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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0155
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TJoas'Oaaesait.

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'a œisaatutopie.
lest sombre; Utopie
il parle dans les lois
nieunloupausate,
fortuné Becqae
s d'un Tchèque.. '
ce poète : on dirait
dans un endroit setret.

, Soigneur,

a des armées.

ez notre secours,

', le Prcvel des Tieuijoors,

raronné de roses,

a, folâtrait dans les proses.

:ieuj qui n'est pins

s monts chevelus

des nymphes a

es boucles v

i et d'or! Vierges,pleani!
des bosquets sacrés

s blanches tourterelles,

les sanglantes querelles
s grands ouïs velus 1
Votre Prével n'est plnl

imii ejBBt

O francs!

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remîtes. S"? ™ ,tB,«ii

^rçette à te JWain

Quelques jours après la révolution de février, un ancien mi-
nistre de Louis-Philippe, disait à |un général non moins connu
pour sa bravoure que pour son attachement à la famille déchue :

— Vous allez avoir l'Europe sur les bras.... —: Que ferez-
vous ?... — La France est devenue un fumier...

— Eh bien, repondit l'autre, je défendrai ce fumier.

—ogSjo—

... Fumier des écuries d'Augias; si voulez, ô vous qui rêvez
de glisser la « petite balle » de Pyat dans le fusil à aiguille de
Schoucrouttmann...

Pourtant, il s'agit de le défendre.

Voilà pourquoi, dans ce journal si souvent tracassé pour
d'iiioffensives malices, mais où chacun démeure libre de dire sa
pensée haut et ferme; voilà pourquoi je voudrais pouvoir chan-
ger en bourdon mon rire argentin, — en bourdon dont 3a vois
puissante sonne le tocsin des batailles et annonce la victoire
aux peuples impatients!.

Mais quoi! parmi les héroïques déguenillés de Fleurus et de
Jemmapes,parmi les sublimes va-nu-pieds du Camp de la Lune
et de Valmy, il y'avait'des tapins' au tricorne à la crâne et des
fifres à la flamme rouge qui battaient la charge avec rage, et
soufflaient : En avant! dans leur turlututu sous la lance des
uhlans et le sabre des hussards de la mort !...

Nous voulons être ces gamins.

Nous sténographierons pour vous les côtés comiques de, la
guerre...

Elle en a. Nos grands-pères n'ont-ils pas vu les fantassins de
Brunswick retenir à deux mains leur culotte déboutonnée en
fuyant à travers les vignes cliampenoises !...

Rien n'est absolument triste, d'ailleurs. M. Alexandre "Weill,
lui-même, se montre parfois amusant, et il m'est arrivé de ne
pas m'endormir aux chansonnettes des frères Lionnet!.. .*

Et puis, de quoi vous parlerai-je"?

De M. Bergerat et de Père et Mari? — U. Bergerat est de
l'école de M. Touroude. Car il paraît que M. Touroude a fondé
une école : comme si celle qu'il a faite avec la Charmeuse, h
l'Ambigu, ne lui suffisait point!...

Dans cette école, on est brutal...

Le canon aussi est brutal, et il ne s'en vante pas : au con-
traire !...

Vous parlerai-je de l'Ombre et de ses interprètes?...

J'avouerai volontiers que l'Ombre n'est pas une chose si sou-
verainement méprisable pu- un soleil qui ferait éclore des ceufd
de dinde sous mademoiselle Moisset...

J'ajouterai pareillement qu'il n'est point de réfrigérant com-
parable à mademoiselle Marie-Rose ; que M. Meillet est excel-
lent, et que les yeux de la Priola ont été fabriqués d'après le
système de M. Ohassepot,.,

Quant à Montjauze, la belle madame de Nucingen, qui pro-
nonce le français comme une Dévéria espagnole, s'est écriée :

— Messieurs, che ne fus Us que ça, si fus puviez foir Monl-
ohauze !...

De quoi vous parlerai-je encore ?

Du terme de juillet que vous avez payé hier, — des proprié-
taires, — des portiers ?
Les mitrailleuses sont moins terribles.

Un de nos amis, -^qui vient de louer un appartement de
mille francs dans la rue de Navaïin, — a donné h son concierge,
en emménageant, cinq francs de denier à Dieu.

Le concierge les lui a rendus d'un air digne :

— Pardon, c'est dix francs que monsieur me doit.

— Comment dix francs?

— Pafaitement. Nous taxons le denier à Dieu d'après le prix
de la location. C'est un pour cent,

—o@ra—

Passons aux propriétaires.

M. £... est l'heureux possesseur d'une maison sise rue Ame-
lot; il se. présente le 15 pour toucher son terme chez M. Daniel,
honnête fabricant qui occupe le deuxième étage de cet im-
meuble.

— Bonjour, cher monsieur Daniel, comment va?

— Tout doucement. Vous venez pour le terme?

— Mais oui.

— Diable! dit le locataire, vous me voyez désolé, cher mon-
sieur, et... je ne suis pas en mesure.

— Qu'à cela ne tienne, répondit le propriétaire, ce n'est pas
entre deux vieilles connaissances comme nous qu'on s'inquiète
pour si peu. Dites donc, ne vous gênez pas; je monte chez Ber-
trand, vous savez, mon locataire du quatrième; en redescen-
dant, je repasserai, voilà tout.

Finissons*en avec ce sujet — si fertile en enseignements —
par une petite comédie en trois journées, dont la moralité, —
non, l'immoralité, —n'échappera à personne.

Première journée

Mademoiselle B ... visite un appartement aux" environs de la
l rue da Gros-Caillou; l'appartement lui va comme un gant.
il central et direct, e L'engagement,1 passé avec lé propriétaire, Je,st 'bien et dûment

:'- scellé ; le 'denier à dieu est donné au cbneierge. : i ■, ,

Deuxième journée

Mademoiselle B... a trouvé un- parti-dnns Tentr'aete. W$ê
s'est mariée. Outre le mobilier, on vient pour emménager un
mari.

— Un mari pour de vrai? s'écrie le propriétaire.

— Evidemment, monsieur, riposte la locataire scandalisée.
Pour qui me prenez-vous donc ? ,

~r- .Alors, je n'en veux pas ! , ,

Stupéfaction du couple. Duo de réclamations. Le propriétaire
demeure inflexible. Les meubles et le ménage restent à la porte.
Tableau.

Troisième jonrafte

Mêmes personnages que ei-dessus, -- plus un quatrième ; —
c'êgt le juge de paix. ' -«• ■

le juge de paix. — Comment, monsieur, ce qu'on me dit est $

nourri" ^ïde**
„/ueura.t sa

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"i^ nul*!

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arriTer

a pic*" .. .
nantit e

L'ECLIPSE

vrai ? Vous ne voulez pas recevoir madame parce qu'elle a un
mari ?

le PitoPimîTAiRE. Mon Dieu, monsieur le juge, je ne ferais pas
la moindre difficulté, croyez-le, si madame avait seulement un
amant.

le juge de paix, sévèrement, Est-ce une plaisanterie, monsieur ?

le propriétaire. Du tout; c'est de la sagesse et de l'expé-
rience. C'est que j'ai été amené à faire une remarque, voyez-
vous 1 Des couples, légitimes ou non, — ça ne manque jamais
de se quereller. Mais les illégitimes, c'est moins désagréable,
attendu que l'un des deux amants finit ' toujours par mettre
l'autre à la porte.

SUR LE BOULEVARD

On cause de la guerre.

Quelqu'un parle de l'éventualité d'un changement de ca-
binet.

— Que feront les nouveaux ministres? demande un auditeur.

—Bah ! réplique un monsieur, leur choix est indifférent.' Ce sont
des chiens dans un tourne-broche ; il suffit qu'ils remuent les
pattes pûur que tout aj;|)e kjen_ Que je chien soit beau, qu'il ait
de l'intelligence ou du nez, ou rien de tout cela, la broche
tourne, et le souper sera toujours à peu près bon.

Il y a une quinzaine d'années, mon compatriote Valentin —< le
dessinateur de VIllustration, — poussa, des Vosges, une pointe
en Prusse, avec plusieurs amis, et, entre autres, avec un de nos
peintres les plus distingués, avec M. Haffner.

M. Haffner a la tournure et la physionomie militaires : il por-
tait une redingote boutonnée et de grandes bottes pardessus son
pantalon. Il avait tout à la fois l'air d'un officier en bourgeois ;
il avait une lorgnette avec laquelle il étudiait le pays, et un
album sur lequel il prenait des notes. Les gendarmes prussiens
tournaient autour de lui d'un air observateur.

Enfin l'un d'eux s'approche discrètement du groupe des tou-
ristes, et, comme une jolie femme qui ne dit ce qu'elle veut
que dans le post-scriptum de sa lettre, il a l'air de ne pas voir
M. Haffner et commence par les autres.

— Messieurs, votre passeport, s'il vous plaît.

Aucun de ces Messieurs n'avait, de paaseport» mais tous étaient
connus dans le pays; cela ne souffrit pas la moindre difficulté
de la part du gendarme. Enfin arriva le tour de M. Haffner.

— Et vous, Monsieur l'Officier de dragons, dit le gendarme,
avez-vous un passeport ?

Haffner parut embarrassé, se troubla, fît semblant de cher-
cher dans ses peckes et de ne pas trouver. Plus il avait l'air en-
nuyé, plus le Prussien se cambrait et prenait l'air impassi-
ble et sévère. Enfin, Haffner met la main sur son passeport et
le donne au compatriote de M. de Bismark.

— C'est très bien, monsieur, dit notre Allemand, mais je ne
lis pas très bien le français ; permettea-moi d'aller montrer votre
passeport ici près; je reviens à l'instant même.

— Faites, répondit Haffner d'un air digne.

Un quart d'heure après, en effet, le gendarme rapporte le
passeport sur lequel-on avait lu ces mots rassurants,: Haffner,
artiste peintre. Il le rend à son propriétaire et le salue trèi poli-
ment.

— Vous êtes rassuré? dit Haffner.

— Certainement, monsieur le peintre.

— Et vous ne me prenez plus pour un officier de dragons?

— Oh! non!

— Ainsi, reprit Haffner avec le plus grand sançfroid, vous
croyez bonnement que si le gouvernement français envoyait des
officiers dans votre pays pour en relever les positions et les
passages, il se gênerait pour donner à ces officiers des passe-
ports de peintres !

—o^;o—

Le gendarme ouvrit la bouche et resta stupéfait.

Il est impossible de dire dans quelles perplexités le jetait
cette insidieuse question : le passe-port était en règle, on ne
dit rien à Haffner.

Seulement, deux jours après, le Mercure de Souabe racontait
l'aventure en faisant de Valentin et d'Haffner deux officiers d'é-
tat-major; et les'MiUlacrische Ulaellers dénonçaient à l'Europe —
avec indignation — la duplicité de la France qui faisait étudier
par des capitaines déguisés les points faibles des frontières de
Prusse ! ^

Nous jasions, — à table, — chez madame de F..,, de notre
armée et de l'entrée en campagne.

On vanta la sobriété de nos jeunes soldats.

J'étais assis à côté d'un grognard de la première Répu-
blique.

— Monsieur, me dit-il, nous sommes restés quinze jours, au
siège de Mayence, sans rien manger, mais rien, pas un centi-
mètre de vivre.'

— Quinze jours! C'est bien long.

— Monsieur, reprit-il, il est vrai que c'est long, aussi étions-
nous dans un fichu état; pour tout vous dire, nous avions fini
par avoir des toiles d'araignées... je ne vous dirai pas où, — il
y a des dames.

EMILE BLONDET.

BOISSOM HYGIÉNIQUE

C'est surtout pendant les chaleurs de l'été qu'il convient de
se tenir en garde contre l'usage immodéré des boissons. Dans
le but d'étancher une soif d'autant plus ardente que la tempé-
rature est plus élevée, on absorbe souvent des quantités consi-
dérables d'eau pure, d'eau vinaigrée ou coupée d'eau-de-vie ou
de boissons plus ou moins fe. mentées. De là «es dyssenteries,
diarrhées, coliques ou autres affections qui régnent surtout en
été et qui trop souvent dégénèrent cri épidémie, surtout là où il
y a agglomération d'individus

Il était donc d'une haute importance de trouver une boisson
hygiénique qui permît dans tous les cas et à peu de frais de se
désaltérer dans les limites du besoin, sans provoquer aucun de
ces accidents. Ce n'esc^pas d'aujourd'hui qu'on a abordé le pro-
blème ; les hommes spéciaux s'en sont x>reoccupés maintes ibis,
mais sans le résoudre sur tous les points. Comme dans beau-
coup de questions on avait cherché fort loin ce qu'on avait sous
la main, un produit très-commun, de bas prix, qu'il suffît de
purifier convenablement, le goudron.

De tous les produits que possède l'hygiène, celui qui réunit les
propriétés les plus puissantes et les plus indiscutables est cer-
tainement le goudron. L'eau de goudron, dont l'usage remonte
au siècle dernier, fut prise d'abord chez les Anglais, après un
mémoire remarquable sur les vertus de ce produit, écrit par Ber-

keley, _ évêque de Cloyne, qui observa sur lui-même les effets
salutaires de cette boisson dans une traversée qu'il fit en Is-
lande, dans laquelle tout l'équipage dont il faisait partie fut sur
le point d'être décimé par le typhus. Mais la difficulté de sa
préparation, son dosage irrégulier et la répugnance qu'on avait
a manier le goudron furent autant de motifs pour lesquels
l'usage de l'eau de goudron fut restreint pendant longtemps ,
ce n'est que depuis quelques années qu'elle fut de nouveau mise
en faveur, grâce à la préparation fort ingénieuse qui porte le
nom de son inventeur, le Goudron de Guyot. Cette liqueur con-
tient à l'état de_dissolution toutes les parties résineuses essen-
tiellement hygiéniques et salutaires du goudron, à l'exclusion
des principes acres et empyreumatiques ; elle constitue un mo-
dificateur puissant des muqueuses de l'estomac, des bronches
et de la vessie, et enfin, dans le cas actuel, une boisson agréable
et surtout éminemment hygiénique qui, non-seulement ne pro-'
voque pas d'accidents, mais encore prévient souvent les affec-
tions causées soit par les chaleurs soit par l'abus des fruits.
Son mode d'emploi est des plus faciles, puisqu'il suffit d'en ver-
ser une cuillerée à café dans un verre d'eau, ou denx cuillerées
a bouche dans un litre d'eau pour obtenir, au moment du besoin
une eau de goudron agréable au goût et douée de toutes les
propriétés iiygiéniques du goudron. Quant à son prix, il est
minime à cp point qu'un flacon de goudron Guyot, du prix de deux
francs, peut servir à préparer une douzaine de litres d'eau de
goudron.

_ Déjà.en usage dans de grandes fabriques, dans des imprime-
ries importantes, le goudron de Guyot est appelé à une grande
popularité d'autant plus méritée quila résolu une question qui
intéressait toutes les classes de la société

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