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https://doi.org/10.11588/diglit.62777#0081
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fe font aux joints de pieces de cire, & entre
autres a toutes fes parties faillantes, que l’on
arrondit , & que l’on rend coulantes , parce
que Fans cette precaution, la bronze les pour-
roit cafler, & les faire tomber dans le moule,
ou les jetter dans des endroits, oü elles pour-
roicnt boucher fon palfage & caufer de la dif-
formite. 11 faut aulli obferver avec foin, fi
tous les gäteaux, qu’on a employes au noyau,
joignant parfaitement l’un contre l’autre, ce
qu’il eft aife de connoitre, en frappant für le
noyau , car lorsqu’il rend un bruit fourd &
creux, on connoic que la liaifon n’eft pas bon-
ne j ce qui arrive quelquefois, lorsqu’on n’a
pas alfez de liberte, pour paffer les doigts en,
tre les menus fers dont on a entrelace l’arma,
ture. Alors il les faut oter & remplir parfaite-
ment ; & dans les parties du noyau, qui font
en deifous, on fait un treillis de fil de fer, au
tache aux crochets , qu’on a mis en deflbus
de l’armature , pour Her & entretemr les terres
du noyau, qui pourroient tomber dans le moule
dans le tems, qu’on fait le recuit. Apres quoi,
on fait entierement fecher le noyau, avec plu-
fieurs poeles de feu, en dehors, für les echaf-
fauds, & en dedans, dans l’efpece de voute da
brique dont j’ai parle, dans laquelle ondefeend
par une ouverture, qu’on a laiffee für la crou-
pe, & que l’on recouvre avec un morceau de
tole, aullitöt que le feu y eft allume, afin d’y
conferver la chaleur. Mais comme le feu n’au-
r®it pu s’y conferver fans air» on avoit eu foin
fe font aux joints de pieces de cire, & entre
autres a toutes fes parties faillantes, que l’on
arrondit , & que l’on rend coulantes , parce
que Fans cette precaution, la bronze les pour-
roit cafler, & les faire tomber dans le moule,
ou les jetter dans des endroits, oü elles pour-
roicnt boucher fon palfage & caufer de la dif-
formite. 11 faut aulli obferver avec foin, fi
tous les gäteaux, qu’on a employes au noyau,
joignant parfaitement l’un contre l’autre, ce
qu’il eft aife de connoitre, en frappant für le
noyau , car lorsqu’il rend un bruit fourd &
creux, on connoic que la liaifon n’eft pas bon-
ne j ce qui arrive quelquefois, lorsqu’on n’a
pas alfez de liberte, pour paffer les doigts en,
tre les menus fers dont on a entrelace l’arma,
ture. Alors il les faut oter & remplir parfaite-
ment ; & dans les parties du noyau, qui font
en deifous, on fait un treillis de fil de fer, au
tache aux crochets , qu’on a mis en deflbus
de l’armature , pour Her & entretemr les terres
du noyau, qui pourroient tomber dans le moule
dans le tems, qu’on fait le recuit. Apres quoi,
on fait entierement fecher le noyau, avec plu-
fieurs poeles de feu, en dehors, für les echaf-
fauds, & en dedans, dans l’efpece de voute da
brique dont j’ai parle, dans laquelle ondefeend
par une ouverture, qu’on a laiffee für la crou-
pe, & que l’on recouvre avec un morceau de
tole, aullitöt que le feu y eft allume, afin d’y
conferver la chaleur. Mais comme le feu n’au-
r®it pu s’y conferver fans air» on avoit eu foin