BURNE-JONES
(l)EUXIÈME et dernier article')
III
'exposition de la New Gallery avait réuni
les œuvres les plus remarquables de
Burne-Jones. Il n’y manquait que la
belle suite, en quatre tableaux, des
Ronces (Briar-rose). Elle coûta au maître
vingt années de travail et de méditation
et fut exposée, pour la première fois,
chez MM. Agnew, pendant l’été de 1890 ;
elle décore aujourd’hui une galerie con-
struite à son intention dans une maison de campagne du Berkshire.
Le peintre avait pris comme sujet un conte familier à notre enfance,
la vieille fable du sommeil centenaire, qui symbolise le repos de
la nature pendant les mois d’hiver et qui appartient à toutes les
I. V. Gazette des Beaux-Arts, 3e pér., t. XXIV, p. 2S.
(l)EUXIÈME et dernier article')
III
'exposition de la New Gallery avait réuni
les œuvres les plus remarquables de
Burne-Jones. Il n’y manquait que la
belle suite, en quatre tableaux, des
Ronces (Briar-rose). Elle coûta au maître
vingt années de travail et de méditation
et fut exposée, pour la première fois,
chez MM. Agnew, pendant l’été de 1890 ;
elle décore aujourd’hui une galerie con-
struite à son intention dans une maison de campagne du Berkshire.
Le peintre avait pris comme sujet un conte familier à notre enfance,
la vieille fable du sommeil centenaire, qui symbolise le repos de
la nature pendant les mois d’hiver et qui appartient à toutes les
I. V. Gazette des Beaux-Arts, 3e pér., t. XXIV, p. 2S.