LE GftEEOT
un bout de macaroni, il faudrait être bien malin pour
deviner à quelle dislance le fromage lâchera le plat.
Ainsi nous avons :
Le 9 janvier 1873. —Mort de Napoléon III.
Le 14 janvier 1873. — Attentat contre la vie de
l'au- dessus.
Le 21 janvier 1703. — Exécution de Louis XVI.
Le 24 février 1848. — Révolution.
Le 18 mars 1871. — La Commune.
Le 24 mai 1873. — Révolution parlementaire.
Le 20 juin. 1792.—l.ouisXVIcoifTé du bonnetrouge.
Le 14 juillet 1789. — Prise de la Bastille.
Les 27, 28 et 2!) juillet 1830. — Révolution.
Le 10 août 1792. — Prise des Tuileries.
Le 3 septembre 1870. — Bataille de Sedan.
Le 4 septembre 1870. — Proclamation de la Répu-
blique.
Le 22 septembre 1792. — Proclamation de la Ré-
publique.
Le 2 décembre 1831. — Coup d'État, etc., etc.
Eh bien I mais on pourrait utiliser toutes ces dates-
là, sans compter celles que je ne cile pas, pour exiger
qu'on ferme les cafés à neuf heures, pour empêcher
de rire, de chanter, de faire donner un coup de fer à
son chapeau ou de manger autre chose que de la mo-
rue.
Quel réjouissant avenir!... Vous allez souhaiter la
fête à la marraine de votre petit dernier, vous vous
êtes fait friser, vous avez un gilet neuf, des gants et
un bouquet, v'ian :
— Où allez-vous?
— Mais... je vais chez madame Soufflet, pour lui
souhaiter sa fête.
— Vous avez une bien belle loilctle!
— C'est que, je vas vous dire : nous dînons chez
elle avec ma femme, qui est partie devant avec Sos-
thène.
— Comment! vous dînez en ville aujourd'ui!...
impossible, rentrez vous coucher.
— Pourquoi donc?
— Pourquoi? mais c'est qu'aujourd'hui, c'est l'an-
niversaire du jour où Caribert I a attrapé la jaunisse';
c'est une manifestation politique; allons, liiez! et plus
vite que ça.
Ah ! je vous dis ca, vous c mprenez, moi, ça m'est
bien égal; au contraire, je serais même excessivement
heureux, si un beau jour on venait me dira :
Vous désirez aller vous amuser à l'enterrement de
votre belle-mère! impossible, monsieur, ce serait une
manifestation contre la royauté, car il y a aujourd'hui
1062 ans que Charlernagne a avalé la queue d'une
poire tapée., ce qui l'a bien fait souffrir.
Charles LEROY.
ses derniers hoquets entre Rodolphe et une cuvette
pleine de choses sans nom, peuvent à la rigueur
émouvoir quelques bonnes âmes, mais c'est fâcheux...
La Vie de Bohême est une œuvre déplorable et dé-
nuée de sens moral. L'esprit n'est point une excuse.
Caillot (Rodolphe) ne va pas à la cheville de Pierre
Berton; Martin (Durandin) est pitoyable. Porel (Mar-
cel), G. Richard (Sohaunard) et Clerh (Bap'iste) sont
excellenls.
Emilie Broisat est idéale dans l'insipide rôle de
Mimi; Léonide Leblanc interprète avec esprit les bi-
zarreries de Musette ; Defresnes (Mme de Rouvre) a
bien fait de quitter le Vaudeville, où les rôles d'ingé-
nue ne lui séyaient nullement.
Somme toute, M. Ruquesne1, directeur d'un théâtre
subventionné, devrait bien nous donner de nouvelles
pièces : on dit qu'il vient de découvrir dans les car-
tons de l'Odéon une tragédie bourgeoise de Balzac :
l'École des Ménages... Si Balzac avait dû compter là-
dessus pour se faire un nom!...
IScnaissance. — Hoslein, après avoir
tâtonné, tâtonné, tâtonné...
a fini par adopter définitivement le genre Bouffes-Pa-
risiens.
Ce n'est pas moi qui l'en blâmerai; j'ai ri de trop
bon cœur, l'autre jour, à la première de Pomme d'Api,
d'Halévy et Busnach, musique d'Offenbach. Cette co-
médie musicale est pleine d'esprit, de fraîcheur et
d'humour :
•le vous recommande le refrain :
J' vous donnerai toute' qu'un' fille honnête
Peut donner pour trent' francs par mois...
chanté par la toute mignonne Théo (une Judic nais-
sante) .
La Permission de dix heures, musique nouvelle
d'Offenbach, est un vieux vaudeville du Palais-Royal.
C'est gai et sans prétention.
Dartaux, une ancienne danseuse de l'Opéra-Comi-
que, s'est fait applaudir à outrance dans l'air : « On
vous aime aussi. » Celte canlatrice est appelée à ren-
trer à POpéra-Comique... mais pas pour y danser.
Monsieur Choufleury complète ce ravissant specta-
cle. Daubrày, une bonne ganache, tenait le rôle créé
par Désiré. (Il vient de mourir le pauvre joyeux gar-
çon I) Habey qui, jadis, doubla Dupuy aux Variétés,
est un tenorino agréable. Perey (Ernestine) a de la
voix, mais elle ne sait pas s'en servir.
Dans Apothicaire et perruquier, lever de rideau
fastidieux s'il en fut — mais qu'on n'est pas forcé de
voir — Jean-Paul tt Grivot font ce qu'ils peuvent.
Quant à Castello (Sempronia) elle a la voix encore plus
fausse qu'une pièce de 20 francs en aluminium.
DE THÉÂTRE EN THÉÂTRE
Oiléon. — Deux reprises : le Vertige, charmante
comédie rimée de Porto-Riche, et la Vie de Bohême,
balançoire d'Henri Murger et Théodore barrière.
Je suis loin, je dois l'avouer, d'avoir pour cette
pièce un grand enthousiasme. Les bohèmes Rololphe.
Marcel, Schaunard et Coline me laissent absolument
froid Les pièces de vers de ces quatre fainéants, dont
l'un se ferait volontiers entretenir par une drôlesse,
ne prouvent absolument rien. L'amour malheureux
et l'agonie d'une jeune fille poitrinaire, partageant
Palais-ISoyal. — Désopilante reprise du Hus-
sard persécuté, paroles et musique du maestro Hervé.
Cette extravagance a bien un peu vieilli, mais sa mu-
sique est si gaie, si entraînante, qu'on pardonne vo-
lontiers au musicien les attaques d'épilepsie du libret-
tiste. La trompe d'Hyacinthe, la crécelle de Gil-Perez,
la bosse de l.assouchc, le caillou de Montbars et les
airs effarés d'Alphonsine, dérideraient un employé des
pompes funèbres!
Si je voulais me, servir d'un cliché traditionnel, je
dirais : Paul Ferrier apn's sa revanche de la Steur de
Cacolet. Lan Incendies de Massoulard, partie carrée à
cinq personnages, nous prouvent une fois de plus que les
artistes du Palais-Royal savent brûler les planches.....
Cluny.— Notre ami Georges Petit vient de rem-
porter un très-honorable succès.—Pelit auteur de-
viendra grand. Georges Petit est un observateur dou-
blé d'un homme d'esprit. Sa comédie demi-mondaine
e?t gentiment interprétée par Faré (Moulinier), et
Fherval (Caroline de Malvoisy). Nous condamnons
cette charmante actrice aux bravos forcés à perpé-
tuité.
Le Roman d'un père, de Léopold Stapleaux, est une
pièce vieillotte quant au fond, neuve quant à la
forme. C'est l'éternelle histoire d'un lils amoureux
avant la lettre de la seconde femme de Monsieur son
papa. L'interprétation est irréprochable.
Menus-Plaisirs. — Agence matrimoniale, de
Desbeaux, mériterait les honneurs du Palais-Royal;
mais...
Que dire de Y Eléphant blanc ? Que Chabrillat et
Frebanlt ont menti à leur réputation d'hommes d'es-
prit, que la musique du ténor-organisle-composileur
Grisy est. pleine de brio, que Mme MatzFerrare est
est adorable, que Tissier a au premier acte des effets
de maillot un peu trop... sexuels; que Dubouchet est
une bonne ganache, et enfin que Mesklin, le nou-
veau directeur, admirablement secondé par Masty,
son bras droit, n'ont rien épargné pour rendre au
théâtre des Menus-Plaisirs son ancienne splendeur;
si ['Eléphant les a trompés c'est qu'ils l'ont malheu-
reusement regardé par le petit bout de leurs lor-
gnettes,
Folies-Kergère.— Brillantissime réouverture.
Toujours on rit à se tordre chez M. Sari. Comme nou-
veauté, nous signalerons les débuts du contorsion-
niste anglais, Sixtillian. — L'orchestre de Métra ré-
pand toujours ses torrents d'harmonie... Et nous en
avons si grand besoin par ces temps de zizanie!
GEORGE PETILLEAU.
GRELOTS
— Savez-vous où se trouve la rue des Moulins?
— Probablement près de la rue des Tourne-ailes.
+
— Papa, qu'est-ce que c'est donc qu'un potage à la
Soubise f
— Mon ami, c'est de la soupe aux pièces deux sous.
+
Laure n'est pas une chimère, c'est une harpie.
— Mon cher, j'ai une peur horrible d'attraper le
choléra.
— C'est-à-dire que lu as peur qu'il t'attrape.
+
Les gens qui ont le plus de cheveux dans leur
existence, ce sont les perruquiers.
+
Il ya à Boulogne unviolonniste qui s'appelleAmédée
Lannois; quand il mourra, on mettra :
c1-g1t
A. LANNOIS
Pardon! c'est le mauvais temps.
+
— Si ton mari te trompait, qu'est-ce que tu lui
ferais ?
— Je lui ferais... un héritier avec mon cousin.
TRIBOULET
ODÉON. — La Vie de Bohême.
ATHÉNÉE. — Le Barbi-r de Séville. — Le Désers
teur.
(jYIMNASE. — La Joie de la maison.
CHATELET. — La Tour de Londres.
VAUDEVILLE. — Les Pattes de mouche.
VARIÉTÉS. — Toto chez Tata.— Le Commandant
Frochard.
PALAIS-ROYAL. — Le Baptême du petit Oscar. 1
RENAISSANCE. — Pomme d'api. — Permission
de dix heures.
BOUFFES-PARISIENS. - La Timbale d'argent.
GA1TÉ — Le Gascon.
FOI.IES-DRAM. — La Fille de madame Aneot.
CLÏJNV. - Le Roman.
MENUS-PLAISIRS. — L'Eléphant blanc.
AMBIGU — L'Article 47.
CHAT EAU-D'EAU. — U Patte à Coco.
FOLIES-MARIGNY. - Madame Angot et ses demoi-
selles.
TOUR-D'AUVERGNE. — Madame Ajax.
SALLE SAINT-LAURENT. — Las Domestiques.
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à 8 heures représenta lion s équestres.
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Bals tous les soirs.
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Martin (saison d'hiver). — Samedi, première repré-
sentation les Picks-Pockets, pantomime à grand spec-
tacle. — Ballets, exercices acrobatiques, romances,
chansonnettes, spectacle varié. — Entrée libre.
Vient de paraître la 12e série des Mystères de l'Em-
pire, dévoilés par un espion politique et militaire.
Cet ouvrage, qui comprendra 20 séries à 50 c, est
en vente chez tous les libraires de Paris et des dépar-
tements.
La librairie André Sagnieh, 9, rue Vivienne, vient
de mettre en vente la 2e série de VHistoire populaire
de la Terreur blanche, par A. de Rolland. Cet ou-
vrage sera publié en 10 séries nu moins, de 64 pages
in-8". au prix de 50 centimes la série. Il paraîtra une
série toutes les semaines. Prix de la souscription à
l'ouvrage complet : 5 francs.
En vente partout :
VAlmanach des Pochards, pour 1874, par un ré-
dacteur du Tam-Tam. Prix : 30 centimes.
A l'occasion delà fête de Saint-Cloud, 3e Grand Bal,
chez Markowski, dans le Parc. L'immense tente
n'ayant pu contenir, dimanche dernier, la foule qui
s'y pressait, Markowski, par une habile c nnbinaison,
a procédé à des agrandissements et donnera dimanche
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un bout de macaroni, il faudrait être bien malin pour
deviner à quelle dislance le fromage lâchera le plat.
Ainsi nous avons :
Le 9 janvier 1873. —Mort de Napoléon III.
Le 14 janvier 1873. — Attentat contre la vie de
l'au- dessus.
Le 21 janvier 1703. — Exécution de Louis XVI.
Le 24 février 1848. — Révolution.
Le 18 mars 1871. — La Commune.
Le 24 mai 1873. — Révolution parlementaire.
Le 20 juin. 1792.—l.ouisXVIcoifTé du bonnetrouge.
Le 14 juillet 1789. — Prise de la Bastille.
Les 27, 28 et 2!) juillet 1830. — Révolution.
Le 10 août 1792. — Prise des Tuileries.
Le 3 septembre 1870. — Bataille de Sedan.
Le 4 septembre 1870. — Proclamation de la Répu-
blique.
Le 22 septembre 1792. — Proclamation de la Ré-
publique.
Le 2 décembre 1831. — Coup d'État, etc., etc.
Eh bien I mais on pourrait utiliser toutes ces dates-
là, sans compter celles que je ne cile pas, pour exiger
qu'on ferme les cafés à neuf heures, pour empêcher
de rire, de chanter, de faire donner un coup de fer à
son chapeau ou de manger autre chose que de la mo-
rue.
Quel réjouissant avenir!... Vous allez souhaiter la
fête à la marraine de votre petit dernier, vous vous
êtes fait friser, vous avez un gilet neuf, des gants et
un bouquet, v'ian :
— Où allez-vous?
— Mais... je vais chez madame Soufflet, pour lui
souhaiter sa fête.
— Vous avez une bien belle loilctle!
— C'est que, je vas vous dire : nous dînons chez
elle avec ma femme, qui est partie devant avec Sos-
thène.
— Comment! vous dînez en ville aujourd'ui!...
impossible, rentrez vous coucher.
— Pourquoi donc?
— Pourquoi? mais c'est qu'aujourd'hui, c'est l'an-
niversaire du jour où Caribert I a attrapé la jaunisse';
c'est une manifestation politique; allons, liiez! et plus
vite que ça.
Ah ! je vous dis ca, vous c mprenez, moi, ça m'est
bien égal; au contraire, je serais même excessivement
heureux, si un beau jour on venait me dira :
Vous désirez aller vous amuser à l'enterrement de
votre belle-mère! impossible, monsieur, ce serait une
manifestation contre la royauté, car il y a aujourd'hui
1062 ans que Charlernagne a avalé la queue d'une
poire tapée., ce qui l'a bien fait souffrir.
Charles LEROY.
ses derniers hoquets entre Rodolphe et une cuvette
pleine de choses sans nom, peuvent à la rigueur
émouvoir quelques bonnes âmes, mais c'est fâcheux...
La Vie de Bohême est une œuvre déplorable et dé-
nuée de sens moral. L'esprit n'est point une excuse.
Caillot (Rodolphe) ne va pas à la cheville de Pierre
Berton; Martin (Durandin) est pitoyable. Porel (Mar-
cel), G. Richard (Sohaunard) et Clerh (Bap'iste) sont
excellenls.
Emilie Broisat est idéale dans l'insipide rôle de
Mimi; Léonide Leblanc interprète avec esprit les bi-
zarreries de Musette ; Defresnes (Mme de Rouvre) a
bien fait de quitter le Vaudeville, où les rôles d'ingé-
nue ne lui séyaient nullement.
Somme toute, M. Ruquesne1, directeur d'un théâtre
subventionné, devrait bien nous donner de nouvelles
pièces : on dit qu'il vient de découvrir dans les car-
tons de l'Odéon une tragédie bourgeoise de Balzac :
l'École des Ménages... Si Balzac avait dû compter là-
dessus pour se faire un nom!...
IScnaissance. — Hoslein, après avoir
tâtonné, tâtonné, tâtonné...
a fini par adopter définitivement le genre Bouffes-Pa-
risiens.
Ce n'est pas moi qui l'en blâmerai; j'ai ri de trop
bon cœur, l'autre jour, à la première de Pomme d'Api,
d'Halévy et Busnach, musique d'Offenbach. Cette co-
médie musicale est pleine d'esprit, de fraîcheur et
d'humour :
•le vous recommande le refrain :
J' vous donnerai toute' qu'un' fille honnête
Peut donner pour trent' francs par mois...
chanté par la toute mignonne Théo (une Judic nais-
sante) .
La Permission de dix heures, musique nouvelle
d'Offenbach, est un vieux vaudeville du Palais-Royal.
C'est gai et sans prétention.
Dartaux, une ancienne danseuse de l'Opéra-Comi-
que, s'est fait applaudir à outrance dans l'air : « On
vous aime aussi. » Celte canlatrice est appelée à ren-
trer à POpéra-Comique... mais pas pour y danser.
Monsieur Choufleury complète ce ravissant specta-
cle. Daubrày, une bonne ganache, tenait le rôle créé
par Désiré. (Il vient de mourir le pauvre joyeux gar-
çon I) Habey qui, jadis, doubla Dupuy aux Variétés,
est un tenorino agréable. Perey (Ernestine) a de la
voix, mais elle ne sait pas s'en servir.
Dans Apothicaire et perruquier, lever de rideau
fastidieux s'il en fut — mais qu'on n'est pas forcé de
voir — Jean-Paul tt Grivot font ce qu'ils peuvent.
Quant à Castello (Sempronia) elle a la voix encore plus
fausse qu'une pièce de 20 francs en aluminium.
DE THÉÂTRE EN THÉÂTRE
Oiléon. — Deux reprises : le Vertige, charmante
comédie rimée de Porto-Riche, et la Vie de Bohême,
balançoire d'Henri Murger et Théodore barrière.
Je suis loin, je dois l'avouer, d'avoir pour cette
pièce un grand enthousiasme. Les bohèmes Rololphe.
Marcel, Schaunard et Coline me laissent absolument
froid Les pièces de vers de ces quatre fainéants, dont
l'un se ferait volontiers entretenir par une drôlesse,
ne prouvent absolument rien. L'amour malheureux
et l'agonie d'une jeune fille poitrinaire, partageant
Palais-ISoyal. — Désopilante reprise du Hus-
sard persécuté, paroles et musique du maestro Hervé.
Cette extravagance a bien un peu vieilli, mais sa mu-
sique est si gaie, si entraînante, qu'on pardonne vo-
lontiers au musicien les attaques d'épilepsie du libret-
tiste. La trompe d'Hyacinthe, la crécelle de Gil-Perez,
la bosse de l.assouchc, le caillou de Montbars et les
airs effarés d'Alphonsine, dérideraient un employé des
pompes funèbres!
Si je voulais me, servir d'un cliché traditionnel, je
dirais : Paul Ferrier apn's sa revanche de la Steur de
Cacolet. Lan Incendies de Massoulard, partie carrée à
cinq personnages, nous prouvent une fois de plus que les
artistes du Palais-Royal savent brûler les planches.....
Cluny.— Notre ami Georges Petit vient de rem-
porter un très-honorable succès.—Pelit auteur de-
viendra grand. Georges Petit est un observateur dou-
blé d'un homme d'esprit. Sa comédie demi-mondaine
e?t gentiment interprétée par Faré (Moulinier), et
Fherval (Caroline de Malvoisy). Nous condamnons
cette charmante actrice aux bravos forcés à perpé-
tuité.
Le Roman d'un père, de Léopold Stapleaux, est une
pièce vieillotte quant au fond, neuve quant à la
forme. C'est l'éternelle histoire d'un lils amoureux
avant la lettre de la seconde femme de Monsieur son
papa. L'interprétation est irréprochable.
Menus-Plaisirs. — Agence matrimoniale, de
Desbeaux, mériterait les honneurs du Palais-Royal;
mais...
Que dire de Y Eléphant blanc ? Que Chabrillat et
Frebanlt ont menti à leur réputation d'hommes d'es-
prit, que la musique du ténor-organisle-composileur
Grisy est. pleine de brio, que Mme MatzFerrare est
est adorable, que Tissier a au premier acte des effets
de maillot un peu trop... sexuels; que Dubouchet est
une bonne ganache, et enfin que Mesklin, le nou-
veau directeur, admirablement secondé par Masty,
son bras droit, n'ont rien épargné pour rendre au
théâtre des Menus-Plaisirs son ancienne splendeur;
si ['Eléphant les a trompés c'est qu'ils l'ont malheu-
reusement regardé par le petit bout de leurs lor-
gnettes,
Folies-Kergère.— Brillantissime réouverture.
Toujours on rit à se tordre chez M. Sari. Comme nou-
veauté, nous signalerons les débuts du contorsion-
niste anglais, Sixtillian. — L'orchestre de Métra ré-
pand toujours ses torrents d'harmonie... Et nous en
avons si grand besoin par ces temps de zizanie!
GEORGE PETILLEAU.
GRELOTS
— Savez-vous où se trouve la rue des Moulins?
— Probablement près de la rue des Tourne-ailes.
+
— Papa, qu'est-ce que c'est donc qu'un potage à la
Soubise f
— Mon ami, c'est de la soupe aux pièces deux sous.
+
Laure n'est pas une chimère, c'est une harpie.
— Mon cher, j'ai une peur horrible d'attraper le
choléra.
— C'est-à-dire que lu as peur qu'il t'attrape.
+
Les gens qui ont le plus de cheveux dans leur
existence, ce sont les perruquiers.
+
Il ya à Boulogne unviolonniste qui s'appelleAmédée
Lannois; quand il mourra, on mettra :
c1-g1t
A. LANNOIS
Pardon! c'est le mauvais temps.
+
— Si ton mari te trompait, qu'est-ce que tu lui
ferais ?
— Je lui ferais... un héritier avec mon cousin.
TRIBOULET
ODÉON. — La Vie de Bohême.
ATHÉNÉE. — Le Barbi-r de Séville. — Le Désers
teur.
(jYIMNASE. — La Joie de la maison.
CHATELET. — La Tour de Londres.
VAUDEVILLE. — Les Pattes de mouche.
VARIÉTÉS. — Toto chez Tata.— Le Commandant
Frochard.
PALAIS-ROYAL. — Le Baptême du petit Oscar. 1
RENAISSANCE. — Pomme d'api. — Permission
de dix heures.
BOUFFES-PARISIENS. - La Timbale d'argent.
GA1TÉ — Le Gascon.
FOI.IES-DRAM. — La Fille de madame Aneot.
CLÏJNV. - Le Roman.
MENUS-PLAISIRS. — L'Eléphant blanc.
AMBIGU — L'Article 47.
CHAT EAU-D'EAU. — U Patte à Coco.
FOLIES-MARIGNY. - Madame Angot et ses demoi-
selles.
TOUR-D'AUVERGNE. — Madame Ajax.
SALLE SAINT-LAURENT. — Las Domestiques.
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chansonnettes, spectacle varié. — Entrée libre.
Vient de paraître la 12e série des Mystères de l'Em-
pire, dévoilés par un espion politique et militaire.
Cet ouvrage, qui comprendra 20 séries à 50 c, est
en vente chez tous les libraires de Paris et des dépar-
tements.
La librairie André Sagnieh, 9, rue Vivienne, vient
de mettre en vente la 2e série de VHistoire populaire
de la Terreur blanche, par A. de Rolland. Cet ou-
vrage sera publié en 10 séries nu moins, de 64 pages
in-8". au prix de 50 centimes la série. Il paraîtra une
série toutes les semaines. Prix de la souscription à
l'ouvrage complet : 5 francs.
En vente partout :
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dacteur du Tam-Tam. Prix : 30 centimes.
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n'ayant pu contenir, dimanche dernier, la foule qui
s'y pressait, Markowski, par une habile c nnbinaison,
a procédé à des agrandissements et donnera dimanche
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