Gazette des beaux-arts: la doyenne des revues d'art (3. Pér. 35.1906)

J.-J. HENNE R

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(Collection de M. J. Ilenncr.)

cette mère, douce, tendre, sentimentale sans doute, dont lame
servit à former l’àmc sentimentale et rêveuse d’un des plus beaux et
des plus tendres songeurs, cette mère dont le souvenir vivait ardent
en lui jusqu’au dernier jour, comme dans un cœur d’enfant. Sa
mère, ainsi qu’on pense, fut un de ses premiers modèles. 11 en a

fixer sa ressemblance. Aucun des autres n’y fait défaut et jamais,
dans sa carrière de portraitiste, où il ne faut pas croire qu’il n’y
eut que des à peu-près indifférents, il n’a peint visage humain avec
plus de respect, plus d’attention et plus d’amour. Ici c’est sa mère,