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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 5.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3713#0180

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fc'iMÂiPSË

i ii ,i ml Trotta*

HOTRE SOUVELLE PBISE

L» REVANCHE

L'idée qui feit bouillonner les cerveaux, l'espoir qui fait
bondir les cœurs ont pris, — sinon un corps, — un buste 1...

LA &EVANCH8 vit

désormais, — dans
le marbre et le stue,

— oèiiii-ei populari-
sant celui-là). .

Un artiste a pétri
pour nous cette ima-
ge de uo« rêves ..

Il a su lui donner
la flère phjsioriômie
d'une France un ins-
tant abaissée qui se
relève enfin de son lit
de malheurs : sa che-
velure se cabre, son
front ee plisse, ses
sourcils se froncent,
sa lèvre se crispe, ses
seins se gonflent,

— cuirassés comme
deux sonnets ju-
meaux d'un poète
d'outre-Rhin !

L'Éclipsé l'offre à
ses abonnés, moins
comme une prime
exceptionnelle sous
le double rapport de
l'exécution magistra-
le et de la valeur in-
trinsèque, que corn--
me la vulgarisation
d'une grande pensée
patriotique et la démonstration tangible du but vers lequel nous
marchons...

Chacun voudra avoir cette figure devant les yeux.....

Elle forme le pendant,. — naturel et inséparable — de la
liberté dont, jadis, notiS voua avoûs fait le cadeau.....
La Liberté et La REVArfrckÉ sont sœurs....
L'une personnifié ilôs droits dans le présent...
L'autre, nos aspirations vers l'avenir.

jPÏ*ê6 tfe la priràe poïir nos abonnés :

La statuette lié La Revanche, avec son piédestal, prise dans

nos bureaux. . -,.............6 fr.

Emballée aVec soin et prête à être expédiée.....7 »

Le portreâiô â 4a charge du destinataire.

NOTA. ■— Nous tenons ttttiiouH à la dUpO'it'iiti de noi abonnés la
siaiiiftte de la Liberté aux mêmes pris et conditions que celle de la
Rem-nchê', '

J'Ai ftËÇU VOTRE HÛNORÎE OU.

PEÎÎT COCÈRÏEÏl

Monsieur baloUbd, à Gonesiè,

Vousï&fe demandez, Moriàîeur, ce que je pense des avertïsse-
menU.wf/tâeux qui vienuebt d'être donnés par le gouvernement
àplubleuvs journaux, pbur les prier d'adoucir certains angles de
leur pbièbique.

Vous '&"& dites, î&ïitire ïmtr-és bonnes choses ;

« J'espère que, cette fois, vous serez forcé de reconnaître,
il malgré v'ôïr'e parti pris de trouver un cheveu sur tous les
» actes du pouvoir, que lé gou^rnemeàt use d'une énorme mo-
» dérâtipn éà prenabt le soïn de prévenir fattj&kfëiftmt des jour-
i ïiaui qu'il ijS&ferriit supprimer net en vertu de l'état de
* sï&e. » ki

■ "5$ vous ferai d'abord observer, Monsieur, que vous êtes in-
jjtistè envers nous. L'Eclipsé n'a aucun parti d'opposition sys-
^téïnâ.'ti'qu'e. Si nons'et'i'ûqS aussi hostiles aux desseins-'clu gou-
.vfern'ément qu'il Test lui-M'ème à ceux de G-ïll, nous compren-
' drVons. '6b reproché'.

Qtùun't à k ténor fit", Ho^èra'tfm » doùt vous 'trouvez que le
gba^Tu1ement fan preuve à ï'-egàrd des journaux 'qu'il avise
&fpn^ûfeme % p'erûïe'ttfe2-mbi de "trouver q'ue voiis avez l'admi-
ration f&eïfë.

Prier p'oirmbbt cfè se taire des gens qui savent (bien qu'on les
bàJllonîQ'erà. •■à'ï'rî ne se taisent ijy&fe, équivaut à pàss'ér une corde
au cou de quelqu'un, en lui'diS&bt :

— Nous vous accordons %. ïa'culté de "serrer ïô -nœud vous-
même ; si vous n'en faites rien, bous tirerons pour vous.

Je le regrette profondémèint, c'her monsieur Balourd ; mais
mon enthousiasme pour là. mansuétude du gouvernement, ne
peut atler. plus loin.

A propos, si vous voulez faire-bien plaisir aux journaux bo-
napartistes-, faites donc courir l'è bruit que M. G'ambetta vient
d'acheter à Gonesse un châteà^t de huit cent mille francs sur
les 'béné'flces qu'il a réalisés % Bordeaux; en rognant les bre-
telles de fu&ïls.

Recevez, Monsieur, etc.

Monsitur PLATAcriûrj, à Gisors.

.Vous -êtes avide, monsieur ; tous les 'Tenseitrnernenes imbé-
ciles que Vous fournissent chaque rnatïh leâ journaux sur la
"construction des mitrailleuses nouvelles que l'on construit en
ce moment, ne vous suffisent pas.

Vous me ^rft-z encore de vous donner des détails les plus mé-
ticuleux sur leur forme, leur pori.ee et leur fabrication.

Ce n'est pas tuut. Animé d'un zèle ipairiotiuuts qui vous
honore, et d'un idiotisme qui ne le cède en r'ieu à votre ardent
amour pour la Fiance vous me priez 'de dire à Puio, qu'il
devrait publier dans l'Eclipsé des dessins très-exacts de tous
les engina de guerre que l'on expérimeUte, avec une notice
explicative sur la manière de ies f&bnquér^lé 'nombre que le
...gouvernement en a commandes, l'usage--q&it-veut en faire et
'•lêsrësultats qu'il espère en--tirer.

Laissez-moi vous dire commis von» lie paraissez adorable.

J'aurai d'autant plus de plaisir a le faire, que cela me pro-
curera l'occasion de dire aux feuilles qui piquent votre curio-
sité, ce que je pense de leur manière de faire.

Déjà une fois — elles ne l'ignorent pas , ni vous non plus1,.—
nous avons été cruellement dupes de notre vantardise naïve,
qui nous pousse à jouer à jeu découvert contre des adversaires
dont le plus grand talent est de très bien cacher leurs cartes.

Aujourdhui,ces feuilles recommencent à nous faire jouer de la
même façon, en1 tenant nos ennemis au courant de tout ce que
nous pouvons préparer.

J'en appelle au peu d'intelligence qui vous reste, n'est-ce pas
là 1» comble de l'insanité-?

j'espère qUe, rentrant enfin en vous-même, vous reconnaîtrez
que ces journaux font l'office de tueurs de mouches à coups dé
pavé sur le nez de leurs amis, et que vous vous abstiendrez à
l'avenir d'adresser des prières aussi saugrenues à un journal
que vous ne jugez pas complètement bête, puisque vous vous y
abonnez.

A propos, si vous voulez faire bien-plaisir aux journaux bo-
napartistes, faites donc courir le bruit que Gambetta vient
d'acheter aux environs de Gisors une ferme immense qu'il a
pavée comptant douze cent mille francs avec les pots de vin
que lui ont donnés les fournisseurs de képis pour l'armée du
Centre.

Agréez, monsieur, etc.

MademoiseiVe jalabert, a Privas.

Oui, Mademoiselle^ oui, vous êtes bien renseignée.

Un monsieur-, Constantin James, ayant été d'ans bn -wagon
l'objet d'une tentative d'assassinat, actionne la compagnie
comme civilement responsable, et lui réclame des dommages-
intérêts, i'-'

L'affaire va être jugée prochainement.

Et si, borhinè nous l'espérons, la compagnie est Condamnée,
rien ne s'opposera plus, d'après les renseign'èhïèhts confiden-
tiels que vous nous donnez SUr le récent voyage que vous avez
fait en chemin d-e fer, à ce qùè vous réclamiez au directeur dé
la ligue P.'-L.-kt. îè paiement des mois de nourrice auxquels
son imprévoyance vous, a dites-vous, exposée' sous le tunnel
de Saint-Germain-deS-Fossés.

Nous Vous tiendrons-, d'ailleurs, au courant de la marebè du
procès.

A propos, si vous voulez faire bien plaisir aux journaux bo-
napartistes, faites donc courir le bruit que Gambetta vient
d'acquérir près de Privas un vaste domaine sur lequel il a
versé cinq cent mille francs provenant de sa gratte sur les
bâtons de tentes de l'armée de Bourbaki.

J'ai l'honneur, etc., etc.

Monsieur boulingïve, à Monibrisoti.
Vous désirez savoir combien de personnes ont fait partie du
pèlerinage national à Notre-Datne de là Salette, qui a eu lieu le
m acûte

Nous ne pouvons pas vous dire au juste le nombre de gens
qui ont été voir'ce miracle.

Mais, il doit être considérable, si l'on en juge par la quantité
de citoyens qui en sont revenus.

A-pr"-opos, si vous voulez faire bien plaisir aux journaux bo-
napartistes, faites donc courir le bruit que Gambetta a acheté
.avant-hier, dans la banlieue dé Montbrison, une superbe pro-
priété d'au moins quatre cent mille francs sur le gain qu'il a
reali&é en raccourcissant les pantalons des mobiles en 1870.
Recevez, Monsieur, etc., etc. ■

Monsieur vandr.owi.le, à Alby.

Vous paraisses ému à cette'nouvelle que le gouvernement a
manifesté l'intention de s'opposer à toute manifestation qui
pourrait être tentée pour fêter l'anniversaire du ^-septembre.

Les raison-; que vous me donnez pour combattre cette déci-
sion me vont droit au cœur, parce qu'elles me paraissent
justes.

Vous me dites :

— Comment comprend-on donc le fameux essai loyal de la
République, si l'on iuterdit tout ce qui peut rappeler à la France
q-,e la Republique existe? L'essai loyal d'une chose ne consiste-
t-il pas â agir comme si cette chose était définitive jusqu'au
jour où l'essai sera terminé?

Je partage complètement, Monsieur, votre manière de voir ;
et le jour où l'on me vendrait un piano à l'essai, en m'imposant
la condition'de ne pas m'en servir tant que je ne l'aurais.pas
acheté définitivement, je demanderais au marchand s'il me
prend pour un actionnaire des gat-iont du Vtgo.

Il me répondrait que oui très-probablement; mais au moins,
je saurais à quoi m'en tenir sur la pureté de son essai loyal.

A propos, si vous voulez faire bien plaisir aux journaux bo-
napartistes, faites courir le bruit que Gambetta vient de se
rendre acquéreur, dans votre contrée, d'un bois de cinq mille
hectares qu'il a payé un million avec le produit des biscuits
chippés à l'armée de Chanzy.

Je suis avec respect, Monsieur, etc..

Madame g-baillat, à Rueil.

Vous désirez avoir mon avis sur l'établissement d'une pri-
son dans le village de Nanterre.

Je n'étais pas préparé à cette question; mon jugement n'est
pas fait.

Nous espérons de toutes nos forces que, d'ici à ce que ce
nouveau Mazas soit construit, il n'y aura plus de ' criminels à
mettre dedans.

Et que, dans un an, le directeur pourra télégraphier au mi-
nistre de la justice.

« Nanterre, Ie*- septembre 1873.

« La vertu est tellement vioace ici que mon enceinte est encore
vierge. »

A -'propos,, si vous voulez faire bien plaisir auxjû'irnaux bona-
partistes, répandez doue le bruit que tout le territoire de
Ruetl, Cbu-tou' '-et 'Buugival, vient d'être acheté par Gambetta
moyennant trente millions de francs qu'il a économisés en ne
faisant percer que quatre trous au lieu de cinq aux boutons de
guêtres des chasseurs de l'armée de la Loire.

Recevez, Madame, etc.. etc..

LÉON BIENVENU'. ' ' »

NOUVELLES DE LA

Au Puys, M. Alexandre Dumas fils no^Ma
d'une dimension raisonnable. possède une proprié

Le temps n'est plus où son bravé et'exeplWi.
père eb entrant dah| le petit hôtel que lWe.t^^de
habitait daps la rue de Boulogne, lui disait av., de T^'k\
-Alexandre, ouvre donc tf fenêtr? oj ad?^ J«a rij
tonjardin. .-a aonnera de pair\

p)A Etretat, Faure U le jeune k.' Bia2 6e proffieMllt jj ]

r^barjtoa ne ** *••****> »«fcd.i. a»*1,, J

poïïteQuf -°6 qM T™S a fdt °et air là? M.1--M. le e J

— Jb ne sais pas : il m'obsède.*.* '
Diâz, piqué :

— Je ne m'étonne plural.-«us l'éfcorchez.

Une cocotte arrivait, la semaine passée, à Trouvill,
Comme elle voyageait seule e» cmimm». *

cartons pleins d/ofiiffons médita rtd?S à r ">*«*>
main, - qu'elle étail jolie et d'humeur facile i,î„? " dede-
nerai pas en vous disant que, dès le second joid-Jî°! étou-
un jeune Anglais lm offra.t sa fortune et sa main ""*•
gauche bien entendu. aln» — sa main

— Je vous aime, mademoiselle et c'est w.„

veux,-me le «SKserez-vous ? 'd'JU te ffi^*» J« .
chaque jour ramenait cette même phrase avw 1. .- ime> <*
la monotonie d'un orgue de Barbarie "«niante et

A Trouville on ne peut faire 1» mmr,,!,..,
« rencon.rer'au Casino! sur la"e,é l%TtvÛTT ■»
pourchassait; la cocotte et l'éternel m, Z,.r S ' U°Slli8
reproduisaH-sans obtenir de réponse n!»^;""!'™'""
même dés tihoses fatigantes ; ï Su matin ou ^t f '"' ~
était sortie de meilleure heure que de coutume el »„„ 0'selle
adorateur qui l'attendait à la porte et aCd?„,it iT15"'80'1

-Que voulez-vous, enfin, Monsieur? fit-elle avecL „
inexprimable. dïec une mou»

— Yotre cœur, répondit le jeune homme

— Vous me l'avez déjà dit : - C'est monotone I

— Me le refuserez-vous ?

— Je vous prie de cesser vos importunités et
m adresser la parole a partir d'aujourd'hui

Puis elle ajouta en se radoucissant ■
-i Si vous tenez tant à mon cœur, venez me le
Paria"; — ici je suis en vacances.

Noriac à Cabourg.

Madame ;de Saint-Amphytrite sort de l'onde
Quelqu'un questionne :

~ 8l 1K?w3u>Ue ? sur "-'épaule?... Un signe?...

— ça-, tait Noriac, c est un grain de laideur.

Ému Blonbii.

! Pllll

L'ÉPOUSE CONSERVATRICE

POTTR FAIRE SUITE A LA BÉPDBLIQDE DU AeME Non

Hier, au coin du boulevard des Capucines, je rencontre cet
excellent PopUlus, mon ami, un des maris, j'ai le regret de le
dire, un des maris les plu» constamment trompés de la terre.

Je ne l'avais pas vu depuis près de 24 mois.

Ce pauvre Populus, après vingt ans d'une union qui n'avait
été que nuages, et tout cuirassé qu'il fût contre les infortunes
conjugales, avait cependant constaté, en 1870, un tel flagrant
délit que, ma foi, il s'était fâché pour-tout de bon, et avait
flanqué sa femme à la porte, par une belle après-midi de sep-
tembre, le jour de sainte Rosalie, justement.

Néanmoins, comme Populus a le caractère aussi bon que
faible, il n'avait pas traîné sa femme devant les tribunaux, et
même, ce qui est très-beau, il s'était battu en duel pour elle,
et avait été blessé ; enfin, il avait eu l'obligeance de payer les
dettes contractées par cette dame.

Je rencontre donc hier Populus On échange une poignée de
main. Et je lui demande discrètement des nouvelles de ses

reprennent, me dit-il. Le crédit montre de
\ nouveau son nez prudent. Ça marche. La brèche faite à ma
fortune par la personne que vous savez leera réparée avant peu.
Et, mon cher, âjouta-t-il, grâce au calme que je suis, parvenu
à retrouver, j'espère bien que mes enfants auront une vie
agréable et facile.

— Allons, tant mieux. Vous avez rudement gagné le repos.
Permettez-moi de vbus féliciter.....

— Merci, reprit M. Populus, merci. Mon établissement est
géré par un petit commis, peut-être un peu vieux et un peu
entêté, mais fort malin en somme, et qui me rend des services
notables. Il est intéressé dans les profits de la maison, d'ail-
leurs. Et tout ça marche piano, mais sano. Enfin.....

— Enfin? poursuivez, mon cher Populus.

— Enfin, madame Populus elle-même, revenue de ses erreurs,
à ce qu'elle dit et m'écrit, demande à reprendre sa place, àc6té
de moi, au foyer de famille.

— Aie !

— Elle se déclare convertie, convaincue ; ses yeux se son
ouverts, dit-elle. Elle ne veut plus régner à la maison. M «
sera mon associée et collaborera aux efforts que je fais P»u
assurer l'avenir des miens... Voici sa lettre, d'ailleurs... U
lettre renferme cependant un mot que je ne comprends paswe ,
bienqu'il soit engageant, tentant même...

— Lequel ? 'nouse

— Madame Populus dit qu'elle sera désormais une epo^
fidèle, entièrement dévouée à mes idées, et que, P»u^^
que je ne change rien aux errements que nous avons 8m™
trefois, elle se résignera avec joie à être une .épouse conu
trice..,, uniquement pour faire mon bonheur. ,

— Pouvez-vous me montrer la lettre de madame l'opu

'!j Volontiers. Tenez. Voici le manifeste de ce centre «»"«•
ajouta M. Populus, en me tendant la lettre avec un doux
rire.-.. „ .

Je lus la lettre. Elle me fit hausser les épaules, u» J
dis au pauvre mari, en lui disant : • i ma faM»"'

— Mon cher, voulez-vous que je vous traduise a m .
célibataire, le petit discours de votre femme ?

— Oh I volontiers...

— Eb'bifen, voiei'ice '

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i«»t.àta''j**tlem01
™tter il salle du taquet et que !a plus d

tatteMSWito»*»1»™4

Map mi rugissemrot tenitte se ït eitradi

Iastiiolivement, tout le monde se baiE
jeu som la table le iiave qu'on 5 suppos
pointant la anûuu animal.

lia m Kceni rugissement dirigea
vers nie des extrémités de la table, et 1!
s'éedàppait des lèvres crispées d!un des
place.

Le monsieur donna devant lui ni cou
qui fit tressauter l'argenterie et inspira
sus assistantesurle sort dés éristaut
corobréient ia table ; pois, d'nte voii s

«Messieurs, i propos de tir m pjgei
ititer quelques paroles de conciliation

liiiin nouveau coup de poing.

<Mk sommes pas des Mes et
*» adversaires politiques, nous ne ia
« an mauvaises passions; nous 1
■",« le gouvernement peut compter
■>*»«t une seconde comme i(
"uejenferais, dugr

»*, l'orateur cassa sur 1, „,,.
-P'fcilanuk m

»»*,. reculaient, ahuris

itnoiis
-je les
""ta que moi :

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