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listingué, à l'ort-Mirlj,

; du scrutin, je me «lis

est bourdon, aus aii-

t décidé à tout brarer
l'instant la carrière et
1 omnibus, ayec m pe-
rd d'un trottoir, devant

•e de l'Ouest.

nr l'inédit,-"»"»
[ je me trouvai eatle-

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te belle invention.

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non... mais j'ai eu 1«
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1 Philosophie ,, ,

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Le bourdon ronflait, roulé en boule, et remuait convulsive-
ment ses pattes.

— Bonjour, mon vieux, lui dis-je, avec un soutire... de mère.
" — Vzon... vzon... vzon... zest .. répondit-il.

— Tu n'as pas l'air satisfait de me voir ?...

— Vzon... vzon .. vzon... on... on... on!

En prononçant ces paroles, mon ami se retourna dans le ca-
lice de la ros'e-trémière, d'un air de fort mauvaiiseliumeur.il
avait le dos tout blanchi de pollen.

J'ai oublié de vous dire que je comprends parfaitement le
langage des bourdons ; et leur vzon... vzon... n'a pss de secrets
pour moi. C'est pourquoi, dès à présent, je puis vous traduire
en mots humains la suite des murmures de mon ami le bour-
don de Port-Marly.

— Voyons, sapristi, il ne faut pas se laisser aller comme
cela, lui dis-je, fronçant le sourcil.

— Vzon... il y a deux jours que je ne suis rentré à la maison.
4- Bah!... C'est un peu raide, deux jours!

— Ahl... Elles veulent me faire travailler comme un nègre.

— Oui, ces dames veulent... ah! les méchantes!....

— Et tout le miel me passe devant la trompe.

— Cela est dur., en été surtout.

— Oui, c'est dur... D'abord, n.oi, je ne peux pas rester en
place... et puis j'ai toujours soif...

— Je comprends cela... pourtant tu ne devrais pas te griser
de la sorte... c'est honteux...

— Gnia pas d' ma faute. (Le malheureux ne pouvait pas arluu-
ler.)

— Tu as été entraîné ?

— l'as positivement. Voilà la chose ; Avant-hier, j'ai brossé
mon gilet de peluche jaune et mon habit de velours noir, et
j'ai filé en disant : « Je m'en vais aux' Roses ! » J'avais l'inten-
tion de me bien conduire... mais le bourdon propose et la
femme dispose I... En arrivant dans l'endroit où les roses s'épa-
nouissent, j'ai trouvé une damé-,et un monsieur... Tu com-
prends?... Ils ne restaient pas nu instant tranquilles... je ne
pouvais pas, comme ça, en leur présence, chiffonner la corolle
à mon aise... Alors, je suis revenu sur mon vol, et je suis, entré
dans la Violette-marine du coin; histoire de grouper un petit
nectar de derrière hs pétales .. comme monsieur de Rothschild
n'en a pas dans ses caves I...

— Accordé... il était bon lejnectar.

— Un vrai suc de la comète ! du miel-première!... quoi.

— Je devine tout !

— Tu ne devines rien! Dans la Violette-marine, il y avait quel-
qu'un d'attablé déjà... l'ami Pistil. On a causé, je lui ai joué le
pollen que je devais rapporter. J'ai perdu. J'ai demandé une re-
vanche Ou a bu une autre gorgée à Paris. Je ne sais pas com-
ment cela s'est fait, la nuit est arrivée. .

— Trop tard pour rentrer !

|- Tu l'as dit... Alors, nous avons erré de-ei de-là. Il fautl'a-
vouer, le suc de la comète nous avait tapé un peu sur le crâne.
Nous volions de travers, c%&jt d'un drôle 1...

— Ali I voilà !

[— Enfin, i'ai quitté Pistil, qui a dû recevoir sa danse en ren-
trant au logis, et comme j'avais soif... j'ai continué à errer. .

— Toujours !

— Rieu d'ouvert. Toutes les fleurs étaient fermées. Pas de
chance ! Enfin,, cette bonne rose-tremière a biun voulu mo re-
cevoir., et voilà... mais j'ai mal aux antennes. Oh! la la! que
j'ai mal aux antennes :

■— Allons, dors, et adi?u.-Mais n'oublie pas de rentrer ce soir,

Et je laissai mon bourdon cuver son miel.

C'est égal, le soir, revenu à Paris, et pensant à la conduite
de mon ami, qui est bourdon aux environs de Saint-Germain-
en-Laye, je me surpris à répéier ces mots que Gaverni a mis
sous un de ses beaux dessins :

— « Ils sont jolis les amis dont vous êtes susceptible d'aller avec\ »

Ernest d'Heiivillv.

gazette a la main

li's reviennent I —Tous 3 tous!! totis!!!.— Comme dans lus
Mousquetaires au Ckâtelet !

"Vallès n'est pas mort : il est quelque part, — ou ailleurs, —
à sB'-'uxelles, Londres'ou Genève, en train de se lécher les yeux,
si; je puis m'exprimer ainsi, de toutes les balivernes qui *e. dé-
bitant sur son compte...

On a rencontré Delescluze à Bougival, —en France, — ou il
cUiifonne l'onde pure avec une innocente ardeur...

■Et Pyat est -visible à l'œil nu, tous ies soirs, à la fête de Le-
vains : il y suce le bec enrhumé d'une clarinette, sous le
sckaptka de Poniatowski, dans l'orchestre — restreint — du
Spectacle hy-draclique.

! Quant à Raoul Rigault, je tiens pour vraisemblable qu'il as-
sistait, la semaine passée, aux débuta du baryton Bouhy, à
l'Opéra, dans Faust.

pétrole.

ur. tt même entendu murmurer, après avoir promené
B-noz sur la vaste salle et en se servant de sa locution
— locution d'argot qui signifie : Je pense, j'estime, ■ïe

ce que ça fera plus tard un joli petit bol de punch au
7&

de fait, pourquoi Vallès, Delescluze, Pyat, Raoul Rigault
ne seraient-ils point vivants ?

Lear ex-collègue Ranc siège bien aujourd'hui au sein de la
nouvelle municipalité de Paris, sur les banquettes de velours
usées par cette partie de l'auguste corps du Sénat a laquelle il
prodiguait de si furieux coups de pied autrefois!

En sa compagnie se prélassent — au Luxembourg — les con-
seillers Bonvallet, Mottu et Loiseau-Pinson.

À parler franc, l'élection du thêophobe Mottu dans deux ou
trois arrondissements ne m'inquiète pas autrement que s'il
s'agissait de celle de Gagne ou de Bertron.

Ce qui me contrarie davantage, c'est de voir un de lues con-
frères crucifié — dans l'histoire contemporaine — entre un cui-
sinier et un dégraisseur.

Un dégraisseur !, .

On peut, en effet, dire de M. Edouard Lockroy ce que Champ-
fort disait d'un courtisan :

— S'il a pris de la poussière dans le tourbillon, iin'a pas pris,
dii moins de tache dans la bouc.

Le Figaro annonce que, sous ce titre : les Yeux d'Argus, il va

commencer une Milite d'IruH'Crétions parisiennes dues à la plume
d'un écrivain qvi a fait ses preuves...

Qui diable cela peut-il être?...

En attendant que je le devine, laissez-moi vous conter le
fait-divers suivant...

Peut-être n'est-il pas tout a fait vrai, tout à fait vif, tout à
fait inédit ?. .

Peut-être n'aurai-je'pas assez de talent pour V anoblir?...

Mais aussi je ne suis pas lecî-iyaia eu question !...

Il y a quelques jours, M. Léo Lespès va voir le rédacteur en
chef d'un journal excessivement répandu.

11 faut se figurer les deux' personnages :

M Léo Lespès est un-coloristë; les nuances vives luiplaisent;
il aime les bijoux, Te8-*veLours, les f.tafrehiches pittoresques. !1
porte parfois dey cravate» fouges., des gilets de velours ornés,
en guise de bûuto .s, de mé.taillons avec les portcuits photogra-
phies de tous ses amis.

Le rédacteur en chef est un homme d'une mise strictement
correcte, boutonnée, tirée à *pi-atr.e épingles, discrète, conve-
nu'ule.

Toutes les fois que Léo Lespès apparaît à l'horizon, l'autre le
regarde pv'&c cette .curiosité ébahie que nous avions jadis lors-
que nous vbyioiis Alexandre Dumas en Circassien, le'Persan de
l'Opéra ou le petit-fils de la reine d'Où de..

Doue, l'autre jour, Léo Lespès entre chez l'imprésario litté-
raire dont je parle. Il est accompagné d'un petit chien qui porte
à son cou un collier garni de grelots d'argent.

Le petit chien se met à fureter sous le bureau du rédacteur
en ch/if, qui, ne le voyant pas, mais entendant le bruit des
grelots, considère Lespès d'un air effaré, et lui dit d'un ton
convaincu :

— Eh bien! vous vous mettez à porter des grelot* mainte-
nant?

Le projet de loi qui édicté contre l'ivrognerie des peines sé-
vères, mais justes, est soumis, en ce moment, & l'examen des
bureaux de la Gh imbre.'

Si l'on a le hon sens de ne le point repousser, le comique
X... est assuré de passer la moitié de sa vie en prieoh; — vous
savez, X..,, qui, l'an dernier, aux Folies-Dramatiques donna
plusieurs fois au public le spectacle, S-OO, demandé, d'une in-
tempérance remarquable. ..

Mal -■ au m uns X... n -:-il la franchise de sa passion T,i. ur l$s
grands et les petits verres '...

Il suppliait fe photographe Bénédict de lui faire son por-
trait...

— Mais, mon vieijx, lui répond le collaborateur du soleil,
c'est ■:-:■■:; difficile, avec une trompe comme la tiefljie..,i N'ùn-
port . essayons.

Et il place notre comédien de face, — puis de profil...

Peines perdues !...

-^ Allons! fait Béncdict. c'est impossible!- Je ne peux ménje
pas te prendre de trois quarts.

- Tu as raL-on; soupire X... Je ne puis décidément être pnà

que de trois-sÎSh

le l&vre «Eiivllf. AaileSirastd

11 pleut des Yertot. Chacun a fait son siège. Que dis-je ? .;cs
.sièges. 11 n'est pas un &oùlevuvdier, jaloux de se camper en.
Micheiet sérieux, qui n'ait broché sa "petite Commune. M Catulle
Mendès a fait ceci; M.. Charles Virmaître, cela; M. Ludovic
Hans, cette autre eho*e. Quand nous serons à vingt, nous de-
manderons, une croix — une croix d'honneur, — et nous l'at-
tacherons à la boutonnière de M. Philibert Audebrand.

Personne ne me paraît plus digne de cette distinction
que ce vaillant, loyal et modeste serviteur des lettres, qui me
rappelle d'Artagnan, — le d'Artagnan de Vingt ans après, blan-
chi sous la casaque, mais allègre, ardent, infatigable malgré les

uma&que et les neiges de la moustache et des
chez Dentu —

impassibilités i
cheveux.

M. ■ Philibert Audehr;:;rl ^vieuVitie publier -
l'Histoire intime de ht Ilrc-.hu on dû '1S meus.

Lisez ce livre. Il est ce itt pensé, souffert. Oui, souffert car,
à travers ces page.-: de bon style et de bon sens, à travers les
tableaux exacts et pittoresques passe le grand en de douleur
du citoyen honnête, du patriote éprouvé, rlu républicain <Ze la
veille en face des désastres, des excès et des crimes du tende-
main !...

TSséàtre des SSteBaaas-ïPIaîsSrs.

la

On y a commencé les répétitions du Puits gui chante
féerie en vingt-deux tableaux, de MM. Clairville et Grange.

Chéret en brosse les décors.

Monréal en dessine les costumes.

Ceux des dames seront exécutés par Mme Eudoxie Laurent,
qui joue les Delphine Baron à la ville et les Lcontine à la scène.

Que celle-ci taille et rogne, j'y consens...

Qu'elle rogne surtout !

Songez donc : MM. Gœtschy et de Jallais ont engagé:'pour
cette pièce vingt-cinq femmes charmantes... et inexplorées.

Si ces demoiselles font des dettes, il pourra, par exemple,
leur arriver ce qui est advenu à Mlle Z..., de la Biche au Bois.

Mlle Z... avait souscrit un billet à son parfumeur pour .four-
nitures de première nécessité.

Ce billet fut impayé, — naturellement.

L'huissier instrumenta et vint signifier à la débitrice le pro-
têt inévitable.

— Comment 1 s'écria la belle Z... en déchiffrant le papier
timbré, vous me qualifiez de commerçante]...

— Certainement, répartit l'ofâcier ministériel. Il n'y -3. qu'à
aller à la Porte-Saint-Martin où Madame remplit si agréable-
ment le rôle et le maillot de la princesse Aïka, pour s'assurer
qu'elle a même un étalage éclairé au gaz.

— Nanette, dit Berthelier à sa bonne, voici une lettre qu'il
faut jeter à la poste. Maintenant, voilà dix centimes pour un
timbre que vous collerez dessus.

Nanette a obéi — littéralement !

Elle a pris la lettre et l'a jetée dans la boîte.

Elle a acheté un cachet etl'a collé — sur la boîte aussi !

-

Non loin du passage de l'Opéra :

— Savez-vous siD.. est solvable?

— lime semble que, deux ou trois fois déjà, il a failli faire
fortune...

— Ouij mais il a surtout,,, failli.

C'était à Etretat.

Heuri Monnier aperçoit sur la plage un coiaple récemment
évadé de la rue Saint-Denis.

Le monsieur, ventre en avant, s'appuyait sur sa canne; ses
lunettes s'appuyaient sur son nez, et son nez s'appuyait sur son
menton ..

La dame, le cou de travers, se carrait dans une robe à ra-
mages, — couleur peau d'orange.

Tous deux contemplaient l'Océan.

—■ Une telle quantité d'eau, disait le mari, finit par friser le7
ridicule...

— Sans doute, grommela la dame, mais cela n'explique pas
ce mouvement continuel... les vagues... la marée...

Munnier jugea à propo- d'intervenir'■: {Se rappeler l'organe de
Pi'*ud'homme ) -

— Cemouvenaen>£, madame, est produit par les poissons. Ces
b<5te^-îà remuent beaucoup, et produisent les vagues au moyen
de leurs queues. En outre, deux fois par jour, elles se retirent
au bi-r^'e, aûu d'aller se faire pêcher, et comme . elles ne pour-
raient rester à l'air s ans périr, la mer les suit.

Mme de L... livrait, en présence de son mari, sa noire che-
velure h la main du coiffeur.

— Que vois-je '? un cheveu gris ! s'écrie le digne époux, et il
saisit le fil argenté, qu'il arrache ; puis il ajoute en le montrant
triomphalement à sa femme :

— Un de moins 1

— Tiens, papa! interjeta la petite fille de la maison, bam-
bine de cinq à six ans, digne de figurer dans les Enfants ter-
ribles, c'est tout le contraire de ce que disait ma bonne, le jour
où tu revenais de monter ta garde.

— Et qu'est-ce qu'elle disait, ta bonne?

— Un de phis.

Emile Blondet.

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