Je ne puis tout de même pas parler d’art, de métier, de
trucs et de tics. Ces longues balivernes, ces bavardages ammol-
lis il faut les laisser à d’autres, à ceux qui peuvent devant la mer
comparer les rages des vagues et calculer leur hauteur à un cen-
timètre près.
Madame Renée Sintenis s’est lancé à la poursuite du
vent. La petite statue qu’elle a intitulé Nurmi et qui est le
portrait d’un coureur peut au premier abord sembler bien loin
de ce que nous avons contume d’admirer. Mais les yeux de
Madame Renée Sintenis ont su mieux que les nôtres distinguer
dans ce grand mouvement du coureur, l’élan et que ce qui im-
portait était moins l’homme que la course, le bond et surtout
ce vent que le coureur a vaincu. C’est le portrait de la lutte de
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trucs et de tics. Ces longues balivernes, ces bavardages ammol-
lis il faut les laisser à d’autres, à ceux qui peuvent devant la mer
comparer les rages des vagues et calculer leur hauteur à un cen-
timètre près.
Madame Renée Sintenis s’est lancé à la poursuite du
vent. La petite statue qu’elle a intitulé Nurmi et qui est le
portrait d’un coureur peut au premier abord sembler bien loin
de ce que nous avons contume d’admirer. Mais les yeux de
Madame Renée Sintenis ont su mieux que les nôtres distinguer
dans ce grand mouvement du coureur, l’élan et que ce qui im-
portait était moins l’homme que la course, le bond et surtout
ce vent que le coureur a vaincu. C’est le portrait de la lutte de
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