DOI issue:
Juin (XLIV - LII)
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.47669#0429
la Marttebtel äe syam souhäit^ que ttes'’ mal.heureux ne sußent occup^s que g
heures par jour, Cependam leg teures du £tepJdu a rnai, riedisentpas nn nwtsurcet-
te rivolte , quiarrivera r$t ou'tard, & qui iera peat-ötrc terminde par te massacre de
rbu5 tes Elatus 2-trbp-söriüamment ctÄ ComBien'd’entr’eux, en jetsant d’orgiieite
te'ux regardi sür ess insörturtes5 ne Te disenr poim : 7jäne Dävhs b-onia eß ?
Les deux A^roßateurs deFunt» ont re$ules honneurs des obteqties les plus' pom°
p'feüses', faires aux depens de la vilie de Bculegne. L’Ams'rauti a asiiste i' un strVices
qu’elle a ordohrid pour te repos des anles de ces deux vi&inres: les munidpaux &
les gomtnunsut^ d^s marebasdS & aräfans ontsusvi cet cxemple. Les rnuteens'don-
venr\ te 27 de ce mois , faire chänter eii'müßqüe une Meße de reqüiem d la mere de
Mr Pilafi're' a: obtenu säns peinc, dss bontes du Roi, la penßbn de deux nülle liya
de seu ibn ßls2 laqueite, ä la' nlörc de cette mere afEHgde 2 sera reverßble sür te töte
de les' deüx stltes. Mr te Comte d'Eftaing s'ötant pretentö,te 19’, ä l’audience de Mon-
tur , a recu de ce Printe la reponse suivante: J'ai' accordt ma preteclion a l’etablissimefif
du Wiße & je' te ter ccriztews. M-'r te Chevalier de Scubiere a saisi träs heureusensgng
1’kUe pub’iique pour-' sonvofer l’öpkaphe de [’lcare contemporain«
ßjdßib eß d regrettcr ce" jeune audacieux !■
SP le- premier des airs il petita, le vbyage^.
Bietitdc precipitP des cieux
£« premitr il' y sit naufraoel-
Les- derrtierb aVit de Finde consirmenc la detressv on sorst nbs groupes, ä «ause de
Isr rarecis de'töüs les obiecs de premiere rtesessite qui Tone d'une cherte prodigieuTe,
Les cHoses- (cm toüjburs dans te rriöme £tat a Trinquemule', Les- Hollanddis craigriant
cuelque entreprise de la part des Avßois n’onr pas voulu se charger de la-Refense de
€b poste important; ilg-ant prib norre Commandant qui’ est un Biigadter dterrillerie
du plus grand nterke2: de ie garder,. jusqute ce qu’i! teur soic arrivi un corpc d£.
troupes asBs nömbreux pour l'occuper sans risque«
Buirs-des-' Neiive&s de Vienne t du’ 22 Julno-
Un Dtterefsrnpeml du 29/ du mois «ternter 5 dösend avx R; ligieux, €onstitui?bpour
rem planer tes Päiteur« ®tvCurÖ£5 d’&re temoins dang les teßamens mjncüparif«. ~ Ce-
pemtenr lorsqü’un Btelrgifeux aura M dümene tecularise ? par öw bief du Pape 5 il
p'otirra•• &tre admis cößitne temoin valabte5 de rnöme que tont- autr'e P stee teculier'
dans le# teßamens deja raus par derit^sans pouvoir rteanrßoins3 dans- aucun cag, cra-
yailter süi-rriSme Ate «onft^ion d’un teßament.
Qüelques uns de nos warJtends Grecroht re$u 1a nouvelle 3 qu’entre les Moment
grins & les Trtecr, il s’^tait livxb un eombac tr&§ vif» dont oh die que les premiers sons
snsore sbrtss yi&orieux*
Mrs tes deux Deputes Torit astendus ihcesiarrsmerit; une' Partie de leurs:
eftets esl arrive te lyten secte capicale p on!tesra-d^pos^s dans l'hdtel de Trawier 3 que
«es Mesiieuirs ont loite. AtVr.ße il n’ya plus aueun döure que, qüailt ä l’objtt princi-
päi, nötre dissörehd avee la Hollands ne sote cermini 9te la satisteäion eritifere de no-
tre Mbnarqüe ; on sait d’äiileürs que te tont a arrangvj depais qutlque t’ems entre
le Comte de Mercy- & les deux Envoi^J de HoUands ä Paris.
De la Hava, le id 'ßuPii’. Mr le Cordte de fVaßinae»^ Tsvickel est parti le aj'ausoir^
pour sate'.rre, Htitee dans la Pröyince d’&oeryßsl] S’on Esc. en repartira le lendemain
pour se mettre en reiste'pour l^ietihe: LeBhon ds £e^« eß’patti hier’ pour Breda
«Sr. cöhtihüfera atssß; soh vöyage'pour Piimie On croit que te santö de ce derni'er ne
1dl per'mettra’ pas de faire d’aussi1 grandes journöes que,Mr de PPdßtnat/-, ainsi ces deux
D£pütes ne sc jöihdront qu’au terrtie de leur dcßihation2 pour stecquiter ensembte de
rimpör'tanre Comiriisfion'donr ils sons diargis-pr&s- de S'„ M. E & non prete des Mä«
Distres de rEmpereur.
Mr le Comte de est att'endu de retbur ici Lundi ou Mards prochaiüy
Mr le- Marquis de yiras ne pamra; pas pour- Pmr3. aVartt’ le m©iE d’Äoüs»
heures par jour, Cependam leg teures du £tepJdu a rnai, riedisentpas nn nwtsurcet-
te rivolte , quiarrivera r$t ou'tard, & qui iera peat-ötrc terminde par te massacre de
rbu5 tes Elatus 2-trbp-söriüamment ctÄ ComBien'd’entr’eux, en jetsant d’orgiieite
te'ux regardi sür ess insörturtes5 ne Te disenr poim : 7jäne Dävhs b-onia eß ?
Les deux A^roßateurs deFunt» ont re$ules honneurs des obteqties les plus' pom°
p'feüses', faires aux depens de la vilie de Bculegne. L’Ams'rauti a asiiste i' un strVices
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les gomtnunsut^ d^s marebasdS & aräfans ontsusvi cet cxemple. Les rnuteens'don-
venr\ te 27 de ce mois , faire chänter eii'müßqüe une Meße de reqüiem d la mere de
Mr Pilafi're' a: obtenu säns peinc, dss bontes du Roi, la penßbn de deux nülle liya
de seu ibn ßls2 laqueite, ä la' nlörc de cette mere afEHgde 2 sera reverßble sür te töte
de les' deüx stltes. Mr te Comte d'Eftaing s'ötant pretentö,te 19’, ä l’audience de Mon-
tur , a recu de ce Printe la reponse suivante: J'ai' accordt ma preteclion a l’etablissimefif
du Wiße & je' te ter ccriztews. M-'r te Chevalier de Scubiere a saisi träs heureusensgng
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cuelque entreprise de la part des Avßois n’onr pas voulu se charger de la-Refense de
€b poste important; ilg-ant prib norre Commandant qui’ est un Biigadter dterrillerie
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troupes asBs nömbreux pour l'occuper sans risque«
Buirs-des-' Neiive&s de Vienne t du’ 22 Julno-
Un Dtterefsrnpeml du 29/ du mois «ternter 5 dösend avx R; ligieux, €onstitui?bpour
rem planer tes Päiteur« ®tvCurÖ£5 d’&re temoins dang les teßamens mjncüparif«. ~ Ce-
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dans le# teßamens deja raus par derit^sans pouvoir rteanrßoins3 dans- aucun cag, cra-
yailter süi-rriSme Ate «onft^ion d’un teßament.
Qüelques uns de nos warJtends Grecroht re$u 1a nouvelle 3 qu’entre les Moment
grins & les Trtecr, il s’^tait livxb un eombac tr&§ vif» dont oh die que les premiers sons
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Mrs tes deux Deputes Torit astendus ihcesiarrsmerit; une' Partie de leurs:
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«es Mesiieuirs ont loite. AtVr.ße il n’ya plus aueun döure que, qüailt ä l’objtt princi-
päi, nötre dissörehd avee la Hollands ne sote cermini 9te la satisteäion eritifere de no-
tre Mbnarqüe ; on sait d’äiileürs que te tont a arrangvj depais qutlque t’ems entre
le Comte de Mercy- & les deux Envoi^J de HoUands ä Paris.
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1dl per'mettra’ pas de faire d’aussi1 grandes journöes que,Mr de PPdßtnat/-, ainsi ces deux
D£pütes ne sc jöihdront qu’au terrtie de leur dcßihation2 pour stecquiter ensembte de
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Mr le- Marquis de yiras ne pamra; pas pour- Pmr3. aVartt’ le m©iE d’Äoüs»