."es.
SanS frais',
°t la R
'"ace,
K.„ ue«ce.
"arcean! '
asPérano8 r
et0IabeaQ""
ide
ou Bas.,
fie.
Jdijs
Cacv,
; Li
■*ftss
* pas encore p
raacs par njjie
Platon. Je t.
* sous... Ce
ras île
r« on impôt sur lis ni.
mren donner moins.
ûi ^ en donner moins.
* moins, nous bm
d nous ne donnerons
rair qu'il n'a pas su
honnête;moi,je suis
nentent de cinq pour
utl
ioubleronslepris!
ons du Gouvernement
îs qu'ils ne nous ce
trois fois plus qu'ils
it de pauvres diables
nous ajons un gu-
is ce gouvernent I
st pour les tesieis
mr lui s'amustriBi.
uçais - oui ils «
■olitent desmklkiG
te.
e. _ CommentJ siï
?es ! Je croyais qa'ii
avons l'air de S1'
;„ ca n'empèelie JP
) ÂPP**'"
a tête.
I Ce atravemem*
*******
'■&**«&*
ym ***.
t durs ^
utar , s'at"
envie de me trouver tout à coup sur le pavé.
— OJi ! tu exagères !
— Moi, pas du tout.
— A chaque impêt nouveau tu es dans un état de surexcita-
tion...
— Ça, c'est vrai. Ces choses-là me secouent toutes les fibres.
Je ne peux pas songer sans être ému...
— Aux augmentations..:
— Pardon, aux difficultés pénibles que chacune de ces aug-
mentations fait naître au sein des classes laborieuses... liien,
rien que d'en parler, ça me creuse Je vais aller déjeuner avec
Brisemiche... Qu'est-ce que c'est que cette étiquette : 2 fr. 50?
— C'est pour la dernière earù-cle-vie. Tu viens dé me la de-
mander toi-même.
— Pour l'eau-de-vié? J'avais la tête ailleurs. C'est un 3'francs
que j'aurai voulu dire.
II
La chambre c'âîijugale
l'épicière, faisant tout bas sa prière avant de se coucher. —
« Notre père quiètes aux cieûx, qù'e votre nom soit sauctifié,
que votre règne arrive, que voire voîùàiê était faite sur la terre
comme au ciel. Ne nous donnez pas de pain mais faites-nous
la grâce de lire ki'Officiel un impôt quotidien'. C'est comme ça
qu'avant deux, ans nous pourrons céder notre fond et jouir Cn
paix de nos petites économies. Pardonnez-nou'é comme nous
pardonnons à1 ceux qui nous traitent de filous. Ne nous laissez
pas succomber à la tentation de quintupler encore le prix des
sardines ; mais délivrez-nous prûm'rjterhent du niai que nous
nous donnoBs. «
Ainsi soit-il 1
Paul Parfait.
*,,-/\/iivs-^irf^~1*™*-"
gazette a la main
On dirait que M. Alexandre Dumas fils a juré de traiter
l'amant comme Voltaire traitait Dieu.
Ecrasons l infâme 1./.
Ce qun l'émineû-t écrivain — je parle de l'auteur de la Visite
de n'>ce—prodigued'au'daee foudroyante et d'impitoyable ironie,
de réalisme de parti pr's et de brutalité préméditée dans l'ac-
complissement de son œuvre, la verve de M. Veuillot houspil-
lant le 4 Septembre peut seule en donner une idée.
Maintenant, M!. Alexandre Dumas fils arrivera-t-il à suppri-
mer i'amant dans la société, — par le ridicule et l'odieux, —
comme ie philosophe de Ferney entendait supprimer la Divi-
nité, comme le rédacteur en chef de l'Univers entend supprimer
la République ?
Je ne le crois pas.
Si honni, conspué, battu que soit 1'amant dans la pièce nou-
velle du Gymnase, la femme lui élèvera toujours un autel dans
son cœur.
S'il s'agissait de défunt Morny, je rectifierais le nom et la
géographie...
J'écrirais hôtel.
Et je remplacerais le cœur par les Champs-Elysées.
Au foyer, le soir de la première représentation, les
faisaient les frais de la conversation.
On commentait la'Charmante série que Gavarni a intitulée :
Fourberies de fe-aifaês'en matière de sentiment
Helas ! si fécond qu'ait été le spirituel crayon du peintre, l'i-
magination des fille* d^Eve e^t mille fois plus inventive encore.
Un exemple en date de la semaine dernière :
Un de nos financiers les plus distingués était depuis long-
temps averti que sa femme agiotait sur les commandites du
fruit défendu:
Notre homme jouait à la baisse; un jour de hausse, dépité,
poussé à bout, il suivit l'épouse soupçonnée en rasant les mu-
railles à la façon des jaloux de comédie, et la vit entrer dans
une allée de la rue Montorgueil.
L'BGHi'SE
La maison était borgne, l'escalier aveugle ; entre le troisième
et le quatrième étage, l'Otlitllo, dont la patience était essouf-
flée, saisit la jeune femme par le bras, et d'une voix menaçante
articula ces paroles :
— Malheureuse, nierez-vous votre infâme conduite ?
A cette fougueuse apostrophe, l'inculpée répondit avec un
écrasant mépris :
— Montez au quatrième, et vous tomberez à mes genoux.
Puis elle atteignit lestement le palier, et, tirant une clef de
son manchon, ouvrit une porte à gauche. Son mari marchait
sur ses talons. Quel fut son étonnement !
Une pauvre vieille et deux enfants baisaient les mains de la
jeune femme et disaient :
— Voilà notre bienfaitrice !
— Eh bien, monsieur ?
— Vous êtes un ange et je suis un butor; \
■— L'auge vous pardonne.
Les maris me font toujours rire, et surtout celui-là. En mon-
tant sept inarches de plus, avant que de se montrer, il voyait sa
femme avec la même clef entrer à droite, où l'attendait un
jeune premier d'une de nos scènes secondaires.
La turlutaine ne varie que dans la forme.
J'ai encore entendu raconter celle que voici :
Une comtesse du faubourg Saint-Honoré, mariée à un pair de
France plus que mur, carrSart dans un petit salon bleu avec un
attaché d'ambassade.
Au moment où ils se recitaient réciproquement des phrases
de roman, un équipage entre avec fracas dan.^ la cour ; on re-
garde à travers les vUres,' et l'on' voir., non sans le plus'arand
trouble, que c'est le mari qui revient de faire un tour au bois.
L'attaché d'ambassade bachelier en fait de diplomatie, ne
perd pas la tête t!aas cette circonstance.
La façade de l'hôtel donnait sur le faubourg...
Il répand une carafe d'eau sur son chapeau gris, sur sa cra-
vate, sur son habit, et n'aperçoit pas plutôc le pair de France,
qu'il prend le ton d'un homme qu'on vient d'arroser en pas-
sant :
— Oui, monsieur, je suis monté pour me plaindre. Je ne
conçois pas qu'au mépris des ordonnances de-police, on répande
de l'eau par les ftmêtres.
Et, en montrant les effets du dommage :
— Je suis un artiste, peintre d'histoire, et je n'ai pas le
moyen de renouveler ma toilette tous les jours. Il faudra bien
qu'on m'indemnise, monsieur.
De son côté, la comiesse faisait la hautaine et parlait de
faire chasser l'insolent.
— En voilà assez, s'écria le pair de France impatienté. Mon-
sieur, veuillez envoyer la note de ce que vous réclamez : on
vous en donmrale montant.
Notre gaillard, riant sous cape, formula une révérence cour-
roucée et se retira avec la certitude d'ayoir assuré le repos de
celle qu'il aimait.
ftïécrologàe
Quatuor de décès dans la semaine :
Mme Mélauie Waîdor,
M. ivloïse Millaud,
M. Révial,
Ces trois premiers inhumés au cimetière Montmartre,
Et les Créanciers du bonheur, enterrés à l'Odéon.
Mme Waldor avait fait de gros romans dont on ne âe souvient
guère et une grosse comédie dont on ne. se souvient plus. Dans
les derniers temps, elle fabriquait des levers de rideau pour
l'Ambigu J'ai le regret de ne l'avoir connue que par les vers
terribles de Koger de Beauvoir :
Quand madame Waldor à Paul Fou^her s'accroche...
M. Révial fut un ténor estimable et un professeur estimé- Il
a fini au Conservatoire. Les chanteurs d'aujourd'hui finissent
presque tous à la maître-d'hôtel...
, Quant au vaudevilliste de Ma Nièce et mon Ours, quant au
fondateur du Petit Journal, empruntons, pour chanter sa biogra-
phie, la lyre d'un poète qui honora souvent de sa présence et
dé son esprit les salons de la place Saint-Georges :
L'ËXKIDE COMPLÉTÉS PAR MERY
CEUNT XIII
At pMi^r Jlueai non encore remplaçaverat
Didonéin : veuf sponsavit in nopee secunda
Jeunam Laviniara, m?>is non heur^usior il fut :
Er.aïunt tous deux, separati, tempore longo,
Et sf ivtrouvaverunt Boriosus in urbe.
Là, Lavitiid #ros-e, de Millaude, futuro
BaL-quiere, accouchai, gui portât d'ore lunettas :
Celui ci, si non foudavit Romamque nec Albam,
Fondavit Lutinum cum Lireux atque theatrum.
Parisiem venit, et se mit pourchassare l'argent :
Camaradi le connaissent sub nomiue Moses,
Mais concurrentes appellent hune Polydorum,
Qui veut dicere : Beaucoup d'or-; et juaiificavit
Un tel surnomen cum Mires, Mus Acathes.
Quartierum in tituit, pour faciliter lo'-atairos,
Mais proûtavit S"lu8. Construite hoiellum,
Esbroaffans Asife luxu-* ou p'utôt et'Usqui,
Plaça ^ancti Georgî; meublayitque richessis
Qu'il p'ïrtavit d'Italie : alors Jîneratura
In^irata fuit pour dîner. Sic ego Méry
Chantavi : « .0 Millaud dicis : que l'actionarus
» Sit, tactus 'fuit acuonarus '. 'pui*, que Girardus
j> Pour toi brisât plumam, brhavitque Girardua.
» Et que PaciJîcus cou'at in Ailantieum,
» Et dejàPaciûcus s'embrasse avec Atlantïcô,
» Car ainsi voluit Milhud..... »
M. Millaud, qui fut l'un des bons riches de notre époque,
était, à l'âge de douze ans, un garçon rangé, économe, indus-
trieux et intelligent. Sa mère, peu fortunée, voulut tirer parti
de ces précieuses qualités, et mit en apprentissage le futur
millionnaire chez un huissier, le plus méticuleux, le plus vétil-
leux, le plus pointilleux, le plus avaricieux des huissiers pré-
sents, passés et futurs
L'enfant, plein de bonne volonté et d'ardeur, se mit avec
courage à la besogne : il abattait les grosses et les expéditions
à la douzaine ; malheuresement dame nature et dame éduca-
tion l'avaient gratifié de la plus abominable écriture que ja-
mais chat éruclit ait pu rêver. Balzac et Janin, à côté de lui,
eussent été les rois des calligraphes..
L'hu'ssier, inquiet et mécontent, après avoir bien rêvé, prit
un grand parti. Il arriva un matin dans le chenil qui lui ser-
vait d'étude, avec un Tèlèmaque sous le bras, et donnant avec
dignité le précieux volume à lVnfant :
— Voilà, lui dit-il, qui te formera l'esprit, le cœur et la
main ; tous les jours tu me copieras, avec toute l'attention dont
td es susceptible, quatre pages de ce beau livre, et soigne bien
tesphins et tes délies.
L'enfant docile promit de faire de son mieux et se mit avec
assiduité à ia besogne.
Au-bout de huit jours l'huissier, un soir qu'il était de bonne
humeur, lui demanda où il en était de ce labeur ingrat.
— Voici, monsieur, dit l'enfant avec inquiétude.
L'huissier fit un bond prodigieux.
Le peiit malheureux avait écrit TèUmaque sur du papier tim-
bré,; il en avait mangé pour SOIXANTE-DIX-SEPT FRANCS.
L'huissier en fit une maladie et renvoya son jeune clerc en
lui disant :
— Vous êtes un gaspilleur, et vous ne ferez jamais fortune.
Voilà un brave homme d'huissier qui n'était pas doué du don
de seconde vue I
Mademoiselle A..., attachée à un théâtre de genre, n les yeux
saillants à ce point qu'ils ont l'air de vouloir s'échapper.
Cette jeune actrice, qui compte beaucoup d'amis, a la manie
de ne jamais recevoir deuxpersonnes à la fois.
Il y a une phrase que la. femme de chambre récite comme un
perroquet :
— Madame est sortie; mais si vous voulez prendre la peine
dé vous asseoir, elle ne tardera pas à rentrer.
On causait de Mlle A... dans un coin du café Luxueux.
— Jolie fille! disait un monsieur; il est dommage que ses
yeux soient sortis ..
— Ils sont sortis, s'écria un voisin, mais, si l'on veut prendre
la peine de s'asseoir, ils ne tarderont pas à rentrer l
S MILS ËLONDET.
de dents sans douleur, 45, rue Lafayette.
Extractions et pose
Jardin de TlVOkl-WACX-ffiUgX, pi. du Château-d'Eau.
Concert-prpm. lundi et jeudi. Mat. du dimanche, concert,
confe ; soirées dansantes les autres jours. Chef d'orch., L.Dufils.
Le Gérant : le révérend.
psCHflf. — ÏTnïprïmflTi» Ajusta VÂLLI1E, 16. ni», au Cro'issant.
■vfê le cou 'evt Ruolz sur cuivra pour
..____________*ifi le co iver-, métal «itira blan-
(nouv. découverte) de la maison Lemmtrk et Ridoox
boulevard Voltaire, 18, à ,Jari* (maison recorûnv..!-
dable par bhs prodùitsl.
IDII^'ITO * BONNE DIGESTION! FORCES 1
Al ï h Mil* Procurés par l'usage
de la
C4RB0LNMLHKT ™*^™EN
Agréable élixir tonique, antinerveux, stomachique et
aatiépidâmi(|u« —Prix 4 fr.— 76, boulevard de» Bati-
gnol'^s ei chez tous 1«» pharmacien».
'lâHfi 'eS0Q:i ei traductions de français anglais,
allemand et italien. Cours 2 fois par sem.
10 tr. par mois 48, r. d'Assas, p jardin Luxembourg.
RËÎiiOKSHOlDSS LBBir™""^^ .ï-
Paria. Pr.. 4 ff. Guonann promut**. Couk.. 1 h. m f. h.
MAI,A.■■'MES ou BLESSES
■oulagés par lits et fauteuils nié
paniquas, vente et location. Du
pont <it Villahd, successeurs de
GEbLÉ, rue Serpente, 18, Pnri...
Z DE SALSEPAREILLE
ilieur dépuratif du sang, humeurs, dartres,
etc. phami. Fourquet, 29, r. des Lombards. A
m d'or. 3 fr. le flac, 15 fr. les 6 flacons. — Eip
et dentiers a succion. Les nombr.-i: i
_________perfectionnera finis apportés depuis piu:; d's
vingt-«inq an» à ces nouveaux dentiws, permoite:-'.
à l'inventeur de les livrer en une journée, avec vu?,
grande réductiou daas leurs prix habituels. Ils réu-
nissent la BEAUTÉ, l'UTlLITÉ, la DOUÉE, et Sont GA-
RANTIS.
G-uérison dôs dents douloureuses par la JtïXTUKB
odontalgique. Prix du flacon, 6 fr., avec la Notice
explicative. — Chez le D-" FATTBT, dentiste, 255,
rue Saint Honoré, où l'on trouve le mastic obtdba
TEUR pour plomber ses dents soi même. La bout;, 6 fr.
(Mandat «ur la poste.)
rateU^'irC! PLASTIQUES. — Boavallet
Iwllufj 10 8, boulevard Bonne-Nouvelle.
Très-intéressante Loterieautorisée
pour toutela France
On s'associe pour prendre
20, — 40, — lOObille\s.
C'est une distraction, quelquefois une bonne affaire,
~~ , et toujours une Bonne OE
^Cette Loterie, PROMPT MOYEN de f
■"venir en aide à de récentes infortunes ''
a déjà amélioré Vavenir d'OjiPHELiNS.
%^^-P/^^^m^^r Billet
^ / dans toute la France
u
EUe fera beaucoup plu» encore et sera vile
CHAQ DE NU M KRO
fait pa iciper à toutes chances
fde Oain de tous lots.
NOMBREUX LOTS, lalur ic
PB. 500
etd ÎOOO
« autres lots d'une valeur de
QDOO
5DOO
Ô.OOO
£0000
(Voir,sur les BtUits,détail îles Lots.
T1HAGE
Allj OU.rd'hm, chez tous
LIBRAIRES,
vendeurs de journaux
et débitants de tabac,
en prônant
son JOURNAL ou son CIGARE,
prendre aussi quelques
billets a S Scentimes
PRÉSENT
mois
MARDJ
OCTOBRE
"'^1f,!p|"V s.ur les ^--w-ees fM«|£ ^wiie*. dofu ra-
H -Vf' ti,v*>s. s»K« rôwe.ûr*- infaillibles contre les
;L'mK' secrètes des deux sexet, récente! ou chro-
oiques les plui invétérées, éc 'ulements, catarrhes de
vessie, incontinence on rétention d'urine, rétrécisse-
ment, dartres, gouttes, rhumatismes, n'exigeant n
■nvation ni régime. — A Paris, pharmacie HAUDnc,6t,
rueBasse-du-Rempart; Hobert, 51, rue. Montorgueil
et Blot, inventeur, pharmacien, rue MataMau, à Tou-
louse. Envoi franco, 4 fr 10 en timbre s-poste.
L'AFFAIRE
JI1E< FaVKK & MIUYÉ
La brochure contenant le procè« de l'affaire Jules
Fan*e et Laluyé en est à sa troisième édition.
On la trouve chez tous les libraires et marchands de
journaux. Pour la recevoir franco envoyer 75 cent, à
M. LACAZE, éditeur, S, rue du Croissant, 8, à Paris.
GRAND HOTEL
12, boulevard dtl Capucines, 13
RÉOtTVGRTiOBE
Après restauration complète
Cs nouvelle Direction a réduit tout tel Tarifi
Le pi. du service ne sera plus compté aux 'oyagaBN
700 CHAMBRES ET SALONS
Humbles avec le plus grand confortable
dejais i francs par jour, semée eomprii,
■MBIJg D'HOTB
OÉJBUNERS à « francs, Tin eomjrl»
«ous les jours, de 10 heures du matin à 1 béer»
après midi.
affiEES à 6 fran-TS, vin compris
tous les aoira à 6 heures.
BiîEDSEÊS ET DIHBK8 A LA CAJaTB ^
;omprenant le logement, le dmufTag«, réclairage
ti serriee et là nourrîtare. aysc faculté de prendM
•es rep&jB àmt l'appartiîaieïït, au restaurant ou é
la table d'aôt* de l'H6tel.
1*4 çùéssé : ây fr. «u m -«sis. ou S ^sU.
* sis*:* «S fr. » mk, 8 *«.
ni fboid n m a.s,s
SanS frais',
°t la R
'"ace,
K.„ ue«ce.
"arcean! '
asPérano8 r
et0IabeaQ""
ide
ou Bas.,
fie.
Jdijs
Cacv,
; Li
■*ftss
* pas encore p
raacs par njjie
Platon. Je t.
* sous... Ce
ras île
r« on impôt sur lis ni.
mren donner moins.
ûi ^ en donner moins.
* moins, nous bm
d nous ne donnerons
rair qu'il n'a pas su
honnête;moi,je suis
nentent de cinq pour
utl
ioubleronslepris!
ons du Gouvernement
îs qu'ils ne nous ce
trois fois plus qu'ils
it de pauvres diables
nous ajons un gu-
is ce gouvernent I
st pour les tesieis
mr lui s'amustriBi.
uçais - oui ils «
■olitent desmklkiG
te.
e. _ CommentJ siï
?es ! Je croyais qa'ii
avons l'air de S1'
;„ ca n'empèelie JP
) ÂPP**'"
a tête.
I Ce atravemem*
*******
'■&**«&*
ym ***.
t durs ^
utar , s'at"
envie de me trouver tout à coup sur le pavé.
— OJi ! tu exagères !
— Moi, pas du tout.
— A chaque impêt nouveau tu es dans un état de surexcita-
tion...
— Ça, c'est vrai. Ces choses-là me secouent toutes les fibres.
Je ne peux pas songer sans être ému...
— Aux augmentations..:
— Pardon, aux difficultés pénibles que chacune de ces aug-
mentations fait naître au sein des classes laborieuses... liien,
rien que d'en parler, ça me creuse Je vais aller déjeuner avec
Brisemiche... Qu'est-ce que c'est que cette étiquette : 2 fr. 50?
— C'est pour la dernière earù-cle-vie. Tu viens dé me la de-
mander toi-même.
— Pour l'eau-de-vié? J'avais la tête ailleurs. C'est un 3'francs
que j'aurai voulu dire.
II
La chambre c'âîijugale
l'épicière, faisant tout bas sa prière avant de se coucher. —
« Notre père quiètes aux cieûx, qù'e votre nom soit sauctifié,
que votre règne arrive, que voire voîùàiê était faite sur la terre
comme au ciel. Ne nous donnez pas de pain mais faites-nous
la grâce de lire ki'Officiel un impôt quotidien'. C'est comme ça
qu'avant deux, ans nous pourrons céder notre fond et jouir Cn
paix de nos petites économies. Pardonnez-nou'é comme nous
pardonnons à1 ceux qui nous traitent de filous. Ne nous laissez
pas succomber à la tentation de quintupler encore le prix des
sardines ; mais délivrez-nous prûm'rjterhent du niai que nous
nous donnoBs. «
Ainsi soit-il 1
Paul Parfait.
*,,-/\/iivs-^irf^~1*™*-"
gazette a la main
On dirait que M. Alexandre Dumas fils a juré de traiter
l'amant comme Voltaire traitait Dieu.
Ecrasons l infâme 1./.
Ce qun l'émineû-t écrivain — je parle de l'auteur de la Visite
de n'>ce—prodigued'au'daee foudroyante et d'impitoyable ironie,
de réalisme de parti pr's et de brutalité préméditée dans l'ac-
complissement de son œuvre, la verve de M. Veuillot houspil-
lant le 4 Septembre peut seule en donner une idée.
Maintenant, M!. Alexandre Dumas fils arrivera-t-il à suppri-
mer i'amant dans la société, — par le ridicule et l'odieux, —
comme ie philosophe de Ferney entendait supprimer la Divi-
nité, comme le rédacteur en chef de l'Univers entend supprimer
la République ?
Je ne le crois pas.
Si honni, conspué, battu que soit 1'amant dans la pièce nou-
velle du Gymnase, la femme lui élèvera toujours un autel dans
son cœur.
S'il s'agissait de défunt Morny, je rectifierais le nom et la
géographie...
J'écrirais hôtel.
Et je remplacerais le cœur par les Champs-Elysées.
Au foyer, le soir de la première représentation, les
faisaient les frais de la conversation.
On commentait la'Charmante série que Gavarni a intitulée :
Fourberies de fe-aifaês'en matière de sentiment
Helas ! si fécond qu'ait été le spirituel crayon du peintre, l'i-
magination des fille* d^Eve e^t mille fois plus inventive encore.
Un exemple en date de la semaine dernière :
Un de nos financiers les plus distingués était depuis long-
temps averti que sa femme agiotait sur les commandites du
fruit défendu:
Notre homme jouait à la baisse; un jour de hausse, dépité,
poussé à bout, il suivit l'épouse soupçonnée en rasant les mu-
railles à la façon des jaloux de comédie, et la vit entrer dans
une allée de la rue Montorgueil.
L'BGHi'SE
La maison était borgne, l'escalier aveugle ; entre le troisième
et le quatrième étage, l'Otlitllo, dont la patience était essouf-
flée, saisit la jeune femme par le bras, et d'une voix menaçante
articula ces paroles :
— Malheureuse, nierez-vous votre infâme conduite ?
A cette fougueuse apostrophe, l'inculpée répondit avec un
écrasant mépris :
— Montez au quatrième, et vous tomberez à mes genoux.
Puis elle atteignit lestement le palier, et, tirant une clef de
son manchon, ouvrit une porte à gauche. Son mari marchait
sur ses talons. Quel fut son étonnement !
Une pauvre vieille et deux enfants baisaient les mains de la
jeune femme et disaient :
— Voilà notre bienfaitrice !
— Eh bien, monsieur ?
— Vous êtes un ange et je suis un butor; \
■— L'auge vous pardonne.
Les maris me font toujours rire, et surtout celui-là. En mon-
tant sept inarches de plus, avant que de se montrer, il voyait sa
femme avec la même clef entrer à droite, où l'attendait un
jeune premier d'une de nos scènes secondaires.
La turlutaine ne varie que dans la forme.
J'ai encore entendu raconter celle que voici :
Une comtesse du faubourg Saint-Honoré, mariée à un pair de
France plus que mur, carrSart dans un petit salon bleu avec un
attaché d'ambassade.
Au moment où ils se recitaient réciproquement des phrases
de roman, un équipage entre avec fracas dan.^ la cour ; on re-
garde à travers les vUres,' et l'on' voir., non sans le plus'arand
trouble, que c'est le mari qui revient de faire un tour au bois.
L'attaché d'ambassade bachelier en fait de diplomatie, ne
perd pas la tête t!aas cette circonstance.
La façade de l'hôtel donnait sur le faubourg...
Il répand une carafe d'eau sur son chapeau gris, sur sa cra-
vate, sur son habit, et n'aperçoit pas plutôc le pair de France,
qu'il prend le ton d'un homme qu'on vient d'arroser en pas-
sant :
— Oui, monsieur, je suis monté pour me plaindre. Je ne
conçois pas qu'au mépris des ordonnances de-police, on répande
de l'eau par les ftmêtres.
Et, en montrant les effets du dommage :
— Je suis un artiste, peintre d'histoire, et je n'ai pas le
moyen de renouveler ma toilette tous les jours. Il faudra bien
qu'on m'indemnise, monsieur.
De son côté, la comiesse faisait la hautaine et parlait de
faire chasser l'insolent.
— En voilà assez, s'écria le pair de France impatienté. Mon-
sieur, veuillez envoyer la note de ce que vous réclamez : on
vous en donmrale montant.
Notre gaillard, riant sous cape, formula une révérence cour-
roucée et se retira avec la certitude d'ayoir assuré le repos de
celle qu'il aimait.
ftïécrologàe
Quatuor de décès dans la semaine :
Mme Mélauie Waîdor,
M. ivloïse Millaud,
M. Révial,
Ces trois premiers inhumés au cimetière Montmartre,
Et les Créanciers du bonheur, enterrés à l'Odéon.
Mme Waldor avait fait de gros romans dont on ne âe souvient
guère et une grosse comédie dont on ne. se souvient plus. Dans
les derniers temps, elle fabriquait des levers de rideau pour
l'Ambigu J'ai le regret de ne l'avoir connue que par les vers
terribles de Koger de Beauvoir :
Quand madame Waldor à Paul Fou^her s'accroche...
M. Révial fut un ténor estimable et un professeur estimé- Il
a fini au Conservatoire. Les chanteurs d'aujourd'hui finissent
presque tous à la maître-d'hôtel...
, Quant au vaudevilliste de Ma Nièce et mon Ours, quant au
fondateur du Petit Journal, empruntons, pour chanter sa biogra-
phie, la lyre d'un poète qui honora souvent de sa présence et
dé son esprit les salons de la place Saint-Georges :
L'ËXKIDE COMPLÉTÉS PAR MERY
CEUNT XIII
At pMi^r Jlueai non encore remplaçaverat
Didonéin : veuf sponsavit in nopee secunda
Jeunam Laviniara, m?>is non heur^usior il fut :
Er.aïunt tous deux, separati, tempore longo,
Et sf ivtrouvaverunt Boriosus in urbe.
Là, Lavitiid #ros-e, de Millaude, futuro
BaL-quiere, accouchai, gui portât d'ore lunettas :
Celui ci, si non foudavit Romamque nec Albam,
Fondavit Lutinum cum Lireux atque theatrum.
Parisiem venit, et se mit pourchassare l'argent :
Camaradi le connaissent sub nomiue Moses,
Mais concurrentes appellent hune Polydorum,
Qui veut dicere : Beaucoup d'or-; et juaiificavit
Un tel surnomen cum Mires, Mus Acathes.
Quartierum in tituit, pour faciliter lo'-atairos,
Mais proûtavit S"lu8. Construite hoiellum,
Esbroaffans Asife luxu-* ou p'utôt et'Usqui,
Plaça ^ancti Georgî; meublayitque richessis
Qu'il p'ïrtavit d'Italie : alors Jîneratura
In^irata fuit pour dîner. Sic ego Méry
Chantavi : « .0 Millaud dicis : que l'actionarus
» Sit, tactus 'fuit acuonarus '. 'pui*, que Girardus
j> Pour toi brisât plumam, brhavitque Girardua.
» Et que PaciJîcus cou'at in Ailantieum,
» Et dejàPaciûcus s'embrasse avec Atlantïcô,
» Car ainsi voluit Milhud..... »
M. Millaud, qui fut l'un des bons riches de notre époque,
était, à l'âge de douze ans, un garçon rangé, économe, indus-
trieux et intelligent. Sa mère, peu fortunée, voulut tirer parti
de ces précieuses qualités, et mit en apprentissage le futur
millionnaire chez un huissier, le plus méticuleux, le plus vétil-
leux, le plus pointilleux, le plus avaricieux des huissiers pré-
sents, passés et futurs
L'enfant, plein de bonne volonté et d'ardeur, se mit avec
courage à la besogne : il abattait les grosses et les expéditions
à la douzaine ; malheuresement dame nature et dame éduca-
tion l'avaient gratifié de la plus abominable écriture que ja-
mais chat éruclit ait pu rêver. Balzac et Janin, à côté de lui,
eussent été les rois des calligraphes..
L'hu'ssier, inquiet et mécontent, après avoir bien rêvé, prit
un grand parti. Il arriva un matin dans le chenil qui lui ser-
vait d'étude, avec un Tèlèmaque sous le bras, et donnant avec
dignité le précieux volume à lVnfant :
— Voilà, lui dit-il, qui te formera l'esprit, le cœur et la
main ; tous les jours tu me copieras, avec toute l'attention dont
td es susceptible, quatre pages de ce beau livre, et soigne bien
tesphins et tes délies.
L'enfant docile promit de faire de son mieux et se mit avec
assiduité à ia besogne.
Au-bout de huit jours l'huissier, un soir qu'il était de bonne
humeur, lui demanda où il en était de ce labeur ingrat.
— Voici, monsieur, dit l'enfant avec inquiétude.
L'huissier fit un bond prodigieux.
Le peiit malheureux avait écrit TèUmaque sur du papier tim-
bré,; il en avait mangé pour SOIXANTE-DIX-SEPT FRANCS.
L'huissier en fit une maladie et renvoya son jeune clerc en
lui disant :
— Vous êtes un gaspilleur, et vous ne ferez jamais fortune.
Voilà un brave homme d'huissier qui n'était pas doué du don
de seconde vue I
Mademoiselle A..., attachée à un théâtre de genre, n les yeux
saillants à ce point qu'ils ont l'air de vouloir s'échapper.
Cette jeune actrice, qui compte beaucoup d'amis, a la manie
de ne jamais recevoir deuxpersonnes à la fois.
Il y a une phrase que la. femme de chambre récite comme un
perroquet :
— Madame est sortie; mais si vous voulez prendre la peine
dé vous asseoir, elle ne tardera pas à rentrer.
On causait de Mlle A... dans un coin du café Luxueux.
— Jolie fille! disait un monsieur; il est dommage que ses
yeux soient sortis ..
— Ils sont sortis, s'écria un voisin, mais, si l'on veut prendre
la peine de s'asseoir, ils ne tarderont pas à rentrer l
S MILS ËLONDET.
de dents sans douleur, 45, rue Lafayette.
Extractions et pose
Jardin de TlVOkl-WACX-ffiUgX, pi. du Château-d'Eau.
Concert-prpm. lundi et jeudi. Mat. du dimanche, concert,
confe ; soirées dansantes les autres jours. Chef d'orch., L.Dufils.
Le Gérant : le révérend.
psCHflf. — ÏTnïprïmflTi» Ajusta VÂLLI1E, 16. ni», au Cro'issant.
■vfê le cou 'evt Ruolz sur cuivra pour
..____________*ifi le co iver-, métal «itira blan-
(nouv. découverte) de la maison Lemmtrk et Ridoox
boulevard Voltaire, 18, à ,Jari* (maison recorûnv..!-
dable par bhs prodùitsl.
IDII^'ITO * BONNE DIGESTION! FORCES 1
Al ï h Mil* Procurés par l'usage
de la
C4RB0LNMLHKT ™*^™EN
Agréable élixir tonique, antinerveux, stomachique et
aatiépidâmi(|u« —Prix 4 fr.— 76, boulevard de» Bati-
gnol'^s ei chez tous 1«» pharmacien».
'lâHfi 'eS0Q:i ei traductions de français anglais,
allemand et italien. Cours 2 fois par sem.
10 tr. par mois 48, r. d'Assas, p jardin Luxembourg.
RËÎiiOKSHOlDSS LBBir™""^^ .ï-
Paria. Pr.. 4 ff. Guonann promut**. Couk.. 1 h. m f. h.
MAI,A.■■'MES ou BLESSES
■oulagés par lits et fauteuils nié
paniquas, vente et location. Du
pont <it Villahd, successeurs de
GEbLÉ, rue Serpente, 18, Pnri...
Z DE SALSEPAREILLE
ilieur dépuratif du sang, humeurs, dartres,
etc. phami. Fourquet, 29, r. des Lombards. A
m d'or. 3 fr. le flac, 15 fr. les 6 flacons. — Eip
et dentiers a succion. Les nombr.-i: i
_________perfectionnera finis apportés depuis piu:; d's
vingt-«inq an» à ces nouveaux dentiws, permoite:-'.
à l'inventeur de les livrer en une journée, avec vu?,
grande réductiou daas leurs prix habituels. Ils réu-
nissent la BEAUTÉ, l'UTlLITÉ, la DOUÉE, et Sont GA-
RANTIS.
G-uérison dôs dents douloureuses par la JtïXTUKB
odontalgique. Prix du flacon, 6 fr., avec la Notice
explicative. — Chez le D-" FATTBT, dentiste, 255,
rue Saint Honoré, où l'on trouve le mastic obtdba
TEUR pour plomber ses dents soi même. La bout;, 6 fr.
(Mandat «ur la poste.)
rateU^'irC! PLASTIQUES. — Boavallet
Iwllufj 10 8, boulevard Bonne-Nouvelle.
Très-intéressante Loterieautorisée
pour toutela France
On s'associe pour prendre
20, — 40, — lOObille\s.
C'est une distraction, quelquefois une bonne affaire,
~~ , et toujours une Bonne OE
^Cette Loterie, PROMPT MOYEN de f
■"venir en aide à de récentes infortunes ''
a déjà amélioré Vavenir d'OjiPHELiNS.
%^^-P/^^^m^^r Billet
^ / dans toute la France
u
EUe fera beaucoup plu» encore et sera vile
CHAQ DE NU M KRO
fait pa iciper à toutes chances
fde Oain de tous lots.
NOMBREUX LOTS, lalur ic
PB. 500
etd ÎOOO
« autres lots d'une valeur de
QDOO
5DOO
Ô.OOO
£0000
(Voir,sur les BtUits,détail îles Lots.
T1HAGE
Allj OU.rd'hm, chez tous
LIBRAIRES,
vendeurs de journaux
et débitants de tabac,
en prônant
son JOURNAL ou son CIGARE,
prendre aussi quelques
billets a S Scentimes
PRÉSENT
mois
MARDJ
OCTOBRE
"'^1f,!p|"V s.ur les ^--w-ees fM«|£ ^wiie*. dofu ra-
H -Vf' ti,v*>s. s»K« rôwe.ûr*- infaillibles contre les
;L'mK' secrètes des deux sexet, récente! ou chro-
oiques les plui invétérées, éc 'ulements, catarrhes de
vessie, incontinence on rétention d'urine, rétrécisse-
ment, dartres, gouttes, rhumatismes, n'exigeant n
■nvation ni régime. — A Paris, pharmacie HAUDnc,6t,
rueBasse-du-Rempart; Hobert, 51, rue. Montorgueil
et Blot, inventeur, pharmacien, rue MataMau, à Tou-
louse. Envoi franco, 4 fr 10 en timbre s-poste.
L'AFFAIRE
JI1E< FaVKK & MIUYÉ
La brochure contenant le procè« de l'affaire Jules
Fan*e et Laluyé en est à sa troisième édition.
On la trouve chez tous les libraires et marchands de
journaux. Pour la recevoir franco envoyer 75 cent, à
M. LACAZE, éditeur, S, rue du Croissant, 8, à Paris.
GRAND HOTEL
12, boulevard dtl Capucines, 13
RÉOtTVGRTiOBE
Après restauration complète
Cs nouvelle Direction a réduit tout tel Tarifi
Le pi. du service ne sera plus compté aux 'oyagaBN
700 CHAMBRES ET SALONS
Humbles avec le plus grand confortable
dejais i francs par jour, semée eomprii,
■MBIJg D'HOTB
OÉJBUNERS à « francs, Tin eomjrl»
«ous les jours, de 10 heures du matin à 1 béer»
après midi.
affiEES à 6 fran-TS, vin compris
tous les aoira à 6 heures.
BiîEDSEÊS ET DIHBK8 A LA CAJaTB ^
;omprenant le logement, le dmufTag«, réclairage
ti serriee et là nourrîtare. aysc faculté de prendM
•es rep&jB àmt l'appartiîaieïït, au restaurant ou é
la table d'aôt* de l'H6tel.
1*4 çùéssé : ây fr. «u m -«sis. ou S ^sU.
* sis*:* «S fr. » mk, 8 *«.
ni fboid n m a.s,s