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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 6.1873

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https://doi.org/10.11588/diglit.6773#0104
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L'ECLIPSE

retrouve la Censure replâtrée dans sa perpétuité et rafistolée dans
sa toute puissance. » Non seulement la Censure reste la même,
mais les censeurs ne changent pas. Ils demeurent comme la
rose au rosier, ét proscrivent, au nom de leurs opinions parti-
culières, tout ce qui est sensé devoir déplaire au nouveau gou
vernement.

Si on ouvrait les armoires de la Censure, ce qu'on y retrou-
verait de chèvres et de choux ménagés depuis 1870, en prévi-
sion d'événements futurs, c'est une chose incroyable.

Ils ont bien raison, d'ailleurs. L'avancement est à ce prix.
Et je pense bien que les arrivés de ces mois derniers n'ont pas
oublié les petits services que leur ont fréquemment rendus les
censeurs avarii cette belle date.

La Censure,'plus heureuse que le Meunier, son Fils ei l'Ane,
est arrivés à contenter tout le monde et son père, — au minis-
tère, bien ëhtendu.

Dans le public, c'est autre chose.

Mais, qu'est-ce que c'est que ça, le public? comme disent les
gens de fit afotte.

h>onc, nurlons-le avec énergie, la Censure est utile, indis-
pensable. CTst le guide dans l'art des caricaturistes modernes.
Us lui doivens leurs plus beaux succès.

Nous demandons qu'une paire de ciseaux monumentale soit
élevée à la Censure dé la Ëèpublique. '■■

"ÎERNEST D'HERVILLY. .

T H 3 M 3 M â T £i 1T ? H M 4fi Z fll 3 firî ! H H

La mauvaise foi des journaux de la radicaille est -vraiment
stupéfiante. Dans toutes leurs colonnes s'étale ce cri : Le
commerce se meurt, le commerce est mort, rien ne va plus.

Et pour s appuyerd'un semblant d'argument, ils citent, avec
un grand flafla, le chiffre des faillites et les plaiutes d'un cer-
tain nombre de corps d'état.

Nous journaux de l'ordre et de l'autel-meublé, nous repon-
drons par des preuves contraires, faciles à contrôler, même à

la Monnaie. - ■ . ... .....

Et -d'abord, qui est-ce qui nous avait baille une hepublique
comme celle-là? Depuis le commencement de l'année, il faisait
un temps à ne pas flanquer un empereur à la pûrte, tandis que
aermîs le 24 mai, les amateurs de statistique ont remarqué
qu'il avait plu, en moyenne, un jour sur trois, ce qui est par-
faitement suffisant aux biens de la terre.- Du reste, avec tftre
administration sagement réglée nous espérons arriver à ce
qu'il ne pleuve plus qu'un jour sur quatre.

Les peuts pois ! Les petits pois, qui présentaient un aspect
maladif, ont subitement grossi dans leurs cosses, qui se sont
remplies à en faire casser les queues Un savant, - ami de
rordre — est oêoie en train d'étudier un mode d'injection de
beurre'dans les tiges, qui, grâce a l'action d'ua soleil monar-
chiste et réparateur, permettrait de cueillir les petits pois tout
prépaies a la française!

Eulin un dernier mot sur la matière.

Jamais, entendez-vous, jamais le commerce des water-clo-
sets n'a été si florissant. C'est au point qu'on est ébbgô d'en
construire de nouveaux à doubles compartiments comme chacun
peut le coi^tater place de laBjurse et boulevard Benfte-!Not^

Ce que cela prouve?

Ahl voilà bien ces gens de mauvaise foi et de parti pris!

Oculos habent et non vidtbunt, pifoi habent et non odorabunt.

Mais pour faire aller d'une telle façon ce commerce-là , il
faut que la population se nourrisse à en faire éclater les cou-
tures de ses caleçons. Et ri elle se nourrit d'une manière sem-
blable, c'est que tout va bien, le commerce, l'iudustrie, la
finance, les bonnets de coton, la pâte de guimauve et la mou-
tarde Bornibus.

En vérité, en vérité, je vous le dis, tant qu'on n'aura pas sup-
primé tous les journaux républicains., il manquera rudement
des abonnés aux journaux monarchistes, c'e.-t pourquoi nous
demandons, avec toute la bonne f oi, fausse mais canaille, qui

us caractérise, que.....

(La suite piochainement.)

TUE LUPIN.

LA CHAMBRE PERPÉTUELLE

Quel bruit court? La durée de la Chambre portée à trois ans.
Trois ans? Allons donc I On veut rire. Trois ans? Ce n'est pas
assez. Quand on a eu la chance de mettre la main sur une
Chambre comme la r.ôtre, il est du devoir des citoyens de la
supplier de ne jamais plus quitter son poste.

Il est assez clair, d'ailleurs, que trois ans et mê.nc six lui
sont bien insuffisants pour accomplir sa tâche énorme. En
effet, depuis que le nouveau ministère est a son poste,qu'a-t-elle
fait? Rien. Multipliez zéro par trente-six mois et même par
soixante-douze, et vous verrez tout de suite a quel point six
années suffisent peu à ses travaux.

Non, nous n'hésitons pas à le dire à la Chambre ; ce qu'elle
doit proclamer, ce n'est pas sa prolongation à trois ans, ni à
six ans, ni à douze, ni à vingt-quatre. Ce qu'il faut au pays, ce
dont tous las intérêts ont soif, c'est d'une prolongation illimi-
tée, à perpétuité, sans bornes.

t Mais, malheureux, s'éoriéront quelques esprits craintifs,
vous ne songez donc pas à la mort qui, en peu d'années, éclair-
cit si étrangement les bancs des députés ; vous ne songez donc
pas qu'à chaque réélection le contingent de la gauche s'accroît
et que la Chambre actuelle, en se perpétuant, verrait .bientôt,
pour notre plus grand malheur, la majorité changer de bord
et les forces républicaines s'accroître de plus en plus ! »

Si paibleu, j'y songe. Aussi est ce le triomphe de mon
projet d'empêcher cette marée montante et de faire tourner,au
contraire, toutes les extinctions parlementaires au profit du
gouvernement.

Vous voilà intrigués, n'est-il pas yrai? Ecoutez cependant,
c'est bien simple.

Je fais établir, à l'instar des couso-brodeuses, d'ingénieuses
posthumo-voteusfs en acier. A mesure qu'un député aurait cassé
Son verre d'eau sacré,il serait remplacé immédiatement. Hein !,
quelle simplification heureuse! pius de campagnes électorales!
plus de votés i II serait remplacé par une posthumo-voteuse
qui continuerait de remplir ses devoirs envers le pays en votant
toujours pour le gouvernement.

Une pédale, mise en jeu par M]e président, ferait agir toutes
les posthumo-voteuses comme un teul homme.

Je n'insisterai pas sur les avantages sans nombre des posthu-
mo-voteuses, — silence, régularjté) discrétion, t- ces avan-
tages sautent aux yeux. Il suffit remarquer que le jour où il
n'y aurait pluS dans Versailles uu député vivant, mais seule-
ment 750 posthumo-voteuses,

ee jour-là l'ordre moral pourrait
enfin se frotter les mains. La \r.;,ie Chambie introuvable serait
trouvée. • j

' LÉO. "

Nous croyons être dans: le mouvement en buvrantpour quelque
temps AOA coionuës à des listes de proscription. La

i" LISTE DE PROSCRIPTION . .VS;

paraîtra dans notre prochain numéro. $£.

Les dénonciations sont reçues sans frais, à dater d'aujour-
d'hui, dans nos bureaux.

Toute personne ayant-déposé quinze dénonciations aura
droit à un abonnement d'un an à l'Univers.

GâZETTE-ClRCULâiaE A LA MAIN

(compromettante)

Monsieur le préfet,

En l'absence de Son Excellence, — laquelle préside, en ce
moment, à la première représentation d'une pièce nouvelle de
M. de Jallais sur la scène nàîiond'e dés Folies-Gaspari...

En l'absence du ministre empêché, disons-nous, — et à son
insu, — nous nous empressons, mon collègue Clianibord et
moi, de vous transmettre les instructions suivantes, particu-
lières et confidentielles, sur la façori dont vous devez envisager
et faire envisager a vos administrés les différentes questions
qui accaparent actuellement la sollicitude éclairée du gouver-
nement. ..

La plus importante de celles-ci, assurément,
La question Angot,

vient de recevoir une solution dont vous aurez à souligner à la
presse départementale et Illogique et l'équité. Vous la résu-
merez déne ainsi : '! M ' < a M W

à

I ' I / t Li m' » \ » i 1 ; * i . • : f * fï^1 '^TJL

...Hier, samedi, un. spectacle extraordinaire devait être
donne, sur le théâtre de VAcadémie impériale et loyale de Mu-
si<jU", Ue DariSe et de Parcimonie, au bénéfice de Frederick
Le maître, — ce grand comédien qu'une déplorable gestion ue
sa fortune et a es habitudes prévues par une loi récente ont ré-
duit a une pension de six mil e francs pour vivre...

La recette prome i taitd'êtremagniiique: Meunce etVacquerie
eux-mêmes av.lient annonce, dan» le Rapp l, qu'ils affecteraient
a ia loeaiiun d'une loge la somme que uiiboqUot jurait a ses
« ar.istes » de consacrer — la ternaine prochaine — a l'achat
de la fameuse carpe...

Au dernier moment, une interpellation de M, Vietorin Jon-
cieres est venue désorganiser cette so.ennité pro meuve..

lt paraîtrait qu'un acte de la FiUe ae via .ame Angot figurait
dan» le programme...

Ue Releastei musical Je la Liberté 8'est virulemment indigné.

Quoi doue ! l'on allait transporter les refrains, les pO'ssuraè-
ries, les eiigueuieniuiits delà Halle dans le sanctuaire réservé
au* sévères harmonies de Giuck fct de Mozart, aux mélodies
passionnées de Rossini et de Weher, de Meyerbeer et d'Halévy !...

M. "Victoria .foncières n'avait pa8 tout a fajt tort...

Mais, moins que personne, il avait le droit d'invoquer et de
requérir l'intervention du pouvoir contre une œuvre amusante
et spirituelle...

N"tst-il pas, tn effet, l'auteur de Sardanapale et des Derniers
jours de Pumpéi, —ueux partirions que nous n'hésiterions pas
a faire entendre à un Prussien?...

Car, une fois qu'il les aurait entendues, il n'en entendrait
plus jamais d'autres! ..

i o w / *

... Quoi qu'il eu soit, monsieur le Préfet, noua vous invitons,
à faire immédiatement afficher dans toutes les communes de
votre département et à communiquer à la presse locale la pièce
ci-jointe, qui dénoue si heureureinent cette situation tendue :

Message dé M. Cantin

« Français,

« Appelé par là confiance de M. Moreau-Sainti, — lequel s'en
est, plus tard, mordu les doigts jusqu'aux épaules, — à la
direction des Folies-Dramatiques, j'ai la satisfaction de vous
prévenir que la représentation, affichée au profit de Fré.iôrick-
Lemaître, aura prochainement lieu chez moi.
■ « Elle se composera :
« 1» — Du premier acte de te Fille de madame Angot,
« 2° — Du deuxième acte ae ta Fille de madame Angot,
« 3° — Du troisième acte de U bille de madame tngoi,
. « Mais voici le grtut attruchoh :

« Ajant appris que plusieurs personnages de distinction
étaient de passage à Paris, je me suis rendu auprès d'eux et
leur ai demande de me prêter le concours de leur nom et de
leur talent.

« Ces personnages n'ont pas regardé les proportions de ma
salle : elles n'ont vu qu'une bonne réclame à me faire, — et elles
ont consenti.

■ Par suite, le chef-..'œuvre de MM. Siraudin, Clairville et
VICTOR KONING, sera ainsi distribué:

Mademoiselle Lange M«"s S. A. L La princesse Mathildb.

(joka PEAKL.
'MM. NASm-OpDDlN, shah de Perse,
prince Napoléon.
Ledro-I^ollin.
Tambkruck.., \

comte DE Ch'aMBORD.

Thiers .

B/iRTHÉLEMy SaINT• HlLAIRE.
choeurs

« Un vaudeville quelconque de m°n gendre servira de lever
de rideau.

Cantin. »

m

Mademoiselle Angot
Pomponnet
An^e Pitou
Ua Rivaudière
Louchard
Trénitz
Amaranthe
Javottè

... Ne négligez rien, monsieur, Pour intéresser les popula-
tions à ce témoignage de sympathie, à ce généreux souvenir
octroyés par la génération actuelle s 1 immense artiste dont le
seul tort a peut-être été de prendre —. trop S0UVent — au
sérieux, dans la vie, 8a magnifique création de don César de
Bazan...

Rappelez, à ce propos, qu'un jour il fut question de faire
entrer celui-ci aux Français...
Les sociétaires du temps protestèrent...
Parheu !...

Ils menacèrent même d'une démission en masse l'audac eux
ministre qui voulait leur imposer l'incomparaole acteur...

— Soit, dit le ministre à Frédérick, ils s'en iront tous, mais
vous resterez.

— Monsieur le ministre, répondit Frédérick Lemaître, je ne
veux déranger personne !

Et il s'en retourna au théâtre de la Pojte-Saint-Martin !
Le Théâtre-Français se consola avec le bâton de Molière !

... Ceci causé, nous- ne saurions trop vous engager à con-
quérir au gouvernement l'appui, le concours, le coup de main
aes daines...

Comme pour les journalistes, il ne s'agit que d'y mettre le
prix...

Exhortez-les surtout à savoir résister en certaines occasions ..

C'est par la résistance que l'on dompte les hommes...

Voyez plutôtLysistrataet ses compagnes, dans Aristophane!..

Que vos administrées, surtout, n'aillent pas imiter made-
moiselle A..., des Variétés :

Madame G..., actrice du même théâtre, qui a de superbes
relations, s'amuse, parfois, à protéger ses jeunes camarades.

C'est ainsi qu'elle a voulu assurer le sort de Mlle A...

— Je te ferai dîner avec le prince de X..., lui dit-elle ; seule-
ment, il faudra résiste?-'; il aime la résistance.

— G est bien difficile, repondit la bélle.

— Difficile, mais indispensable !

■ #É

A table, mademoiselle A..., épaules et bras nus, fut placée à
côté du prince.

Les choses allaient trop vite. Mm° G... faisait les gros yeux.

— Voyons, laissez-moi, disait Mlle A...
Mais c'était tout.

Au rôti, madame G... n'y put tenir.
Elle se leva de table en d-sant :

— A .., j'ai un mot à vous dire !

Elle entraîna sa ptotégée dans la pièce à côté, et s'écria :

— Ah ! ça, veux-tu résister, petite malheureuse?

Pascal et Chambord.

Jardin Mabille, bal tous les soirs,
credi et samedi.

Crande fête les mer-

EN VENTE CHEZ DENTU, ÉDITEUR, PALAIS-ROYAL

ROMANS NOUVEAUX. La grande vogue des
Romans que publie l'éditeur Dentu dans sa jolie collec-
tion in-18 tient assurément à deux causés : le choix
varié de ses auteurs, tous aimés du publie ; la certitude
de lire un roman, bien écrit, toujours amusant, et dont
l'intérêt ne fait jamais défaut.— Viennent de paraître :
xavier. AuBRYET. La Vengeance ile Mm" Maubrcl. i vol. 3 »
Gustave Ai m a Éd. Aventures Je Miche! lhirtmari-t vol. (i »
Alfred Assollant. Le d'oct&ir Juddssokh. { v<j|i . . 3 »

Adolphe Belot. Deux Femmes. \ vol.......:t »

Elie Berthet. L'œil de Diamant. I vol.......3 »

Edouard Cadol. Le Monde galant. ,1 vol......3 »

Eugène Chavette. Le Rémouleur. 2 vol......6 »

Et. Enault. Gab'riellc de Cèlestanqc. i vol......3 »

Paul Féval. Le Dernier Vivant. i> vol.......6 »

Emile G-aboriau. La Corde au Cou. i vol......3 50

Gourdon de Genouillao. Le Crime de 1804. d vol. . 3 »
ABgèNE.HousSi^lf. Lucie, la fille perdue, i vol. . . . 3 50
A. de Lavergne. Les Demoiselles de Saint-Denis. 1 vol. . 3 »
Henri de Lacretelle. L Autant malgré lui. 1 vol. . 3 »

Victor Perceval. Monsieur le Maire, i vol.....3 »

Albéric Second. La Vicomtesse Alice, i vol.....3 »

H. de Saint-Georges. Les Yeux verts, i vol. . . . 3 »
' Toute demande accompagnée du montant, soit en timbres ou
mandats sur la place, est expédiée franco.

T a Gazette des Bè'iux-Arts a publié les articles suivants dans
sa livraison du Ier juin :

Salon de 1873, par M. G. Lâfenestre

Les lit* antiques considérés particulièrement comme forme
de la sépulture, par M. L. Heuzey.

Leopold Robert, d'après sa correspondance inédite, par
M 'Ch Clément.

Exposition rétrospective de Bruxelles, par M René Ménard.

Paradoxes. Le comfort, par M. Edmond Bonaffe.

L'œuvre d'Eugène Delacroix, par M. Louis Gonse.

Indépendamment de nombreuses gravures sur bois, dont
quelques-unes représentent les principales œuvres de peinture
et de sculpture du Salon, on remarque daus cette livraison
trois belles eaux fortes :

1° La jeune Fuie à la r< je, gravée d'après Goya, par M. Hédouin;

2" Le Fumeur, uravé d après Terburg. par M, Coutry ;

S0 Le Cheval blanc, gravé d'après Philp Wouwerman, par
M. Greux.

-*>-

MM. A. Chaix et Ce ont l'honneur d'informer MM. les voya-
geurs que le livret continental indique les itinéraires

détaillés de Pans à Vienne par les différentes voies ( Consulter
l'Itinéraire Alphabétique, qui évite toute difficulté de recher-
cher. ) — L'édition de juin est en vente dans les gares et les
librairies.

il

L'éditecr E. Leroux met en vente la deuxième édition de
PcsitivUtes et catholiques, par le docteur E. Sémérie.

Ainsi, que le constate l'auteur, ce livre e»t trop restreint
pour y donner vu grand développement aux doctrines positi-
vistes ; il suffit néanmoins à démontrer, au point de vue huma-
nitaire, leur supériorité sur les doctrines catholiques, en
raison de ce principe qui leur sert de base : « Ne rien détruire
« sans savoir comment ni par quoi le remplacer. »

lme«ftMnX!l*itt«uv à»u«n««9»k*. — Guérisâa, «itraetios
et pose de dents tant douleur. 45, rue Laiayetfie.

RECOLORATION

DES CHEVEUX

ET DE LA BARBE

SARÂH FÉLIX

Pommade des Fées — Pommade Féerique

entrepôt général, rue richer, 45_^

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Pari». — Imprimerie F. DEBONS et C«, 16, rue du Croissant.
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