Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

DOI Seite / Zitierlink: 
https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0191
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
LE GRKLOT

sous d'amende et cinq cent mille francs de
frais d'insertion du jugement, je ne sais pas
ce que deviendra la société!...

Si je ne me trompe, la Péril social a encore
flû se montrer par là.

Au fait, c'était son chemin, en allant en
Espagne, je l'aurais parié.

Une bonne histoire que nous conta der-
nièrement un monsieur de la rue.

Le conseil municipal avait voté des fonds,
pour créer an collège de la ville de D... un
cours spécial d'agronomie.
Le principal dudit collège, étant en visite chez
le maire, un Ordremoralard selon le cœur de
M' de Broglie, lui dit que le conseil municipal
désirait savoir à quel point en était l'organi-
sation de ce cours o'agronomie.

— Monsieur le principal, répondit le maire,
envoyez paître le conseil municipal, cela toi
permettra d'étudier la question.

GRINGOTRE.

Petit Courrier du Grelot

A M. Bdahuette, à Montpellier.

Cher monsieur,

Vous me dites que vous préférez les vers de
n'importe qui à ceux de M. de Lorgeril ; moi,
je vous dirai que j'aime mieux sa prose.

Tenez, cher monsieur, dégustez-moi ce pas-
sage cueilli dans une longue lettre qu'il adres-
sait dernièrement à l'Univers,

« Il en coûte assurément à un ami de son
» pays, de s'exprimer ainsi; mais puisque les
» oies du Capitole sont muettes, il faut bien
» que quelqu'un pousse le cri d'alarme. »

Avouer qu'on remplace les... non, c'est
amusant comme tout.

Bien à vous.

A madame Décatie, à Monlrcuil-'ur-mer.

Ma chère dame,

Voir êtes là que vous vous montez, que
vous raillez les musulmans assez simples pour
croire que Mahomet a pu apparaître à Cheirk-
Ahmed, le gardien de son tombeau.

Je suis entièrement de votre avis au fond,
je n'en crois pas le premier mot, mais puisque
les Turcs sont mahométans, pourquoi voulez-
vous qu'ils ne croient pas à ce miracle, puis-
que vous, chrétienne, m'assurez-vous, vous
croyez bien que la Vierge apparaît à des en-
fants en leur disant d'avaler des cai loux pour
se refaire l'eslomac.

Avaler des cailloux n'a jamais été bien né-
cessaire, tandis que Mahomet demande qu'on
donne de l'argent à la Turquie, ce qui tuepa-
raît bien plus dans le mouvement.

Ainsi, dans l'alternative, vous savez, je pen-
cherais plutôt pour Mahomet, mais pourtant,

rassurez-vous, madame, je ne penche pas du
tout.

Veuillez agréer.

A monsieur Rosaces, à Grenelle-sj-Seine,

Vous vous réjouissez parce que lePèreDulac
a fait un procès à divers journaux, condamnés
par suite à l'insertion du jugement dans dix
journaux de Paris et vingt de province.

Vous êtes content, soit; mais étes-vous cer-
tain que le Père Dulac trouvera ses trente
journaux ? Comme on ne peut obliger des jour-
naux a insérer un jugement qui ne les regarde
pas, il serait tout à fait drôle de voir la justice
infliger une peine qu'elle serait impuissante
à faire appliquer.

Avouez que c'est réjouissant tout de même
une pareille juridiction.

J'ai bien l'honneur de vous saluer,

Frédéric Didter.

COUPS DE BEC

Dès le retour des chambres, des gredins ont
l'intention de demander un réforme au règle-
ment, en ce qui concerne les honneurs mili-
taires h rendre aux polissons qui se font en-
terrer civilement; aussi vous comprenez la
Monde, ce bon journal le Monde est sariS des-
sus dessous.

Le colleur de bandes, le concierge du di-
recteur, tout le monde enfin n'en dort p'us.

« Vous exigez, — s'écrie le malhenrenx —
que les honneurs militaires soient rendus aux
athées; alors vous prendrez les soldats et les
oiliciers qui seront chargés de cetle befdjgfcé
exclusivement parmi les athées, autrement
vous violeriez leur liberté de conscience. «

Voilà ce que dit le Monde, et j'avoue que jo
partage pleinement son idée.

Quand on enterre un Monsieur bien, qui
s'accrcchait toute la journée après fies
prêtres pour se ;confcsser, qui communiait
tous les matins avant son chocolat, qui l'été
s'en allait à Lourdes, etc. Que fait-on?

On commence par dire : il était décoré, il
faut lui rendre les honneurs militaires.

Il était catholique fervent, il faut que le
piquet d'honneur soit composé de catholiques
même numéro.

Alors on fait un choix.

On prend les soldats qui ont des scapulaires,
qui vont à la messe et qui communient avant
la diane. On fait un même choix pour le ou
les officiers chargé de les commander.

Jamais en ne voit de juifs ni de protestants
dans ces piquets-ln, encore moins de libres
penseurs, on respecte leur liberté de con-
science, ça c'est connu. Pourquoi les cohtrain-
drai>oh à prendre part à une cérémonie qu'ils
pourraient trouver cocasse, étant donné qu'ils
pensent autrement.

Donc, puisqu'on respecte la liberlé de
conscience, d's uns pourquoi ne respecterait-
on pas la liberté de conscience des autres ?

Aussi, quitie à passer pour un imbécile,
je voudrais, si j'étais quelque chose dans
l'affaire, qu'il soit dit ceci :

Règlement relatif aux Honneurs militaires à
rendre aux légionnaires défunts.

1° Si le défunt est catholique, les soldats
catholiques seuls, ainsi que les officiers fer-
vfnts et pratiquants, auront droit d'accompa-
gner la corps,

Tout militaire dont les idées ne seront pas
en parfaite conformité avec celle du défunt
n'auront pas le droit de prendre part a la cé-
rémonie.

2" Si le défunt est enterrS civilement, les
catholiques pourront rester chez eux. — Les
libres penseurs seuls auront droit de lui rendre
les honneurs militaires.

Comme cela, au moins, tout le monde serait
content... excepté le mort, parce qu'il est
rare que ça lui fasse quelque chose.

SULPICE.

la mxm nîxnm

THÉÂTRE HISTORIQUE

Craignant peut-être que les reprises ne finis-
sent par lui causer quelques accrocs, M. Cas-
tellano s'est décidé à jouer des couvres inédi-
tes. Il nous conviait hier à la première repré-
sentation de la Comtesse de Lcrini, —< une
première, vous avez bien ht, — drame en ;'j
actes et 7 tableaux, de MM. Dennery et Louis
Davyl.

L'œuvre nouvelle des auteurs applaudis de
la Maîtresse légitime et des Deux orphelines a
grandement réussi, et nous ne croyons pas
trop nous avancer en prédisant ici h madame,
de Lérins, la maîtresse forcée, un sort aussi
heureux qu'à son aînée, la \hiîtresse légitime.

Fertile en situations poignantes , habile-
ment présentées et dénouées, l'action ne lan-
guit pas un seul instant; l'action va toujours
croissant jusqu'au déneùment, qui, quoique
prévu dès le deuxième acte, produit le plus
grand effet tant il est ingénieusement amené.

L'ac tion se passe sou^ la régence. Le comte
de Lérins, capitaine de vaisseau dans la ma-
rine royale, de retour d'un long voyage, s'est
décidé à se fixer à Versailles. Il a quitté ses
terres, emmenant avec lui sa Femme et sa
steur, Louise de Lérins. Dans cet intérieur
s'est glissé un personnage qui se fait appeler
comte de Cliantenay, pién qu'il ne soit autre
chose que le fameux duc de Marcillac, le plus
roué des roué; de la régence. Follement épris
de la comtesse, il jure qu'elle sera à lui, et,
au moment où le comte de Lérins reçoit l'or-
dre de reprendre la mer pour une nouvelle
campagne de deux années, il fait remettre se-
crètement h 'a comtesse une lettre dans la-
quelle, lui laissant entendre son amour, il lui
annonce sa résolution de se tuer et la supplie
d'être la première à venir prier près de lui
après sa mort. La comtesse se rend immédia-
tement chez celui qu'elle croit toujours être
le Comte de Cliantenay, son ami, pour l'em-
pêcher d'accomplir son dessein, et, victime
de son dévouement, tombe dans le piège que
lui a tendu le \ieux roué, et ne sort de chez
lui que déshonorée.

Deux années se sont éeou'érs. Le comte
de Lérins est revenu de sa mission avec, le
grade d'amiral. Mais, hélas ! ee'te hante faveur
ne compense pas pour lui le chagrin qu'il
éprouve en retrouvant sa femme jusque-là si
aimante, si douce, si tendre, ne répondant
plus à ses caresses,le repoussant presque,n'o-
sant plus lever les yeux sur lui. Il soupçonne
la comtesse, et ses soupçons ne tardent guère
à se changer en réalité quand il apprend que
le prétendu Cliantenay n'était, antre que le duc
de Marcillac, la terreur des maris. Il ne doute
plus rie son déshonneur, plus complet encore
qu'il ne le peme, car du crime, de Marcillac
est né un enfant nue la comtesse fait élever
secrètement. Il suit sa femme, arrive a la
chaumière où se trouve l'enfant, et l'emporte
dms sen hôtel.

Ne pouvant plus vivre désormais près de
celle qui a déshonoré son nom, qu'il croit la
maîtresse de Marcillac, M. de Lérins veut
quitter pour toujours la France; mais avant il
veut obtenir de la coupable ;'aveu de son
amour.

Ici se place l'une des scènes les plus dra-
matiques et en même temps les plus nouvelles
qu'on puisse présenter au théâtre et qui a
fourni h Mlle Fargueil l'occasion d'un grand
triomphp.

La comtesse persistant à nier, le comte lui
présente son enfant. A cette vue, la malheu-
reuse, dans nn accès d'hallucination, rappelle
en présence de son mari et de sa sœur, tous
les détails du viol infâme dont elle a été vic-
time.

Comprenant enfin la véritable cause de son
malheur et de la douleur de sa femme, le
comte pmlonne et tue Marcillac.

Tous les détails de ce beau drame, dontnne
analyse, forcément trop restreinte, ne peut
dor ner qu'une vague idée, sont traités de
main de maître. Le quatrième acte tout entier
est d'un réalisme achevé et d'une vérité poi-
gnante. Aussi, que de larmes ont coulé ! L'é-
lément comique vient heureusement et habi-
lement se mêler de temps en temps à l'action
par trop sombre et l'aire diversion aux sensa-
tions pénibles qu'elle engendre.

Que dire de l'interprétation?

Madame de Lérins, c'est mademoiselle Far-
gueil; le comte de Lérins, Lacressonnière;
Mercillac, M. Gil-Naza I

Il suffit presque de les nommer.

M. Lacressonnière, dans le rôle du mari
outragé, est superbe d'indignation et d'ironie.
Il joue en gentilhomme de haute race, les
deux belles scènes des quatrième et cinquième
actes.

M. Gil-Naza donne au duc de Marcillac
toute l'élégarjce et la f-.tuité qui conviennent
à un roué de la Régence.

Quant à mademoiselle Fargueil, elle est ad-
mirable de résignatiOD, de tendresse et d'a-
mour. Elle joue le rôle écrasant de la com-
tesse en grande comédienne, et ce rôle restera
certainement l'une de ses meilleures créa-
tions.

N'oublions pas M. Chelles et mademoiselle
Smildt, les deux excellents pensionnaires de
M. Castellano, qui ne méritent que des éloges.

En résumé, succès de piè".e, d'artistes...
de directeur, c'est-ià-dire d'argent.

Pauvre M. Castellano !

Jules de la Verdrib.

point, à courir de toute sa vitesse vers le groupe.

Je la suivis aussitôt, travaillé par les mômes soup-
çons qu'elle, mais plus violemment encore assuré-
ment, car Jo savais trop de choses qu'elle ignorait.

Nous ne nous étions trompés ni l'un ni l'autre.

C'était bien Gertrude qui, profitant de l'absence de
sa mère, avait voulu de nouveau risquer une valse,
et qui venait de se trouver mal.

On l'avait assise sur une chaise de paille, et auprès
d'elle se tenaient Jean-Baptiste pfile comme la mort,
et Antoinette qui lui frottait les tempes avec de l'eau
fraîche et qui lui donnait de petites cuillerées d'un
liquide incolore contenu dans une liole qu'elle tenait
à la main.

— J'arrive trop tard celte coquine a fait son coup!
Je fendis lu foule à coups de coude*

— Je sois médecin, disai-je..., laissez-moi passerl
Et aussitôt on s'écartait.

Je parvins ainsi assez vite près de la patiente, —
et je lui lis respirer longuement un flaain de sels
anglais que depuis ma maladie je portais toujours sur
moi, cur j'étais sujet à de fréquents éblouissomenls
qui provenaient de mon état de faiblesse.

Elle ouvrit les yeux, et regarda autour d'elle d'un
œil étonné.

— Où suis-jc? dit-elle.

— Parmi des amis, lui répondis-je... Ne craignez
rien... c'est une faiblesse qui vous a prise, et rien
autre chose...

Elle était horriblement pale, et ses yeux avaient
cette langueur qu'on voit aux yeux des mourants.

— Ah! que je me sens mal! dit-elle...

Et elle se laissa aller sur le dossier de la chaise,
comme si elle allait se trouver mal de nouveau...

— Y a-t-il, ici, deux hommes vigoureux pour
transporter mademoiselle chez elle ï dis-je.

— Moi, répondit aussitôt Laval.

— Et moi, dit le gros Pierrot... Mais, ajouta-t-il,
laissez-moi faire, Batiste, je la porterai bien tout
seul...

Et soulevant comme une. plume la chaise avec la
jeune fille, il se mit à marcher n'un pas rapide vers
la maison du père Durct, entre deux rangs de pay-
sans qui s'écartaient pour le laisser passer.

— Ma pauvre enfant, ma pauvre enfant, disait la
fermière, tout en suivant Pierrot et en essuyant ses
yeux.

— Consol-zvous, ma lame, ce ne sera rien, — si
ce n'est, comme je le crois, qu'une faiblesse...

Quand nous fûmes arrivés à la maison, je cherchai
des yeux Antoinette.

Elle nons avait accompagnés.

Je la regardai à la dérobée :

£«s yeux brillaient exiraordinairemerit, et une lé-
gère rongeur colorait ses joues flétries.

Nous couchâmes la jeune tille, — et qmnd elle se
trouva dans Bon lit, elle parut reprendre un peu ses
sens.

Je me rappelai alors le détail de la fiole d'Antoi-
nette.

Que pouvait-elle bien lui avoir lait prendre?
ht comment arriver à le savoir?
J allai droit à la femme un voile, et je lui dis à mi-
voix, et d'un ton de confiance:

— Elle va ihîl'Ux... que lui avez-vous donc fait
prendre ?

— Un cordial à la menthe, répondit-elle,., j'en ai
toujours do prépaie à t.aise de mes maux d'estomac,

— Je la regardai, sans donner à mes yéux aucune
exprission particulière afin de ne pas taire naître en
elle de soupçons.

Mais elle, n'avait pas changé de visage, et elle j>ar-
lait son ton ordinaire.

Je lui dis alors, eu faisant un effort pour que ma
voix ne la troublât pas :

— Donnez-moi la bouteille.

— Qu'en voulez-vous faire ? dit-elle.
Se doutait-elle de mou dessein?

— Il me semble, lui répondis-je, que cela lui a
fait du bien... Vtiyez comme elle revient peu à peu...
Aus^ peut-être serait-il bon de lui eu donner encore
quelques cuillerées dans la soirée et dans la nuit, s'il
en était besoin...

Elle me regarda avec atlention pendant quelques
secondes, cherchant à voir si je n'avais pas quelque
secrète pensée.

Mais ne remarquant rien de particulier sur mon
visage, elle mit sa nain dans sa poche et eu retira

la précieuse fiole.

C'était une bouteille qui pouvait contenir environ
cinquante grammes de liquide : je la pris, et sans
rien témoigner je la mis dans le gousset de mm
gilet...

11 venais de se pa-ser, en effet, dans la cervelle
d'Antoinette un raisonnement du genre de celui-ci :

« S'il ne se doute de rien, autant lui donner la
bouteille ; ce que je veux n'en ira que plus vile, —
ei s'il se doufo de quelque chose, ses soupçons seiont
confirmés et il me la fe-a donner de force... il vaut
donc mieux la lui donner de bonne volonté, alin que
ses défiances, s'il en a, se dissipent. »

Une fois que je fus en possession de h fiole d'An-
toinette, je n'eus plus qii'un désir, celui d'éloigner
tout le monde que nous avait accompagnés, — An-
toinette, surtout, — et de rester seul avec la malade
que je me proposais d'étudier attentivement.

Je priais donc les as>is!ants de se l'étirer, — ce
qu'ils firent tous d'assez, bonne grâce, à l'exceplion
d'Antoinette qui prétendait que.--: voulait se rendre
utde, mais que la mère Buret finit par convaincre
qu'elle suffirait seule à li besogne; le fermier, du
reste, n'avait pas lardé à arriver, cl il dit qu'il vou-
lait être seul avec sa tille, ce qui coupau court à
toute diseuss;oil.

Quand chacun fut parti chez lui ou retourné à la
fête, nous restâmes encoio assez longtemps avet Cer-
trude qui était assez calme ; la mère Dura!, s'installa
auprès de sa tille dans un grand fauteu I, et on m'en-
voya coucher; j'en avais grand besoin.

Vers deux heures de la nuit, je fus réveillé en
sursaut.

— Venez vite, me dit le père Duret, — ma tille se
meurt...

ÎIauius BVR.

(La fin au prochain numéro.)

P.4.3 D23 CK E OIT

A'oms ncnmmandms aux économes S*vigxt et C',
tailleurs, 47, r. IS.Pctits-Cha.iips, qui lent 15 Ojôd'ess.

FOLllSS-BKRGÉRES. — Tous les soirs, à 8 h.
specta: le varié : oporeîtes, ballets, pantomimes, tra-
vaux de voltige, acrobates.—0. Métraelsonorchestre.

TIVOLI-VaUXHALL, rue de la Douane. — Ouvert
tous les jours.

CtlaTKAU-ROUGE. — Ouvert les lundis, mercre-
dis, vendredis et dimanches.

THÉÂTRE MLNlATUliE. — Tous les soirs : Peau
d'Ane.

VAI.ENTINO. — Tous les soirs, à 8 heures, Soi
rées musicales et dansantes. Mercredis et samedis,
Fûtes de ir..nuit.

TKE TISSKS de Londres. Agence d'abonne-
ments et d'annonces, M. Madré, 77, rue iNeuve-des-
Petits-Champs, à Paris.

CARTES di VISITE

Livrées
à la MINUTE

Depuis S Ir. 50 le cent.

format ordinaire :

le cent.

Velin fin...... * lr. 50

Bristol....... S »

Bristol anglais. 3 50

grand format .'

te cent. '

Velin fin..... S fr. 75

Bristol.......3 *5

BràfM anglais. 3 75

CARTES en DECïL{S'^;f-6n^S.

Envois franco en province contre timbres-poste ou
mauduts.

j. .Mabrb, 77, vue Neuve-des-Petils-Champs à Pari. .
Bildbeschreibung
Für diese Seite sind hier keine Informationen vorhanden.

Spalte temporär ausblenden
 
Annotationen