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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0199
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Le digne adversaire de Césarin était un soudard redoutable.
Pielzolern — appelons-le Pielzolern — était fort, brutal, vo-
race et pillard.

A u lieu de vider leur différend entre eux, sur le théâtre mémo
de l'ignoble orgie, Pielzolern et Césarin en firent une question
de race.

Pielzolern se ma sur la famille de Césarin et l'envahit.

Césarin menacé, ht un appel désespéré aux fils de h'rancina,
gisante et enchaînée.

— A moi, mes fis, leur eria-t-il... Debout!... les Pielzolern
sont aux portes!... Armez-vous pour les-punir!...

Les fils de ïrancina, hébétés et les yeux rougis par l'ivresse_
de la veille, ne comprenaient rien à ces cris...

En Yain, Césarin hurlait, tempêtait, fouaillait sa nichée in^
dolente; les fils de Francina ne se levaient pas.

— Que nous veut donc le maître? disaient-ils en riant...
Les femmes sont toujours belles, le vin est toujours bon...
Que nous importe les Pielzolern !

Et. ils continuaient à sommeiller.

Et Francina, Kée à terre, impuissante, pleurait, pleurait,
pleurait.

III

Tout à coup, le redoutable Pielzolern, d'un bond prodigieux,
renversa Césarin et lui mit le pied sur la poitrine.

— Ne me faites pas de mal 1 Je me rends I s'écria l'infâme.

— Et tes fils? vociféra Pielzolern.

— Je vous les livre!... Grâce!. . Je ne veux pas mourir 1

— Et ta Francina ? expectora le bandit.

— Elle est à vous!... violez-la... mais, grâce, grâce pour
moi!..*.

A cette dernière infamie, un rugissement terrible rententit.
Francina, d'un effort suprême, avait brisé ses liens. Elle était
debout, immense... sanglante... indomptable 1 ■
Un cri farouche traversa les airs :

Aux armes !... citoyens I...

Les fils de Francina se soulevèrent d'abord et s'appuyèrent
sur leur coude, aux éclats de cette voix passionnée.

— Quel est ce cri? se demandèrent-ils; nous l'avons déjà en-
tendu quelque part. Oui, nqus nous en souvenons... Césarin
le fredonnait en ricannaut ces jours derniers.

Francina reprit d'une voix stridante, en se précipitant sur un

glaive .

Formez vos bataillons!... a

Et les fils de Francina, éleetrisés cette fois par ce mâle ac-
cent, se levèrent d'un bond et se précipitèrent devant leur
mère, pendant que Pielzolern emportait dans son antre Césa-
rin, sa vile proie.

Le cœur des fils de Francina avait enfin parlé comme il ne
peut parler que pour une mère.

Francina était sauvée !...

LÉON BIENVENU.

ARME SUR L'ÉPIOLE DROITE

Si l'encombrement des gares de chemins de fer (ouest et Or-
léans) par une foule d'hommes très-valides, qui supplient nuit
et jour les locomotives de les emmener loin du danger, est un
spectacle humiliant pour l'honneur français, en revanche, l'em-
pressement d'nninnombrable public enthousiaste et résolu, dans
les lieux de distribution d'armes, est un tableau des plus con-
solants, et qui fait du bien à l'âme.

L'ardeur que les lâches mettent dans leur fuite, ceux qui res-
tent la consacrent à demander un fusil.

Sans se lasser, comprenant à merveille qu'à l'heure qu'il est,
il n'y a plus d'autre affaire que les affaires de la patrie, ceux
qui restent passent la majeure partie de leur temps à la
porte de la mairie.

Parisiens jusqu'au bout, ils font queue au seuil des dépôts de
fusils avec la patience d'ange qu'ils déployaient naguère devant
les guichets des théâtres.

Le but à atteindre, par tant de constance, est solennel; mais ne
croyez pas que les lazzis d'autrefois font relâche. — Loin de là !

Cette goguenardise, parfois spirituelle, qui a toujours été le
trait distinct-if du caractère parisien dans les circonstances les
plus critiques, ne lui fait pas défaut aujourd'hui.

La gaieté, c'est le ressort éternel de la grande cité. /

Les remarques comiques, les mots plus ou moins bons qu'on
entend dans la foule massée devant les mairies, ne sont pas le
fait d'un peuple sceptique et vieilli qui veut tomber avec grâce,
comme le gladiateur antique ; ils sont les éclats nouveaux d'une
ville qui renaît, pleine de foi dans l'avenir, et qui sourit.
Monde nouveau-né !

En effet, le peuple de Paris, en huit jours, est remonté à son
niveau.

Fier de ses droits, confiant dans la justice, il est redevenu
homme, d'enfant peureux qu'il était.

Rien ne virilise comme une arme.

Celui qui la porte se sent complété.

Il a en lui le pouvoir de créer et le pouvoir de détruire. L'u-
nion de ces deux puissances le rend invincible.

Celui qui peut légalement, de par la loi sociale et humaine,
donner la vie ou donner la mort, faire un enfant ou un cadavre,
est un homme et un citoyen parfait.

Aussi, regardez quelle beauté soudaine illumine et transfigure
la face d'un obscur Parisien, qui s'en va, par les rues, l'arme
sur l'épaule droite.

D'un pas léger, il marche, relevé dans sa propre estime, et
l'égal de chacun.

Il ne joue pas au soldat, comme jadis; il entre de tout cœur
et tout simplement dans le rôle de défenseur de la ville qu'il
aime.

Et la conscience de la valeur personnelle qu'il vient d'acqué-
rir, l'enorgueillit légitimement.

L'arme cfu'il porte sur l'épaule maladroitement peut être, mais

avec une satisfaction immense, est pour lui comme le rameau
magique des contes. .

Avec son aide, il compte transformer le cruel agresseur en
vaincu soumis, et la tristesse, qui assombrit son foyer presque
éteint, en une joie lumineuse et vivifiante.

Sans son fusil, il était résigné, désespéré même.

Avec l'arme sur l'épaule, et'serrant la crosse sous ses doigts
solides, il se sent de nouveau plein de force et de courage.

Il aspire à pleins poumons l'air. Et l'air lui semble avoir
comme un goût d'espoir.

Prêt au sacrifice cependant; déterminé à vendre la vie des
siens, et la sienne, aussi chèrement que possible, il trouve en-
core dans son fusil, ce dernier compagnon, un suprême appui
moral :

— « Au moins, je ne mourrai pas comme un lapin, au bord
de son terrier, » se dit le Parisien,' qui marche dans la ville,
l'arme sur l'épaule :

Et il ajoute, sans forfanterie :

— « En tirant dans le t- ^, j'en descendrai toujours bien un
ou deux. »

— Un ou deux ! W.ro, Parisien !

Or, eu ce moment, chacun des cent mille gardes nationaux
se dit absolument la même chose, en emportant son fusil-

— Or, comme chacun de nous tiendra sa parole, le total des
Prussiens qui entreront dans Paria ne sera pas très-élevé ;
non !

L'ennemi a tort, je pense, de compter sans son hôte : — le
Parisien.

Quand on calcule de la sorte, on peut se tromper énormé-
ment.

On dit que les Prussiens sont d'excellents mathématiciens.

Je leur accorde ce mérite.

Mais qu'ils se hâtent de faire entrer le chiffre inattendu des
défenseurs de Paris, dans leur petite opération d'aritnmétique;
sans cette précaution, il pourrait bien se faire qu'une erreur
s'y glissât.

Cette erreur, Prussien qui t'en vas, l'arme sur l'épaule droite,
et d'un cœur pensif, tu ne la connais encore que de nom.

Mais nous te la ferons toucher du doi>t, Dieu aidant : — car
cette erreur de calcul, c'est la Déroute !

COUSIN JACQUES.

En l8A8f Clioquart, -— prononcez Soquart, — cet ancien garde
du corp3 qui fut, il y a vingt ans, l'une des figures les plus
excentriques du boulevard, —en 184S, dis-je, Choquart habitait
Montmartre.

Indigné <— dans ses convictions royalistes — de la révolution
qui venait de s'accomplir, il s'était claquemuré là-haut, tout
là-haut, sur les buttes, et ne sortait que le moins possible.

Seulement, de quinze jours en quinze jours, il se présentait à
la barrière Bianche, et demandait aux employés de 1'octro.i, la
main étendue vers la ville ;

— Eh bien, ces polissons, ces Voguants — lisez croquants, —
ces maroufles sont-ils toujours en republique?

On lui répondait oui, et il rebroussait chemin en murmu-
rant : ,

— Bon! Ze repasserai la semaine proçaine.

Si j'ai un conseil à donner à Sa Férocité, à Sa Stupidité le
roi de Prusse, c'est d'imiter Choquart e't de repasser, elle aussi,
la semaine proçaine...

Car nous sommes tousours en république...

Et nous ne paraissons pas disposés à échanger de si tût cette
forme de gouvernement contre la tyrannie d'un Hohenzollern,
la restauration d'un Bonaparte ou le triumvirat des plaisantins
de la Marseillaise...

Celle-ci, pour nous persuader que le meilleur des chocolats
est le chocolat Cluseret. Bazire et Antonin Poulet, s'ingénie à
nous démontrer les bienfaits- d'une saine Terreur...

Mais Paris persiste à penser qu'il vaut mieux faire couler le
sang sous ses murailles que dans ses rues ou sur ses places.

Ce n'est pas que l'on tienne M. Cluseret en défiance on en
mésestime. Le défaut qu'on reproche à cet ex-sous-lieutenant
devenu général dans un pays où la bravoure n'est pas moins
honorée que chez1 nous, est justement de se croire apte à toute
autre chose qu'à l'exercice de cette bravoure Or, j'appréhende
grandement qu'il n'entende la guerre et la politique de la même
façon que la littérature et la critique d'art...

Je ne connais guère M. Bazire que par cette-phrase d'un quin-
tette du Barbier :

Allez vite, cher Ba2Î... re,
Vous cùucher dans un bon lit...

Quant à M. Antonin Poulet, il se plaignait volontiers de son
rédacteur en-chef, lorsqu'il était au Figaro :

— Villemessant, disait-il, me garde sous le boisseau.

— Bah !' riposta quelqu'un, quelle raison voulez-vous qu'il ait
d'eu vouloir a ce boisseau?

l'homme centaure, — fit caracoler sou cheval blanc et sa popu-
larité dans tous les mouvements de l'époque.

A la grande fête de la Fédération, il était plus roi que le roi.

Sur un signe de son épée, cent cinquante mille baïonnettes
ondulaient au soleil comaie une mer d'échùrs. Ces baïonnettes,
sauvèrent le roi de la Révolution aux 5 et b' octobre.

Oui, mais elle sauvèrent la Révolution, du roi, au 10 août.

L'invasion, en 1814, trouva également les soldats citoyens
prêts à verser leur sang pour la patrie.

Tandis qu'en Franche-Comté, en Alsace, en Champagne, en
Lorraine, le terrain était disputa pied à pied à l'ennemi par de
courageux partisans; qu'ainsi que je vous le raconterai quelque
jour, l'un des chefs neces partisans manquai; d'enlever les sou-
verains alliés au milieu de leurs troupes avec une poignéa de
pavsans ; que Huningue, que Longwy, deux clefs de la France,

— résistaient des mois entiers à des forces écrasantes, par le
fait du patriotisme de leurs habitants ; la garde nationale de
Paris s'illustrait par cette belle défense de la barrière de Gli-
chy, dont un monument a perpétué le souvenir.

C'est encore de ses rangs qu'est sortie la révolution de 1S30.
On se rappelle qu'à une revue des cris nombreux : Vive la Charte !
A bas les jésuites t ayant été poussés par les légions,

— Messieurs, dit Charles X, en détournant brusquement son
cheval, je suis venu recevoir ici des hommages et non des le-
çons.

Moins d'une année après, ce prince — détrôné et désol* —
s'embarquait pour Holv-Rood, comme dix-huit ans plus tard

— et dans des circonstances identiques — Louis-Philippe de-
vait s'embarquer pour Cîaremont.

—otggio—

Le gouvernement déchu avait singulièrement amoindri le
rôle de la garde notionale.

Ce rôle vient de surgir des circonstances, — plus important,
plus noble et plus superbe que jamais.

Les Parisiens l'ont compris. La cité est devenue un camp.
Partout on se prépare, on s'exerce, on brave la pluie, le soleil,
la poussière et les durillons, comme ou bravera demain les
obus et les bombes. Pour chacun l'uniforme est une maladie de
peau.

Les élections des officiers et des sous-officiers ont eu lieu. Je
suis heureux de constater que les votants ont apporté, dans
cette opération, un discernement sérieux. En 1848, un citoyen,
à la tête d'un de ces établissements dont le gros numéro in-
dique suffisamment l'esprit de tolérance, se présenta pour se
faire nommer capitaine. Il venait de commencer une chaleu-
reuse profession de foi, lorsque M. B..,, négociant, l'inter-
rompit :

— Pardon, monsieur, lui dit-il, mais vous devriez bien com-
prendre que vous ne pouvez pas nous commander...

— Pourquoi donc ?

— Mais parce que vous êtes à la tête d'une maison que je ne
saurais désigner..,

— Pardon, pardon ! répondit notre homme sans se déconcer-
ter; ce n'est pas moi qui tiens la maison, je vous prie de le

■ croire, — c'est mon épouse.

LES MOBILES
Ils sont cent cinquante mille qui parlent cent langages :
Normands, Picards, Bretons, — Babel est dons Paris.

Mais ne vous fiez pas à leur allure t;;<înarde, à leurs gros
yeux de poisson cuit, à leur physionomie balourde...

Ce sont des mâles. Une fois dans les rangs, dès 'qu'ils se sen-
tent le coude, leurs épaules s'effacent militairement; leur poitrine
se cambre, emplie d'un souffle généreux ; leur taille développe
sa puissance nerveuse, leur paupière s'allume, tout leur aspect
se relève de la grandeur de la tâche que la patrie leur impose
et à laquelle nul d'entre eux ne songe à faillir...

Le premier coup de feu en fera des soid its.

Les officiers sont la plupart très distingués et très char-
mants.

Une vieille dame levait les mains au ciel :

— Tant de jeunes gens à Paris 1 qu'est-ce que cela va faire !l

— Maman, répondit sa petite-fille, cela va faire des ma-
riages.

LE MOT BE LA FIN

Un cuirassier — retour de I-ieischoffen — disait :

— Oh! le dernier Prussien! Si je pouvais le tenirl

— Qu'est-ce que vous en feriez?

— Je lui arracherais les yeux et je chieraia dans les
trous !

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C'est égaL: voilà trois citoyens, lesquels, avec leur article
intitulé : Xtéaction, ont obtenu un de ces succès qui suffisent
pour couler un homme...

Pas en bronze.

LA GARDE NATIONALE

Il est un vieil air démodé que dédaignent aujourdlmi les vau-
devillistes enivrés des mélodies de M. Otfenbach, et dont la ri-
tournelle bien connue fait poindre une lueur de gaieté sous la
moustache de l'auditeur. Dans la Clef du caveau, -~ ce musée
de Cluny des ponts-neufs de nos pères, — ce timlre est ainsi
étiqueté :

Air : Ne raillons pas la garde citoyenne.

On chantait cela, sous la Restauration,, dans une pièce de
M. Scribe, — et toutes les mains applaudissaient, qui avaient,
dans la journée, apposé leur paraphe sur les listes de souscrip-
tion au Voltaire-Touquet et qui puisaient leur prise dans des
tabatières à la Charte!

Dût l'accusation de chauvinti:«e crever sur ma tête eu cata-
racte d'épithètes malsonnantes, je suis certainement de l'avis
de ce couplet quinquagénaire :

On peut rire parfois des gardes nationaux.

Il serait malséant de rire de la garde nationale.

Celle de Paris naquit le 1-1 juillet 1789.

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