Sainte-Hélène :
— Père Machin, qu'est-ce que c'est que ce petit soldat-là ?
L'ancien cherche, ne trouve pas, et finit par répondre en chif-
fonnant sa moustache grise :
— Que je crois, nonobstant et sans vous commander, que
c'est un enfant de troupe du premier empire.
De Vire à Granville
On arrive à Vire. Tout le monde demande à voir le veau de
l'endroit.
Dommartin met une cravate verte à pois roses...
11 est six heures vingt-cinq minutes...
Nous voici à Granville...
On aperçoit dans le port un joli sloop qui porte sur son tableau
de poupe : l'éclipsé...
Dommartin met une cravate uose à pois verts.
Séjour
On s'installe. Henri Morel interroge son hôte :
— Est-ce qu'il y a dss punaises ici ?
— Pas une seule, monsieur. Les cancrelats les ont mangées.
Ce Morel fait rêver les jeunes filles...
L'une d'elles s'approche de lui et sollicite la permission de le
toucher...
Un instant après, on l'entend dire à ses compagnes :
— Mesdemoiselles, il n'est pas en cire.
Mais la splendeur variée des cravates de Dommartin et le
profil de prince indien de Morel, tout cela s'atténue, s'efface et
disparaît devant le masque jus-de-réglisse et les linnes inextri-
cables de la chevelure de Cochinat. A peine entrevoient-elles
ce mulâtre bon enfant, que les populations s'écrient :
— Vive Dumas!
Car c'est ainsi, en vérité-
Partout la foule le prend pour le grand mousquetaire...
Pourquoi?
Eh! mon Dieu, parce que Cochinat ne ressemble pas seule-
ment à l'illustre romancier par la teinte du visage, — mais bien
encore par celle de l'esprit !
A deux heures, réuion des autorités à l'Hôtel-de-Ville. Le
cortège se rend à la gare, le clergé en tête, pour la bénédiction
des locomotives.
Discours de M. Croulebois,premier vicaire général du diocèse
de Cou'ances.
Décoration de M. Delaître, ingénieur en chef de la Compa-
gnie, et de M. Ribail, ingénieur de la traction.
Retour du cortège à l'église. Te Deum, musique du 1er régi-
ment des grenadiers de la garde.
A cinq heures, divertissements nautiques dans le bassin à
flot. Mat de cocagne horizontal, courses aux canards, nata-
tion.
A sept heures, banquet à la gare. Discours par : M. "Leclerc,
maire; M. le marquis de Piennes, député; M. Fessard, chef de
l'exploitation du chemin de ter; M. le vicomte Malher, préfet de
la Manche; M. Malicorne, président du tribunal de commerce;
M. le Pelletier, maire de Villedieu, et M. le Mengnonnet, pré-
sident de la chambre de commerce.
A neuf heures, feu d'artifice splcndide sur l'esplanade du
Roc. Retraite aux flambeaux. Grand bal au Casino.
Ce qui n'est point porté sur le présent programme et ce que
sont .heureux de déclarer hautement.les invités des fêtes de
Granville, c'est la courtoiste eordiale avec laquelle les a ac-
cueillis la petite cité bas-normande, dont les honneurs leur ont
été gracieusement faits par notve ami Auguste Tencé.
Il s'effectue dans les mêmes conditions que le départ...
On re-dort, on re-fume, on re-rit et l'on re-cause,...
Spécimen.
Un paysan normand achète un cheval au marché d'ua village
voisin. If ramène la bête «.-liez son lils, riche l'ermieF. Le dialogue
suivant, — qu'on nous garantit textuel, — s'établit entre le
père et le fils.
le fils, maronnant. — Pas fameux, ce cheval-là. Combien
a-t-il coûté?
le père, timidement. — Oh! pas bien, cher! Cent cinquante
écus.
le fils, furieux. — Cette rosse, cent cinquante écus! Vous
ferez donc toujours de mauvaises affaires1...
le père. — Mais ..
LE pil$, liors de lui, Yous, me ruinez.!... (4t>fifi dgftspoir ?t se
tenant la tête à deux mtj|^| Mon Dieu ( mon Dieu ! Ojucl mal-
heur c'a été pour moi quand vous êtes entré dans notre fa-
mille!...
La scène se passe au Prado. Des étudiants, les coudes sur la
table, causent des galantes publications de M- Cousin, — Ma-
dame de Longueville, Madame de Ghevreuse, Madame de Sablé, etc.
Tout à coup une étudiante se lève et applique un vigoureux
soufflet à l'un des causeurs.
Cri général.
— Qu'est-ce qu'il te prend, à toi?
l'étudiante, furieuse. — C'est vrai! Il est là, depuis une demi-
heure, à causer d'un tas de femmes!...
£M.(L;E BLONDET.
Le a'
VIENT DE PARAITRE :
33 do la UàWEUNE de BOQDILLOH.
En vente partqut — tO c.
AVIS
Par suite d'arrangements que nous venons de prendre avec
LA CLOCHE!
Journal politique quotidien, publiant dans chaque numéro, des
articles de Louis Ulbach (rédacteur en ehif), liane, Claretie,
Siebecker, Emile Zola, etc., etc. — nous pouvons offrir cet excel-
lent Journal à nos lecteurs et abonnés, à un prix très réduit :
Prix de XA CLOCHE! pour nos Abonnés
Paris i
Trois mois, 12 fr, — Six mois, 24 fr. — Un an, 48 fr.
Départements i
Trois mois, 14 fr. 50. — Six mois, 29 ir. — Un an, 58 fr.
Prix de LA CLOCHE et de L'ÉCLIPSÉ, réunis
Paris 1
Trois mois, 13 fr. 50. — Six mois, 27 fr. — Un an, 54 fr.
Départements i
Trois mois, 16 fr. -^ Six mois, 32 fr, ^ Un an, 64 fr.
Adresser les demandes au directeur de L'ECLIPSE
IX PETIT VAPEREAU
Lanterne Biographique des Ojanteinnorains
C'est la vérité pris.e sur le vif, la lumière projetée sur les fi-
gures de notre époque i figures politiques, littéraires et artisti-
ques; c'est, en un mot, la biographie satirique de tous nos
grands hommes vus en raccourci et dans le déshabillé. Lan-
terne curieuse, vivante et amusante. En vente partout : 10 cen-
times.
En Vente à la Librairie Bornet-Lejeuhe, rue de Bretagnei 58
U BIBLIOTHÈQUE POPULAIRE DES THÉÂTRES & CAFÉS-CONCERTS
Vient do paraître : Les Petits Oiseaux d'Hiver, pièce en 2 actes
Prix : 50 centimes. — Expéditions contre Mandats-Poste.
Voir, dans le Lwrel-Ghaix, l'annonce des Chemins de fer de l'Ouest
A L'OCCASION DES RÉGATES
Train <ie JPlaisir
DE
PAMS AV BATRE
Du Samedi 16 Juillet au Lundi 18 Juillet 1870
3' Classe, 9 fr. Aller cl Retour) 2a Classe, 1S fr.
Aller: Départ de PARIS (St-Lazare) Samedi16 Juillet,à 9 h. 45 soir
Retour : Départ du HAVRE Lundi 18 Juillet, à 7 h. 50 soir
Le Livret Chais se trouve chez tous Jes libraires et dans toutes les gares.
Récompense unique *™^$&>^ Esp. Havre
EAU I>BS FÉES
Teinture progressive pour les cheveux et la barbe
Rien à craindre dans l'emploi de cette -Eau merveilleuse dont
MADAME SARAH FÉLIX
s'est faite la propagatrice.
Demander la brochure à l'Entrepôt général, Paris,. 13, rue Richer, et
;hez les principaux Coiffeurs et Parfumeurs de la France et de
IftJECTIOK TARIS FOURQUES"
GUÉRISSANT EN TROIS JOURS LES MALADIES CONTAGIEUSES
RÉCENTES OU INVÉTÉRÉES
3 Francs, à la pharmacie Fourquet, 29, rue des Lombards, à la
Barbe d'Or. — Envoi franco de la brochure explicative.
NOTICE SUR UN
MOUVEIU TBAITEIENT
des Maladies contagieuses ; Ecoulements récents ou anciens.
Ulcères, Rétentions d'urine et Dartres.
Par suite d'expériences nombreuses faites comparativement
avec les autres médications sur ces maladies, même les plus in-
vétérées et lesplus rebelles, etayaut résisté à-tous lag différents
movens recommandés, ce nouveau trait ment vient d'être déclare,
parles médecins les plus célèbres, tais que professeurs, méde-
cins des hôpitaux, etc., comme ér,a!iL.leseurnioy-en de guériacm,
radicale, toujours sù-.e et très prompte; il est peu coûteux, sans
mercure et facile à suivre en secr .t.
Chez M. PECHENET, docteur îe la Faculté d'iéna, -médecw
delà Faculté de Paris, membie de plusieurs sociétés .scieittL-
fiques.
Paris, rue Connûmes, 13 {près 1$ cirque Napoléon). 5
Wte (Je i, „,
"- '« d'où,
10uests
lui
let'|I'.'.i;
ïïïïïn
' ,ra"f », P^C
,r» piston,
*
'wsstmuuid'w^i
» de passe-passe,
ouvrant deratt m, »i
sortant un certain m, '
•utin.
théâtre, on est miens plœE
msiciens, d'où I'od ni s,
nbie échappe,
lédie politique. '
éloignementdatffltrifi)
bien meilleur compte qe; 5
'es de la Stint.
une tiordas chanter.
il ja eudans.lasalleLiiiK
tion, il y a eu un tremtte
i Lég affecte l'esprit «ni
s n'a plus aujourd'ii jio
e feuille qui tombe.
IBS est une innovation te
ijjière employée par leTrss
buahles.
,-Cloud. Un clou d
hamp, ei
niner de (
dans le J
n'est If
M-contre l'i»W*«;
"disait le trfW**
jasdaie.*'«i*;
' le p$
rlDEN
•terne»'6
*w*> fipor'te»'"
j pourront surD
,$«
#»"'
IViON ENGAGEiEUT
—OWÏO—
i JfoTufcur FRANÇOIS POLO, directeur de Z'EcLirsE.
L'année dernière, t'uuclié de l'embarras où se trouvait l'Rspa-
gne, un comédien se proposa au Charivari pour être ce roi
introuvable que cherchent les vainqueurs des Maures. Mais ce
comédien ayant négligé de donner un répertoire sérieux, sa
proposition ne fut point acceptée. Je la reprends aujourd'hui
pour mon compte. Un an d'efforts infructueux depuis cette
époque, rendra peut-être les fils de Pelage moins difficiles sur
le choix de leurs monarques.
Je vous envoie, avec mon répertoire royal, un petit projet
d'engagement qui, je l'espère, satisfera les plus difficiles :
RÉPERTOIRE
La Juive....................... Sigismond (à cheval).
* Robert le Diable.............. Le Roi de Sicile.
La Reine de Chypre..... !___: Le Pape.
Les Chevaliers du Brouillard. Le Roi (je ne sais plus son
nom).
Hernani........................ Le Duc de Bavière.
Hamlet......................... Claudius.
Le Château des sept Tours___ Le Grand Turc.
Plus uae masse de petits princes, sans compter don José de
Santarera, premier ministre d'Espagne, dans Don César de
Eazan, ce qui m'a donné une teinture des affaires de ce pays
infortuné.
Entre les soussignés FERNAND CORTÈS, organisateur
des trônes d'Espagne,
D'unepart; ■- .
Et le sieur ALBERT GLATIGNY; prétendant libre de tout
engagement qui puisse contrevenir au présent,
D'autre part ;
A été convenu ce qui suit :
ArtjclE premier. — Le sieur Fernand Cortès. engage le sieur
Glatigny (Albert-Alexandre-Joseph), né à Lillebonne (Seine-
Inférieure), le 21 mai 1839, vacciné, pour l'emploi de Roi dd
toutes les Espagnes.
Art. 2. — Le voyage sera payé en première classe, de Paris
à Madrid, au sieur Glatigny, ainsi qu'à sa chienne Cosette, pour
aller.
Le voyage de retour est à la charge du sieur Glatigny,
Art. 3. — Le port des effets du sieur Glatigny lui sera rem-
boursé par le sieur Fernand Cortès aussitôt son .arrivée-à
Madrid.
Art. 4. — Les ares de triomphe, les acclamations, l'enthou-
siasme du populaire, en un mot, toute la banque, sont aux frais
du sieur Fernand Cortès.
Art. 5. -*1- La chienne Oosette aura ses entrées à l'Escurial.
Le sieur Glatigny qui ne veut, sous aucun prétexte, se séparer
de sa chienne, n'entend pas être exposé 'à avoir une affaire
d'honneur, à cause d'elle, avec un portier incivil, ainsi que la.
chose a failli lui arriver avec les portiers de Ravel et de Gï-11.
Art. G. ~t Le sieur Glatigny, jouissant encore d'une extinc-
tion de voix, il lui sera permis de mimer son. premier dis-
cours au peuple. Il a, d'ailleurs, dans sa garde-robe un costume
complet de Pierrot qui lui a été donné par son ami Charles
Debureau,. et qu'il endossera pour la circonstance. D'ailleurs,
l'art de la pantomine ne lui est pas étranger. Il a débuté comme
mime aux Bouffe s-Parisiens, en 1855, sous la direction de
M. Jacques ; Offenbach, en compagnie de Verudder et du père
Laplace, dans Arlequin Barbier et Pierrot Clown. Le passant des
Deux Aveugles, qui ne dit rien, peut également être compté
comme rôle de pantomime.
Art. 7. — Le costume royal, l'uniforme pour les revues et les
décorations seront fournis par le magasin. Le sieur Glatigny
s'engage à les rendre en bon état et à ne pas mettre les dia-
dans sa poche, à l'expiration de son engagement.
r. 8. — Le sieur Glatigny s'engage à être exact aux répéti-
s, raccords, etc., à peine d'un amende de cinquante centi-
s par quart d'heure de retard.
Art. 9. — Il s'engage également à faire le bonheur de son
>euple dans la faible mesure de ses moyens.
Art. 10. — Si, à l'expiration du premier mois, le public
trouve que le sieur Glatigny a joué son rôle comme un vrai
pignouf, le présent engagement sera résilié de droit, et le sieur
Glatigny n'aura d'autre indemnité à réclamer que le payement
de son premier mois d'appointements, que, d'ailleurs, on lui
aura compté à Paris avant son départ.
Art. IL — En cas de chute, l'effusion du sang sera rempla-
cée par l'effusion des cœurs.
Art. 12. —Les honoraires du correspondant seront aux frais
du sieur Fernand Cortès.
Art. 13. — Moyennant les conditions fidèlement remplies, le
sieur Fernand Cortès s'engage à payer au sieur Glatigny la
somme de un million par mois, en monnaie de France. (Comme
ça, si je tombe au bout d'un mois, il me restera encore quel-
ques sous pour revenir à Paris. Avec soixante-dix francs par
mois, il paraît qu'on vit très bien à Madrid.)
Art. 14. — Une représentation à bénéfice est accordée au
sieur Glatigny, au théâtre del Principe.
S'adresser, pour traiter, à M. Borssat, 21, faubourg Saint-
" Denis, à Paris. (Il y a un bureau spécial pour les cafés-
concerts.)
.Ces conditions- me paraissent acceptables. Entre nous, les
Espagnols auraient tort de ne pas m engager. J'ai parcouru à
pied une partie du Guipuzcoa. Anatole et Hippolyte Lionnet,
qui parlent très bien le basque, parleront en mon nom au peu-
ple et termineront leur discours par des chansonnettes ou des
imitations, à volonté. On s'amusera, et je ferai de VEeldpse le
journal officiel de toutes les Espagnes. C'est assez te dire, mon
cher Polo, qu'il faut chauffer ma candidature.
Albert Glatigny Ier.
Si don Carlos m'ennuie, Giîl soulève deux chaises à bras
tendu. Je ne lui dis que ca*. ■ •■ k. g.
&&\tttz à U iWain
La Cuisinière bourgeoise, — aïeule roturière du baron Brisse, —
affirme que, sans lièvre, il n'est point de civet...
Et moi qui n'ai pas même un chat à dépiauter pour ma gibe-
lote hebdomadairel...
Le duel pacifique de Monsieur le Soleil et de Madame la
Pluie est-il donc autre rùiose qu'une quereile de ménage auprès
des événenie-itR militaires qui vont faire le Rhin tricolore, en
mêlant la pourpre du sang à l'azur de sa nappe, à la blancheur
de son écume ?...
Les incendies que la sécheresse allume en nos forêts sont-ils
dignes de notre attention, quand un colossal embrasement
menace d'envahir l'Europe toute entière?...
Si canimus sylvas, sylvœ sint consule dhjnml
L'Ombre elle-même, t% je parle ici de celle de VOpéra-*Comi-*
que, arrivera-t~elle jamais à dompter par le charme nôtre
oreille en révolte contre les ariettes de Martha, alors que les
journaux s'époumonnent dans les clairons et crèvent la peau
des tambours, et que l'an entend, au lointain, avec le bruit
sourd des canons, la Marseillaise cri^r ; Aux Armesl...
—oO>o-
... Heureusement que j'ai sous la main un lapin!.,.
Quand vous vous seriez contentés d'un matou!...
Ce lapin a dans le ventre toute sorte de notes prises au cou-
rant de la plume pendant l'excursion de deux jours que nous
auons faite dernièrement à Granville, lors des fêtes d'inaugura-.
tion du chemin de fer...
J'ai été chargé de les accommoder...
Le plus souvent:...
J'aime bien mieux vous les servir nature}...
Et vous vous en lécherez les doigts jusqu'à la. fencaatî*3 de
l'humérus, de la clavicule et de l'omoplate.
EN "WAGON
Rien de la pièce de M. Verconsin.
On part.
Déjà de toute part
La nuit, sur le boul'vart,
Etend son ombre
Sombre...
Toute la presse invitée habite le même compartiment. Il y a là,
entre autres, Cochinat, de la Cloche,—Cocliinat, qu'on n'accusera
pas de manquer de couleur, — Morel, du Moniteur, trop beau
pour rien faire, et Dommartin, du Gaulois, qui change de linge
aussi souvent que Girardin d'opinion.
Un Monsieur est monté après eux...
— Tiens, s'écrie quelqu'un, vous êtes seul? Yous n'avez donc
pas amené Madame?
Mais non, puisque c'est un voyage d'agrément.
lie Paris à Vire
Léon Dommartin met :
A Ver.-ailles, une cravate bleue à pois blancs,
A Fiers, une cravate blanche à pois bleus...
On dort, on fume, on rit, on raconte des histoires...
Dans un village, un paysan voit passer un fifre des grena-
diers de la garde, harnaché de son bonnet à poil et de ses bran-
debourgs.
11 interroge un vieux de la vieille, — un grognard, — un mé-
daillé de Sainte-Hélène :
— Père Machin, qu'est-ce que c'est que ce petit soldat-là ?
L'ancien cherche, ne trouve pas, et finit par répondre en chif-
fonnant sa moustache grise :
— Que je crois, nonobstant et sans vous commander, que
c'est un enfant de troupe du premier empire.
De Vire à Granville
On arrive à Vire. Tout le monde demande à voir le veau de
l'endroit.
Dommartin met une cravate verte à pois roses...
11 est six heures vingt-cinq minutes...
Nous voici à Granville...
On aperçoit dans le port un joli sloop qui porte sur son tableau
de poupe : l'éclipsé...
Dommartin met une cravate uose à pois verts.
Séjour
On s'installe. Henri Morel interroge son hôte :
— Est-ce qu'il y a dss punaises ici ?
— Pas une seule, monsieur. Les cancrelats les ont mangées.
Ce Morel fait rêver les jeunes filles...
L'une d'elles s'approche de lui et sollicite la permission de le
toucher...
Un instant après, on l'entend dire à ses compagnes :
— Mesdemoiselles, il n'est pas en cire.
Mais la splendeur variée des cravates de Dommartin et le
profil de prince indien de Morel, tout cela s'atténue, s'efface et
disparaît devant le masque jus-de-réglisse et les linnes inextri-
cables de la chevelure de Cochinat. A peine entrevoient-elles
ce mulâtre bon enfant, que les populations s'écrient :
— Vive Dumas!
Car c'est ainsi, en vérité-
Partout la foule le prend pour le grand mousquetaire...
Pourquoi?
Eh! mon Dieu, parce que Cochinat ne ressemble pas seule-
ment à l'illustre romancier par la teinte du visage, — mais bien
encore par celle de l'esprit !
A deux heures, réuion des autorités à l'Hôtel-de-Ville. Le
cortège se rend à la gare, le clergé en tête, pour la bénédiction
des locomotives.
Discours de M. Croulebois,premier vicaire général du diocèse
de Cou'ances.
Décoration de M. Delaître, ingénieur en chef de la Compa-
gnie, et de M. Ribail, ingénieur de la traction.
Retour du cortège à l'église. Te Deum, musique du 1er régi-
ment des grenadiers de la garde.
A cinq heures, divertissements nautiques dans le bassin à
flot. Mat de cocagne horizontal, courses aux canards, nata-
tion.
A sept heures, banquet à la gare. Discours par : M. "Leclerc,
maire; M. le marquis de Piennes, député; M. Fessard, chef de
l'exploitation du chemin de ter; M. le vicomte Malher, préfet de
la Manche; M. Malicorne, président du tribunal de commerce;
M. le Pelletier, maire de Villedieu, et M. le Mengnonnet, pré-
sident de la chambre de commerce.
A neuf heures, feu d'artifice splcndide sur l'esplanade du
Roc. Retraite aux flambeaux. Grand bal au Casino.
Ce qui n'est point porté sur le présent programme et ce que
sont .heureux de déclarer hautement.les invités des fêtes de
Granville, c'est la courtoiste eordiale avec laquelle les a ac-
cueillis la petite cité bas-normande, dont les honneurs leur ont
été gracieusement faits par notve ami Auguste Tencé.
Il s'effectue dans les mêmes conditions que le départ...
On re-dort, on re-fume, on re-rit et l'on re-cause,...
Spécimen.
Un paysan normand achète un cheval au marché d'ua village
voisin. If ramène la bête «.-liez son lils, riche l'ermieF. Le dialogue
suivant, — qu'on nous garantit textuel, — s'établit entre le
père et le fils.
le fils, maronnant. — Pas fameux, ce cheval-là. Combien
a-t-il coûté?
le père, timidement. — Oh! pas bien, cher! Cent cinquante
écus.
le fils, furieux. — Cette rosse, cent cinquante écus! Vous
ferez donc toujours de mauvaises affaires1...
le père. — Mais ..
LE pil$, liors de lui, Yous, me ruinez.!... (4t>fifi dgftspoir ?t se
tenant la tête à deux mtj|^| Mon Dieu ( mon Dieu ! Ojucl mal-
heur c'a été pour moi quand vous êtes entré dans notre fa-
mille!...
La scène se passe au Prado. Des étudiants, les coudes sur la
table, causent des galantes publications de M- Cousin, — Ma-
dame de Longueville, Madame de Ghevreuse, Madame de Sablé, etc.
Tout à coup une étudiante se lève et applique un vigoureux
soufflet à l'un des causeurs.
Cri général.
— Qu'est-ce qu'il te prend, à toi?
l'étudiante, furieuse. — C'est vrai! Il est là, depuis une demi-
heure, à causer d'un tas de femmes!...
£M.(L;E BLONDET.
Le a'
VIENT DE PARAITRE :
33 do la UàWEUNE de BOQDILLOH.
En vente partqut — tO c.
AVIS
Par suite d'arrangements que nous venons de prendre avec
LA CLOCHE!
Journal politique quotidien, publiant dans chaque numéro, des
articles de Louis Ulbach (rédacteur en ehif), liane, Claretie,
Siebecker, Emile Zola, etc., etc. — nous pouvons offrir cet excel-
lent Journal à nos lecteurs et abonnés, à un prix très réduit :
Prix de XA CLOCHE! pour nos Abonnés
Paris i
Trois mois, 12 fr, — Six mois, 24 fr. — Un an, 48 fr.
Départements i
Trois mois, 14 fr. 50. — Six mois, 29 ir. — Un an, 58 fr.
Prix de LA CLOCHE et de L'ÉCLIPSÉ, réunis
Paris 1
Trois mois, 13 fr. 50. — Six mois, 27 fr. — Un an, 54 fr.
Départements i
Trois mois, 16 fr. -^ Six mois, 32 fr, ^ Un an, 64 fr.
Adresser les demandes au directeur de L'ECLIPSE
IX PETIT VAPEREAU
Lanterne Biographique des Ojanteinnorains
C'est la vérité pris.e sur le vif, la lumière projetée sur les fi-
gures de notre époque i figures politiques, littéraires et artisti-
ques; c'est, en un mot, la biographie satirique de tous nos
grands hommes vus en raccourci et dans le déshabillé. Lan-
terne curieuse, vivante et amusante. En vente partout : 10 cen-
times.
En Vente à la Librairie Bornet-Lejeuhe, rue de Bretagnei 58
U BIBLIOTHÈQUE POPULAIRE DES THÉÂTRES & CAFÉS-CONCERTS
Vient do paraître : Les Petits Oiseaux d'Hiver, pièce en 2 actes
Prix : 50 centimes. — Expéditions contre Mandats-Poste.
Voir, dans le Lwrel-Ghaix, l'annonce des Chemins de fer de l'Ouest
A L'OCCASION DES RÉGATES
Train <ie JPlaisir
DE
PAMS AV BATRE
Du Samedi 16 Juillet au Lundi 18 Juillet 1870
3' Classe, 9 fr. Aller cl Retour) 2a Classe, 1S fr.
Aller: Départ de PARIS (St-Lazare) Samedi16 Juillet,à 9 h. 45 soir
Retour : Départ du HAVRE Lundi 18 Juillet, à 7 h. 50 soir
Le Livret Chais se trouve chez tous Jes libraires et dans toutes les gares.
Récompense unique *™^$&>^ Esp. Havre
EAU I>BS FÉES
Teinture progressive pour les cheveux et la barbe
Rien à craindre dans l'emploi de cette -Eau merveilleuse dont
MADAME SARAH FÉLIX
s'est faite la propagatrice.
Demander la brochure à l'Entrepôt général, Paris,. 13, rue Richer, et
;hez les principaux Coiffeurs et Parfumeurs de la France et de
IftJECTIOK TARIS FOURQUES"
GUÉRISSANT EN TROIS JOURS LES MALADIES CONTAGIEUSES
RÉCENTES OU INVÉTÉRÉES
3 Francs, à la pharmacie Fourquet, 29, rue des Lombards, à la
Barbe d'Or. — Envoi franco de la brochure explicative.
NOTICE SUR UN
MOUVEIU TBAITEIENT
des Maladies contagieuses ; Ecoulements récents ou anciens.
Ulcères, Rétentions d'urine et Dartres.
Par suite d'expériences nombreuses faites comparativement
avec les autres médications sur ces maladies, même les plus in-
vétérées et lesplus rebelles, etayaut résisté à-tous lag différents
movens recommandés, ce nouveau trait ment vient d'être déclare,
parles médecins les plus célèbres, tais que professeurs, méde-
cins des hôpitaux, etc., comme ér,a!iL.leseurnioy-en de guériacm,
radicale, toujours sù-.e et très prompte; il est peu coûteux, sans
mercure et facile à suivre en secr .t.
Chez M. PECHENET, docteur îe la Faculté d'iéna, -médecw
delà Faculté de Paris, membie de plusieurs sociétés .scieittL-
fiques.
Paris, rue Connûmes, 13 {près 1$ cirque Napoléon). 5