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.-Perdus, ils ia (km»

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.e son prénom** )

ie : Jiii- .,

a peut-être M*

Cinquième rédacteur. - Tiens, c'est une idée. Il y a aussi
un charretier qui a défoncé une voiture de maître au coin de la
rue Montmartre.

Le secrétaire. — On pourrait dire que le charretier est a»
l'Internationale et en faire un premier-Paris.

Le rédacteur en chef.- Peut-être. A propos de l'Interna-
tionale, il me semble qu'il y a longtemps que nous n'en avons
publié un manifeste.

5° rédacteur. — Je suis en train d'en ébaucher un.

Le rédacteur en chef. — Ah! très bien! Ça va effaroucher
le bourgeois.

Un rédacteur naïf. —Je croyais que nous devions lui rendre
la confiance, {Hire nènèr <l.)

Le rédacteur en chef. — Imbécile ! Si nous ne la lui reti-
rions ras, comment pourrions-nousl a lui rendre?

Le Rédacteur naïf. — Tiens, c'est vrai !

CHOEUR DES RÉDACTEURS
La Providence ici-bas nous a mis
Afin d'y voir triompher la concorde ;
N'Oublions pas que c'est nous les Amis

De VOrde: (3 foi.)

Le rédacteur en Qhef, rêwur.—Comment.pourrions-nous bieu
encore rassurer le commerce, entretenir dans le pays ce calme
qui lui est Si nécessaire ?

Premier rédacteur. — Si nous annoncions que M. Thiers
vient d'être frappé d'apoplexie?

Deuxième rédacteur. — Que les Prussiens refusent de se
conformer aux clauses du traité tant que cet homme fatal res-
tera au pouvoir?

Troisième rédacteur. — Qu'ils s'apprêtent à revenir occuper
nos départements du centre?

Quatrième rédacteur. — Que des papiers très-importants
trouvas dans les cU'Ussettes d un Arabe éablissent la partici-
pation de M. Gambetta aux troubles de l'Algérie.

Cinquième rédacteur. — Qu'un incendie, dont on ne devine
que trop les coupables auteurs, vient de réduire Mont-de-
Marsan en cendres?

Sixième rédacteur. — Qu'un soulèvement formidable vient
d'éclater à Oasteluaudary ; que la troupe y pactise avec les
insurgés.

Le rédacteur en chef. — Eh bienl mais nous pouvons déjà
mettre tout {a aujourd'hui. Nous ferons mieux demain si nous
pouvons. "Vite, messieurs, à vos plumes ! Le metteur en pages
attend.

choeur des rédacteurs.

La Providence ici-bas nous a mis
Aâu d'y voir triompher la concorde ;
N'oublions pas que c'est nous les amis
De l'Ordsl (3 fois.)

Le rédacteur en chef, en sortant.
numéro qui se dessine !

— Allons, allons, voilà un
Paul Parfait.

3=«----S\/\ï$f\f^~^~~-

GAZETTE A LA MAÏN

Comme je rentrais chez moi, l'autre semaine, de mon expé-
dition en Alsace-Lorraine, ma bonne m'a interpellé :

— Monsieur sait qu'il y a quelqu'un?...

— Quelqu'un?... Ça ne me fait rien. . Je n'y vais pas.

— Non : quelqu'un dans la chambre à coucher de monsieur...
une personne qui att^n-d...

— Dans ma chambre .à coucher!... Herr got sacrçmenU...
Est-elle jolie, cette.Paraîjêïe ?...

Ma bonne a fait la'grlinâ^ç.

— Monsieur, elle dit comme ça que c'est une ancienne con*
naissance. .

J'ai fait la grimace à mon tour.

— Enfin, a-t-elle donné son nom?

— Monsieur, voici sa carte.

C'était un de ces vélins-bijoux que mon ami Richard impro-
vise à la minute — passage ce l'Opéra — galerie de l'Horloge.

J'y jetai les ytux curieusement...

Pois, bondissant de terreur :

— Ma fille, je repars !... Je vaî§ Tejoindre Madame à la cam-
pagne... Vous préviendrez cette^ersoune que je suis à Vorsâil-
les et que je n'en reviendrai qu'a l'expiration des pouvoirs de
M Thiers'!.,-.

Hélas ! il n'était plus temps !..-.

La portière sYtait soulevée ..

Une main de fer s'était allongée et m'avait harponné à la
gorge...

-gr-'C! Achat ^t Vetite au com-ptaut ue toutes
ilË/iJ valeurs coiéea et non coi.ési.

162, me SSontmartre, à Paris,

ÀBMWitël

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[*i? 1 ï\j:j tive3, s.'iis Eoen.in'e., iufa' lihlas contr* les
Maladies secrète* dea deux S'xes. récente* ou chro-
niques les plu* invétérées, éc 'ulemeats, catarrhes de
ves-ie, incoutîneace ou rêieu'. on d'uiine, rétrécisse-
ment, dartr».s, n'érigeant oi rivatiou ni régime. —
A Paris, pharmacie H^odug, fi , rue Basse-du-Rera^art;
Hubert, 51, ni" Mo.iU'rgu.h, -et Blût, ioveuteur,
pharmacien, nié Matabiau, à Toulouse. Envoi franco,
4 fr. 10 en timbres-poste.

— L'ANGINE
Eti jo tombai, ■

mumiurai-jt!.
t'undrojéj — su

... ,7(3 suis re^ui là huit jours durant — et huit nuits ! —
Quelles nuits! — Désormais, en fait de glaciers, je ne m'as-
siérai plus que devant Tortoni. Comme chante Arnal dans
Illumine bjapê. c'est, plus près, et Ton a clas chaises.

Me voici en convalescence. Je suis sorti victorieux de cette
nouvelle escarmouche avec la mort. Rien ne nous dompte
comme ces crises morhides. La déperdition de forces qui en
résulte modifie complètement notre caractère et nos idées-
Àin:-i, tenez, à l'heure qu'il est, les artis'es du Vaudeville vien-
draient jouai" à mon chevet les T-ois Ohapeaur, de M. Henae-
quin, que j'y prendrais un plaisir extrême. Ou me descendrait
même dans la '-ave à musique de M. Martinet, que. semblable à
un quidam à qui l'un cuupe le cou, je n'éprouverais pas autre
chose qu'm e délicieuse fraîcheur.

J'en suis arrivé, en effet, à cette pé iode réparatrice où tout
effot du cerveau est une fatigue et où l'ou ne daigne plus
s'exaspérer ni s'émouvoir. Je laisse donc filer a vau-l'eau les
évéïiemeniSv sans m'inquiéter s'ils m'emportent à la dérive. Je
pardonne Marceline à M. de La Hounat, et je suis prêt à déclarer
que toutes les créatures de prix qui assistaient, aux Variétés,
à la reprise des Br-ynds, étaient des femmes awnt la lettreit..

Ne mVn demandez pas davautage!

C'est aujourd hui que je mange mon premier œuf...

Et j'ai besoin de tout mui-ineme pour mener à bien cette opé-
ration à la coque.

C'est de cet œuf de la vie privée. — de sa vie privée, —
qu'Alexandre Dumas a vécu des volumes ..

Mais comme il savait tailler les mouillettes !...

Ou causait, un soir, chez Emile de Girardin, de la souscrip-
tion Lamartine. Dumas, qui n'était pas plus à court d'expé-
dients dans la vie réelle que daus ses romans, se ht fort de
donner quarante mille francs sans se g«uor.

— Je n'ai qu'à faire une pièce avec mon fils Alexandre.

— Qu'est-ce qu'il faut de temps pour cela?

— Huit juui's au plus. Je me mets au plan, je suppose, en
rentrant chez moi. Je le lui apporte demain. Ii écrit le dialogue
dans sa semaine. Le huitième j"Ui", on lit rtux acteurs, qui vou-
dront bien, de leur côté, a^prenJre en diligence les rôles qui
leur au ont éfé confiés. A quinzaine la première représentation,
— l'unique si l'on veut Ce jour-là. on porte à quarante francs
le prix des places. Mille spectateurs à quarante francs donnent
Wquarante mile francs, qui représenta ront bien l'offrande de
la li térature dramatique à Lumartine.

On a vendu — hier — pour seize mille francs lemohilier du
père prodiyve qui pariait de jeter comme c^la « sans se gêà " "
quarante mille francs dans la sébile du clarinettiste d:.kivirel

L'autre jour, — à Versailles, — quelqu'un essayant de calcu-
ler le nrodigieux travail d'Alexandre Dumas père s'étonnait
que cet hercule Lféraire n'eût jamais besoin de se reposer un
iustant M. Alexandre Dumas hls, voulant > xpliqui-r cette per-
sévérance infatigable, et, en même temps, la facilhé avec*la-
quelle son père s'as&imilait tout ce qu'il voyait, tjsi t €p qu'il
entendait, tout ce qu'il apprenait pour en faire des livrer, ré-
pondit :

— M n père ne se fatiguait pas plus qu'une éponge qu'on
imbibe en la trempant dans l'eau, et qu'on exprime^ on&uite
dans un va^e pour le remplir.

Ce mot de M. Du:aa« fils me rappelle an mot de M. Casimir
Delavigiie sur Alexandre Dumas père :

— C'est singulier, disait Cas'tnir Dehivigue, je n'aime pa« du
tout ce que fait Dumas; mais, lorsque je le lis, il me semble
que tout ce que je fais est détestable.

Un avocat siégeait, — sur le banc des accusés
M. le président. — Aecuse, vous êtes plu

impardonnable d avoir violé la loi; von

naï-Kv.
le prévenu. —Justement \ Je la cmnaissu

temps, que la chose devient invraisemblable!

-_ tout autre
deviez bien la con-

depuis si long-

Un artiste du Palais-Royal rencontre un de ses camarades
dont la passion pour les petits et les grands verres -est bien
connue, et il le trouve, comme d'habitude, festonnant et tu-
toyant l s murs.

-- Comment, tu n'as pas honte, lui dit-il, de te mettre dans
cet état !

— Ne me gronde pas, ami, répond le pochard. que veux-tu ?
je suis soûl de naissance.

Paul de Kock vient de mourir!

11 y a quelque trente ans, lorsque les cabriolets à quatre
roues t.mes d'un siég^ sur le devant tire-t leur apparition s >us
le nom de cabrioleta-mylords, qu'ils changèrent plus tard pour
celui de vie onas, les cuchers des cabriolets simples ne pouvaient
croire au succès de cette nouvelle invention. Pour tout au

mon'e on ne leur aurait pas fait avouer la supériorité d
nouveaux véhicules.
Paul de Kuck m'a raconté l'anecdote suivante à ce sujet :

Un jour que je me faisais trimbalbr sur le pont des Arts, —
;saus penser a l'Institut, grand Dieu! — dans un classique ca-
bnuict de r?gie. un mylord passe et mon cocher me dit :

— Cane prendra pas, ces machines-là.

— Pou quoi?

— Mais, dame! quand un bourgeois prend un cabriolet, na-
turellement, c'est pour causer avec le cocher.

Le grand romancier populaire a dû causer plus d'une fois
avec son cocher.

Car c'e&t en cabriolet qu'il a — certainement — parcouru
Paris et ses eavir>.Ds.

Mais comme la vapeur a distancé tout cela !

iLa ÊégeKB&e «Se® pèe^cs

Le plus illustre de nos financiers, ayant deux dames à traiter
et voulant les traiter avec grande recherche, entre chez le plus
connu oe nos marchands de fruits.

— Combien ces trois pêches?

— Trois cents francs, monsieur le b:>ron.

— C'est exorbitant.

—- Je ferai observer à monsieur le baron qu'elles sont d'une
grosseur en tous points phénoménale...

— Si au moins on était sûr qu'elles sont bobnes !

— Elles sont exquise?, monsieur le baron; vous allez en
juger.

Le marchand prend un couteau d'argent, met une des trois
purV's Mir u'ie assiette, la coupe eu deux, en offre une moitié
ai.: baron, mise récrie, et niante l'^uta;.

— N'est-ce pas qu'elle-! sont exquises?

— Deit. i«uaes, repnt le iina<.cier Je prendslfls deux autres.
En disant ces mots, il puse deu.v billets de cent francs sur

le coaptoir.

— C'est quatre cents francs, dit le marchand sans sourciller.

— Comment, c'était t;ois cents francs auand il y en avait
trois? * J

— Ces d,iux pêches sont plus rares que tout à l'heure, elles
valent le double, reprit le ma'chaud. Si nous i-n mangeons en-
core une, la di-rniero, qui sera unijue, vaudra mille lignes.

Le baron pfya les quatre eeiits francs et emporta lui-inêcne
ses deux beaux fruits.

Dans un café du boulevard, un jeune homme soupe avec une
jeune personne dans le salon commun.

Au dessert, Caroline allume une cigarette.

— Madame, dit le cafetier, ou ne fume pas ici.

— Mais il est deux heures du matin.

— Peu m'importe l'heuiv 1 Vous n'êtes pas ici à l'estaminet.
Vous été» daus uu salon.

— Monsieur, ht le cavalier'de la Ôefet^ faîJteîecu dans bien
des salins, mais je dois avouer que"h: rmiît-ts; de la maison ne
m'a jamais demandé huit sous pour une chope !

Emï£,s BlOkdet.

Certains détail-; délicats de 'mèdciAwe intime offrent une
grande difficulté pour être traités avec c-nvenmee, clarté et
■prèc-s'ton. et nous comprenons le succès obtenu par le Petit
GuifU 'it<è<i,c-ai-r\\x doc eux Coorîm, dont on vient de publier la

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