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https://doi.org/10.11588/diglit.31182#0330
3ï8 Defcrlptîon fommaîre
diverses coquilles, &c d’où sortent
des jets d’eau du milieu de plusieurs
pointes de rochers & de coquillages.
Ces niches sont palliffadées de Che-
vrefeuïlle, &c diiposées de mesme que
le Salon, ayant encore devant elles
chacune deux autres fontaines dans
les coins des cinq allées qui condui-
sent à la Montagne»
Bajfin de Flore.
AU sortir de ce lieu on trouve
un autre baiîin d’eau dans la
mesme allée de Cerés, Ôc dans sen-
droit où elle est croisée par un autre
allée de traveriè : on l’appeliele Baf-
sn de Flore.
La Salle des Fefiins.
DAns l’aurre bois qui suit ce-
luy de Ia Montagnc est le liett
qu’on nomme la Salie des Festins.
C’est une place d’une fort grande
étenduë environnée d’arbres, & re-
vestuë tout au rour de gazon. Sa fî-
gure est plus longue que large. Elle
a cinquante-cinq toises de longueur.
diverses coquilles, &c d’où sortent
des jets d’eau du milieu de plusieurs
pointes de rochers & de coquillages.
Ces niches sont palliffadées de Che-
vrefeuïlle, &c diiposées de mesme que
le Salon, ayant encore devant elles
chacune deux autres fontaines dans
les coins des cinq allées qui condui-
sent à la Montagne»
Bajfin de Flore.
AU sortir de ce lieu on trouve
un autre baiîin d’eau dans la
mesme allée de Cerés, Ôc dans sen-
droit où elle est croisée par un autre
allée de traveriè : on l’appeliele Baf-
sn de Flore.
La Salle des Fefiins.
DAns l’aurre bois qui suit ce-
luy de Ia Montagnc est le liett
qu’on nomme la Salie des Festins.
C’est une place d’une fort grande
étenduë environnée d’arbres, & re-
vestuë tout au rour de gazon. Sa fî-
gure est plus longue que large. Elle
a cinquante-cinq toises de longueur.