Les %elnes de Perse
rien dans routes ces Figures qui në
soir necesssaire, ni qu’onpuisîe retrati-.
cher comrae superssu ou inutile.
Mais si l’unicé de l’adtion efl: obsèr-
vée avec tant de science & de juge-
ment, l’unité de la lumiére &l’uni-
té des couleurs ne sont pas traitées
avec moinsd’art &debeauté. Et ces
choses-là meritcnt d’autantplus d’ess-
tre conssderées,qu’elles sont les moins
faciles à représenter , & celles qui
plaisent davantage à la veûë. Aussi
V. M. sçait bien i’estime que l’on a
pour les Tableaux oùl’on remarque
une belle union de couleurs, &com~
bicti l’on se récrie quand on voit que
la Iumiere & les ombres y trompent
agréablement les yeux. C’est ce qui
fit dire à V. M. en regardant cét Ou«
vrage, lors qu’on le porta dans son
cabinet des Peintures, qu’il conser-
voit au milieu de tant de rares Ta-
bleaux, un éclat & une force que
rien n’estoit capable d’effacer.
Et certes ce n’est pas sans raison
que l’on a tant d’admiration pour
çette partie de la Peinture ; Car quoy»
rien dans routes ces Figures qui në
soir necesssaire, ni qu’onpuisîe retrati-.
cher comrae superssu ou inutile.
Mais si l’unicé de l’adtion efl: obsèr-
vée avec tant de science & de juge-
ment, l’unité de la lumiére &l’uni-
té des couleurs ne sont pas traitées
avec moinsd’art &debeauté. Et ces
choses-là meritcnt d’autantplus d’ess-
tre conssderées,qu’elles sont les moins
faciles à représenter , & celles qui
plaisent davantage à la veûë. Aussi
V. M. sçait bien i’estime que l’on a
pour les Tableaux oùl’on remarque
une belle union de couleurs, &com~
bicti l’on se récrie quand on voit que
la Iumiere & les ombres y trompent
agréablement les yeux. C’est ce qui
fit dire à V. M. en regardant cét Ou«
vrage, lors qu’on le porta dans son
cabinet des Peintures, qu’il conser-
voit au milieu de tant de rares Ta-
bleaux, un éclat & une force que
rien n’estoit capable d’effacer.
Et certes ce n’est pas sans raison
que l’on a tant d’admiration pour
çette partie de la Peinture ; Car quoy»