Î14 Les qudtrc "EUmens.
lcs grands arbrss qui luy réiîdcnc.
Le foible & le fournis qui cedent à
mes coups
N’ont point à craindre mon
courroux y
On èvite, en ployant} ma plus rude
vengeance :
Nsais qnand je fais trembler & la
terre & les Cieux,
Que les puijfans traits que je lance
Sont a craindre aux audacieux !
Perrault.
frfcî fcfcî && ■£#**&*
L’ A I R.
IL n’y a rien dans la nature qui re-
présente sî bien l’EiTence de la Di-
vinité que le Feu. Sa chaleur nous
marque Ia puilïance infinie de Dieu
sur toutes Ies créatures, & sa lumié-
renous figure la profondeur & l’im-
mensité de ses connoisiances. Com-
me l’esprit de l’homme esfc ébloûï
par la seule penlée de ces grandes
choses, il nepeut les envisager qu’a-
lcs grands arbrss qui luy réiîdcnc.
Le foible & le fournis qui cedent à
mes coups
N’ont point à craindre mon
courroux y
On èvite, en ployant} ma plus rude
vengeance :
Nsais qnand je fais trembler & la
terre & les Cieux,
Que les puijfans traits que je lance
Sont a craindre aux audacieux !
Perrault.
frfcî fcfcî && ■£#**&*
L’ A I R.
IL n’y a rien dans la nature qui re-
présente sî bien l’EiTence de la Di-
vinité que le Feu. Sa chaleur nous
marque Ia puilïance infinie de Dieu
sur toutes Ies créatures, & sa lumié-
renous figure la profondeur & l’im-
mensité de ses connoisiances. Com-
me l’esprit de l’homme esfc ébloûï
par la seule penlée de ces grandes
choses, il nepeut les envisager qu’a-