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GAZETTE DES BEAUX-ARTS.
d’études au Luxembourg et il s’en est servi dans ses tableaux. Il y a
même trouvé, aux heures où la vapeur indécise estompe les formes,
quelques-uns de ces lointains qu’il enveloppe d’une atmosphère
vaguement bleuissante, comme s’il songeait à Breughel de Velours,
souvenir bien légitime chez un peintre qui, jusqu’à ses derniers
moments, a toujours senti ses Flandres lui battre dans le cœur.
PAUL MANTZ.
(La suite prochainement.)
GAZETTE DES BEAUX-ARTS.
d’études au Luxembourg et il s’en est servi dans ses tableaux. Il y a
même trouvé, aux heures où la vapeur indécise estompe les formes,
quelques-uns de ces lointains qu’il enveloppe d’une atmosphère
vaguement bleuissante, comme s’il songeait à Breughel de Velours,
souvenir bien légitime chez un peintre qui, jusqu’à ses derniers
moments, a toujours senti ses Flandres lui battre dans le cœur.
PAUL MANTZ.
(La suite prochainement.)