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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0183
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L'ECLIPSE

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Au». Mais, nenni, ce n'est point une coquette. Seulement elle
est glorieuse, voyez-vous, et le dimanche elle met une belle
crinoline, oui.

Et puis faut-il en vouloir à une jeunesse parce que, pour aller
traire (ce qui est l'heure du bois au village), elle s'attife et se
met de la pommade ?

— Brin, brinl ainsi que dit la bonne femme sa grand'mère;
brin, brin, faut-il pas aller traire les vaques en cotillon loqueté.
comme ceux qui demandent leur pain? nenni, ma fille.

Mélie est une belle créature qui a du pain à manger, et qui se
remare comme une dame.

Bile devait, après la mia (la mi-août), se marier avec Jean
Pezet.

Mais !a guerre malheureuse est venue. On a rappelé Jean.
C'est demain qu'il part pour Saint-..., le dépôt de son régi-
ment. De là, il s'en ira cribler les Prussiens sur le Rhin.

Hélas, mon Dieu, hélas ! c'est le troisième du hameau! disent
. ]es bonnes gens,

C'est donc la dernière relevée que fait Jean, aujourd'hui, et'le
cœur lui a manqué ce matin devant ie caudron à bouillie. Il n'a
pu prendre sa vie.

Le gloussement familier des oies dans la cour a failli le. faire
pleurer. Ce que c'est!...

Aussi, de côté et d'autre, c'est bien tristement que. Jean et
Mélie vont scier, avec leurs gens.

— Tenez, les voilà qui sa rencontrent tous deux à la Çroix-
Bel-Air, dans la Cache des Clos-Ertot.

Et ils devisent, en marchant :
« — Eh biè, Jean?
^ Eh biè, Mélie?

— Clvest-il demain que tu vas tracter les ordres, à Sajui...

— Hélas! ma fille, oui... hélas!

— Allons, t'erjuespas comme cha Tu reviendras drochi, mon
cœur.

— C'qui m'erjuc. c'est point d'aller à la guerre, c'est délais-
ser là, ma fille, maintenant.

— Tu reviendras, que j'te dis; il faut que tu partes. Faut
faire ton devoir, comme tous les garçons d'abord...

— Et si que j'suis criblé?...

— Tu n'seras point criblé; il y a un Dieu, et on ne trahira
plus.. - il n'y a pas de soin (de danger).

— Et si ca dure des années de treize mois!

— Eh biè, j'aurai les pied i- ta-unts; mais je n'en serai point ar-
juée (ennuyée) pour cela.

— Oui, tu auras les pieds jaunes, et les fillettes riront de toi,

— Elles n'auront point tant de jeu que ça, monsieur; Une fille
qui fait ses pieds jaunes, quand son futur sert le pays, comme
l'a dit le curé, ne prête point à rire, vois-tu mon Jean.

— Eh biè, puisque tu m'assures que tu m'attendras, même
jusqu'à avoir les pieds jaunes, eh bien, je pars content.

— Oui, car je ne me sentirais plus rien pour toi, si tu ne fai-
sais pas ton devoir. Et puisque les Prussiens ont criblé nos
gens, il faut songer à défendre son pays, premier que d'être heu-
reux. Le bonhomme m'a préchi ça, hier au se. Et je ne lui donne
point de blâme.

— Et moi aussi. C'est de voir tout cha, vois-tu, ces froments,
ces caches, ces bétons, tout le hameau qui me fait mal; mais
une fois parti, je ne penserai plus qu'à toi, Mélie, et à défendre
cette France...

— Jean, je t'aime d'exc'ès quand tu prêches comme cha... C'est
d'un bon garçon... allons, quitte-moi, je vais scier. A ce soir.

— A ce soir, ma fille 1 nous deviserons plus longtemps.. -

Et Jean embrasse Mélie, et Mélie embrasse Jean, à l'abri
d'une touffe d'ajoncs fleuris.

Et tous deux s'en vont au labeur, le cœur plus léger.

Et pourtant, pour Mélie, c'est dur de penser qu'elle pourra
avoir les pieds jaunes, tandis que , peut-être, son Jean lan-
guira prisonnier en Allemagne, ou dans un hôpital.

Mais la pensée du devoir accompli, c'est bon, « c'est d'excès
bon, d'excès! » comme dit Mélie, sans penser qu'elle a fait noble-
ment le sien, en encourageant son fiancé à la quitter pour dé-
fendre la patrie en danger.

Cent mille autres paysannes, aussi obscures que Mélie, rem-
plissent en ce moment la même tâche suprême, avec la même
simplicité courageuse.

Hélas ! et elles acceptent bravement d'avoir les pieds Jaunes
— ce qui est humiliant au hameau comme à la ville, où cela
s'appelle coiffer Sainte Catherine, — pourvu que leur mari futur
aille cribler ces Prussiens de malheur, qui mettent tout à .feu
et à sang.

Espérons que la pauvre Mélie, qui a vingt-quatre ans passés,
nç verra point ses pieds blancs de jeune fille jaunir avec l'âge,
avant que la paix ne soit signée, et une paix glorieusement
achetée.

Espérons que son Jean lai reviendra bientôt.

Et, Vive la France 1

ERWEST n'HERVILLY'

*----^-£l3*-£><^**L&"~^—•

Paris, qui ne rit pas encore comme une petite folle, ne pleure
déjà plus comme une grande bête.

On a regardé la situation entre les yeux.

"Il serait oiseux de prétendre que cette situation ressemble —
en tant que beauté — à Chilpérique d'Antigny où à Hortense
de Gerolstein...

Mais elle me paraît non moins facile à dominer que ces deux
magnifiques et surabondantes personnes.

Nos pères oïit eu l'Europe -sur les bras.

Voilà, alarmistes et pessimistes, quelque chose d'aussi embar-
rassant que la maman Thierret.

L'Europe 1...

Eh bien, elle ne leur a pas pesé plus lourd à manier à bout
de doigts que mademoiselle Sarah Bernhardt!
;tl s'agit d'imiter nos pères.

■ Sans qu'aucun de nos muscles tressaille sous notre peau, lais-
sons le sanglier s'éloigner de sa bauge et pousser sur nos terres
sa portée de marcassins.,.

La meute les suit et le chasseur les guette! Allons, un coup
de crocs, soldats, chiens sublimes, et toi, 0 carabine du peuple,
feu !

—0(ggo—

Certes, il en arrivera de la bande à Bismark ce qu'il advint
du pou de M- de Corbière.

M de Corbière était, disent les contemporains, un ministre
charmant, très honnête, très instruit, très spirituel, — et, au.
total, un homme à ne pas prendre avec des pincettes. H portait
la tenue d'un portier jusqu'en plein conseil. Un jour, Louis XVIII
se pencha vers lui et lui dit à l'oreille:

— Vous devenez impossible, Corbière! Savez-vous qu'il y a
un insecte sur le collet de votre habit?

M. de Corbière, sans s'émouvoir, répondit sur le même ton :

— Chut, sire ! N'en dites rien ! On croirait que je l'ai gagué au
service de Votre Majesté !

Puis, cueillant délicatement l'insecte entre le pouce et l'in-ï
dex, le ministre le déposa sur la table de travail du roi et abat-
tit l'ongle dessus.

Un petit claquement retentit.

Le pou avait vécu !

La plupart de ceux de nos confrères qui étaient allés assister
aux débuts de la guerre, en sont revenus cette semaine. Seul,
d'Aulnay se concentre sous Metz. Son moral est excellent. On
s'attend à un retour offensif de sa part.

Afeout n'a pas reparu. Ceci ne m'inquiète qu'à demi : OU sait
avec quelle prodigieuse souplesse cet' écrivain remarquable se
tire des mauvais pas. En revanche, nous sommes Ijeureux
d'annoncer que Louis Jezierski, de Katow, Cardon c ûith quanti
ont rallie Paris. Par exemple, t'Univers nous apprjmfï qu'un de
.^cs rédacteurs est resté au pouvoir de l'ennemi...

Il paBait que, depuis cette capture, l'armée prussienne est en
proie aux ravages de la plus cruelle dyssenterie.

Chabrillat, fait prisonnier par le*?0 corps bavarois, a été mis
en liberté sur Tordre du due de Cobourg. Ce prince magnanime
aurait dit :

— Nous faisons la guerre aux Français — et pas à leur litté-
rature.

Puis, comme les officiers de son état-major s'étonnaient de
cette générosité :

— Messieurs, aurait ajouté le duc avec la noblesse du vain-
queur mêlée à la finesse du diplomate, M. de Rochefort serait
tombé entre nos mains, que je le leur aurais renvoyé tout de
même.

La vérité vraie, c'est que M. de Cobourg avait pris Chabrillat
pour Adrien Marx.

—o^Sjo—

Hier, j'ai eu le plaisir d'apercevoir s,ur je boulevard l'auteur
des Derniers Montagnards et de Madeleine Ber-tïn :

C'est un des vaillants et des bons;
Sa perle nous serait amèi'H ;
Mais parmi les coups, les horions,
Glareti (e) faire en c'te galère ?

UN ÉPISODE D| «EISCHOfFEN

Jehan Walter et Vabontrain soutiennent la retraite...

Vabantrain est tué...

Quatre ubîans entourent son compagnon...

— Rends-toi! lui crient-ils en français.7.

— Jamais 1 riposte Walter en alleman^L.

Et, tirant de ses fontes un numéro de la Vloehe, il dirige sur
les assaillants un article de Louis Uïhaeh.!.

A cette vue, deux des cavaliers tombent morts...

Les deux autres donnent de l'éperon et s'enfoncent dans la
nuit en poussant des cris d'épouvante...

U PHYSIONOMIE DE PARIS

Elle est fiévreuse et calme à la fois. Autour des ministères,
des mairies, des casernes et de tous les raonumenrs publics
sur les murailles desquels l'autorité affiche ses actes, la foule
forme des groupes épais et bourdonnants. On lit les dépêches à
haute voix. On les commente bruyamment. Devant celle qui
annonce que le major-géneral a résigné ses fonctions, on peut
être certain d'entendre un loustic s'écrier :

— Avec tout ça, c'est nous qui le sommes, le bœufl

On ne chante plus, on ne braille plus, on ne se lamente plus :
on agit. Un monde de pionniers travaille à ïa mise en état des
fortifications. Les poternes sont musées, des ouvrages de dé-
fense s'élèvent devant les portes, la Seine va remplir les fossés ;
quinze lieues de remparts vont se hérisser de canons et de
baïonnettes...

Les petits-fils de Blùcher peuyent se présenter...

A leurs orgueilleuses sommations, nous ne répondrons qu'un
seul mot :

Celui de Cambronne !

—0^)0—

Des convois d'artillerie, de munitions et d'approvisionne-
ments sillonnent les rues et font trembler les vitres et les pavés
sous le tonnerre de leurs roues.

Des piquets de gardes nationaux se rendent aux .différents
postes qui leur sont assignés. Des bizels marchent dans leurs
rangs, le fusil sur l'épaule. Personne ne les blague. L'habit qui
ne lait pas le moine, ne fait pas non plus le héros.

Des bataillons, des régiments d'infanterie, défilent en tenue
de campagne _: pantalon dans les guêtt-es. capote retroussée et
képi sur Toceille, — le sac au dos avec la toile et les piquets
de 4snte, Tes gamelles, les bidons-et le gqbèlej, d'étain. ~Lès
mains rqbusLes des soldats étreignent le "chassepot avec rage,
et sur lt;ur front hàlé flamboie une resolution indomptable. On
peut leur appliquer ce que César disait de ses vétérans : Parati
-ad gugnum, ad victoriam, ad moriem, — prêts à combatre, prêts
à vaincre, prêts à mourir!

Ça et ià, passent un moblo dépoitraillé-sous l'uniforme, un an-
cien troupier qui a décroché Azor pour rejoindre, un médecin
aux ambulances internationales avec le brassard blanc et la
la croix rouge...

Puis des douaniers, des marins, des infirmiers, des volontai-
res, des conscrits, — des espions que l'on houspille, — .des .dé-
putés que l'on acclame, — des prolonges de blessés devant les-
quelles on se découvre!..,

L'élan de 92 est ressuscité dans les cœurs. De toutes parts, on
organise des corps francs, on équipe des compagnies, on arme
des ^partisans. Chacun s'en mêle. IHer^soJrJ_au_café de Suède,
mademoiselle Boulè-de:-Ne7ge a levé quinze homme pour sa
part.

Avec cela, les théâtres «ont ouverts, ces demoiselles conti-
nuent d'exercer leur léger commerce sur le boulevard, et Ton
danse tous les jours dans vingt endroits publics.

J'étais à Habille avant-hier près du billard anglais.

Un cocodes jouait des bibelots pour une grande fille, Irisn en
chair, haute en couleur et qu'il regardait plus que les billes.

— Qu'est-ce que tu fais ce soir? murmure a l'oreills de la
donzelle un être neutricus generis.

— Ah ! c'est toi ? Je soupe.

— Tu soupes! (Avec un grognement.) Et manger?
Je n'ai pas osé comprendre.

LE ÇU-1MZÉ AOUT

Il menaçait d'être furieusement sombre !...

La nouvelle de l'affaire de Longeville a jeté dans cette nuit
quelques lueurs d'espoir.

Mais avez-vous remarqué avec moi ce que dit la dépêche ?

Dans cette circonstance encore nous n'avions point prévu l'at-
taque, la proximité, la présence de l'ennemi.

Nos éclaireurs n'avaient pu le dépister... '

Et trois lois déjà, — liélasl — nous sommes tombés victime-;
de semblables surprises!.--

Décidément, nous n'avons pas le sentiment de la reconnais-
sancel

—O^ÎO—

En attendant, l'Alsace, la Lorraine envahies sans qu'trao
amorce ait été brûlée pour les défendre, voiià qui me navré et
m'irrite-...

Bah!

Songeons à Pichegru.

On venait de le renseigner sur les progrès inquiétants des
Prussiens...

Comme il demeurait impassible, le messager insista :

— Pensez-y, général, il nous ont pritj Savern(\ lb: i
Bitche et Wissembourg!...

Picljegru haussa les épaules.

-— Eiil répliqiui-t-il brusquement, s'il ne nous les avaient pas
pris, comrQ.ent ferions-nou1; p >ur les leur reprend;-.: '.'

—«o>°—

Ce qui me console dans notre détresse, c'est que le;-; mààses
combinées avec art, qui, dans les trois sanglantes défaiÊes que
nous revendiquons comme des victoires, ont écrasé nos l
aflaiblies par l'imprévoyance et disséminées par rjmgéritte;
c'est que ces masses, dis-je, ne nous ont pas sabré l'esprit aux
lèvres"

L'esprit vit 1 II vivra, malgré leur landwebr et leur landsturm,
malgré leurs mitrailleuses et leurs proclamation -. :.. le tr

roi et son ministre! Il vivra, tant qu'à déi';m d • i '

restera une baïonnette au flingot de nos towlourom ..'h q El
restera une lame au poing de nos cavaliers, un écouvillon suus
la main de nos artilledrs, un cri dans la gorge de nos zouaves,
de nos spahis et de nos turcos; tant qu'il restera à nos paysans,
à nos bourgeois, à nos gamins, un arbr«, un pan de muraille,
une borne derrière lesquels ils puissent s'abriter pour canarder
une tète carrée !

L'esprit ne chôme jamais en France. Ecoutez plutôt ce dialo-
gue que j'ai entendu hier au concert des Champs-Elysées :

— Monsieur, êtes-vous marié?

— Non, Madame.

— Vous êtes dans l'intention de vous marier ?

— Non, Madame!

— Mais si tous les hommes faisaient comme vous, lo monde
finirait.

— Oh non! Madame.

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