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- ou dam
8 secrète, «'est
ie connaît, -
wstoli-
il»*
offert à din" Mer, chez Péters, à tous les
Ob espère les ,
rail de l'Assemblée, instruits des dispositions
àP _j__. i-.,,.. «afan^s sonfferaient à
'"..* Pn'«« pendant leurs vacances, songeraient à
Les bonnets
»:;i3u;t;n.uk.mtoes
rentrer
,„ est ouvert tons les jours de 3 à 5, à la Patrie.
Un concourses^ ^^^ des attaque3 militaires dans la
pour
aliène.
On ne *■'
nation
ient pas à la blancheur du linge; mais une imagi-
féconde est de rigueur
• ,r a „ui l'autorité avait pris, après la Commune,
W°Z damasquinés, ciselés et montés en or, dune
imX fmo francs, s'est présenté à V.neennes pour les
w'™r VLès l'avis publié dans les journaux.
"SuTa rendu «ne paire de pincettes de 39 sous.
- „it« en «rains est superbe cette année.
UK dernier» ouragans ont fait tomber beaucoup de
M,'S L Hans les rues de Paris.
^1 affirme que cette recrudescence des chutes de per-
L fa nour cause directe :la République.
!" , „ „it à Quoi attribuer l'abondance de la récolte.
fliaisu ne sw m
* *
, 'jpnère vient de faire demander au gouvernement
J^rmarcheà «uivre pour faire une restitution ano-
[jme à l'Etat. Turlupin.
U» Coin de rue.
Tous est-
coia d'une rue.
st-il arrivé quelquefois en flânant de vous arrêter au
en vous demandant :
EBt-ce que je vais continuer tout droit ou tourner à
droite ?
On a l'air de se dire :
_ Mon Dieu, qu'est-ce cela fait que je prenne par ci, ou par
là, ça n'a aucune importance.
Eh bien, on se trompe.
Ce choii peut avoir des conséquences graves.
— Tenez.il ya mon ami Griolet qui est brouillé avec son
ami Vermigras, parce que celui-ci, a» lieu de prendre l'autre
jour la rue d'Hauteville, a suivi le boulevard.
C'est bizarre, mais c'est comme ça.
Je dois vous dire que Griolet a quelques obligations à Ver-
raidras.
Quand le premier est arrivé à Paris, son ami a retenu d'a-
vance une chambre à l'hôtel et l'a recommandé à un journa-
liste pour avoir des billets de théâtre. Griolet n'a pas oublié
ces services, ni Vermigras non plus.
11 v a quelques jours, au commencement du mois, Vermigras
tint emprunter deux cents francs à Griolet.
Deux cents francs, c'est raide par le temps d'emprunt et de
coupures dont nous jouissons.
— Je sais qu: tu les as, lui dit-il.
— Mon ami, répondit ce dernier, j'ai beaucoup à payer moi-
même, mon propriétaire qui prépare la quittance, mon tailleur,
mon cordonnier...
— Ils sont faits pour attendre.
— Ce n'est pas leur avis.
— C'est-à-dire que tu ne veux pas me prêter les deux cents
francs ?
— Je ne peux pas ce mois, le mois du terme... La prochaine
fois, je ne dis pas..
-Cela suffit.
Là-dessus Vermigras a tourné le dos à son ami.
L'affaire se passait sur le boulevard, Vermigras poursuit son
chemin ; arrivé au coin de la rue Hauteville, il hésite, puis au
lieu de prendre la rue, il continue à descendre le boulevard.
De là la cause de la brouille comme vous allez voir.
La rue Hauteville est une rue honnête, tranquille, rarement
encombrée de passants, et qui fait peu parler d'elle. Si Vermi-
gras l'avait suivie, il est probable qu'il n'aurait pas rencontré
«ne Sme ; il aurait réfléchi et aurait fini par comprendre que
Qriolet avait le droit de lui refuser les 200 fr., puisqu'il en
avait besoin lui-même.
Mais en marchant le long des boulevards, Vermigras a natu-
rellement rencontré des amis avec lesquels il a causé ; or, Ver-
migras se grise facilement avec ses propres paroles.
A la hauteur de la me Poissonnière, Vermigras se croise
avec un premier ami.
— Croirais-tu, lui dit-il, ce Griolet ! il me refuse deux cents
rancs ! Un homme a qui j'ai fait préparer un logement, que j'ai
recommandé à mon ami le journaliste... mais il m'aurait de-
mande mon appartement quejelelui aurais donné, et j'eusse fait
Oes démarches pour lui auprès du directeur du journal.
ami qui ne veut pas se donner la peine de contredire Ver-
migras pour lui être désagréable, s'empressa de le quitter afin
«aller à ses affaires.
gras continue son chemin en s'échauffant de plus en
Plus contre eet ingrat Griolet.
rèsdufauboug Montmartre, il aperçoit une connaissance,
de G 11 eït U larrète et lui Parle de l'injustifiable conduite
cède" Imîgm(îz"T0l,8>lui dit-il, cet homme arrive à Paris; je lui
Ba J™ ona«>bre chez moi pendant quinze jours. Je le recom-
refu e, audement »u directeur d'un grand journal, et il me
refusa H ------- micui/cui u un jjiauu journal, et il me
demJL • MntS f"""!s ' Mais c'est-à-dire que si je lui avais
" ïuatrl> loui», C'eût été la même chose, tandis que;
sa À: """l8 tout fait P°ur lui i j'aurais mis mon logement à
ta an Slti1.°n MBSi loa«temPs ïu'u l'aurait voulu, six mois,
fair» „' f ladrals recommandé à mon chef de bureau pour le
"l entrer à m„n administration.
t —-— ««"îiuioid-ttiiion.
ter IpT^ 6mi' pas plus «uele premier, n'aie temps d'écou-
donneoo T°eS de VermiS™; P°ur s'en débarrasser, il lui
Vmi .meat raison et ""damne l'Infâme Griolet.
Pas son if jM Sen ,a '"«Jours tout droit devant lui : à chaque
m SOa "dation croît contre Griolet.
Devant le passage Jouffroy, il se heurte contre un voisin. Sou
premier mot est une plainte atnère au sujet dé son ami.
— Vous ne le croiriez pas, lui dit-il —• Voici un homme que
je connaissais à peine, il vient à Paris, je mets un lugbment à
sa disposition pendant un mois; je fais des demandes les plus
pressantes en sa faveur auprès de mon chef de bureau... et
hier je lui demande quatre louis dont j'ai besoin par hazard, et il
me les refuse... quand je pense ce qu'il eût obtenu de moi...
s'il avait voulu mon appartement tout entier, s'il avait fallu
l'appuyer prus de mon chef de division, je n'aurais point reculé,
tan 1 is que lui... j'aurais essaye de lui emprunter vingt francs
pour aller dîner, qu'il ne m'eût pas autrement traité.
— C'est un ingrat, reprend le voisin,, qui ne voit point pour-
quoi il contredirait Vermigras, brave homme an fond, et voisin
commode.
Vermigras avance toujours, son indignation est au comble.
Ce matin, Griolet rencontre un ami commun:
— Comment, lui dit celui-ci, mon cher, c'est trop fort. Ce
brave Vermigras vous a logé pendant six mois, vous et votre
faaiille, il a fait une démarche personnelle pour vous, auprès
du ministre, et vous refusez de lui prêter cent sous pour payer
son cocher, parce qu'il a oublié son porte-monnaie? Griolet,
je ne vous connais plus I
Vous voyez que Vermigras ne pourra jamais pardonner à
Griolet.
— Ah ! s'il avait pris la rue d'Hauteville I
Georges Stenne.
GAZETTE A LA MAIN
Il fait frisquet, — frisquet,— frisquet...
L'hiver a envoyé s«s fourriers et ses mare chaux-de s-logis
préparer les quartiers où il va s'installer, assure-t-on, pour
six mois, — avec une provision notable de rigueurs...
Ou commence à rencontrer sur le boulevard des pardessus
fourrés et des rhumes de. cerveaux...
Et ceux qui n'ont pas le moyeu d'avoir une forêt au grenier
ou une mine de charbon dans la cave se regardent d'un air
inquiet...
Hier, le marquis d'H..., qui est, comme vous savez, quatre
fois millionnaire, sortait, à minuit, de son cercle, les poches
bourrées d'or et de billets de banque :
11 venait de gagner trmtc mille francs à l'écarté !
Une pauvre femme, surchargée d enfants déguenillés, l'arrêta
à un coin de rue, pour lui demander l'aumô-ne.
Le gentilhomme s'efforça de retrouver quelque monnaie au
fond de son gousset encombré de louis .,
A la Su, perdant patience, il se retourna vers un ami qui l'ac-
compagnait et lui emprunta une pièce de... cinquante centi-
mes dont il Ut don à la mendiante....
Comme celle-ci &e confondait en remerciements, et s'enga-
geait à prir*r Dieu pour la conservation des jours de son géné-
reux bienfaiteur, l'ami qui avait prêté la somme considérable
lui dit trinq*illtia«nt ;
— Ma chère, vous von» trompez ; c'est pour moi qu'il faut
faire vo» dévotions; c»r monsieur, voyez-vous, ne me rendra
jamais les dix sous dont il vient de vous gratifier.
En attendant, on dîne à la préfecture de la Seine. On dîne
dan» tous les ministères. On dîne et redîne à l'Elysée!...
Pantagruelleries officielles I Noces de Gamaehe 1 — Président
avec la Commission du Mètre I La France dévore ! Le Gouverne-
ment digère 1 Les Prussiens évacuent!...
On raconte qu'un soir que le docteur Véron descendait du
café Anglais en chiffonnant sa chemise tuyautée avec la satis-
faction d'un gourmet bien repus, un chiffonnier s'exclama :
— En a-t-il plan lejabot\
Gavroche vient de refaire ce mot avec plus d'à-propos :
Comme M. Jules Simon émergeait, l'antre soir, d'un ban-
quet présidentiel, en se caressant le bedon avec une certaine
■complaisance :
— Oh ! celui-là, fit le gamin, en a-t-il plein le porte- feuille I
C'est le terme d'octobre, — le dieu Terme!.,.
Les lourds camions de déménagement occupent le milieu de
la chaussée. Les modestes voitures à bras tiennent les deux
côtés de la voie Vous pouvez vous flatter d'être né sous une
bienheureuse étoile, si vous parvenez à circuler sans encombre
dans ce débordement de colis...
Il s'agissait de trouver un appartement, — chose perplexe
par le temps qui court!
MM les concierges, après m'avoir interrogé sur mon âge,
mes mœurs et mes habitudes, — dont je faisais, bien entendu,
le tableau le plu* flatteur, —-reculaient épouvantés à l'énoncé
de ma profession de journaliste...
Un seul m'a traité avec une familiarité paternelle, à laquelle
je me suis montré sensible...
— Ah1 m'a-t-il dit: Monsieur peut demeurer ici en toute
sûreté. Je le regarderai comme mon propre enfant. Car, moi
aus i,j'ai été artisteI...
— Vraiment ! fis-je par politesse.
— Artiste distingué, j'ose le dire, avec le respect que nous
nous devons. Tel que vous me voyez, j'étais aveugle de nais-
sance. Des l'âge de douze ans, je jouais de la clarinette sur le
pont Saint-Michel. Le docteur Sichel me remarqua en pas-
sant. Il prit l'adresse de ma famille. Le leedemain, il m'o-
pérait ..
— Eh bien ?
— Un mois après, j'étais guéri t
— Une belle cure et qui fait honneur au célèbre oculiste. _
— Possible! mais j'avais perdu ma place d'instrumentiste
sur le pont. J'étais devenu un bourgeois, un simple bour-
geois I..- — Ah ! je ne pardonnerai jamais à monsieur Sichel I
L'artiste-instrumentiste accepta mes dix franes de denier-à-
Dieu, — et, après mon départ, je l'entendis qui jouait sur sa
clarinette le Mise-ere du Trouvère !
Ce matin, il m'a proposé de lui écrire un lihretto dont il com-
poserait la partition !I1
Théâtres.
On doit aux morts certains égards que l'on refuserait aux, vi-
vants .
Nous ne discuterons donc ni la portée, ni la valeur de la nou-
velle comédie de M. Léon Laya, — au Gymnase.
Nous constaterons seulement que le public l'a écoutée avec
une syujpaihie mélancolique que commandait non moins le
caractère que le talent de son auteur.
La Gueule du loup, — vous l'avez devinée à ce titre féroce, —
est l'histoire d'une jolie femme, qui, après avoir pirouetté en se
jouant sous la double herse des crocs de l'animal, finit par en
être croquée.
L'animal, c'est l'amant.
La jolie femme, c'est mademoiselle Aimée Desclée.
Jolie femme, — et grande comédienne.
Desclee, cesse de vaincre ou je cesse d'écrire !
Le vers n'y est pas...
Mais, comme la Gueule du Loup est en prose t...
Les cœurs ne sont pas près de se taire sous les baleines des
corsets 1
Il me rev'entqu'àl'une des répétitions de Martin, ce Gambetta
des ténors a eu une discussion avec l'un de ses camarades.
Rendez-vous aurait été pris, — pour le lendemain, — à
l'épée.
Mais l'affaire s'est arrangea.
Un de nos confrères, à qui quelqu'un narrait le fait, a dil :
— On n'embroche pas un rossignol.
Ce n'est pas la première fois que le Capoulini d'amsre a
maille à partir avec ceux qui l'entourent.
A Londres, au terme >Je la saison, une dispute assez vio-
lente éclata entre lui et son directeur.
— Monsieur Capoul, lui déclara froidement ce dernier, je
suis fort, — très-fort, — excessivement fort... d'un coap de
poing, je pourrais vous casser les reins...Mais vous êtes encoM
mon ténor pour trois jours... Revenez m'embêterdans soixante-
douze heures, — et je ne vous dis que ca I
Un provincial s'en va, — aux Menus Plaisirs» — demander,
sur ma recommandation, deux places à de Jallaia.
— Monsieur, s'informe-t-il au portier de oe lieu de délices,
je désirerais parler au maître de céans.
On le tr.it monter. Le voilà dans un couloir obscur. Une ru-
meur lointaine arrive jusqu'à lui : c'eat la troupe de de Jallats
qui est en train de répéter Bocamboie auto Enfers.
Sou lain, une voix sépulcrale retentit, dans l'ombre :
— Dites aux lézards et aux crapauds de venir essayer leurs
souliers I
Mon provincial court encore !
Un abonné du Constitutionnel :
— Dieu 1 a-t-il l'air bête, ce Ranc, avec son pince-nez !
Un lecteur Je la Rèuubliqur. :
— Vous avez bien l'air béte sans ça.
M. de Villemessant devient d'une grosseur inquiétante...
pour lui.
Edmond About le voyait, dernièrement, monter en voiture.
— Le pauvre homme I fit-il, il me rappelle le titre de l'un de
mes premiers ouvrages...
— Lequel ?
— La (jraisse contemporaine.
Aux Italiens, débuts de Capoul.
Le crayon d'Badol s'est écrié ;
— Tais-toi, mon eceur I
Emile Blondet.
sommaire du numéro 4 du MUSÉE UNIVERSEL (25 «intimes
l'numéro, c fies tous les libraires) TEXTE: Y8>curiat, parJ Cla-
retie , O-us&'ie des champs, par G. de Chenille, l'es Ancu nés
voitures à compteurs, Zoologie. Cerfs et Bicfws, par Arthur M*nyia,
VE-fance at Japon, par ^hampaeury, Au Bivomc, poéne, par
F. Ooppée, le Mots* de Mielui-Ange, par G. LafenMtr», le Twto-
nis »., par E. d'Herrilly, le 0rap-*u. nouv-.llo, par J Ciar«tie,
Prtiletiaxete, Psmées, d« A Ltut^a*, B*lzaa, «te.— éJUYUluS :
Vueà veld'oist u4*tp*l*udti KfuruH. 9trft H Si,* ha, 4«Ji#«Mf,
le Moite de H^thaL-Anfe, W nsbnist*, eta.
PUBLICATION DE L'ADMINISTRATION DE VÉCLIPSS
16, rue du Croissant, 16
BIBLIOTHÈQUE POPULAIRE
Le volume : 25 centimes.
(30 C. PAR LA POSTE)
Cette collection se compose Ôo petits ouvrages de différents gww« : dp
petits traités de politique populaire, d'études hiaoriques. d» Livre! de vul-
garisation scioauflque, d'œayres d'imagination, d'ouvrages utiles, etc., etc
Des écrivains de tale-nt prêtent leur concours à cette publication, qu
comprendra des volume1' de MM. /. Claretùt, L. GimteUn, Einvuxfi Stibeck*r,
André Lefkv^e. Antonm Proust, E de Pompéry, Elle Serin, Mario Protk, A As
salant, E. Himent, Ph Daurûw, F--V. Maisonneuve, Paul Parfait, Juki Can-
in, P. Laurencin, Jutes Macê, etc., etc.
1. Lo siège de Parla, avec eartes. — î. Histoire «.* la
Commune «le Paris, avec plan. — 3. L'empire dévoilé
par lui-même, avec autographe, —t. Tlistoire de la guerre.
avec carte. — s. Journal d'un prisonnier de guerfe e*
Prusse, par un officier de marine. — 6. L'Hygiène, par J. DaBi-
îet, — 7. Les ballons pendant le siège, par W. de FoBTtellfl,
avec flgiï'es. — 8. Alsw.ce et Lorraine, par E. Sorin, avec earte.
~\. Histoire do l'Internationale, — 10. Histoire du
second empire- — il. Les Prisonniers du Mont
Int-Mioùel. par Jules Cauvam----12. rv-poléon '«F par AD'
dré LeTèvre. - 13 A travers la vie. histoires du dimanche, par
Edouard Siebecker —14 La *l» du Bonapartisme, par Edouard
de Pompéry.- is Xj& voavelie-Oalodon e. par F MaiflrtnnfliJv»
vec carte,—16. La Prusse et la Campagne de ^adowa
ar <onn, avec cane. — 17 Les PrAlimin 1res de la * évo-
lution française, par Antonio Proutt — 18. Sur le Génie
militaire de Bonaparte, par E. i.ittré. - 19 L-e Ooi-ps
Humain et sm fonctions, par le dr Pierre Quantin, ■— *>. JSAa-
toire de l'Inquisition, par Jules l^uvaio.
LA. COLLECTION DES ÎO VOLUMES : S FRANCS
Franco de poste : 6 francs
La maison du Petit J»rdin d'hiver, 21, passade vEroBAu",
se recommande aux amateurs du beau. Les bouquets â la main*
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de fabrique de cette maison.
NE pas découdre pour les ROBE9 de SOIE et de lame. Vête-
ments pourdduU teints tout faits eu teintures ânes, à la Tein-
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âiÎMiii
SARAH FÉLIX
Pommade des Fées — Pommade Féerique
^ ENTREPÔT BÉMÉBAL, BBE RICHEH, 45 ^
P»i». — TOprimer» AufUit» VALLES, H, n» (ta Oroiwsnl,
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Ob espère les ,
rail de l'Assemblée, instruits des dispositions
àP _j__. i-.,,.. «afan^s sonfferaient à
'"..* Pn'«« pendant leurs vacances, songeraient à
Les bonnets
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Un concourses^ ^^^ des attaque3 militaires dans la
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aliène.
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nation
ient pas à la blancheur du linge; mais une imagi-
féconde est de rigueur
• ,r a „ui l'autorité avait pris, après la Commune,
W°Z damasquinés, ciselés et montés en or, dune
imX fmo francs, s'est présenté à V.neennes pour les
w'™r VLès l'avis publié dans les journaux.
"SuTa rendu «ne paire de pincettes de 39 sous.
- „it« en «rains est superbe cette année.
UK dernier» ouragans ont fait tomber beaucoup de
M,'S L Hans les rues de Paris.
^1 affirme que cette recrudescence des chutes de per-
L fa nour cause directe :la République.
!" , „ „it à Quoi attribuer l'abondance de la récolte.
fliaisu ne sw m
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J^rmarcheà «uivre pour faire une restitution ano-
[jme à l'Etat. Turlupin.
U» Coin de rue.
Tous est-
coia d'une rue.
st-il arrivé quelquefois en flânant de vous arrêter au
en vous demandant :
EBt-ce que je vais continuer tout droit ou tourner à
droite ?
On a l'air de se dire :
_ Mon Dieu, qu'est-ce cela fait que je prenne par ci, ou par
là, ça n'a aucune importance.
Eh bien, on se trompe.
Ce choii peut avoir des conséquences graves.
— Tenez.il ya mon ami Griolet qui est brouillé avec son
ami Vermigras, parce que celui-ci, a» lieu de prendre l'autre
jour la rue d'Hauteville, a suivi le boulevard.
C'est bizarre, mais c'est comme ça.
Je dois vous dire que Griolet a quelques obligations à Ver-
raidras.
Quand le premier est arrivé à Paris, son ami a retenu d'a-
vance une chambre à l'hôtel et l'a recommandé à un journa-
liste pour avoir des billets de théâtre. Griolet n'a pas oublié
ces services, ni Vermigras non plus.
11 v a quelques jours, au commencement du mois, Vermigras
tint emprunter deux cents francs à Griolet.
Deux cents francs, c'est raide par le temps d'emprunt et de
coupures dont nous jouissons.
— Je sais qu: tu les as, lui dit-il.
— Mon ami, répondit ce dernier, j'ai beaucoup à payer moi-
même, mon propriétaire qui prépare la quittance, mon tailleur,
mon cordonnier...
— Ils sont faits pour attendre.
— Ce n'est pas leur avis.
— C'est-à-dire que tu ne veux pas me prêter les deux cents
francs ?
— Je ne peux pas ce mois, le mois du terme... La prochaine
fois, je ne dis pas..
-Cela suffit.
Là-dessus Vermigras a tourné le dos à son ami.
L'affaire se passait sur le boulevard, Vermigras poursuit son
chemin ; arrivé au coin de la rue Hauteville, il hésite, puis au
lieu de prendre la rue, il continue à descendre le boulevard.
De là la cause de la brouille comme vous allez voir.
La rue Hauteville est une rue honnête, tranquille, rarement
encombrée de passants, et qui fait peu parler d'elle. Si Vermi-
gras l'avait suivie, il est probable qu'il n'aurait pas rencontré
«ne Sme ; il aurait réfléchi et aurait fini par comprendre que
Qriolet avait le droit de lui refuser les 200 fr., puisqu'il en
avait besoin lui-même.
Mais en marchant le long des boulevards, Vermigras a natu-
rellement rencontré des amis avec lesquels il a causé ; or, Ver-
migras se grise facilement avec ses propres paroles.
A la hauteur de la me Poissonnière, Vermigras se croise
avec un premier ami.
— Croirais-tu, lui dit-il, ce Griolet ! il me refuse deux cents
rancs ! Un homme a qui j'ai fait préparer un logement, que j'ai
recommandé à mon ami le journaliste... mais il m'aurait de-
mande mon appartement quejelelui aurais donné, et j'eusse fait
Oes démarches pour lui auprès du directeur du journal.
ami qui ne veut pas se donner la peine de contredire Ver-
migras pour lui être désagréable, s'empressa de le quitter afin
«aller à ses affaires.
gras continue son chemin en s'échauffant de plus en
Plus contre eet ingrat Griolet.
rèsdufauboug Montmartre, il aperçoit une connaissance,
de G 11 eït U larrète et lui Parle de l'injustifiable conduite
cède" Imîgm(îz"T0l,8>lui dit-il, cet homme arrive à Paris; je lui
Ba J™ ona«>bre chez moi pendant quinze jours. Je le recom-
refu e, audement »u directeur d'un grand journal, et il me
refusa H ------- micui/cui u un jjiauu journal, et il me
demJL • MntS f"""!s ' Mais c'est-à-dire que si je lui avais
" ïuatrl> loui», C'eût été la même chose, tandis que;
sa À: """l8 tout fait P°ur lui i j'aurais mis mon logement à
ta an Slti1.°n MBSi loa«temPs ïu'u l'aurait voulu, six mois,
fair» „' f ladrals recommandé à mon chef de bureau pour le
"l entrer à m„n administration.
t —-— ««"îiuioid-ttiiion.
ter IpT^ 6mi' pas plus «uele premier, n'aie temps d'écou-
donneoo T°eS de VermiS™; P°ur s'en débarrasser, il lui
Vmi .meat raison et ""damne l'Infâme Griolet.
Pas son if jM Sen ,a '"«Jours tout droit devant lui : à chaque
m SOa "dation croît contre Griolet.
Devant le passage Jouffroy, il se heurte contre un voisin. Sou
premier mot est une plainte atnère au sujet dé son ami.
— Vous ne le croiriez pas, lui dit-il —• Voici un homme que
je connaissais à peine, il vient à Paris, je mets un lugbment à
sa disposition pendant un mois; je fais des demandes les plus
pressantes en sa faveur auprès de mon chef de bureau... et
hier je lui demande quatre louis dont j'ai besoin par hazard, et il
me les refuse... quand je pense ce qu'il eût obtenu de moi...
s'il avait voulu mon appartement tout entier, s'il avait fallu
l'appuyer prus de mon chef de division, je n'aurais point reculé,
tan 1 is que lui... j'aurais essaye de lui emprunter vingt francs
pour aller dîner, qu'il ne m'eût pas autrement traité.
— C'est un ingrat, reprend le voisin,, qui ne voit point pour-
quoi il contredirait Vermigras, brave homme an fond, et voisin
commode.
Vermigras avance toujours, son indignation est au comble.
Ce matin, Griolet rencontre un ami commun:
— Comment, lui dit celui-ci, mon cher, c'est trop fort. Ce
brave Vermigras vous a logé pendant six mois, vous et votre
faaiille, il a fait une démarche personnelle pour vous, auprès
du ministre, et vous refusez de lui prêter cent sous pour payer
son cocher, parce qu'il a oublié son porte-monnaie? Griolet,
je ne vous connais plus I
Vous voyez que Vermigras ne pourra jamais pardonner à
Griolet.
— Ah ! s'il avait pris la rue d'Hauteville I
Georges Stenne.
GAZETTE A LA MAIN
Il fait frisquet, — frisquet,— frisquet...
L'hiver a envoyé s«s fourriers et ses mare chaux-de s-logis
préparer les quartiers où il va s'installer, assure-t-on, pour
six mois, — avec une provision notable de rigueurs...
Ou commence à rencontrer sur le boulevard des pardessus
fourrés et des rhumes de. cerveaux...
Et ceux qui n'ont pas le moyeu d'avoir une forêt au grenier
ou une mine de charbon dans la cave se regardent d'un air
inquiet...
Hier, le marquis d'H..., qui est, comme vous savez, quatre
fois millionnaire, sortait, à minuit, de son cercle, les poches
bourrées d'or et de billets de banque :
11 venait de gagner trmtc mille francs à l'écarté !
Une pauvre femme, surchargée d enfants déguenillés, l'arrêta
à un coin de rue, pour lui demander l'aumô-ne.
Le gentilhomme s'efforça de retrouver quelque monnaie au
fond de son gousset encombré de louis .,
A la Su, perdant patience, il se retourna vers un ami qui l'ac-
compagnait et lui emprunta une pièce de... cinquante centi-
mes dont il Ut don à la mendiante....
Comme celle-ci &e confondait en remerciements, et s'enga-
geait à prir*r Dieu pour la conservation des jours de son géné-
reux bienfaiteur, l'ami qui avait prêté la somme considérable
lui dit trinq*illtia«nt ;
— Ma chère, vous von» trompez ; c'est pour moi qu'il faut
faire vo» dévotions; c»r monsieur, voyez-vous, ne me rendra
jamais les dix sous dont il vient de vous gratifier.
En attendant, on dîne à la préfecture de la Seine. On dîne
dan» tous les ministères. On dîne et redîne à l'Elysée!...
Pantagruelleries officielles I Noces de Gamaehe 1 — Président
avec la Commission du Mètre I La France dévore ! Le Gouverne-
ment digère 1 Les Prussiens évacuent!...
On raconte qu'un soir que le docteur Véron descendait du
café Anglais en chiffonnant sa chemise tuyautée avec la satis-
faction d'un gourmet bien repus, un chiffonnier s'exclama :
— En a-t-il plan lejabot\
Gavroche vient de refaire ce mot avec plus d'à-propos :
Comme M. Jules Simon émergeait, l'antre soir, d'un ban-
quet présidentiel, en se caressant le bedon avec une certaine
■complaisance :
— Oh ! celui-là, fit le gamin, en a-t-il plein le porte- feuille I
C'est le terme d'octobre, — le dieu Terme!.,.
Les lourds camions de déménagement occupent le milieu de
la chaussée. Les modestes voitures à bras tiennent les deux
côtés de la voie Vous pouvez vous flatter d'être né sous une
bienheureuse étoile, si vous parvenez à circuler sans encombre
dans ce débordement de colis...
Il s'agissait de trouver un appartement, — chose perplexe
par le temps qui court!
MM les concierges, après m'avoir interrogé sur mon âge,
mes mœurs et mes habitudes, — dont je faisais, bien entendu,
le tableau le plu* flatteur, —-reculaient épouvantés à l'énoncé
de ma profession de journaliste...
Un seul m'a traité avec une familiarité paternelle, à laquelle
je me suis montré sensible...
— Ah1 m'a-t-il dit: Monsieur peut demeurer ici en toute
sûreté. Je le regarderai comme mon propre enfant. Car, moi
aus i,j'ai été artisteI...
— Vraiment ! fis-je par politesse.
— Artiste distingué, j'ose le dire, avec le respect que nous
nous devons. Tel que vous me voyez, j'étais aveugle de nais-
sance. Des l'âge de douze ans, je jouais de la clarinette sur le
pont Saint-Michel. Le docteur Sichel me remarqua en pas-
sant. Il prit l'adresse de ma famille. Le leedemain, il m'o-
pérait ..
— Eh bien ?
— Un mois après, j'étais guéri t
— Une belle cure et qui fait honneur au célèbre oculiste. _
— Possible! mais j'avais perdu ma place d'instrumentiste
sur le pont. J'étais devenu un bourgeois, un simple bour-
geois I..- — Ah ! je ne pardonnerai jamais à monsieur Sichel I
L'artiste-instrumentiste accepta mes dix franes de denier-à-
Dieu, — et, après mon départ, je l'entendis qui jouait sur sa
clarinette le Mise-ere du Trouvère !
Ce matin, il m'a proposé de lui écrire un lihretto dont il com-
poserait la partition !I1
Théâtres.
On doit aux morts certains égards que l'on refuserait aux, vi-
vants .
Nous ne discuterons donc ni la portée, ni la valeur de la nou-
velle comédie de M. Léon Laya, — au Gymnase.
Nous constaterons seulement que le public l'a écoutée avec
une syujpaihie mélancolique que commandait non moins le
caractère que le talent de son auteur.
La Gueule du loup, — vous l'avez devinée à ce titre féroce, —
est l'histoire d'une jolie femme, qui, après avoir pirouetté en se
jouant sous la double herse des crocs de l'animal, finit par en
être croquée.
L'animal, c'est l'amant.
La jolie femme, c'est mademoiselle Aimée Desclée.
Jolie femme, — et grande comédienne.
Desclee, cesse de vaincre ou je cesse d'écrire !
Le vers n'y est pas...
Mais, comme la Gueule du Loup est en prose t...
Les cœurs ne sont pas près de se taire sous les baleines des
corsets 1
Il me rev'entqu'àl'une des répétitions de Martin, ce Gambetta
des ténors a eu une discussion avec l'un de ses camarades.
Rendez-vous aurait été pris, — pour le lendemain, — à
l'épée.
Mais l'affaire s'est arrangea.
Un de nos confrères, à qui quelqu'un narrait le fait, a dil :
— On n'embroche pas un rossignol.
Ce n'est pas la première fois que le Capoulini d'amsre a
maille à partir avec ceux qui l'entourent.
A Londres, au terme >Je la saison, une dispute assez vio-
lente éclata entre lui et son directeur.
— Monsieur Capoul, lui déclara froidement ce dernier, je
suis fort, — très-fort, — excessivement fort... d'un coap de
poing, je pourrais vous casser les reins...Mais vous êtes encoM
mon ténor pour trois jours... Revenez m'embêterdans soixante-
douze heures, — et je ne vous dis que ca I
Un provincial s'en va, — aux Menus Plaisirs» — demander,
sur ma recommandation, deux places à de Jallaia.
— Monsieur, s'informe-t-il au portier de oe lieu de délices,
je désirerais parler au maître de céans.
On le tr.it monter. Le voilà dans un couloir obscur. Une ru-
meur lointaine arrive jusqu'à lui : c'eat la troupe de de Jallats
qui est en train de répéter Bocamboie auto Enfers.
Sou lain, une voix sépulcrale retentit, dans l'ombre :
— Dites aux lézards et aux crapauds de venir essayer leurs
souliers I
Mon provincial court encore !
Un abonné du Constitutionnel :
— Dieu 1 a-t-il l'air bête, ce Ranc, avec son pince-nez !
Un lecteur Je la Rèuubliqur. :
— Vous avez bien l'air béte sans ça.
M. de Villemessant devient d'une grosseur inquiétante...
pour lui.
Edmond About le voyait, dernièrement, monter en voiture.
— Le pauvre homme I fit-il, il me rappelle le titre de l'un de
mes premiers ouvrages...
— Lequel ?
— La (jraisse contemporaine.
Aux Italiens, débuts de Capoul.
Le crayon d'Badol s'est écrié ;
— Tais-toi, mon eceur I
Emile Blondet.
sommaire du numéro 4 du MUSÉE UNIVERSEL (25 «intimes
l'numéro, c fies tous les libraires) TEXTE: Y8>curiat, parJ Cla-
retie , O-us&'ie des champs, par G. de Chenille, l'es Ancu nés
voitures à compteurs, Zoologie. Cerfs et Bicfws, par Arthur M*nyia,
VE-fance at Japon, par ^hampaeury, Au Bivomc, poéne, par
F. Ooppée, le Mots* de Mielui-Ange, par G. LafenMtr», le Twto-
nis »., par E. d'Herrilly, le 0rap-*u. nouv-.llo, par J Ciar«tie,
Prtiletiaxete, Psmées, d« A Ltut^a*, B*lzaa, «te.— éJUYUluS :
Vueà veld'oist u4*tp*l*udti KfuruH. 9trft H Si,* ha, 4«Ji#«Mf,
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garisation scioauflque, d'œayres d'imagination, d'ouvrages utiles, etc., etc
Des écrivains de tale-nt prêtent leur concours à cette publication, qu
comprendra des volume1' de MM. /. Claretùt, L. GimteUn, Einvuxfi Stibeck*r,
André Lefkv^e. Antonm Proust, E de Pompéry, Elle Serin, Mario Protk, A As
salant, E. Himent, Ph Daurûw, F--V. Maisonneuve, Paul Parfait, Juki Can-
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1. Lo siège de Parla, avec eartes. — î. Histoire «.* la
Commune «le Paris, avec plan. — 3. L'empire dévoilé
par lui-même, avec autographe, —t. Tlistoire de la guerre.
avec carte. — s. Journal d'un prisonnier de guerfe e*
Prusse, par un officier de marine. — 6. L'Hygiène, par J. DaBi-
îet, — 7. Les ballons pendant le siège, par W. de FoBTtellfl,
avec flgiï'es. — 8. Alsw.ce et Lorraine, par E. Sorin, avec earte.
~\. Histoire do l'Internationale, — 10. Histoire du
second empire- — il. Les Prisonniers du Mont
Int-Mioùel. par Jules Cauvam----12. rv-poléon '«F par AD'
dré LeTèvre. - 13 A travers la vie. histoires du dimanche, par
Edouard Siebecker —14 La *l» du Bonapartisme, par Edouard
de Pompéry.- is Xj& voavelie-Oalodon e. par F MaiflrtnnfliJv»
vec carte,—16. La Prusse et la Campagne de ^adowa
ar <onn, avec cane. — 17 Les PrAlimin 1res de la * évo-
lution française, par Antonio Proutt — 18. Sur le Génie
militaire de Bonaparte, par E. i.ittré. - 19 L-e Ooi-ps
Humain et sm fonctions, par le dr Pierre Quantin, ■— *>. JSAa-
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