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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0071
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1M «RBLOT

np ville de province assez importante;
Et, daDsla salle des Pas-Perdus,
. L'architecte avait fait placer un groupe ;d-
é§0riciue en marbre, représentant la Justice
^ la paix qUi se tenaient embrassées et se
°nnaient un baiser.
Un Sceptique, passant par là :
~~ Tenez, dit-il... voyez... Elles s'embras-
ât... elles se baisent... elles se disent adieu...
Pour ne jamais se revoir.



* *

„ Le célèbre Bautru aimait le jeu à la fu-
reur.

Aussi racontait-il volontiers ce plaisant sou-
tenir :

t II y a quelques années, j'allai faire une
eifaite à Saint-Lazare...

Nous étions dans la semaine sainte,

^n me donna le? saints Évangiles, '
p Et on me d\t de méditer sur l'endroit de la.

assion qui me toucberait le plus;
, Arrivé à l'endroit où les bourreaux se mef-
l!nt ^ j°ner aux dés la roue sans couture et

S vêtements du Sauveur, 1

m'y arrêtai, et hé pus jamais aller plus

***

.-Un jeune'homm« à quktfen croyait de la

......... ... s II - '■

6*,} «lai Savait plus absolument quêtes

^"emànda, pour se refaire, une jeiïne fille en

ii 1 ''obtint, grâce à la bonne réputation dont

Jouissait. < :
v "lais la'veille du mariage,, il lui arriva de se
' ornener trés*Tloirgtemps"î sans rien: dire,
jj Qs lé salon dé :sa belle-mèré, enveloppé
r"is un frrand pardessus dont il'avait relevé
'« collet. ; - !

Qu'avez-vous donc, mon gendre? lui dé-
rida à ^plusieurs reprises la future belle-

, ^- Je; n'ai rien!... se borna à répondre cha-
fois Je fiancé.

^ref, le lendemain, le mariage eut lieu.
c Au bôùt de quinze jonrs, une nuée de

atlciers assiège la maison.
laT~V<>us m'avez trompée, mon gendre, dit
e'le-mère furieuse, tous m'avez trompée 1
^i^Moil dit l'autre... Pas du toutl... Je vous
pi averde que je n'avais rien : je vous l'ai dit
Uj"8 de dix fois dans votre salon, la veille de

011 mariage, lorsqu'il en était encore temps.

BKIDA1NE.

LA SEMAINE THEATRALE

VARIÉTÉS

•4 j)Cs YARiÉTÉ&.-nous ont donné cette semaine
e, dort, vaudeville féerique en trois actes
lj .'Hlit tableaux,.de MM. Eugène Labicbe et

: rP°JB^ : : : :.: : : :
rov ^ter (lù rideau* nous sommes dans lé
je^n>eldes Songes, un charmant pays que
licj0^5 enga8e f°rt ^ visiter. L'un des pins dé-
l?^11*' songes, Zilda, s'est attardé sur terre
t)en"Ce dans le cerveau d'un honorable qu

qui

(t"s.e avec terreur à l'invalidation, ou dans
>iv!l1 d'un financier qui croit déjà toucher les
j0uts du Mississipi? Peu nous importe; tou-

sUtyS est'*' cIue 'e sonSe esl en retard et qu'il
f0j * une verte répn'mande de la partjd£r SDir
s0 ' aUfluel il administre le plus-vigoureux

^éri' ^ne Jama's rm ait reÇu- Traduite im-
crj élément devant la haute coiir pour ce
d? lèse-majesté, Zilda est condamnée à
ldj^vUr-er sur terre jusqu'à ce qu'elle se soit
)>c liftier du prince Atzéador et qu'elle en ait
un soufflet comme les amants seuls sa-

! i Parfois en donner.
(J-^éador est charmant, mais il est affligé
Sçj,.116 infirmité cruelle. L'infortuné a avalé un
s0n,tl enchanté qui ne cesse de roucouler dans
i>t;| eUomac,,et ne lui laisse pas un seul in-
HY^ de repos. Inutile d'en dire plus long,
v0usl~ce pas? Zilda, à l'aide d'un procédé que
ivs'devinez biin, fera tant et tant, qu'elle
\rt 'e sommeil au malheureux prince : Le
^~°rmira! le roi doril... En récompense de
«o, ei'vice', il épousera Zilda, qui lui a rendu lé
\ tueil; mais, trouvant le remède excellent,
SçwSourmand, va!—il se gardera bien de
sUr'teter sa femme, qui restera désormais

. terre avec lui.
fjjta pièce est admirablement montée et par-
Veaierit jouée par l'excellente troupe des
îî^j l^s. La musique de M. Boulard est vive,
lh.0?e* de bon aloi. La partition fourmille de
%i.s charmants, et plusieurs couplets ont
lç ,*îISs^s. Dupuis joue d'une façon amusinle
fin, e d'Alzéador, le roi embêté par des se-
%'> -*- ce n'est pas seulement dans les fériés
fen rencontre. Pradeau très-comique
*lf? le rôle de l'avocat. Mlle Berthe Legiand
songe ravissant. Joignez à cela tout un
lllon de jolies femmes — escadron serait
*n tt,.Xacl» car les bataillons vont à pied ; —
Ue, °'là assez pour permeUre à M. Bertrand
de'r°uver enfin, comme Alzéador, un instant

iePos.

PALAIS-ROYAL '

Deux premières cette- semaine au Palais-
Royal.

Loulou, un acte de MM. Henri Meilhae et
Ludovic Halévy, et Mon mari eut à Versaillis,
un acte de MM. Octave Gastineau et William
Busnach.

Disons tout de suite que le succès a été
complet.

Loulou est moins une comédie, dans l'ac-
«eption complète du mot.'qu'une de ces amu-
santes peintures de mœurs parisiennes dont
MM. Meilhae et Halévy ont presque sails le
secret.

Ils mettent sous nos yeux la situation terri-
blement embarrassée d'une cocotte à la mode,
Mlle Loulou, possédant une collection complèle
d'amants, n'en voulant laisser échapper au-
cun et cherchant à persuader à celui qui a le
gousset le mieux garni, et qui est pir consé-
quent le préféré, qu'elle n'aime que lui, et
que les autres ne sont que des marionnetles
destinées par elle à le rendre jaloux.

On conçoit sans peine quels amusants im-
broglios les auteurs ont pu tirer d'un pareil
sujet, et quels accès de folle gaieté ils ont dû
exciter dans la salle !

■ Mon mari est à Versailles a été pendant qua-
tre ans retenu parlajrop susceptible censure.
Pourquoi ? En vérité, nous nous le deman-
dons. MM. Gastineau et Busnach metteut en
scène un mari qui se prétend député pour
être plus libre et se débarrasser un peu de
sa ft mme et un amant qui use du même sub-
terfuge pour s'en rapprocher, sachant, que la
dame s'occupe de politique. On avait vu là
une attaque à la dignité des membres de l'ex-
assemblée nationale. Comme si dans la Cham-
bre actuelle, aussi bien qu'à l'assemblée na-
tionale il n'y avait pas de députés qui n'ont
de député que le nom i. ..

Ces deux petits actes pleins d'entrain, ad-
mirablement joués par Ravel, Hyacinthe,
Lhéritier, Gil-Perez, Mmes Alice Regnault et
Aline Duval, constituent, avec le Homard que
MM. Plunckett et Cùolet ont repris, un spec-
tacle des plus attrayants.

THÉÂTRE-HISTORIQUE

Encore une reprise !

Empressons-nous d'ajo ter que cette lois-ci,
M. Castellano n'a pas été mal inspiré en exhu-
mant du carton, où-il reposait depuis seize ans,
le drame de MM. Théodore Barrière et Henry
de" Kock, la Maison du Pont-Notrt-rDame, qui
obtint autrefois un grand suecès à l'Ambigu,
sous la direction de M. Chilly.

La Maison .4» l'ont-Notre-Dane1 est l'un des
types du boh vieux mélodrame. Toutes les
passions qui émeuvent profondément le spec-
tateur avide d'émotion y sont mises en jeu
avec habileté' par les auteurs, et ce sont des
transports d'allégresse à faire crouler la salle
quand le traître se trouve enfin démasqué par
le clerc Picolet.

La pièce est montée avec beaucoup de soin.
M. Paul Esquicr a fait, preuve d'un grand ta-
lent dans le rôle de Picolet, créé par Febvre
en 1860. MM. Montai, Gougel, Chelles, ma-
dame Raphaël-Félix méritent également tous
nos éloges.

En résumé, reprise fructueuse pour les au-
teurs et la direction, et agréable pour le pu-
blic. '

3 • *'

Nous croyons être l'interprète de tous nos
lecteurs en exprimant à la lin de cette pre-
mière, chronique, à notre confrère Petilleau,
tous l*s regrets que nous cause son départ.
M. George Pelilleau, qui joignait à un juge-
ment sain un esprit, juste et artistique tout à
la fois, avait su se faire rapidement une place
remarquée dans la critique, en même temps
que par l'affabilité de son caractère, il se con-
ciliait la bienveillauce et l'amitié de tous ceux
qui le connaissaient.

Nous espérons qu'il ne sera pas perdu pour
nous, et que nous le retrouverons bientôt
dans une autre partie de ce journal.

Jules de l.v Vei-drie.

Rocambole est jaloux.

Parte que l'hiver vient de i;ire son dernier
mot, tandis qu'il ne peut jamais arriver, lui, à
nous dire le sien, ce qui pourtant nous ferait
bien plaisir.

L: s promenades s'ensoleillent, les bour-
geons et les feuilles nouvelles montrent leur
nez vert au bout des branches, et les quelques
timides retardataires qui osent encore se
montrer en public, avec leurs fourrures, sen-
tent vaguement qu'ils sont dans leur tort, et
leur physionomie dénote clairement qu'ils
craignent d'être poursuivis au nom du soleil,
pour insulte envers le beau temps.

La maison Godchau s'est émue de la fausse
position de ces malheureux imprudents, et
pour les tirer de leur situation ridicule, elle

vient de mettre en vente à des prix inouïs de
bon marché : vêtements nouveaux,légers et
confortables, dont on n'aura qu'un aperçu en
consultant notre quatrième page.

En finissant, une recommandation utile :
..... Voyez notre quatrième page, soit, mais
visitez surtout la maison.

Un M

" é decm-Majora trouvé un Baume
'struisaat à vie et sans nVuleur : Cors, Oignons,

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GRELOTS

Sulpice disait dernièrement :

— Je vais me marier, et ce qui est ennuyeux, c'est
que je suis persuadé que ma femme me trompera. Or,
si elle no me trompe pas, je serai trompé, puisque je
crois qu'elle me trompera, et, si el e me trompe, je
serai trompé naturellement ; et pourtant, tout en
étant trompé, je ne le serai pas, puisque, etc..

On a conduit soif interlocuteur à l'hospice; il en
était dévenu fou, le malheureux.

+

Au Pont-Neuf, sur la boite d'un décrotUur, on lit,
Pain j'aime et cire sans cesse.

+

On Hisait d«vant Calino :

— C'est effrayant! la Seine monte de jour en jour
à l'échelle du Pont-Royal.

— Hé bien, mais alors, s'écria-t-il vivement, pour-
quoi ne la retire-t-on pas, cette échelle? L'eatî ne
pourrait plus monter. C'est pourtant bien simple.

+

—- Je suis patriote tout comme un aulr», disait un
garçon, mais pourtant je n'»iine pas l'état militaire;
aussi le gouvernement. qui connaissait ma manière
de voir, ne m'a jamais forcé de porter tes armes.

H était myope, le gredin.

TRIBOULET.

GRELOTS-FINANCE

Les Arpin et les Rabasson, ou, pour parler
plus noblement, les Montaigus et les Capulets
de la haute finance ont beau essayer de se
tomber, et rester en somme un peu plus
meurtris après la lutte qu'avant, cela n'em-
pêche pas nos deux rentes de monter. Tout
au plus leur arrive-t-il ces petits inconvé-
nients auxquels on est exposé, lorsqu'on est
obligé de marcher en compagnie de gens
dont la vie se dépense en bagarres. On les cul-
bute un peu, mais ce n'est que pour peu de
temps; c'est à peine si ces baisses auxquelles
la politique est étrangère durent l'espace rie
quelques bourses. La hausse est encore plus
rapide et plus forte que la baisse, surtout lors-
qu'on s'est laissé aller à vendre à découvert à
la veille de la liquidation. Ainsi, le 3 0/0, qui,
le 30 mars, fermait à 66,22, a fait 67,15 le
3 avril, et entre ces deux dates, le 5 0/0 a
monté rie 104,40 à 105,75. En tenant compte
des reports, qui n'ont jamais été aussi bas que
pendant celte liquidation, nos deux rentes ont
en quatre jours gagné plus d'un franc.

«

* *

L'italien a passé par les mêmes étamines.
La baisse des rentes françaises l'avait préci-
pité à 70,55, il est revenu à 71,50. La politi-
que financière du cabinet Deprelis consiste en
somme à prendre la suite des affaires du ca-
binet Minghetti, son prédécesseur. Si l'on fait
des réformes dans le mode de perception des
impôts, ce sera tout au plus l'année prochaine.
Les ministres des finances auront beau chan-
ger, il y a chez eux quelque chose qui ne
changera pas, c'est le désir d'avoir toujours
leurs caisses pleines.

* •

Des caisses qui ne sont pas pleines, ce sont
celles du Grand Turc. Ce personnage a sans
doute plus de robes que Mimi Pinson, mais
ce qu'il y a de certain, c'est qu'il n'a pas un
sou à donner en à-comple aux porteurs des
emprunts rie lh69 et 1873 On s'était bien en-
gagé à en payer la moitié, mais une condition,
c'est qu'on aurait de l'argent. On n'en a pas,
par conséquent on ne paye pas. C'est élémen-
taire. Mais on promet d'en avoir en juillet.
*

* *

Au commencement d'octobre, nous aver-
tissions les porteurs de fonds turcs dé ne pas
trop compter sur leurs coupons de janvier
pour faire leurs étrennes; depuis, nous n'a-

vons cessé de leur dire que s'ils comptaient
\sur leurs coupons d'avril pour payer des œufs
de Pâques à leurs amis et connaissances, il
pourrait leur arriver de compter deux fois;
eh bien, nous croyons encoie qu'ils feront sa-
gement de ne pas faire fond davantage sur
les coupons de juillet pour aller aux eaux ou
se payer un voyage en Suisse ou sur les bords
dit Rhin. Le 5 O/O restera-t-il longtemps à
16 fr.? C'est douteux.

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