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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 7.1874

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https://doi.org/10.11588/diglit.6767#0076
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L'ÉCLIPSÉ

1 alla demander pardon au peintre. Il le supplia au nom de sa
boutique menacée elle-même parce qu'elle n'était pas à aligne-
ment; il le supplia au nom de sa femme, de ses enfants, lit le
Peintre dit : « Allez 1 vous n'avez pas de cœur !»

L'arbre fut taillé à la mal-content par les sécateurs de 1 ad-
ministration, aiguisés pour la circonstance, en présence ae
l'ingénieur lui-même.

Mais à l'issue de cette belle opération, le peintre, transporté
de fureur, provoqua l'ingénieur en un duel sans merci ni
trêve.

Le duel, qui fit un bruit du diable à Bartavelle, eut lieu dans
les fossés de la citadelle. Force resta à la Toute-Puissance des
temps modernes. L'ingénieur blessa le peintre; les Beaux-
Arts furent vaincus !

Telle est l'effroyable morale du dix-neuvième siècle !

Allez à Bartavelle, et on vous racontera la chose en détail.
Seulement, les Bartavellois ajoutent à leur récit :

A-t-on jamais vu s'assassiner pour un marronnier 1 Ces
Parisiens sont des bêtes féroces.

ERNEST D'HERVILLY.

GAZETTE A LA MAIN

a. Mort m fourrageant et grapillant ça et là,
comme écrivait jadis madame de Sévigné.
Elle foudroyait, il y a quinze jours, M. le
comte Simé'on, une heure ou deux à peine
avant que les salons de ce gentleman de
lettres s'allumassent pour une fête, — at,
en même temps, elle atteignait, sur un lit
d'hôpital, ee pauvre diable de Jules Choux,
à qui quelques couplets — médiocrement
rimés — avaient fait une quasi-réputation
d'atelier et de guinguette...
Puis c'était le comique Priston qu'elle frappait à Alexandrie,
et, à Pau, celle qui avait été la jolie, la dodue, la sémillante
Tostée des Bouffes-Parisiens...

Puis encore M6 Paillard de Villeneuve, dans son cabinet de
rédaction de la Gazette des Tribunaux...
Puis, auparavant, l'ex-historien, l'ancien ministre Beulé.
Total : un homme d'État émérite, un avocat-journaliste, .un
écrivain-amateur, un chansonnier libre-penseur et deux comé-
diens de talent. Allons, la Camarde aura eu de quoi frotter les
uns contre les autres ses doigts secs et sonores comme des ba-
guettes de tambour : elle n'aura certes pas perdu sa dernière
moitié d'avril!...

Je ne m'occuperai pas outre mesure de M. le comte Siméon
lequel avait traduit Horace d'une façon moins brillante,-mai
Puis serrée, — quoiqu'en vers, — que Jules Janin.

Je ne m'étendrai point davantage sur M? Paillard de Ville-
avp ' 1ui amassa, dit-on, une assez belle fortune en plaidant
sort ^Us d'esprit que d'éloquence et en nous, racontant toute

M ie crimes abominables dans sa feuille judiciaire.
,jj • -oeuié ne m'arrêtera que ce qu'il faut pour copier l'anec-
ote suiVante dont je me servirai à cette fin de prouver que
1 e « Père de l'Acropole » sut toujours ménager et ja chèv
L cnou :

^'était à l'époque où le jeune savant fréquentait le critique
}>a ^ustavePlanche. Pour une raison ou pour une autre,
*es deux amis se brouillèrent, et l'on ne tarda pas à en venir
aux récriminations.

— Vous oubliez, s'écria Planche, que je vous ai donné la plus
grande marque de sympathie qu'on puisse exiger : j'ai fait en
votre faveur deux faux témoignages...

— Dans quelles circonstances, s'il vous plaît ?

— En déclarant admirables vos deux derniers livres.
. M. Beulé réfléchit, et, comme il avait sous presse un troi

sieme volume, il tendit la main au critique :
t,~ Je ne veux pas, dit-il, vous exposer à un troisième faux
témoignage. Si nous restions brouillés, vous écririez que mon
Prochain ouvrage est mauvais. Réconcilions-nous donc.

m

. Quant au citoyen Jules Choux, on ne le saurait guère consi
erer qUe comme nn rival de Charles Colmance, — auteur de
p 'es p'tits agneaux 1 et de Mouchez-moi ça !
kes romances populaires ne relèvent .point de notre plume
assonS.

^«»» • *

Aussi bien, i'ai hâto d'arriver à ce pauvre Priston et à cette
Pa^vre Tostée...

ton °îls les deux ctaient jeunes; tous les deux étaient blonds
^ les deux avaient fait naïf et futé à la fois...

du

« Mon cher ami,

« Envoyez-moi donc votre petite mécanique. »

Bayard, furieux du terme, porta la petite mécanique au Gym-
nase. Elle y eut cent représentations. A la quatre-vingt-dix-
neuvième, l'auteur du Fils de famille n'avait pas encore pardon-
né à Roqueplan sa désignation.

... Et Tostée, vous en souvenez-vous, dans les Bavards, avec
sa jupe de satin rose et sa mantille de dentelle noire piquée par
un œillet dans la broussaille de ses cheveux roux?..
Je disais un soir à Désiré :

— C'est une bartavelle à servir — sur un plat d argent —
avec des émincés de lard sous les ailerons.

Désiré me répondit avec conviction :

— Le lard y est.

Librairie

Je viens de lire Robert Helmont, par M. Alphonse Daudet,
-■'auteur des Lettres demonMoulin excelle à pourlécher ce3 «étu-
des et paysages » qui ont le fini travaillé — dans l'infiniment
petit — de Meissonier, avec la pointe de sentimentalité de
Protais. Littérature de genre, faite de détails, qui élève l'épisode
la hauteur du drame, — somme toute, d'un effet et d'une
vente assurés. Dame ! puisque nous n'avons, dans le livre, ni
Delacroix, ni Ingres, ni Corot, ni Rousseau, il faut bien nous
rabattre sur d3 Neuvillefsur Worms, sur Pelouse et surBerne-
Bellecour.

J'ai lu pareillement les Muscadins, de M. Claretie. Il y a là une
histoire des plus saisissantes dans un curieux tableau de mœurs.
Une photographie enluminée par un peintre.

Express-Théâtre

Aux Menus-Plaisirs, reprise de Cent mille francs etrma fille.
Nous avons constaté, dans le temps, le succès de cet amusant
vaudeville, auquel la spirituelle musique de M. Costé donne
désormais un attrait de plus. Malheureusement, Tissier, seul,
sait un peu chanter sur cette scène. Or, comme le fait fort judi-
cieusement observer Calino, un peu, ce n'est guère. Ici ce n'est
pas assez. Je dirais presque : pas du tout.

Où l'on chante beaucoup et fort joliment, par exemple, cest
dans la reprise de la Périehole aux Variétés. Les deux ou trois ta-
bleaux raboutésàl'ouvragesontgais,ingénieuxetoriginaux. Ils
ont fourni à Daniel Bac le prétexte d'une étourdissante création.
Dans le reste, Dupuy, Grenier et la Schneider rediviva ont re-
trouvé leur vieil ami : le succès.
Oh! cette Schneider!
Toujours la même!

Voilà longtemps pourtant, — c'était en 1851, je crois, — que,
dans Haydée, à Agen, elle jouait un petit mousse, dont tout le
rôle consistait à soulever un volumineux tonneau...
Les accessoires, au théâtre, sont généralement en carton.
Hortense oublia que, pour le public, il devait peser un cer-
tain nombre de kilos, et, au lieu de paraître le remuer avec de
pénibles efforts, au lieu de s'arc-houter avec difficulté contre
la tonne monstrueuse, elle se baissa et la prit tranquillement
sous son bras, comme on aurait fait d'un king's-charles !...

Les habitants d'Agen n'ont pas encore recousu les boutons
que lit sauter à leur brayette l'hilarité causée par ce mouve-
ment.

t. ucua avaient i an liai] eu line a la iuio...

Pu ,Us rappelez-vous Priston dans le trompette Canard.
"*3e famille?...

Gym

lllde famille?...

^t savez-vous comment le Fils de famille fut joué au
Udse, au heu d'être joué aux Variétés?

tu^iueplan venait d'être nommé directeur de ce dernier
dei, Bayard va le trouver, un matin, le félicite, et, entre

ux compliments, lui glisse deux mots de trois actes qu'il -
cu train do terminer.

Roqueplan lui offre un cigare.

Règle générale, lorsqu'on offrait une pièce à Nestor Roqueplan,
U3iui-ci offrait un cigare. Il ne faisait d'exception qu'en faveur
des auteurs qui fumaient. A ceux-là, il offrait une prise.

^ayard s en va. Nestor ne songe plus aux trois actes. Cepen
«anx, au bout de six ou huit mois, par un hasard que rien
u expuque, il écrit à Bayard ces deux simples lignes

est

A la réouverture de Mabille

Premier promeneur. — Regardez donc celte belle fille
aux yeux noirs et au teint brun...

Deuxième promeneur. - Oui; c'est une Espagnole .que
je connais...

Premier promeneur. — Elle s'en va avec ce voyou!..
Ah! mon cher, on voit bien que l'Espagne est en République!

Deuxième promeneur. -*■ Pépita républicaine!... Allons
donc!... C'est une Alphonsiste enragée!

STAR,

BULLETIN FINANCIER

Los haussiers ont décidément une main !. . Voilà.depuis le commence-
ment de l'année, le quatrième mois qui se termine à l'avantage et l'an-
née n'est encore vieille que de quatre mois. C'est un joli résultat. Ce
mois-ci encore commence bien pour eux ; le 5 O/il est en voie de rega-
gner son coupon et la spéculation paraît se soucier médiocrement de la
l'enti ce de l'Assemblée. Les questions politiques ne l'effrayent pas.

La hausse des rentes a donné le bon exemple ; toutes les valeurs ou à
peu près ont voulu le suivre. 11 leur a poussé des ailes avec une rapidité
étonnante, mais je cr.iins bien qu'elles ne soient guère solides, je serais
même tenté de lea croire attachées avec de la cire, comme celles du
présomptueux Icare. Gare à vous, alors, la cire pourrait bien fondre au
premier feu de hausse,- et aussitôt, quelle chute ! J'en frémis d'y penser.
Acheteurs de Turc, do Péruvien, d'Italien, de Mobilier espagnol et d'au-
tres valeurs d'au delà les monts et les mers, e tremble pour vous.

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le n° 107 de la Lanterne deBoquillon consacré au mois
de mai est en vente partout....... 10 c. le N°.

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tement les deux versements, a droit à une bonifi-
cation de un franc par titre.

EXPOSÉ

La concession de la houillère d'Auzits a une
étendue de 489 hectares, traversée par le che-
min de fer de Paris à Orléans.

Les couches reconnues et certifiées dans les
rapports de quatre Ingénieurs des Mines ont
une puissance d'épaisseur représentant plus
de 20 millions de tonnes de bonne houille
grasse, pouvant être affectée à tous les usages
industriels et domestiques.

Une exploitation de 200,000 tonnes est assu-
rée pendant plus d'un siècle.

Le prix de vente le plus réduit laissera tou-
jours un bénéfice minimum de 5 fr. par tonne,
soit un million de bénéfice par an pour une
extraction de 200,000 tonnes.
• Le produit des 30,000 Obligations émises est
spécialement affecté : 1° à l'augmentation du
matériel déjà existant; 2° à de nouvelles cons-
tructions industrielles; 3° au fonçage de deux
nouveaux puits; 4° à l'extension du chemin de
fer qui existe sur la concession.

Ces améliorations placeront l'exploitation dans
des conditions qui permettront l'extraction fa-
cile de 200,000 tonnes par année.

Toutes les formalités nécessaires seront
remplies auprès de la Chambre syndicale
des Agents de change de Paris, pour obte-
nir la cote officielle.

Les Statuts de la Société, ainsi que les rapports
des ingénieurs, sont tenus à la disposition de toute
personne qui désire en prendre connaissance.

LA SOUSCRIPTION
Est ouverte du 6 au 11 Mai

au siège de la société

14, rue du Quatre-Septembre, a Paris

Paris à l'eau-forte, le plus rare des journaux d'art, vient de
prendre une nouvelle forme au début de sa seconde année. Ses
eaux fortes sur chine sont tirées sur feuilles séparées, annexées
à chaque livraison hebdomadaire, au nombre de trois ou quatre
par livraison. Sa rédaction a pris un caractère d'actualité et
traite les questions d'art à un point de vue militant.

Rédacteurs : MM. Paul Arène, Emile Blémont, EtienneCar-
jat, L^on Ciadel, Jules Claretie, Desbarolles, Pierre Elzéar,
Ernest d'Hervilly, L. G. Jacque, Richard Lesclide, Catulle
Mendès, Albert Mérat, Charles Monselet, Charles de Sivry,
Léon Valade.

Aqua-fortistes : MM. Jules Adeline, Emile Benassit, Breton,
Cartier, Champollion, Charbonnel, Chauvet, Frédéric Cheva-
lier, Cordier, Courtry, Fleury, Paul Fournier, Gaucherel, Ge-
ry, André Gill, Lafosse, Lalauze, Lallemand, Lamour, Lepes-
queur, Lerat, Lesage, Lhermitte, Monnin, Paul Nanteuil,Félix
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