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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 5.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3713#0093

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Les vedtôèj elles, 8e rôhî&r'iëâi alitant de fois que l'on veut;
où «a à tues âqitëter des albums de vingt portraits pour y
mettre les photographies dé leurs maris, et arriver presque à les
remplir.

Dans la colonne d'observations réservée sur les états' éë re-
censement dressés par le ministère de l'intérieur, ces dernièfëâ
sont désignées par catégories :

Il y a les simples veuves.

Les veuves récidivistes.

Les'veuves arc ni-obstinées.

Au-dessus de trois maris, elles n'ont plus de désignations
spéciales et sont toutes comprises dans la dénomination géné-
rale de «fiVÔLVEUVES.

Autre' re&iféigûéineïlt important :

Il y a ea Fiîftnee un homme marié sur sept qui couche dans
la ruelle: jamais Û né l'avoue en société et il à Maison.

Nous sommes bMïetix d'annoncer à nos lecteurs <p& &ôtre

ami et éôiïâiborateur &SonBienvéwT3 prend la rédaction ffià flïéf
du TinWhfflre.

Celui qui a signé : ÎOUCHatOu'ê les œuvres folles <Spi# fsa
sait, pouvait seul continuer la tâche que ce journal extrava-
gant s'est imposée : ahurir, de ses cascades sans nom, plusieurs

générations.

F. Polo.

PLUS DE PETSTË-VÉROLE!

Un remède nouveau, contre cet affreux fléau, nous arrive
d'Italie par Je journal Popolo italiano.

Le voici f no«s l'offrons à Louis" Vettllloè, quoi qu'il «dit peut-
être un peu tard :

« PVuf ttnahixUtê l'épidémie, il suffit d'appliquer sur la poi-
» t?iûédtimâiadëtifi pét^t carîéde p*«gie* gommé, sur lequel
» sSfit éérits ces inotsi ÀrrêU*toii.i k cœur de Jésus est avee

» 7ietf*t..t »

j'aime it me âgu-fer" la petite-vérole sautant traîtreusement
Sur ua individu et, après avoir traversé sa jaquette, sa che-
mise et s©n gilet de flanelle, s'arrêter à la vue du morceau de
papier &ommé et tourner lés talons en disant ;

«nlln^ a tien à faire iei, le cœur de Jésus est avec lui !...

***

Aû!,^ M'oublions pas de vous dire que l'inventeur de ce re-
mlctè merveilleux est un curé.

Et ne négligeons pas de vous apprendre surtout que cet
ecclésiastique a pris un brevet pour ses petits papiers, qu'il
vend deuS sous la pièce,

Cette industrie nous semblant bonne, nous n'avons pas hé-
isité à lui faire une concurrence déloyale.

Yoici notre prospectus %

REMÈDE INFAILLIBLE APOSTOLIQUE ET ROMAIN

CONTRE LA VAIUOLE

Xie FUgollot des Fidèles

DIX CENTIMES
Dépôt dans toutes les sacristies ud peu bien tmues.
En prenant le Rigollot des fidèles par boîtes de 150, on a droit à
"une remise de trois francs. Cette remise est payable en messes
pour le repos de l'âme des impies qui ont lu du Veuillot le ven-
dredi saint.

5 millions 625,812 cures

27 de plus que la Revalescière du baril.. de lentilles

Lire les certificats suivants :

Cure n° 115.829. — Monsieur, j'ai fait usage de votre Rigollot
'des fidèles et je m'en suis fort bien trouvé ; vous ne pouvez pas
'vous figurer le nez qu'a fait la petite vérole quand qlle s'est
■aperçue que le cœur de Jésus était avec moi. Elle est partie
ftomine une bombe et est allée tomber sur mon propriétaire.

"Veuillez m'envoyer douze autres Rigollot des fidèles,

Crêtinet,

6ure 326,815 — Monsieur, je n'avais pas la petite-vérole;
mais elle était dans la maison que j'habite. Heureusement, j'ai
pensé au Rigollot des fidèles et j'en ai collé un h la porte de mon
logement sur le trou de la serrure. Quand la variole est passée
sur mon carré, et qu'elle a vu que le cœur de Jésus venait à
la maison, elle s'est bien gardée d'y entrer.

Je vous autorise à publier cette lettre.

J. Potjnèl, rentier.

INSTRUCTION POUR EMPLOYER LE RICtOLLOT DES ÏIDELES

, Aussitôt que l'épidémie se déclare dans une contrée, acheter
Une boîte de 150 rigollots des fidèles. Un seul rigollot suffit pour
prévenir la petite-vérole ; mais on emploie les 149 autres à pro-
longer l'existence des carreaux de fenêtres fêlés.

Prendre un rigollot de la main gauche, cracher sur le côté
gommé et se l'appliquer dans le creux de l'estomac en répétant
trois fois ces paroles saintes :

— Mon Dieu !... est-ce possible que l'on trouve des gens si
Tjètes que ça]...

observation IMPORTANTS;. — Dans les vingt-quatre heures
qui précèdent l'opération, se faire vacciner.

Pour éviter les conséquences funestes des contrefaçons, exiger
. Sur le RigoUot des fidèles la marque de fabrique;

IÛG-ÔLLUM JÔSimjS

ftous eroyons notre produit appelé à un succès immense.
Pîrsuadéà pourtant que les meilleures choses ont besoin de

publicité, nous avons fait tirer 7,300,000 prospectus pareils au
modèle ci-dessus que nous adressons, par ce courrier, aux dé-
putés en vacances, en les priant de les distribuer à leurs élec-
teurs avant dé revenir se flanquer des sottises.

Si, contre notre attente, il ne se trouvait pas assez d'imbé-
ciles en France pour croire que notre papier gommé préserve
de la petite-Vérole, nous prenons la liberté de leur rappeler
qu'il est encore souverain contre les courants d'air en calfeu-
trant les fenêtres avec pendant l'hiver.

Léon Bienvenu.

GAZETTE A LA MAÏK

La Iftfiiilialc d'Argent

Décrocher la timbale l Tout est là. Ainsi le chante Judicieu-
sement la nouvelle opérette des Bouffes.

Car c'est ainsi, en vérité : depuis huit jours, il n'est question
que de cette pièce sans feuille de vigne, de son esprit, de sa
musique, de ses interprètes et de son succès !...

M. MotLu et son procès, M. Thiers et ses réceptions, M. Jun-
qua et sa soutane pâlissent, s'atténuent, disparaissent devant
deux rimes égrillardes qui se becquettent amoureusement sur
les lèvres d'une jolie fille.

VInternationale, les Prussiens, la représentation de retraite de
Régnier aux Français, l'avènement d'un bourreau neuf, lavento
du tintamarre, l'Année terrible qui va paraître, le Tam-Tam qui
reparaît, l'Evénement, l'Eclair, le Matin, qui ont paru : baga-
telles, fadaisses, illusions, vent et mousse !

Parlez-nous de la Timbale d'argentl...

Parlez-nous des couplets du Fouet I...

Pai'lez-nous de l'accent, du geste, des mines, du regard, de
la pose, du sourire de la savoureuse créature hors de la bouche
de laquelle les refrains aphrodisiaques s'envolent etbourdonnent
comme un essaim de cantharides ! ..

Parlez-nous de la voix de Mme Peschard!...

Parlez-fioUs des mollets- de Mlle Debredx f...

Eh 1 mon Dieul je ne demanderais pas mieux que de vous
parler de tout cela !.. -,

Maïs le moyen de le taire sans toucher un petit mot du poème
de MM. Adolphe Jaime et Jules Noriac?

Bfc le moyeu de toucher ce petit mot sans m'exposer à en-
courir, de la part_ d'une de mes lectriees, le reproche qu'une
grande dame du sïèele passé adressait — un jour — à Duelos?

Celui-ci disait à. madame de Kochefort et à madame de
Mirepoix :

— Les courtisanes deviennent plus bégueules que les femmes
honnêtes. On ne sait, ma foi, comment s'y prendre pour leur
raconter quelque chose d'un peu libre et d'un peu badin.

Sur ce, il enfila une histoire fort... gaie; puis, une autre,
plus... gaillarde; enfin, une troisième, qui commençait encore
plus .. vivement.

Mais, madame de Rochefort, l'arrêtant :

— Prenez garde, Duelos, vous nous cfoyez aussi par trop
honnêtes femmes !

*

Je préfère constater — à la bonne franquette — que la parti-
tion de M. Vasseur est ravisante d'un bout à l'autre, et vous
annoncer, en même temps, que Mme Judic, qui la fredonne
d'une façon à faire... courir tout Paris, vient d'être priée aux
festins présidentiels de l'Elysée.

Elle y remplacera les truffes.

Puisque nous en somme?, du reste, aux gauloiseries un peu

lées, elle est très-croustilleuse , l'anecdote que je vais vous
narrer; mais elle peut se gazer d'une manière si parfaitement
décente que le jury de l'Exposition lui-même, — ce jury si pu-
dique, — ne pourrait lui refuser l'entrée du Salon.

Le premier acte de la chose s'est passé il y a deux mois,
dans un château situé sur les bords de la Loire.

Le maître du château est un veuf de soixante-dix ans auquel
tout le monde donnerait le bon Dieu sans confession, et qui
peut se permettre de faire administrer sa maison par une de-
moiselle de compagnie, sans qu'aucune méchante langue y
trouve à redire.

Quelques voisins de campagne étaient venus dîner au châ-
teau, et après le dîner, pour achever la soirée, on s'était mis à
jouer aux jeux innocents.

Je puis avouer que j'étais de la partie.

On jouait à cacher un. objet dans une partie quelconque de
l'appartement, et il s'agissait de trouver cet objet. On était
facilité dans les recherches au moyen de l'avertissement :
« Vous brûlez, » quand on approchait de la cachette. A un cer-
tain moment, on prit le soufflet du salon et on le cacha si bien
qu'après plus d'une heure de vaines recherches, nous dûmes
tous renoncer à la perquisition, l'heure de prendre congé de
notre hôte étant arrivée.

Pas plus tard qu'hier, je rencontrai à Paris le châtelain don-
nant le bras à sa demoiselle de compagnie, et me souvenant de
la soirée que j'avais passée chez lui :

— A propos, lui domandai-je, et le soufflet que nous avons
tant cherché? l'a-t-on retrouvé enfin?

— Ne m'en parlez pas, me répondit-il avec une adorable
naïveté. Nous sommes restés six semaines sans pouvoir mettre
la main dessus, et j'ai été obligé, en désespoir de cause, d'en
acheter un autre.

— Où diable avait-on eu l'idée de le fourrer?

— Dans le lit de mademoiselle Victoire! A-t-on jamais vu'
Qui devint rouge comme un coquelicot?

Ce fut la demoiselle de compagnie.

C'est l'époque de la pousse des feuilles et du renouveau des
concerts, — hélas 1

Dimanche dernier, à la Sorbonne, au concert de la Société des
Crèches, nous avons applaudi Mme Charlotte Dreyfus et Mlle
Joséphine Martin, deux célébrités de l'orgue et du piano,
MmcMiliano, la charmanteeantatriceespagnele; Mme Armand,
la chaleureuse interprète de feu Emile Deschamps ; Délie
Sedie, le grand baryton, et le jeune Sauret, un Paganini
déjà plus qu'en herbe.

Nos félicitations surtout à l'Alcibiade féminin découvert par
YÉclipse, qui se trouve être en même temps la vivante Sapho de
notre époque : rien de plus poétique et de plus patriotique à la
fois que la Rentrée des Parisiens après le siège, dite avec tant d'âme
par 1 auteur, MmeAaaïs Sëgalas...

Et elle a osé afficher qu'elle avait perdu son chat!

ï*riatt»& ea*a

Par ce premier soleil qui réveillé les désirs engourdis,—mar-
mottes des sens et des cœurs,— mademoiselle .Blanche Pierso^
cheminait pédestrument vers le théâtre du Gymnase.

Au coin du boulevard Bonne-Nouvelle et du faubourg Pois-
sonnière, un jeune homme était debout, le chapeau à la main.

Quand la belle passa devant lui, le çenileman tendit la joue,
et, du ton quémandeur d'un mendiant qui sollicite la charité
publique :

— Un petit baiser pour l'amour de Dieu, ma brave demoi-
selle. Je n'ai pas embrassé depuis quinze jours, — ET J'AI
CINQ FRÈKES A LA MAISON I

Emile Blondet.

On lit dans le Charivari :

On annonce une nouvelle pour l'été prochain. Les Barnttms
de la France, qui font fortune â la ioire au pain d'épiée, vien-
nent d'être autorisés a entourer une partie de la Setne, près le
pont de l'Aima. Ils se proposent d y faire venir l'eau de la
mer en assez grande quantité pour montrer leue baleine. Dé-
cidément il n'y a rien d'impossible à ces grands novateurs. On
dit aussi que MM. Lécuillier et TLouamus, gérants de cette
fameuse entreprise, ont loué les Magasin s-Réunis pour y ins-
taller leur théâtre. Nous souhaitons bonne ehanee aux Bar-
nums et bonne santé à leur baleine, à moins que ce ne soit un
canard.

L'Enquête sur riasurrection du 18 Macs est iflûOatesta-
blement le document le plus curieux et le plus important de
notre histoire contemporaine, une édition populaire publiée
par les [soins de M. Henri Ameline, l'un des secrétaires de la
commission, vient de paraître chez Dentu, en 3 volumes iu-18
à 3 francs.

hVïïfïis ORPHELINS

l (le» Veuves, les Victimes de la Guerre).

Le nombre des Dépositaires de billets
étant, à Paris, de vingt-six mille, il vient
d'être possible de régler avec seize mille.

Aux dix mille autres (et à neuf mille
delà banlieue et des départements),leRegu
qu'ils ont signé va être présenté.

Le succès a permis ^'augmenter de plus du double \ê
nombre des lots : cette loterie fait plus qu'elle n'a promis.

Pour un nouveau Tirage les lots sont
prêts: il est indispensable que les dépositai-
res aient réglé avant ce prochain Tirage.

Les lots, nombreux, gagnés jusqu'à cejour,ontêté
immédiatement délivrés, et le3 Listes des Numéros

gagnants adressées gratis franco ; mais, sous bandes,
sxgare souvent do ces Listes. Voici, de nouveau,
le» numéros ayant encore des î,o(m à ï*cc1um~e~r
(Lots de mille francs et de cinq cents francs)

If 44934

279338I

234517

586752
832778
f 347973
1612410

1918375
2049174
2439677
2490485

2586099
2680601
2823241

3540530

(Ces Lots seront délivrés à présentation des Billets.)

LE TOWrcsSMMSî:®^, par Towchntocrt, /dessins de
G. lafosse.— Le n° 33 : E. de Girardin, vient de paraître chez tous
les libraires : 15 centimes le numéro.

Une biographie tous les jeudis.

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l'Hôtel-de-Ville, Lyon. — 17, rue du Cbatou,
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ports, escompte et encaissement de coupons. — Souscription,
sans frais, s toutes émissions d'actions, obligations, emprunts
d'Etats ou de villes, etc., etc. — circulaires financières adres
sées franco à toute personne qui en fait la demande par lettre
affranchie à MM. Mancel et 0e, directeurs de la S«.Eîq5a'£ des
Ac*»e>i«.aala*t'-s. 17, rite de Provenez, à Paris.

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