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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0139
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LI GRELOT

Ce» associés se croyant toujours (trompés
sans doute par le cMnlat) sous le ciel de leur
patrie, continuent chez nous leurs exploits.

Les attaques à main armée et les assassi-
nats se multiplient dans nos villes du midi,

Et les journaux sont pleins du récit des
meurtres commis par ces coupe-jarret.

Que fait alors te gouvernement français?

Il fait, par un de ses ministres, demander à
la Chambrë un crédit de deux millions pour
subvenir aux dépenses des carlistes auxquels
leurs rapines n'ont pas permis d'acheter des
maisons de campagne.

N'est-ce pas plaisant?

*

* •

Mon Dieu!

Que ne suis-je né Espagnol!
Ou chante dans les Brigands un air immor-
tel où se trouvent ces pai oies :

11 y a des gens qui se disent Espagnols,

Tra la'là I
Et qui n'swit pas du tout Espagnols,

Tra la la !

Je m'étais demandé longtemps ce que cela
pouvait bien vouloir dire, et pourquoi il y
avait des gens qui tout en n'étant pas Espa-
gnols se disaient Espagnol».

Maintenant, je comprends,—* et tous aussi,
je ci ois.

«

* m

Afin, sans doute, de donner la réponse du
berger à la bergère,

Et pour opposer un repoussoir à la panta-
lonnade êtes 45? pèr*s de famiHes qui atta-
quent, pour la plus grands gloire des jésuites,
les feuilles républicaines,

Les élèves de l'Ecole Polytechnique, au
nombre de 120, ont été, à l'anniversaire des
glorieuses de 1830, dépo-er des couronnes sur
la tombe du Vanneau et de ceux de ses cama-
rades d'école tombés aux journées de juillet
en l'honneur de la liberté.

* *

Jadis, en effet, on trouvait toujours l'Ecole
Polytechnique à la tête du peuple.

Et quand après les glorieuses, alors que
Louis-Philippe, mentant à ses promesses, tor-
dait le cou au coi; gaulois et le remplaçait à
la hampe du drapeau par son chapon.

Én 1832 et eu 1834, dans ces émeutes cé-
lèbres, les polytechniciens ne reslèrent pas
chez eux. et se tirent tuer à l'envi pour la
cause populaire.

Ils étaient peu nombreux, tout au plus deux ou trois
Centaines d/écolicrs ayant maîtresse et mère,
Faits hommes par ia haine et le dégoût des rois I

* *

Les temps ont un peu changé :
On a mis nne bride et un mors aux enthou-
siasmes,

Et c'est ee qui faisait dire au poète dont je
viens de citer les vers '.

Hélas! »ous envions la fin stoïcienne

De ces calmes héros, et surtout jalousons

Leur yeux clo* à propos en une époque ancienne.

Car feiïrsyeo* contemplant de loiniains horizons,
Se iertnèreul parmi «les visions sublimes,
Vierges de lâchetés comme de trahison*

Et ne virent jamais, jamais ! ce que nous vîmes.

Basil le monde tourne !

*

• •

Il y a en France certaines inscriptions qui
font honneur aux administrations cantonales.

Dans le nord, par exemple, sur une route,
que je n'ai pas besoin de nommer,

On voit un poteau indicateur qui désigne le
chemin à suivre pour arriver à une sous-pré-
feeture bien connue,

Et après les indications ordinaire.-,

On peut lire ces lignes immortelles :

Lu ceux qui ne savent pas lire, ils n'ont
, ^ fw'à prendre tout droit.

*

i>ans un café littérairè :

On" fàrttait devant X. l'érudition d'un bo-
hêibé qui ne manque pas d'esprit, mais dont
la Jaresse. mérite de devenir proverbiale,

EtT^ut-a" ttcottts à tontes les inventions in-
génieuses qui peuvent lui procurer un dîner
ou une pièce de cent sous sans travailler.

— Il a cependant du talent, dit l'un.

— El il Sait beaucoup de choses, reprit un I
autre.

•i'est un esprit très-cultivé...

— je crois bien, dit alors X., — ii y poussé I
des carottes.

- » '-ï:JlhZ " *,

Un célèbre chanteur italien, qui faisait à la
chapelle du pape les honneurs de sa voix,
voyageait par hasard dans le midi de- la
France.

En passant par une petite ville, comme son
nom était' foH connu, on le prh d'assister à
Une cérémonie religieuse dans ua pensionnat
de jeunfe* fHivs.

Aussitôt, grand remue-ménage parmi ces
demoiselles.

' .On leur avait dit qu'un célèbre musicien
devait venir visiter le couvent.

Et ces fines oreilles avaient saisi au passage
quelques'mots mystérièux qui les avaient pro-
fondément troublées.

De quel instrument pouvait-il bièn jouer?

Etait-ce un violon?

tJn'û flûte?

On ne savait

Une de ces demoiselles, qui était plus en-
tendue, dit à ses compagnes :

— Je me charge, moi, d'aller lui parler..,
Nous verrons bien s'il veut se faire entendre I

Et saus hésitation, allant au lénor qui se
promenait dans le jardin à quelque dis-
tance :

— Monsieur, lui dit-elle, seriez-vous assez
aim.ible pour nous faire entendre votre cas-
trat?

Inutile de dépeindre le visage du chan-
teur.

#

décrut

des

Un gaillard qui sans avoir
paires de souliers aux étalages,

A cependant frisé quelquefois la correction-
nelle et môuie la cour d'assise-,

Se trouve actuellement, par suite de mal*
heurs dont il serait trop long de raconter la
série, obligé de vivre en proviuce.

Mais, comme on pense bien, son objectif
est toujours Paris,

Et il ne songe qu'au moyen de retourner
dans la grande ville.

Dernièrement, il réncôhlré une connais-
sance du boulevard, de passage par hasard
dans le trou où il végète.

Il s'arrête, cause un moment avec lui, et
unit par lui dire :

— Tenez, je voudrais me ranger, — vous ne
connaissez pas une place pour moi à Paris?

— Si, répond l'autre.

Ah! vraimenl! Laquelle?

— La place de la Roquette.

BRIDAINE,

'édecin-ftfajoratroiiTém Baume

détruisant à vie et sans duuleiir : Cor», Oignons,
Durillons, Oiilsde perdrix. Pris ?1 fr.50
Euvot fa contre i fr. timb.) <»l>iu,traité. S, bouU Montmartre.

THE TIMES de Londres. Agence d'abonnement
e! '.t'annonces, M. Madré, 77, rue Neuve-des-Petits»
Champ* à Paris.

LA SEMAINE ÏIIËATRALÈ

Pas de première celle semaine.

Au point de vue théâtral, la semaine qui
vient de s'éco lier est aus*i vidé qné peut l'ê-
tre au point de vue politique le cerveau du
plus muet de nos honorables.

Eh vain les infortunés directeurs nous pro-
mettent-ils sept ou huit actes et usent ils de
tous les moyens que leur suggère leur imagi-
nation inquiète; rien ri'y hit. Les auteurs se
font reporter comme de simples couhssiers, et
K-s spectateurs suffoqués s'arrêtent à la porte
comme si une voix inconnue venait de leur
faire entendre ce cri : Tu n'iras pas plus
loin!

Les théâtre» n'out à cette époqne qu'une
petite clientèle toute spéciale : celle des
belle-mères et des oncles à succession. Les
neveux les plus indifférents et les gendres les
plus énervés redeviennent subitement, par
trente-cinq degrés de chaleur, affectueux et
prévenants.

Songez donc au résultat qu'on peut obtenir
avec une petite loge bien placée.

Si l'apoplexie fait grâce, la fluxion de poi-
trine est là qui vous guette à la porte. Une
voiture découverte et une petite brise, l'af-
faire est faite, Vous voilà d'ui seul coup re-
devenu riche et libre.

Quel rêveI...

C'est évidemment pour cela qu'on appelle
l'été la morte-saison.

Mais laissons-la- cette digression et jetons
rapidement, si vous le voulez bien, un coup
d'œil sur les affiches.

E la Comédie Française, la Fille dt Roland,
vient de devenir centenaire.

Au Vaudeville, nour 0eti que vous soyez un
Affamé ou un Monsieur qui suit les femmes, vous
y trouverez touj airs des Domina- rose».

Au Gymnase, l'Hôtel Gfidelot est toujours ou-
vert aux Cinq filles de Caslillon et au Vicomte de
Châteaufort.*^

Àu Théâtre-Hislorique, il vous sera tou-
jours loisible d'applaudir Mademoiselle Angot,
puisque Votre mari vous l'a permis, etc., etc..

Rien. Rien de nouveau, si ce n'est quelques
étoiles qui s'élèvent à l'horizon du Conserva-
toire.

Ce n'est vraiment pas assez.

JULgg Bg la VtBCKU.

GRELOTS

Il vaut encore mieux aveir des fonds â s* culotte
qu'en Turquie.

te ir»i T ,*--■; ■ -JT!;*...% Su*. 8R,| <*1M (W

t — Vendredi! tiens, maie alors c'est maigre aujour-
d'hui; où allons-nous diner pour ne pas avoir île gras?
-Oh!... ciiMDuvalII...

— Savez-voUs, disait Erisepoulet, pourquoi on n'a
pas fait le mètre plus long?

— Hé bien, c'est parce qu'il fallait mettre un téhne
au métré; et si on a tait des centimètres et des milli-
mètres., c'était pour faire des barres au métré.

Il vaut mieux entretenir fcp| vêtements qu'une dan-
seuse ; c'est moins eh< r, à moins pourtant qu'on l'en-
tretienne... sous un réverbère.

| "3.0 a g ? y. b t. a *i- y A * v)« mûv.as

Il est encore plus amusant dé rouler un juit qu'une
cigarette.

' 4-v"

J'aime mieux sentir une jeune femmô à mon bras
que du fromage avaueé.

On peut oublier uue oflèii'-e, mais de pay«r ce
qu'on doit ça n'est pas obligatoire.

-f-

J'aî tin voisin qui ne fait qUepnndril toute la nuit,
mais il d'à pas besoin d'y voir clair ; ce qu'il peint,
c'est sa ilaaiwtf i la veuiuu d'eu fat».

TR1BOULET.
' '"Yr '■T- h

ÛRELOTS*FINANOE

Lé mois de juillet, qui s'annonçait sous des
auspices passab etnent équivoques, se termine
bien, a merveille même, dirons-nous, poul-
ies fonds français, Le è p. 400 a franchi le
cours de 70 l'r , et, à la veille de la liquioajion,
on se flaliai' de vuir le 5 p. 100 tester à 106fr.
après détachement du coupon.

***

La rente italienne a, comme à l'ordinaire,
emboîté h; pas. On dirait qu'elle vrai? le cours
de 72 fr.

« *

La spéculation a pris son parti de la façon
dont le gouvernement espagnol a tétrlé le ser-
vice de sa dette consolidée. L'extérieure, à
14 1/4, devant payer «'ès a présont ses cou-
p ns à raison de 1 p 1Û0 par an, c'est, disent
les banquiers qui ont de ce fond en porte-
feuille, du 7 p. 100 C'est là un beau revenu
assurément. Le public ne se pres-e tfejpdant
pas il y porter ses capitaux. 11 ne sait pas jus-
qu'à quel point l'Espagne est à !'.«bri de nou-
velle» guerres carlistes ou ratf icales.

Le turc a un peu monté. La situation n'est
assurément pas beiie à Constaotinople. Sultan
Mourad V, l'ombre de Dieu, est très-malade,
gâléux même, à ce qu'affirme M. Louis Veuillot
dans VUnivers du 29 juillet. II n'y a plus beau-
coup d'espèces sonnantes dans les caisses pu-
blique- ; aussi est-on forcé de faire des billets,
c'est-à-dire du papier-monnaie. Eh bien, c'est
précisément ce moment-là que messieurs du
marché en banque choisissent po ur faire de la
hausse. Si le public se prête à ce! jeu , et qu'il
arrive à y être mordu, il n'aura que ce qu'il
a cherché.

i .... 'iï*»-,» «• iPi^li!Tfï<'TP"

* *

Ou se remue beaucoup autour des fonds
égyptiens. De gros intérêts sont, du reste, là
en jeu. Les gens qui ont besoin de lia haussé
disent que le khédive a déjà commencé à faire
la provision nécessaire au payement des cou-
pons de janvier 187?, ce qui nous semble, pas
mal hasardé ; de leur côté, les gens qui ont
besoin de la baisse ont un moment prîtendu
que le khédive avait mis la main sur la caisse
de la dette publique, ce qui n'est pa s vrai. Il
faut, du reste, d'autant moins croire que le
khédive ait songé à vider cette, caisse qu'il ne
doit pas encore y avoir giand chose, car c'est
culeirient Su 15 janvier prochain qiv* elle aura
à s'ouf rirpour Je service des coupcin s. — Les
difficultés^ que l'unitl'catifti) de la d et te publi-
cjfie re)i c intre/siir le marché angla is , sont en
Voie d'arrangement, mais il n'y a encore rii n
de fil î f. En attendant, les cours di î l'umprunl
de 1873 sont toujours aux environ s dt; 200 fr.

ÏAliJ Jll *

Les souscripteurs rie l'emprunt d'Haït,i vien-
nent de recevoir le mémoire-que le Créd it gé-
néral français leur avilit promis ;m suje(t du
non payements du coupon de j' jillet.

A ce sujet, MM Isidore Dreyfus, président
du cou*eil d'administration; AflM. Blaneha.rd
et de rVrtu-ttitfhii, administra leurs drflénrtt\;6

du Crédit général français, ont déjà reçu
nombre de lettres. On nous én communique
une dont nous croyons devoir faire part à nos
lecteurs.

« Messieurs,

» Si le moment où je toucherai mes cou-
» pons est décidément renvoyé aux calendeé
» grecques, je ne puis cependant qu'être pro-
» fondément touché duponrait que vous faites
» de moi et de mes 4,343 compagnons d'in-
» forlune et co-souscripleurs du maleneon-
» f reux emprunt que vous avez lancé en juin
» 1875.

» C'est avec beaucoup de raison que vous
» nous Représentez à l'aoniinistralion «lu Cré-
» dit mobilier espagnol et du nord de l'Kspa-
» gne, qui est aujniirit'hui notre ministre des
» allai' es étrangères, comme de fort modestes
» capitalisas, pas spéculnteurs le moins du
» monde et absolument étrangers aux affaires
» de bourse. Mais vous vous trompez un tan-
» tinet. lorsque vous ajoutez que c'est sur la
» foi des traités que nous avons souscrit et
» payé nos obligations. Pour mon compte, je
» vous assure que j'ai été tout simplement dé-
» cidé à vous apporter mon argent par le bien
» que le prospectus d'émission et. Jatircu-
» laire d 15 juin, signé Isidore Dreyfus, ont
» dit .'le Haïti et de >oii gouvernement.

» En voyant ei-tte même circulaire du
» 15 juin invoquer à l'appui de ses assertions
» sur Haïti et ses gouvernants, la maison Mar-
» cuard André et Cie et la Société de. Crédit
« industriel; j''ai cru aussi, et beaucoup d'au-
» très l'ont cru avec moi, que vous étiez au-
a torisé par MiM. Marc.uard André et Cie,aiusi
» que par messieurs du Crédit industriel» à
» parler de la sorte.

» Assurément, messieurs du Crédit général
» français; et fous eu particulier. M.YI. Isidore
» Dreyfus, Ch. Blanchard et de Porto-Riche,
» je vous liens pour de très-gatatites gens, ja
» crois vos caisses tiès-bien garnies, mais ce-
» pendant, je itois vous le dire, ce n'est pas le
» total des giranlîes représenté par votre ca-
» pital social de 3 millions, vos mitions per-
» sonnels et vos beaux immeubles de Paris et
o splfndides châteaux à la campagne qui
» m'eussent décidé à entrer drms un emprunt
» moricaud de 83 millions de francs. Je croyais
» que derrière les concéssiotiu,tires, dont vous
» ne nous disiez pas alors les noms, se trou-
« valent encore MM. Mai cuard André et Cie.

» Dieu me garde de penser a mal au sujet
» de ces concessionnaires, M ù. Emile Sievers
» et Peréal Silviô, dont votre mémoire du
» 21 juillet dernier m'apprend les noms pour
» la première lois; niais si, en juin 1873, vous
» aviez eu le soin dé m'apprendre que ces
» messieurs étaient au nioude, je me serais
» renseigné sur eux avant de vous porter mon
» argent.

» Vous auriez dû aussi faire connaître la
v petite combinaison exposée page 21 de votre
» inéti oire. Peut-être la retenue <iu 127.06
» que vous devez fâire sur les 426 fr., mon-
tant rie chaque obligation, et partager eu-
» suiié entie vous eî lesconc> s=ioiuiaires,eftt-
» elle donné à réfléchir à beaucoup de vos
» vos souscripteurs. La petite combinaison eà
» question était, du reste, des plus ingé' itw
» se»; si elle avait réussi, vous auriez pu, vous
» et les concessionnaires, vous partager un
» bénéfice de 21 millions, soit en ce qui votTS
.» coneerue, trois lois votre capital social. Voir
» disparaître l'occasion de rétablir un aussi
» beau bénéfice doit être pour vous le sujat
» d une profonde douleur; ctoyez que j'y
» compatis de mon cœur; car il se pourrait
» bien que, dans celte atbtire, vous fussiez en-
» core p us mordus qu'aucun de vos 4,344
» souscripteurs.

» J'aurais eueoie beaucoup de choses à
» dire; mais comme mes autres observations
» concernent, je crois, plus que vous, MM.
» Marcuard André, le Crédit industriel, M.
» Pascal Duprat et M. Decazes, je me réserve
» de les traiter dans d'autres lettres, et je clos
» celle-ci, que vous trouverez peut-être déjà
» beau-coup trop longue. »

Si ces lettres nous sont, communiquées, uous
cii l'cions part à nos lecteurs.





il & 1 t ti fi S f

À1UEL.





., % k i - i a .

—------.-.-









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