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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0190
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Toute personne de la province qni s'abon-
nera à un des journaux ci-après, par l'entre-
mise de M. M directeur-gérant du Grelot,
77, rue NeuTe-des-Petits-Cbamps, à'Paris,
aura droit à un abonnement gra.uit au jour-
nal ie GRELOT, savoir :

Pour an abonnement d'un an : 6 mois an GB.Et.OT>

— — Je ait mois : 3 mois —

— — de trois — il mois 1/i —

à plusieurs journaux dora-
de l'envoi gratuit du

L'abonnement
blera, triplera la durée
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République française

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II

18

B

Les prix qui précèdent sont., bien entendu,
les prix iîxés par les administrations de cha-
cun de ces journaux.

VENT

L'Italie qui a souvent été un pays sublime,

N'est plus depuis assez longtemps qu'un
pays corriqne.

Elle nous a donné Arlequin, Mazarin et les
aïeux de M. de Bcoglie; c'est beaucoup au
point de vue du riie.

Aujourd'hui elle nous donne un grand
exemple, s'il faut en croire les journaux tle la
garde robe de Chislehurst.

On sait, en effet, que celte excellente impé-
ratrice, veuve du Trombalcazar de Sedan, est

en train, en ce moment, de faire respirer l'air
de l'Adriatique à son présomptif,
Et il paraît, —

Ce sont les feuilles de l'anficbambre qui
le rapportent, —

Que t'enthousiasme des populations est à n'y
pas tenir,

Qu'on pousse des acclamations a faire tom-
ber les lustres du Ih^âtre de marionnettes,

VA qu'on jette devant cette matrone (d'É-
phese) des fleurs, en veux-tu en voilât

Heureuse fensiqe !

On lui devait bien ça !

Cari 1 est de fait que,depuis quelque temps,
les fleurs que nous lui jetons, nous, ne nous
coûtent pas les yeux de la tête...

Mais c'est égal,

Les Italiens sont de bons enfants :
Si jamais quelqu'un s'est opposé à leur
unité; si quelqu'un a jamais fait des efforts,
h se casser quelque chose, pour empêcher
ITtalje de devenir une nation et de tenir son
rang parmi les puissances Européennes,

C'est assurément cette ex-impératrice que
Napoléon III a distinguée parmi les paniers
de figues et les sacs de café de son palais pa-
ternel,—et qui n'avait,elle, des yeux que pour
le pape et l'inénarrable Anton/elii.

* *

Pour moi, ce qui m'épate, — passez-moi
celte expression, en parlant d'un sujet aussi
noble,—

Pour moi, dis-je, ce qui m'épate,

C'est que ce soient, ces mûmes Italiens qui
effeuillent des tombereaux do reines-mnrgue-
rites et de violettes sous les escarpins de la
célèbre Espagnole,

Dont les journaux sont en ce moment cri-
blés jusqu'à la gueule de diatribes contre les
pèlerins catholiques qui viennent offrir leurs
hommages et leurs porte-monnaie au souve-
rain pontife.

On veut, di; ent-ils. faire de Rome la Mecque
du catholicisme,

Et ça ne nous convient pas!

•Italiens de mon cœur,

Il faudrait pourtant s'entendre.

Si vous jetez des nuages de fleurs h l'impé-
ratrice des Français, il ue faut pas jeter des
pommes cwites aux pèlerins qui viennent visi-
ter le pape,—car ceux-ci ne l aiment pas plus
que celle-là,—

Ou si vous jetez des pommes cuites au nez
das gens à bourdon, il faut au^si en jeter à
celui de notre ex-souveraine : ce n'est pas moi
qui vous en empêcherai 1

* +

A un guichet de chemin de fer d'une station

des environs de Paris :

Un paysan. — Donnez-moi un bidet d'aller
et retour pour Paris.

L'employé. —Mais il n'y a pas de train qui
parte maintenant...

Le paysan. — Ç î ne fait rien?

L'employé. — Comment, ça ne fait rien !

Le paysan. — Non, — du moment qu'il y a
un retour... j'irai a p;ed.

BRIUAINE.

ZIGZAGS

Le temps est brumeux et froid , 1rs ramo-
neurs crient dans les rues, et les marchands
de marrons ont remplacé les glaciers.

Mauvais temps pour ie zigzagueur, qui doit
user régulièrement une paire de bottes par
mois à poursuivre, par monts et par vaux, ce
protée, à cent formes diverses, qu'on nomme
l'actualité.

Il vaut cent fois mieux lire au coin du
feu.

Zigzaguons donc à travers les livres et les
journaux; nous reprendrons un autre jour nos
promenades dans les rues, quand il fera
moins froid ou que mon tailleur aura daigné
me faire crédit d'un pardessus,— l'insensé!...

Je vous garantis que si la flânerie sur les
boulevards a son charme, et si Ton éprouve
un suprême bonheur à cracher du haut des
quais pour faire des ronds dans l'eau, voire
môme à contempler pendant une demi-jour-
née l'arrivée des bateaux-mouches ou des
tramway, il n'est pas sans agrément de par-
courir les colonnes de l'Univers, d'autant plus
qu'on lit les caractères qu'elles contiennent
beaucoup plus facilement que ceux qui sont
gravés sur la colonne de Juillet.

De plus, ce genre de zigzags a sur le précé-
dent l'avantage de pouvoir se pratiquer avec
des pantoufles, ce qui n'est pas de peu d'im-
portance pour les g ns qui ont des cors aux
pieds et, trouvent des vices à toutes les chaus-
sures, môme cousues.

Tenez, voici d'abord Alb. de Bapst de Co-
gnac qui annonce que « les jimites onl encore
du fana à donner aux tigres qui en voudraient
b ire. n

Mais savez-vons, monsieur Alb. de Bapst de
Cugnac (un bien beau nom!.,.) que c'est fort
mal ce que vous faites là.

Vous poussez tout simplement k un nou-
veau massacre de; ôtages.

Vous faites comme un commis-voyageur
qui a un fort avantage, comme remise, h pla-
cer un article, et qni, à tout bout de champ,
quand personne n'y pense, vout dit :

— « Dites donc, eh, vous savezI... Tel ar-
ticle, j'en ai toujours, prenez-en donc; vous
ne pouvez pas vous figurer combien il est
avantïigeux... pour moi surtout. Si vous ne le
f lites pas pour vous, faites-le dans mon in-
térêt. »

Je suis sûr que les lecteurs du Grelot ne
connaissent pas ce M. A'b. de Bapst de Cu-
gnac (un admirable nom tout de même, bien
qu'il, rappelle un peu trop la fine ebampa-
gne!).'

C est un monsieur qui a une grande âme.

C'est lui qui le dit, et, comme sa religion
lui défend de mentir, il faut le croire.

Marchez bien sur les talons de son raison-
nement

— « L'innocence persécutée, dit-il, attire

les sympathies des grandes âmes. Les jésuites
sont persécutés. Je n'ai jamais cherché à ca-
cher les sympathies que j'éprouve pour leur
noble cause, et... »

Et, j'ai une grande Ame, parbleu!

La Palisse achèverait ce syllogisme.

C'est le coup de pied de l'âne que vous
vous donne* vous-même, avec votre grande
âme, M. Alb. Bapst de Cugnac. (Dieu vous
béms-et... Rien beau nom, mais doué d'érai-
nemes qualités sternutatoires!,..)

Il y avait bien longtemps qu'on n'avait plus
de nouvelles du Péril social, dont le Grelot
donnait dernièrement la ressemblante « por-
traicture. »

On savait bien que M. de Mon lui avait en-
dommagé les côtes de la belle manière , mais
on avait appris aussi qu'il avait été remis sur
pied par la suppression des aumôniers mili-
taires.

Malgré cela, on ignorait totalement son do-
micile actuel, et il courait grand risoue d'être
arrêté comme vagabond par le premier agent
de police avec lequel il aurait eu maille à
partir.

Mais maintenant, tout s'explique.

Il est retrouvé.

Il était en Espagne, où il vient de faire arrê-
ter une série incroyable de journalistes, de
généraux et de conspirateurs en chambre.

Ce gaillard-là fera son chemin.

Voici qu'il donne maintenant des représen-
tations à l'étranger. Il va finir par se faire une
liste civile qu'envierait plus d'un honnête
homme.

—o—

— « II est clair que toute liberté doit être
laissée à la presse en matière religieuse, puis-
qu'il n'y a point de religion pour le grand tout
de L'Etat1, ni pour ancune de ses parties.

« L'individu reste libre, à part soi, de vaquer
k la prière, comme de jouer de la flûte.

« Mais, s'il veut un prêtre, il le paiera lui-
même, et s'il lui faut un temple, il l'achètera
ou le louera. Que chacun aille à la messe, s'il
lui plaît, mais à ses frais...

« ... L'individu qui outrage un culte n'est
pas plus coupable que le voisin qui s'impa-
tiente contre son piano. »

—o—

Oui a dit toutes ces horrib'es choses?..,'
Un adieux républicain, un horrible déma-
gogue, un hideux démoc-soc ?...
Non.

Qui donc alors?

Je vous le donne en dix, en cent, en mille...

C'est Arthur Loth, Loth de l'Univers, l'ami
de Roussel et de Veuillot, c'est lui, et pas
d'autres, parole d'honneur!...

Ah I par exemple, voici le moment de pi-
quer une tête dans un dangereux tourbillon
de stupéfaction.

On annonce que le Républicain des Pyrénées-
Orientales vient d'être acquitté.

Il est vrai que c'est en cour d'assises, par le
jury.

Mais c'est égal, si en République, on ne
condamne pas tous les républicains à cent

Feuilleton du GRELOT, 5 novembre 1876.

LE VOILE

{Suite.)

La soirée éiait magnifique.

Dans la douceur du ciel d'été montait l'immense
cortège lumiHeax'des étoiles.

L'air était tiède, amoureux, pteîji de parfums brû-
lants et sensuels que le vent emportait dos blés mû-
ris, des foi us coupés, des fruits qui se doraient ou
s'empourpraient dans les feuilles.

Dans les haies bourdonnait tout un peuple de pha-
lènes et de papillons de nuit grisés par la musique et
par la lumière.

La prairie était plantée de grands pommiers sous
lesquels on dansait, et aux branches desquels on avait
attaché îles lanternes vénitiennes do toutes les cou-
leurs, qui faisaient l'effet le plus pittoresque dans ce
feuillage d'un vert profond, où apparaissaient les pe-
tites pommes dont lé noyau commençait à se for-
mer.

Les couples allaient, venaient, se mêlant, se heur-
tant, s'accroenant, formant des figures irrégulières et
bizarres.

De place en place, de grosses torches brûlaient,
tordant l'échevèlement de leurs flammes rougeâtres
dans l'air du soir.

Je me plaçai à peu do distance d'Antoinette, — et
derrière elle, afin que ma présence ne fut point pour
elle un objet de distraction, et que je pusse l'observer
tout à mon aise.

Son attention était profonde, ardente, poignante.

Souvent, elle décroisait ses bras pour appuyer son

(1) Voir les n" 286 et suivants du Grelot.
(1) Reproduction interdite.

p. enton dans la paume de sa main, par un mouve-
ment analogue à. celui du Pensiero de Michel-
Ange-

De quels rêves pouvait elle être agitée en" ce mo-
ment?

Car il n'y avait plus d'espoir pour elle.
Ce fatal mariage qui lui mettait la mort dans l'âme
allait, se célébrer dans quinze jours, — elle n'en pou-
vait clouter, — et elle-même avait travaillé au trous-
seau le soir, chez les Duret, depuis plusieurs semai-
nes...
Qu'allait-fd!e faire?

Car il était certain qu'elle ferait quelque chose...

Llle guettait évidemment un instant favorable pour
mettre à exécution le projet ténébreux qu'elle devait
avoir conçu, et c'était à moi de la surveiller en con-
séquence comme je le devais.

Cependant, la vaUe élait finie, — et Jean-Baptiste
se dirigeait avec Gertrude de notre côté.

La jeune fille était haletante, et de petites gouttes
de sueur perlaient sur son front.

— Comme te voilà faite! dit la mère Duret.
Et elle lui épongea le front avec un mouchoir.

— Tu sais bien, continua-t-elle, — que le méde-
cin te l'a défendu... Tes batteàients de cœur vont
encore recommencer...

— Mais, maman, je n'ai rien, je t'assure, je me
sens très-bien, répondit la jeune fdle tout entière en-
core au plaisir de la valse, mais respirant à peine.

— Voyez, monsieur, me dit alors la mère, voyez
comme elle est raisonnable!

— Mon D;eu! pour une pauvre petite valse! fit
Gertrude d'un air de reproche... Lst-ce que j'en suis
morte?... ou seulement indisposée?...

— Tu verras!... tu verras !... Prends garde à toi !

— Il n'y a pas de danger, mère, je t'assure!...

— Suit!... mais que ce toit la dernière fois de la
soirée, tu sais!... Des quadrilles tant que tu veux!...
mais pas d>> valse, pas de valse!...

Mais ni Gertrude, ni son prétendu ne paraissaient
fort convaincus des périls de la danse, — et, comme
font souvent les jeunes gens, ils ne voyaient peut-être
dans les appréhensions de la mère Duret que des
craintes et des préjugés de vieilles gens;comme on dit.

Néanmoins, la jeune fille n'eût point osé résister
ouvertement à sa mère, bien qu'elle eût un caractère
fort entier et dont l'indépendance s'accommodait as-
sez peu des entraves et des ordres, et elle s'abstint
de danser « les danses tournantes. »

Il était facile assurément de comprendre, à cer-
tains battements du bout de son pied, qu'elle se con-
traignait, et qu'elle eût voulu voir sans doutera mèie
un peu moins près, mais cependant elle obéissait.

En ce moment, je regardai Antoinette qui s'était
rapprochée de nous et qui avait assisté à cette scène
sans rien dire.

Sa physionomie, tout d'abord indifférente, s'était
animé,; quand elle avait entendu le mère Duret dé-
fendre à la jeun; fille de danser : on eût dit qu'elle
éprouvait de cette défense un déplaisir pins vif en-
core que Gertrude, et elle pi:.ça ses lèvres minces
dans un mouvement évident du colère qui ne m'é-
chappa point.

Taudis, au contraire, que Gertrude s'excusait et
tâchait de convaincre sa mère, Antoinette lui souriait,
l'approuvait du regard, hochait la tête en signe d'as-
sentiment, conçue si elle, aussi, eût été persuadée
que la valse était, absolument sans influence sur la
maladie de cœ ir dont la jeune fille, — cela était clair
pour moi, — devait être atteinte.

Mais, quand la fermière eut déclaré à sa fille si vo-
lonté bien arrêtée de ne lui permeUrc que le qua-
drille, le vidage d'Antoinette reprit son expression de
colère et de haine : il semblait que la docilité de Ger-
trude l'exaspérât; elle haussa vivement les épaules
d'un mouvement presque imperceptible, et ses poings
se crispèrent convulsivement.

Il était donc évident que cette femme avait le plus
grand intérêt à ce nue la ieune fille violât k défense
qui lui élait Lite, et q l'elle ferait tout ce qui lui se-
rait posMble pour la lui (aire enfreindre.

Ma.s Gertrude se conformait à l'ordre qu'elle avait
reçu.

Quand venaient les danses interdites, elle restait
assise auprès de sa mère, en compagnie de Jean-
Daptiste,—et, malgré son air dépité, elle ne se per-
mettait plus d'adresser à sa mère une prière qu'elle
savait qu'on n'écouterait pas.

On était au milieu d'un quadrille, lorsque le père
Duret, Ivgôremcnt ému par le vin, et qui faisait le
tour du bal depuis assez longtemps, en compagnie de
l'adjoint, passa devant nous, et, s'approcliant de sa
temme et de moi, il nous dit :
' — Que faites-vous là tous les deux?... Venez pren-
dre une bouteille de vin blanc avec nous à la Belle-

Yw< i

Nous refusâmes d'abord ; mais il insista intermi-
nablement, et nous finîmes par accepte*.

Ce n'était, pas une petite affaire qfle de se faire
servir ce jour-là au cabaret de la Belle-Vue!...

Le caliaretier, sa femme, leurs trois tilles ne sa-
vaient où donner de la tête, courant à droite, à pau-
clte, comme des fous, avec des plateaux chargés de
verres, des canettes d'étai i à la main,—répondant
à quarante individus qui les apostrophaient à la fois
et leur demandaient des cigares, de l'eau-de-vie, du
vin, de la bière, des gâteaux, des œufs durs, des con-
çues, du jambon, des saucisses, du sirop et tout ce
qui existe dans un cabaret du Nord un jour de
dukasse.

O.i ne nous apporta donc notre bouteille de vin
que dix bonnes minutes après que nous l'avions de-
mandé.

Le temps de la boire, — de trinquer, — d'écouter
les billevesées de l'adjoint, tout c*la nous prit bien à
peu près une demi-heure,— et ce ne fut qu'à grand'-
peine qù ', ce tant aux sollicitations Ue la mère Duret
qui me tirait obstinément par la manche en me di-
sant :

— Retournons au bal; je ne suis pas tranquille...
Je parvins à décider le fermier à me rendre la li-
berté et à me permettre de retourner à la prairie.

Là, nous allions voir du nouveau.

Nous entrons; la musique ne jouait plus, et nous
aperçûmes, à peu pris au milieu du bal, un groupe
composé de presque tous les danseurs et danseuses,
dont les derniers rangs, perchés sur la pointe des
pieds, cherchaient à voir ce qui se, passait au centre
du rassemblement.,

— C'est Gertrude!... s'écria aussitôt la mère Duret
que son instinct maternel avertissait da danger.

Et me laissant là, elle se mit, malgré son embon-
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