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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0187
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LÈ GRELOT

FEUILLES AU VENT

Il y a des gens bien aimables :

Ils vous rencontrent et ils vous disent •

— Ah 1 vous savez bien un tel ?...

— Oui!...

— C'était votre agent de change, n'est-ce
pas?...

— Sans doute I...

— Eh bien!... il y a une demi-heure, on a
appris à la Bourse qu'il avait disparu laissant
un déficit de huit millions...

— Comment!... Mais ce n'est pas possible !

— Très-possible !... On dit qu'il est parti
pour l'Amérique!... Est-ce que vous aviez des
foruls chez lui?...

Mais certainement!...

*

* *

Vous êtes attéré, furieux,— et comme vous
êtes ruiné, ça se conçoit !

Vous courez au syndicat des agents de piia-
ge, et vous dites en tirant une langue d'un
demi pied :

— Et alors un tel!...
On vous regarde.

— Mais répondez dohc!... dites-vous exas-
péré.

— Quoi ! qu'est-ce que vous voulez?

— Où est-il parti?

— Un tri?

— Oui, je me tue à vous le dire...

— Mais si vous étiez Venu cinq minutes plus
tôt, vous l'auriez trouvé ici!

— 11 n'est donc pas parti pour l'Amérique...
Ici l'individu auquel vous parlez sonne un

huissier auquel il dit tout haut :

— Voulez-vous recon.lui,e monsieur...
Et à l'oreille :

— C'est un fou !

Eh bien! depuis quelque temps il y a des
gens qui s'amusent à nous jouer des tours de
cette force.

Bismarck, assurent-ils, a déclaré au duc
Decazes qu'il devait déguerpir, — et lui a dit
une roule d'autres choses dont la politesse
rappelle une porte de prison.

Quelles mesures prend-on contre eux?

On supprime quelquefois leurs dépêches :

Quant aux poursuites, néant 1

AL! s'ils étaient journalistes !

Dialogue édifiant entre deux commerçants :

— Ah te vcilà revenu?

— Oui.

— Et qu'est-ce que lu fais?

— J'ai rouvert boutique depuis huit jours.
—- Ah! Et quand completu fermer!

*

• *

Dans une brasserie allemande :

Un individu à longue, barbe mange avec
componction un | lat énorme de choucroute
flanqué de saucisses.

Un voisin, etlrayé de voir s'engloutir cette
montagne de choux au vinaigre,

— Mais, monsieur, vous allez vous rendre
malade... toute cette ctoucroute!... ça va
vous rester sur l'estomac!...

L'autre, avec un long soupir :

— Plût à Dieul

BBIDAINE.

La femme a non-seulement la coquetterie
de sa personne, mais cette coquetterie s'é-
tend sur ceux qui lui sont cheis. La coque't-
terie masculine est aussi de son domaine.
C'est pourquoi la maison du Pont-Neuf met
ses créations sous le patronage de la mère de
famille. C'est dans la garantie de son adhé-
sion que cet établissement puise sa force et la
certitude du succès.

Au point de vue de la qualité et de l'écono-
mie, impossible de trouver mieux que ce par-
dessus cro;sé, en drap moutonné et frisé as-
trakati, toutes nuances, avec col veiours soie,
à 19 fr. Ces beaux et solides vestons à 16 fr.
sont d'une coupe aussi originale que distin-
guée. Très-confortables ces robes de cham-
bre données à 10 fr., données c'est le mot.
Ces jolis costumes d'enfant et ces pardessus à
7 fr., chaudement doublés, flattent à peu de
frais l'orgueil malernel.

Le Pont-Neuf envoie gratuitement son Cata-
logue d'hiver, texte et gravure, avec le moyen
le plus exact de prendre les mesures soi-
même. (Hue du Pont-Neuf, 4, 6, 8 et 10.)

LA SEMAINE THÉÂTRALE

RENAISSANCE

Le théâtre de la Renaissance nous a donné,
cette semaine, la première représentation de
Kosîki ; ex-Mikado, opérette en trois actes de
MM. Busnach et Liorat, musique rie M. Charles
L<"C0cq.

Les auteurs ont eu l'heureuse idée de pla-
cer l'action de leur pièce au Japon, pays en-
core inexploré... au théâtre; ils en ont ainsi
doublé l'attrait rie la nouveauté. Admirable-
ment secondés par M. Lenoir, l'éminent ar-
tiste, que tout Paris connaît et apprécie, qui
a réglé la mise en scène... japonaise de façon
à rendre l'illusion complète, par Grévin qui
a dessiné les costumes, par Cornet et Nezel et
qui ont brossé les décors, enfin et surtout par
l'Babtlë directeur de la Renaissance, M. Victor
Koiûng, qui leur a confié saris hésitation les
clefs de sa caisse, ils ont fait de leur œuvre
une pièce dont cent ou deux cents représen-
tations n'épuiseront pas le succès.

Lintrigue du livret, quoique ;in peu trop
enchevêtré, est fort amussante. Quant à la
musique, elle est ravissante de la première
note à la dernière.

L'interprétation ne laisse rien à désirer.
Mademoiselle Zulma Boaffar dans le rôe de
Kosiki, la délicieuse mademoiselle Harlem
dans celui de Nousima, Berthelier dans celui
de Xicoro, Puget dans celui de Fùzo; enfin,
Vaulhier dans celui île Namitou, sont chaque
soir, couverts d'applaudissements, rappelés,
bissés et bis-bissés.

Tout est Irais, coquet, élégant, charmant; il
n'y a pas jusqu'aux figurantes qui ne se mê-
lent d'être jolies. C'est au point que, connais-
tant lis mœurs du Japon, cela nous donne
des envies furieuses d'être... bourreau à la
Renaissance.

GYMNASE

M. Charles de Courcy, l'heureux auteur
à'Andhlle, vient de faire représenter sur la
même scène du Gymnase, une œuvre de plus

longue haleine, Mademoiselle Didier, comédie
en «ualre actes, écrite en collaboration avec
M. Eugène Nus

Le sujet, choisi par les deux auteurs était,
certes, fort intéressant et nullement défraîchi,
car il n'a jamais été, croyons-nous, traité
d'une façon aussi complète, aussi approfondie
an théâl.r«. Il s'agit de la situation, au point de
vue de la jeune fille, des enfants naturels non
reconnus.

En ont-ils tiré tout le parti possible? Nous
ne le pensons pas, ou du moins nous envisa-
geons la question sous un tout autre point de
vu*. A notre avis, la situation que fait la so-
ciété à ces malheureux êtres qui, cependant,
n'ont d'autre tort à ses yeux que celui d'être
nés, est aussi terrible qu'injuste. Ce n'est pas
sur l'enfant, mais bien sur le père, mille fois
coupab e> qui l'a abandonné, que devrait
tomber la flétrissure de la société. De deux
choses Tune : ou bien vous êtes certain d'être
le père de l'enfant et vous lui devez votre nom,
ou bjen vous ne reconnaissez pas votre mar-
que de fabrique et alors vous ne lui devez
rien, pas même l'aumône d'une partie de vo-
tre fortune, que. vous ave..; le droit d'oflrir à la
mère, mais à la mère seule.

Le déuouémeut choisi par MM. de Courcy
et Nus, qui consiste, — en présence du refus
de lord Cardigan, de reconnatlre Lydia, son
enfant, parce qu'il sait que cette reconnais-
sance lui ferait manquer ufi riche mariage, —
est-ce assez anglais? — à faire ado, ter Lydia
par un autre, nous semble puéril et ne fait pas
faire un pas à la question. En quoi l'adoption
changc-t-elle la situation de l'enfant naturel
non reconnu? Elle lui confère le nom du père
aridptif, c'est Vrai; mais, aux yeux de la so-
ciété, la tache originelle n'en subsiste-t-elle
pas nioins?

Malgré ses défauts, la nouvelle pièce ren-
ferme de grandes qualités. Les deux premiers
actes, c'est-à-dire l'exposition, sont gais,
pleins d'entrain et fort amusants; il y a, no-
tamment, une partie de piquet à trois, entre
Saint-Germain, Achard et Mademoiselle Le-
gault, que je vous recommande et que tout te
mondé ira voir jouer.

Le style est net, ferme, agréable, les mots
se succèdent sans interrupti ih, l'esprit y pé-
tille, et c est de bonne qualité.

Les qualités du détail compenseront-elles
les défauts du foud?

Cela ne serait pas impossible.

DÉLASSEMENTS-COMIQUES

Le petit théâtre des Délassements-Comiques
vient d'enlre-bâiller ses portes avec la Tribu
des ongles roses, la Perle de la Canebière et les
Gardes du roi de Siam,

Si nous parlons de cette réouverture , c'est
uniquement pour nous mettre en rè^le vis-à-
vis de nos lecteurs que nous devons tenir au
courant des nouveautés théâtrales, car, en vé-
rité, la troupe de M. Stépben est par trop in-
suffisante.

S'il persiste dans son intention de faire en
province, avec cette troupe, une tournée artis-
tique spécialement autorisée, nous pensons qu'il
fera bien de remuveler son personnel qui, à
l'exception de mademoiselle Caroline Jullien,
et mademoiselle Jeanne, fort gracieuse en
Arlésienne, laisse à désirer sous tous les rap-
ports.

CIRQUE FRANCONI.

Le cirque Franconi vient de quitter les
Champs-Élysées pour prendre ses quartiers
d'hiver au boulevard des Fi'Ies-du-Calvaire.

Dans ces parages que l'hiver rend lointains,
bals, cirque, concerts, tout a disparu.

Les Folies-Marigny restent seules...

Une, deusse, troisse.

.... Avec leur directeur!...

Jules de la Verdrib.

GRELOTS-FINANCE

A l'encontre des jours qui se suivent et ne
se ressemblent pas, les semaines se suiv.èntet
se ressemblent, en ce sens qu'elles sont de
plus en plus mauvaises.

m

* i

En dépit de 1a résolution prise en France,
comme en Angleterre, de rester les bras croi-
sés si les Russes et les Turcs ne trouvent pas
d'antres moyens que la guerre pour régler la
question d'Orient, Fonds français et Fonds
anglais sont rudement en baisse.

*

« •

Adieu les cours de 72, 71 et même de 70 fr.
sur le 3 p. 100. Adieu les cours de 106, 105 et
104 fr. sur le 5 p. 100. On a coté la semaine
dernière, un moment, le 3 p. 100 au-dessous
de 68, et le 5 p. 100 au-dessous de 103. En-
suite on a repris, on s'est même de nouveau
rapproché des cours de 70 et 105; mais si le
czar se met décidément en routé, on peut
être certain d'une chose, c'est mie l'on verra
le 3 p. 100 bien au-dessous de 68 et le 5 p. 100
bien au-dessous de 103.

♦ ' ■

* *

L'Italien a encore plus cascadé. Après s'ê-
tre coté à 73, il est tombé au-dessous de 67.
Puis il a repris au-dessus cie 69. Il faut voir
encore de ce côlé-là pas mal de baisse, sur-
tout s'il est vrai que l'Italie veuille profiter
du prochain imbroglio oriental, pour s'ar-
rondir de l'Islrie, de i'illytie , de la Dal-
matie, du Tremin, du comté de Nice, et
même, et même se payer à côté de nous, en
Afrique, les régences de Tunis et de Tripoli.

**i

Si taut cela amenait à nos bons amis les
Italiens des difficultés financières, savoir s'ils
ne les résoudraient pas en ne payant plus les
coupons de ceux de leurs titres qui seraient
entre des mains étrangères. On fera donc
bien de rendre à ces braves gens le plus de
titres que l'on pourra.

Les fonds Turcs n'existent plus. Ceux qui
en ont commencent enfin à comprendre que
leurs titres ont exactement autant de valeur
qu'un assignat d'il y a quatre-vingts ans. A la
Bourse, on a beau en baisser les prix, il ne se
trouvera presque plus personne pour en
prendie.

*

* *

La hausse promise sur Jes fonds Egyptiens
est toujours a venir. MM. Goschen et Joubert
en revenant d'Egypte, la ramènent-ils avec eux

ne saurais peindre l'inquiétude qui m'oppressait au
point que je sentais la sueur me couler à Ilots sur les
tempes...

Au bout de ce temps, Antoinette fit :

— Ali!...

Elle retira le bouchon du bocal avec ses dents, —
fit le geste qu'elle avait déjà fait une demi-heure au-
paravant, remit le bouchon en place et se retira rapi-
dement comme elle elle était venue.

Qu avait-elle fait?

Qu'élait-elle venue chercher.

Il m'avait été impossible de m'en ren 're compte,
— et pourtant quelque chose me disait que j'avais le
plus grand intérêt à le savoir.

Comment faire?

M'introduire dans le jardin quand Antoinette au-
rait quilté la maison, et chercher, à mes risques et
périls, le vase qui contenait les deux objets mysté-
rieux, — Cela n était guères pratique, et, d'un autre
côté, était assez dangereux, comment expliquer ma
préseice chez pile si elle m'y surprenait, mes recher-
ches devant probablement être assez longues?

D'ailleurs, les ingrédients, quels qu'ils fussent,
qu'elle était vernie Slii-rclier, elle lès avait peut-être
déjà employés ou fait disparaître...

Il valait mieux remonter à la source, c'est-à-dire
examiner l'aconit.

Je résolus donc d'attendre qu'Antoinette fût partie
de chez, elle et de pénétrer alors dans le jardin.

Deux heures se passèrent : Antoinette était toujours
chez, elle, et je commençais à désespérer qu'elle sortît
ce jour-la, quand tout à coup je la vis apparaître le
long du petit chemin qui menait de chez elle à la
graud'route.

Je me dissimulai contre la haie, et je la vis qui s'é-
loignait dans son attitude habituelle, — la tête bais-
sée, les brai pendants, — ne voyant rien que son cau-
chemar ténébreux, — perdue dans les abîmes de son
rêve!...

Quand elle eut disparu, je ne fis qu'un saut dans le
jardin.

La touffe d'aconit était là, énorme, pleine de fleurs
d'un bleu pourpre, — avec ses feuilles dentelées de

mille pointes perfide, —dans sa grâce sévère et trou-
blante.. .

Rien n'y manquait, on ne lui avait pris ni une
fleur ni nne feuille.

Lit plante vénéneuse s'épanouissait plantureuse-
ment au soleil de juillet, comme une courtisane fardée
et perverse.

Je la regardai attentivement pendant quelques mi-
nutes...

Trois ou quatre araignées rousses, au ventre épais,
aux pattes couvertes de poils, y couraient sur les feuil-
les, s'arrêtaient sous le baiser d'un rayon, plongeant
dans le saphir enllinimé d'une corolle, heureu--.es,
affolées, ivres, buvant le soleil de l'été...

De grands papillons qui mlaientça et là, des libel-
lules aux ailes d'aigue-marine, des abeilles au corsage
d'or, passaient au-dessus de l'aconit, sans s'arrêter,
précipitamment, à tire-d'ailes,—comme en Palestine
les oiseaux passent la mer Morte.

« Qu'est-ce que cette femme, me répétais-je, a bien
pu venir faire ici?... »

J'écartai les tigos de l'aconit, — j'y regardai long-
temps avec le soin le plus minutieux. — Bien... je
ne voyais rien... et je me rong> ais les ongles de rage
contre moi-même, funuux de ma sottise, de mon
manque dp perspicacité, de connaissances scientili-
ques suffisantes p«ur découvrir ce que je cherchais...

Jusqu'au tomber du jour, je restai là, les yeux ar-
dents, la bouche sèclie, les poings crispés, — avec la
conviction poignante que j'allais, par mon incapacité,
laisser s'accomplir un crime, — et je m'éloignai en-
fin, harrassé, fatigué, plus que si j'avais fait des
lieue.-;...

C'était la veille de la Kermesse.

Aussi, de singulières réflexions m'assaillirent, —
comme on peut le croire, — quand le père Ihiret me
dit le lendemain que j'aurai à jouer des jambes le
soir... • \

Il parlait de danser, le bonhomme!... Mais je pen-
sais, moi, à tout autre chose.

Enfin, la journée se passa fort gaiument, — et An-
toinette qui, comme de juste, tairait partie des invi-
tée, parut elle-même d'une gaieté qui surprit tout le
monde.

— Voilà une jolie journée, me dit le père Duret,

— et nous en aurons ecore une plus belle dans quinze
jours... — Regardez comme Antoinette est dans ses
bonnes, aujourd'hui!...

Dans quinze jours?..,

Je prévoyais pl.itôt, moi, un enterrement et des
larmes!...

Après des libations si nombreuses de petite bière
que, malgré la faiblesse du breuvage, tous les convives
chancelaient en se levant de table, on se rendit au
cabaret où les libations recommencèrent de sorte que
les hommes n'y voyaient, pour ainsi dire, plus clair en
entrant au b.d...

A l'exception de la mère Duret, d'Antoinette qui
affectait une pointe d'ébriété, et des deux fiancés,
chacun se trouvait avoir bu un peu plus que de rai-
son.

Quant à moi, j'avais allégué mon état de santé, —
et ou ne m'avait en conséquence pas forcé de repon-
dre aux santés innombrables du diner.

L'orchestre, installé sur trois tonneaux, se compo-
sait de deux violons, d'une clarinette et d'un ophi-
cléïde.

On jouait, au moment où nous entrions, une valse
qui faisait, pirouetter les paysannes comme des toupies,

— et immédiatement Jean-Baptiste passa son bras au-
tour de la taille de Gertrude et l'entraîna dans la
foule.

La mère Duret à qui je donnais le bras, se mit à
crier :

— Gertrude! Gertrude! pas de valse! — Ça te fait
du mal, mon enfant, tu vas être malade... Tu vas être
malade...

Mais les jeunes gens étaient déjà loin.

— Monsieur, me dit-elle,— elle a le cœur très-
délicat, m'a dit le médecin... Elle va se trouver
mal...

Tandis qu'elle prononçait ces mots, je vis, à quatre
ou cinq pas, Antoinette qui, les bras croisés sur sa
poitrine, regardait les val-eurs, — mais uu couple
principalement, et l'on devine lequel.

Marius BAR.

(La suite au prochain ntméro.)

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