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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 4.1874

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https://doi.org/10.11588/diglit.6813#0086
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LR ORF LOT

A PROPOS

DE LA

RENTRE DE NOS HONORABLES

Au moment où ces lignes paraîtront, le
théâtre de Versailles préparera sa réouver-
ture.

L'aimable Bazeépousseterales stalles, mou-
chera les lampes, disposera les crachoirs,net-
toiera les verres d'eau sucrée et fera, en un
mot, tout ce qui concerne son état.

Le Grelot ne pouvait manquer uue si belle
occasion d'être indiscret. Nous avons donc
dû, à ""orce d'or (toujours I), nous procurer
un double des projets de loi sur lesquels nos
législateurs vont pâlir.

Je ne crains pas de dire que jamais la fan-
taisie ne s'est élevée plus haut.

Quant au patriotisme, il inonde ces arti-
cles empreints du plus pur amour de ia
France.

Qu'on en juge 1

A tout seigneur tout honneur.
Voici donc, primo, un échantillon des di-
vers projets de lois constitutionnelles.

PROJET DU GOUVERNEMENT.

Art. i. — Le septennat est absolument
maintenu et confirmé dans la personne du
maréchal de Mac-Mahon , lequel conserve le
titre de président de la RÉPUBLIQUE.

(Ça embêtera beaucoup de gens, mais nous
nous en fichons complètement.)

Art. 2. — Le premier qui s'avisera d'y tou-
cher sera mis immédiatement dedans ou de-
hors, si le cas est grave.

(Le gouvernement entend par dehors les riva-
ges bénis de la Nouvelle-Calédonie.)

(Et ça ne sera pas trop tôt, sapristi/)
(Note de la rédaction.)

PROJET DE L'EXTRÊME DROITE.

Art. 1.—La monarchie absolue est réta-
blie.

Art. 2. — Sont rétablis en môme temps les
privilèges, droits seigneuriaux, dîmes, pré-
bendes, etc., etc.

Art. 3. — Est également rétablie la très-
sainte Inquisition.

(On ne saurait croire combien les bûchers de
ladite Inquisition seront utiles à la classe ipauvre
pendant les hivers rigoureux, attendu qu'on
pourra venir s'y chauffer sans payer la moindre
rétribution.)

(Note du bon et joyeux Loryeril.)

Art. 4. — Vive Henri V !

PROJET DE LA DROITE.

Aut. \.—La monarchie est l'établie, cela
va sans dire, mais... mais l'Inquisition est un
peu roide.

Art. 2. — Cependant, s'il n'y a pas d'autre
moyen de s'entendre !...
Art. 3. — Pourtant...
Art. 4. — Bah !...
Ait. S. — Çà y est. Vive Henri V! !

PROJET DU CENTRE DROIT.

Mêmes articles que le précédent. Plus cette
petite adjonction : Nous voterons ce projet
pourvu qu'on nous garantisse au moins trois
portefeuilles dans le prochain ministère, ou
une loge à l'année au Théâtre Miniature.

PROJET DE LA GAUCHE RÉPUBLICAINE.

Art. 1. —La monarchie est à jamais abolie
en Fiance.

Art. 2. — La républiqus est le gouverne-
ment de fait.

Art. 3. — Seront traités comme des con-
spirateurs vulgaires, tous ceux qui essaieront
par leurs paroles, leurs écrits ou leurs actions,
de porter atteinte au gouvernement établi.

PROJET DU CENTRE GAUCHE.

Mêmes articles que le précédent. Plus cette
petite adjonction : Nous voterons ce projet
pourvu qu'on nous garantisse au moins trois
portefeuilles dans le prochain ministère, ou
nos entrées à vie à Mabille.

(Si on vous disait après cela que la conjonction
des centres n'est pas faite !)

PROJET DES BONAPARTISTES.

Art. \. —L'empire est rétabli à tout ja-
mais. (Mettons trois mois et n'en parlons plus.)

N. D. L. R.

Art. 2. — Les républicains et les monar-
chistes seront immédiatement fusillés ou dé-
portés, à leur choix.

(Nous avons ainsi la conviction de satisfaire
et tes gens que le replie glorieux de Aapoléon III
a dégoûtés de la vie et Us amateurs de voyage.)

Art. 3. — Il va sans dire que tous les por
lefeuides du nouveau ministère nous appar-
tiendront, moyen efficace d'évtter des discus-

sions toujours préjudiciables au bien d e
l'Etat.
Ouf!

Et voilà les remèdes dont nos honorables
vont avoir à apprécier l'efti :acité !

Voyons, je vous le demande, ô m-.s lec-
teurs, jamais nation offrit-elle un plus bel
exemple de patriotisme à l'admiration de la
postérité?

Est-ce assez de dévouement et d'abnéga-
tion?

Des gens vulgaires, de simples citoyens se
seraient dit: Mais puisque notre malheureux
pays a perdu son sang par mille blessures et
qu'il se repose un peu dans une forme de
gouvernement qui a cet avantage, immense de
sauvegarder le présent sans engager l'avenir,
si nous le laissions un peu tranquille?

Si nous ne retournions pas sans cesse le fer
dans la plaie?

Si nous taisions pour sept ans abnégation
de nos haines et de nos ambitions person-
nelles?

Ah! bien oui !

Allez demander celaà des hommes de parti,
à d»s fous furieux qui n'ont d'autre objectif
que de nous faire prendre leur ours, fû.-il
tondu, pelé et galeux.

Les discours enragés vont recommencer de
plus belle.

On va de nouveau s'envoyer à travers la fi-
gure les injures les plus brutales, les épithètes
les plus grossières.

On va se montrer le poing, crier, hurler, et
tout cela devant l'Europe lassée et l'A llemagne
attentive.

Ah! tenez, nous sommes décidément un
peuple de polichinelles, et il est honteux de
voir que les leçons les plus dures nous pro-
fitent si peu.

Ce n'est pas faute au moins que la presse
raisonnable, grande et petite, ne leur crie, à
ces insensés : Casse-cou ! casse-cou !

Ils sont plus sourds encore que méchants.

Ce qui n'empêche qu'il va y avoir encore ;\
la prochaine session bien des pots cassés,
grand Dieu!

Et qui est-ce qui les payera?

Nousl nous! et toujours nous!

NICOLAS FLAMMÈCHE.

L'ÉTAT DANS L'ÉTAT

N'est-ce pas une chose admirable que la
façon dont nous vivons aujourd'hui ?

Et Cyrano de Bergerac vit-il jamais, dans
son voyage dans ia lune, facéties plus singu-
lières 1

Le philosophe, qui observe toutes les turlu-
pinades dont le temps présent est émaillé, ne
peut s'empêcher de faire retentir de ses éclats
de rire les parois de son fromage de Hol-
lande.

Celui qui veut s'amuser à notre époque ne
manque pas d'occasions;

Et le Hantagrwl, le Moyen de parvenir et les
Joyeux devis sont des écrits graves et pédan-
tesques à côté de nos journaux politiques.

Ainsi, par exemple, on en voit, — il est
vrai que ce sont des républicains, — qui trou-
vent tout mauvais, se plaignent que le gou-
vernement est trop sévère pour la presse, et
disent que, si cela continue, on sera bientôt
obligé d'adresser une demande d'autorisation
au ministère de l'intérieur pour écrire que
deux et deux font quatre, et qu'il faudra dé-
poser un cautionnement pour publier le bul-
letin météorologique de l'Observatoire.

Or, je vous le demande, ces républicains
ne font-ils point voir par là qu'ils sont animés
d'intentions coupables, impies et véritable-
ment hérétiques ;

Car en quel temps la presse fût-elle plus
libre ?

Est-ce que sous l'empire, l'Union aurait pu
affirmer que le gouvernement, dont Clément
Duvernois était un des plus beaux ornements,
n'était qu'un pis-aller et la préface d'une res-
tauration ?

Est-ce que sous Louis-Philippe la Gazette de
France aurait pu déclarer qu'il n'y avait qu'un
moyen de sortir du gâchis, et que c'était de
renvoyer en Angleterre le fils d'Égalité le ré-
gicide et de rendre au monarque légitime,
Chambord, les quatre-vingts et quelques dé-
partements qui l'entourent?

Est-ce que sous les Bourbons, un journal
bonapartiste aurait pu gommer les populations
de rappeler l'ogre de Corse, ou sa descen-
dance, sous peine d'attirer sur elles les malé-
dictions du ciel?

Il est pnobable que s'ils s'étaient livrés à des
cabrioles de ce genre, lesdits journaux au-
raient vu arriver quelque matin dans leurs
bureaux une nuée d'agents de police, qui
auraient posé proprement des scellés sur tous
les papiers qui s'y seraient trouvés, et qui au-
raient conduit les rédacteurs au pas gymnas-
tique à la Conciergerie ou dans une oasis
analogue.

A présent il n'est plus question de ces ri-
gueu 's despotiques.
On peut tout dire,
Tout faire,
Tout écrire

Et il n'y a à cela qu'une petite condition :

C'est de n'être pas républicain.

Chose assez facile, quand on a sa fortune à
faire, ses fils à placer, ses filles à marier, sa
boutonnière à pavoiser, ou quelque autre
tâche aussi patriotique à accomplir.

Au-si voyez :

A part ces journaux démocratiques qu'on
musèlede peur qu'ils ne deviennent enragés,
et qu'on tue pour qu'on dit qu'ils le sont
devenus.

A part ces feuilles, tout le monde est libre.

Il y a un gouvernement établi.

Chacun peut l'attaquer, pousser à son ren-
versement, -— provoquer à la résistance
contre lui, _ Exalter les complots formés
contre son existence, comme des œuvres pies
et dignes d'indulgences dans ce monde et
dans l'autre.

Et cela, non point en chambre, à huis clos,
dans les parlottes et les cénacles, — mais en
publie, en.plein soleil, et sans masque!

Voyez le congrès de la Presse fegiSmiste !

En quel temps un gouvernement eût-il
permis quelque chose de pareil?

Voilà des gens qui se rassemblent sous le
nez d'un pouvoir constitué, et qui proclament
hautement :

Qu'il serait excellent qu'on le jetât à la
porte,

A moins cependant qu'on ne pût le jeter
par les fenêtres,

Et qui protestent qu'ils feront tous leurs
efforts pour lui mettre, non des bâtons, mais
des fagots, dans les roues.

Le gouvernement, lui, que fait-il dans cette
affaire?

Punit-il?

Fait-il arrêter ces fanfarons?
Poursuit-il,

Ou seulement les réprimande-t-il?
Pas du tout I

11 laisse faire, se croise les bras et ne souffle
mot.

Qui est-ce qui disait que la Presse n'était
pas libre?..

Elle l'est bien plus encore qu'en Angleterre !

Si un journal anglais s'avisait de dire que la
reine Victoria n'est bonne qu'à envoyer aux
Invalides, et qu'il faut offrir sa liste civile a
quelqu'un des bâiards obscurs des Stuarts,
j'ai idée que les rédacteurs ne seraient pus
longtemps sans passer devant les tribunaux
pour avoir à y répondre à une aeoasation de
haute trahison !

R.

LETTRES

DE

Quelques personnes de qualité

A UN HOMME DE RIEN

sur les hommes et les choses de ce temps

IV

N'est-ce pas chose curieuse, en vérité, que
cette quantité de peintres qu'a vus naître no-
tre époque? C'est, avec les pièces de M. Du-
mas fils et la délicieuse Revalescière Du Barry,
une des plaies de notre temps. On se fait pein-
tre aujourd'hui comme jadis on se faisait mar-
chand de draps, usurier ou apothicaire,— et.
ce qu'il y a de plus drôle, c'est que beaucoup
vivent à ce métier. On se lance da s leo beaux-
arts,on y pousse les siens,absolument comme
dans les sels ou les tabacs, — et un jeune
homme bien élevé, poli, aimable avec les da-
mes ei sachant se tenir tinit ordinairement
par arriver. D'ar t et de génie pas n'est besoin.
La bonne conduite et les bonnes manières
suffisent pour faire sou chemin, — et n'est-ce
pas cela, presque uniquement, que l'on re-
cherche?... Ah ! je lisais, il y a quelque temps,
dans le seul livre qui ait parlé avec un peu de
sens de la peinture et des artistes : « Il faut
déeourager trois mille peintres par an ; san-
cela, dans dix ans, il y aura trente mille pein-
tres et il n'y aura plus de peinture. »> Et il
m'ai riva de tomber dans une méditation pro-
fonde... Oui, c'*st bien cela, c'est parce qu'on
n'a pas découragé assez depuis une quaran-
taine d'années que nous avons vu pulluler, pis
que sauterelles, cette nuée de peinlres qui
envahit tout, qui couvre tous les pans de mur
de compositions haïssables, qui bourre d'œu-
vivs innommables les caves et les greniers des
musées de l'Etat et des amateurs bourgeois,
et qui rappelle ce mol faroueh 1 et ma1 heu-
reusement trop vrai : t Heureusement qu'il y
a de temps en temps des cataclysmes et des
incendies pour détruire les bibliothèques, au-

trement le monde ne serait'bientôt plus qu'un
am is de vieux papiers. » Tenez , voyez ce sa-
lon de cette année!... c'est une grêle, c'est un
déluge!.„,-. Des toiles par centaines, par mil-
liers, — et pas une œuvre. C'est nMre faute !
nous avons été trop polis pour ces rapins, et,
comme dit Argan dans le Malade imaginaire,
cen'e.t pas tout d'être civil. » Montaigne dé-
montre quelque part que rien ne nous a plus
nui que ces salutations et ces afféteries que
nous prodiguons à tout le monde et à tout
propos, —et nous aurions dû un peu plus ré-
fléchir sur ces paroies de Voltaire : « Nos
grands-pères terminaient leurs lettres eu se
disant les serviteurs les uns des autres; nos
pères ont ajouté à la formule le très-humble
et très-obéissant, et nous, nous avons l'hon-
neur de l'être. « Il n'y a pas de raison pour
que cela s'arrête,— et nous finirons bien par
perdre à ce jeu toute fianchise et toute di-
gnité. Il faudrait pourtant changer tout cela.
Si, à l'époque du romantisme, la critique s'é-
tait montrée plus sévère et n'avait point
donné de l'encens par le nez à tous ceux qui
lui en demandaient, nous ne v rrions point à
présent, les peintres rois de l'époque, cir ils
le sont. Leurs rangs grossissent à vu d'œil ; ils
fondent sur nous, plus narquois et plus impé-
rieux qu'un bataillon de créanciers, — et no-
tre bmtget social se trouve grevé de la nourri-
ture et de l'entretien d'un nombre énorme
d'épais gaillards qui eussent peut-être été
d'excellents laboureurs ou d'estimables bot-
tiers, si le gouvernement leur eût dit énergi-
quement la première fois qu'ils ont touché au
pinceau : Vous voulez faire de la peinture,
soit !... Mais, si votre premier tableau n'est pas
i.n chef-d'œuvre, vous serez pendu !... Au
moins, comme < ela, nous n'aurions de pein-
tres que ceux qui se seraient senti le feu sa-
cré, tandi- que maintenant les Barbouilleurs
sont nos matin s, et qu'il u'y a plus rien à faire
pour s'en garantir, que se crever les yeux!
Voilà ce que nous a valu l'indulgence !...
Ajoutez à cela que la mansuétude de la criti>
que a pour effet immédiat de faire baisser le
gnût public. Prenez les noms populaires,—
queiques-uns au hasard, — et vous verrez.

Tenez, en voici un qui fait les délies de la
foule, Charles Muller. Nommer l'auteur de
l'Appel des condamnés, c'est faire vibrer une des
très-rares sympathies artistiques des masses.
Il a plus que n'importe quel peinlre le don de
les séduire. Il doit ce privilège à une certaine
adresse de dessin et à une parfaite entente de
la mise en scène. Ses tableaux, qui valent à
peu près ceux de Greuze pour la couleur, ont
tous l'air d'un cinquième acte à la Porte-
Samt-Maitin; ce sont des décors qui n'ont rien
de commun avec le grand art de Delacroix,
dont M. Muller fut longtemps préoccupe.
Comme dans la plus grande partie du théâtre

dramatique moderne, tout y est faux, ou du
moins tout y est de convention; on y sent des
prétentions aux tableaux vivants , et rien n'y
vit, hélas ! Douloureuse impuissance qui a fait
de M. Muller le plus grand gâcheur de sujets
du siècle. Ses toiles se sont toujours vendues
admirablement, et pourtant il n'est jamais par-
venu à faire envie a un seul artiste sérieux. Le
populaire l'exalte, il est vrai, et l'adore; —
mais les peintres, qu'il fait rire, ne l'aiment
que pom la taçon prétentieusement et comi-
quement banale dont il groupe ses personna-
ges, — un peu comme Sprigani aimait M. de
Pourceaugnac pour la grâce avec laquelle il
mang ait son pain.

Et cette autre, Mlle Rosa Bonheur! Comme
jadis Paul Delarocbe et Ary Schefer, comme
aujourd'hui Dubufe et Marchai, elle a l'inex-
piable tort de plaire aux bourgeois. Aussi peu
coloriste que possible, elle s'obstina a pro-
duire des paysages qui

Arborent des tons crus de pains à caclieter,

sans poésie et sans air, sans harmonie et sans
grandeur. Elle était consciencieuse, pourtant;
elle a toujours mis un soin méticuleux à co-
pier ces chevaux, ces moutons, ces vaches
dont nous avons vu défiler les processions in-
fatigables depuis tantôt trente ans! Mais là
encore on retrouve les mômes préoccupa-
tions vulgaires; ce sont des chevaux, des va-
ches et des moutons d'appartements qu'a
peints Mlle Rosa Bonheur, et non des animaux
qui vivent, en plein soleil, à la face de la na-
ture, dans une large et libre atmosphère. A
les voir si bien étrillés, si bien bouchonnés,
peignés, frisés, et calamistrés presque > om-
me Hyacinthe dans la Mariée du Hardi Gros,
on éprouve un sentiment pénible : celui que
fait naître le spectacle de longs efforts perdus,
quelque chose comme ce qu'on ressentirait
devant une copie du Jugement dernier, exécu-
tée les yeux bandés sur une feuille de papier
à cigarettes On respire une odeur de ferme,
un parfum d'écurie, de bergerie ou d'étable,
quand on regarde les animaux de Paul Poter
ou de Van-Euyp; mais quand on regarde ceux
ne Mlle Rosa Bonh mr, on song a la parfu-
me ie Piver et aux qualités singulières de
l'Eau merveilleuse et du Lait antéphélique.

Et celui-ci, ce M. Wiuterhater, ni depuis
si longtemps l'ait fureur parmi l'aristocratie!
Voltaire a écrit quelque part : « Quand celui
qui parle ne sait plus ce qu'il dit, quain. celui
qui écoute ne comprend plus, c'est de la mé-
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