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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0199
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LE GRELOT

Qu'est-ce vous voulez?

On l'a contrarié, cet homme?

Il y a, en effet, à Toulon, des gens qui ont
recours à un médecin, et non à l'eau de Lour-
des, quand ils sont mala Jes ;

Qui, en lisant dans la 'Gasïtte des Tribunaux
Jes condamnations pour attentais aux mœurs
des frères de la doctrine chrétienne, trouvant
m'il y a d'autres précepteurs à,donner aux
enfants du peup'e;

Qui ne croient pas que le bois de la vraie
croix ait pu fournir assez de reliques pour
bâtir un village tout entier, commé cela serait
possible si on rassemblait tous les fragments
distribués depuis des siècles;

Et qui ne pensent pas que pour être honnête
homme et bon citoyen, il faille croire à l'in-
fatttririlité du pape et à l'immaculée coiicep-
tioD.

C'est ce qui fâche M. Belcastel.

*

* *

Ce qui le fâche surtout,

C'est que les hommes qui font ces aveux
naïfs, ne sont pas précisément de la canaille.

Ce ne sont pas les vieux forçais du bagne
qui achèvent leur peine dans les cabanons de
la ville,

Ni môme des gens perdus de uefte^j et de
mœurs.

•Ce sont des gens honorables, rètpee abie.s.
riches et bien posés, — des fonctionnaires, des
aunuiiiistraleurs, des élus de tome une popu-
lation ;

Cela se conçeit-il !

Si re n'était que de simples voyous, de la
crapule, — la' Ué, comme (lisent les gcr.s bien
pensants, on n'y trouverait rien que de lïes-
naturelj

Mais des gens qui ont des reates,
Quelle horreur I

*

* *

Il y a dès journaux bien aimables pour leur

Eu voici u»> qui m'arrive de Suisse, et qui
contient ces lignes :

« Les moutons ont beaucoup diminué en
Suisse,

« Hais le nombre des porcs k augmenté. »
Cela, à côté d'un article sur les élections.

Entre eux d',ux.

— Chez nous, notre maisoa fa;! tellement
d'affaires que, nous sommes obligés d'avoir
quatre hommes de peine pour poi ter le grand-
livre...

L'amre, sang s'émouvoir :

— Oh! chez nous, c'est bien différent.,. Le
grand-livre est si grand que le caissier est
toujours obligé de prendre un cabriolet pour
aller du Doick l'Avilir.

On parlait devant un de nos éehotiers d'une
société financière dans le conseil d'adminis-
tration de laquelle se trouvent passablement
rie personnalités véreuses, — ce qui n'a rien
d'étonnant puisqu'elle a été fondée sous l'em-
pire.

— Il faut avouer, dit quelqu'un, que c'est
une société très-mêlée.

— Mêlée, fit le journaliste... Elle n'est pas
.mêlée du tout, puisqu'elle n'est composée que
de coquins.

Conversation entre deux médecins :

— Ah !.,. Et votre avocat qui a une tumeur
de l'estomac, est-ce que vous l'avez opéré?

— Oui!

— Et comment va-t-i! ?

— Hum !... assez mal !

— Est-ce qu'il guérira ?

— Allons donc !... vous ne le faites pas.

— Mais est-ce qu'il y avait nés chani es de
guérison ?

— Aucune.

— Mais alors pourquoi l'avez-vous faite î

— Ah!... vous savez... pour la clientèle il
faut bien faire de temps en temps une petite
diversion.

BR1UA.INE.

U SEMAINE THÉÂTRALE

Si vous avez quelquefois fait un long voyage,
ami iecleur, vous avez dû certainement rt
plus d'une l'ois être victime de ce que j'appel-
lerais volontiers une farce non de fumiste mais
de chauffeur.

L'heure du dîner approche : l'estomac bat
le rappel. Vous saisissez votre Indicateur et
vous voyez : X... vingi-cinq minutes d'arrêt.

— Parfait, vous éeiiez-vous, je dînerai &
X... et je dînerai copieusement. Ah! bien oui!
Arrivé à X... vous constatez avec horreur que
voire train a vingt minutes de refard, e! au
moment où vous vous précipitez yen le buffet,
le chef de train tous arrête par le cri sauvage:
« Messieurs les voyageurs en voiture I »...

Et vous voi à forcé de remonter en wagon,
emportant pour toute nourriture, à la place
des mets succulents, que vous dégustiez déjà
>en imagination-, un mauvais cervelas ou autre
ingrédient indigeste que vous grignotiez de
mauvaise humeur entre deux courants d'air.

Eh.bien! notre serviteur se trouve aujour-
d'hui absolument dans la situation navrants
de ce voyageur.

Nous aussi, nous compilons cette semaine
sur un délicieux menu.

— Jugez-en plutôt par la carte : au Lyrique,
Paul et Virginie, l'opéra de Victor Massé-qéi
s'annonce comme devant être l'événement ar-
tistique de la saison ; au Gymnase, la Comleue.
Romani, (le M. G. Fould, remaniée par
Alexandre Dumas, te grand dwnplcur 4'nur$—
ouvre l'œil Delmonicq — à l'Odéou, Déïdnmia,
drame de M. Tu d> Banville — et voila que,
pour obéir aux exigences du metteur eu
page, chargé, lui aussi, de la mise en train,
nous n'avons aujourd'hui à nous mettre tous
la dent qu'un mauvais cervelas — pardon, un
mauvais drame, le Béarnais, de M. Xavier de
Montépin !.,.

C'est navrant. Quel mahtutrel...

Voyons ! si pour l'aire passer plus facilement
cette petite mai bine, je vous la racontais en
vers? Oui, n'est-ce pas? Écoutez donc :

D'avoir liante la comédie
Un pénitent, en vrai chrétien,
S'accusait, el promettait bien
De n'y retourner de la vie.
« Voyons, lui dit te bon curé,
« C'est le plaisir qui fait l'offense.

« Que donnait-on ? — Le Béarnais (1).
« — Vous le lirez pour pénitence. »

On dirait que c'est fait exprès.

* *

Je ne puis cependant vous abandonner dans
les profondeurs de ce four. Sortons-'n donc
au plus vite et disons un m< i des quelques
questions à l'ordre du jour, rentrant dans no-
tre cadre.

La plus récente, le mariage du lenôr Capoul
'avec Mlle G... est, si nous sommes bien in-
formée, complètement vidée. La future épouse
serait bien une demoiselle G..., mais ne serait
pas mademoiselle, G...

Tant mieux pour M. G...

L'affaire Wagner. Pasdeloup nous semble
êlreenli ée dans une phase tout aussi favorable.
Le nom de Wagner a disparu pour toujours,
nous l'esjié ons, de L'affiche,

M. Pasdeloup a vainement allégué pour sa
défense « que l'art ne doit pas avoir de pa-
trie. » Il éfai! mal venu à nous dire cela,.à nous
autres Parisiens. Est-ce que nous n'applaudis-
sons pas chaque.iour les œuvres deMeyerbeer,
d'Haydn, de Beethoven, de' Mozart et de tant
d'autres maître.-.? Est-ce que nous n'avons pas
même éié déjà assommé- par les bruyants
charivaris musicaux du même Wagner avant
sa dernière turpitude à notre égard? On le
sifflait, c'est vrai; mais unique mer t parce que
sa musique était mauvaise; on ["écoutait, du
moins.

Le débat ne doit donc pas être déplacé.
L'art n'a rien à voir ici. Les Parisiens ont. banni
à. .tout jamais ce maître drôle, non parce que'
sa musique est souverainement désagréable à
entendre, non pas non plus parce qu'il est Ai-
letnetat ni même Prussien, mais uniquement
parce qu'il a ins; lté et sottemenl insmté notre
pauvre France. Ii en sera da même, qu'on le
sache bien, pou; les œuvres de tous ceux qui
se seront rendus coupables de ce crime île
Use patrie, qu'il- habitent Paris ou Munich.

La musique de Wagner ne doit plus frau-
chir le. Rhin. Quant à sa figure, s'il osait jamais
l'exhiber ici, elle serait du moins, d'une cer-
taine utilité :

On pourrait s'en servir comme crachoir!
*

* *

Reste maintenant la question du nom à
donner à la nouvelle avenue qui doit relier le
[Théâtre-Français à l'Opéra.

M. Gilbert-Augustin Thierry a, le premier,
proposé de donner à celte voie le nom du plus
givnd, du plus universellement estimé de nos
poêles; nous avons nommé Corneille.

Si petit que nous soyons, nous nous asso-
cions pleinement au vœu dé M. Thierry'et dé-
sirons vivement qu'il soit pris en considéra-
tion par nos édiles, auxquels il doit être sou-
mis.

Us ne sauraient faire un meilleur choix.
On nous dit bien que le voisinage du Palais-
I Royal a suggéré à quelques-uns d'en Ire eux
| l'idée bizarre de donner, en réparation du pré-
judice causé, à ce nouveau boulevard, le nom
bien connu d'un... honorable!...

(1) Les lecteurs grincheux sont instamment priés rie
bien vouloir faire rimer curé el Béarnais, c'est facile
| avec un peu de lionne volonté.—Les temps sont tellement
i du' s qu'on ne trouve plus que très-diflicilemeut des mil-
j lionnaires... même parmi les rimes.

Mais il y a des présomptions graves pour
qu'elle n» soit pas acceptée par la majorité de
leurs collègues.

Espérons donc que nous aurons enfin l'ave-
nue Corneille. Juijes dé la Veedris. .

GRELOTS-FINANCE

Les affaires d'Orient ne se présentent déci-
ment pas en faveur d'une bonne tenue des
cours. Les rentes et les meilleures valeurs
avaient déjà un peu fléchi sur les cours faits
en liquidation, !e discours de M. Disraêli et la
déclaration de l'empereur A exandre ne feront
certes pas l'affaire des haussiers.

Le 3 0/o aura aussi à défendre le cours de
71, et le 5 0/0 reculera-t-il peut-être au-des-
sous de 104 fr. M. Decazes aura beau répéter
que quoi qu'il arrive en Orient, la France ue
se laissera pas entraîner, une chose est cer-
taine, c'est que ta reprise de lai guerre pèsera
fortement sur nos rentes.

L'Italien qui avait presque touché le cours
de 73, pourrait bien en cas de complications
retomber comme il v a moins de quatre se-
maines au cour- de 68 et de 67 fr.— Ce n'est
pas t ut, la majorité de gauche que les élec-
tion- ont amenée dans la chambre des députés
trouverait, à ce qu'il paraît, le moment bien
choisi pour proposer des--réductions d'impôts.
Il est vrai que celle façon de mener les fi-
nances ne serait pas du goût du ministère et
du sénat.

En Espagne, 1? gouvernement se remet à_
parler d'économies et de fidélité due aux en-
gagements pris avec, les créanciers de l'Etat.
C est là un signe d'emprunt. Malgré ce beau
ramage, les fonds espagnols ne montent pas.
On lait bien de ne pas les pousser.

La mission Go=chen et Joubert a-t-elle
réussi? Je n'en sais trop ri«n, mais ce qu'il y
a de certain, c'e-t que l'exil du ministre des
finances au S milan et le remplacement de ce
ministre par le propre fils du Khédive ont fait
monter les obligations égyptiennes de 1873,
de 215 à 240 fr. Ce n'est pa's encore tout à
fait, le cours ne 300 fr. annoncé il T a une di-
zaine de jours, par le Moniteur universel, et en
dépit des 18 millions, qu'on ('il avoir été expé-
diés d'Alexandrie à la Banque d'Angleterre,
en à-compte »ur les sommes nécessaires au
paiement du coupon de janvier. 11 fant tou-
jours douter du paiement de ces coupons,
même réduit à 6 0/o au lieu de 7 0/o-

Les porteurs de fonds turcs croient toujours
que l'on va s'oceuper rie leurs pët'tes affaires
et prendre des mesures pour qu'ils puissent
voir à nouveau la couleur de l'argent turc. Ce
sont là des illusions bien innocentes; laissons
en paix les bonnes gens qui s'en bercent.

Le discours de M. Disraeli, autrement dit
lord Beacou>fîeId. avait retenu le relèvement

plus malin des médecins légistes, h l'examen cadavé-
rique fie la victime, ne trouvera absolument rien, et,
somme il sera obligé de le déclarer au tribunal, le
jury vous acquittera sans qu'on puisse lui faire le
moindre reproche, attendu qu'en effet, il n'y a pas
de preuves'-... Heureusement que voici de quoi con-
vaincre L coupable... H est trop facile de prouver
par une expérience sur ua animal que ceci est bien
un poison 1...

Eu faisant ces réflexions, avec ce calme et ce
snng-fioid que les praticiens acquièrent par leur ha-
bitude perpétuelle des misères humaines, le docteur
avait si bien manipulé avec quelques-uns des trois
cents petits tubes que contenait sa frousse de phar-
macien qu'il avait préparé son contre po son.

— Allons, mademoiselle, dit-il en introduisant en-
tre les lèvres de Gertrude une pelile cuillérée de la
potion, — ce ne sera ri- n, — vous n'avez heureuse-
ment pris qu'un tiers de la petite bouteille de made-
moiselle Antoinette... Et dans cinq ou six jours vous
serez sur pied... Maïs il n'aurait pas fallu en prendre
trois ou quatre cuillers de plus...

A ces paroles du médecin, le père Duret était de-
venu blanc comme un linge.

— i"ornaient I baibwtia-t-il, — Antoinette... Ce se-
rait Anloiuette...

— Oui, mon cher monsieur,répondit le docteur en
souriant... Une autre lois, vous vous délierez saris
doute davantage des gens qui ont le voile...

— Oh! ce n'est pas possible!... Antoinette ne fe-
rait pas cela !

Le iné iecin regarda sévèrement le paysan, et lui
montrant du doigt sa fille étendue dans le lit et ayant
encore sur les joues la pâleur de la mort :

— Voilà ma réponse, dit-il.

En ce moment, on entendit une voix forte dans la
pièce q i donnait sur la rue et qui précédait la cham-
bre de Gerirude où nous nous trouvions.

— Je vous dis que je veux le voir, moi, disait la
voix.

— On ne peut pas le voir, — sa fille est malade...
répondait une autre voix qui était celle d'un des va-
lets de la ferme...

— A plus forte raison, alors, si elle est malade 1...

Cette fois, nous reconnûmes tous la voix du gros
Pierrot.

Le père Duret ouvrit aussitôt la porte pour laisser
entrer l'herc de, — et il était temps, car Pierrot ve-
nait de mettre le valet de ferme sous son bras comme
on fait d'un enfant, et te préparait à untrer de
force.

— Laisse-là ce garçon, dit le père Duret au brave
homme, qui déposa aussitôt sa victime à terre, — et
di--moi ce que tu as k rce dire...

Le gros Pierrot attira le père Duret dans un coin
de la salle, et lui ilit à mi-voix,mais assez haut pour-
tant pour que le docteur et moi, qui nous étions rap-
prochés par une sorte de curiosité instinctive, l'en-
tendîmes irès-ilislinclement.

— Il y a qu'Antoinette, que j'ai rencontrée tout à
l'heure, vient, rie me dire qu'elle avait vu passer
cetle nuit l'enterrement (le ta li.le....

Le fermier ouvrit rie grands yeux.

— Eh bien! dit le médecin, — trouvez-vous que
ce soit possible à présent.,. Tenez, ajouta-t-i!, avez-
vous un lapin ou un jeune chat ici... Je vais vous
faire voir si c'est possible, moi!... Aussi bien, pour
le moment, madame Duret suilit ici...

Nous passâmes dans la cour de la ferme, où bien-
tôt le père Duret lui amena un lapin.

1-e docteur introduisit à fa pauvrii bête deux cuil-
lérées du liqui le contenu dans la liole d'Antoinette;
au bout de dix minutes, le lapin, qui avait déjà
donné quelques signes tétaniques, fut pris d'une pa-
ralysie des membres postérieurs et lomba, comme
assis, sur le derrière, dans l'impossibilité rie se rele-
ver; il laissait aller sa tête de côté et d'autre, écrit
saisi de ttessautëments par tout le corps, et, au bout
d'une demi-heure, il se laissa rouler sus le 11,me
droit, mort, les pattes raides, les yeux noyés...

— Cela vous suffit-il? dit le docteur, ou bien, si
vous croyez ce liquide inoll'eiisif, voulez-vous y ^où-
ter vous-même?...

Le, pèie Duret ne répondit rien : mais une colère

enrayante se lisait sur son visage.
jWs ren trame» dans la chambre do Gcrtrudei
Au bout d'un moment, ie fermier prit Pierrot à

part et lui dit à l'oreille :

— Ne dis rien de ce que tu Viens de voir à per-
sonne, — mais va chercher ie maire et amène-le ici!

PL rrot ne souffla mot, et partit comme un trait.
Cependant le contre poison commençait à opérer
sur la jeune fille, — et la mère Duret qui lui admi-
nistrait tous les quarts d'heure une cuillerée de l'an-
tidote, souriait doucement dans ses larmes.

'— Cette fois, dit le pay.-an au docteur en lui ser-
rant fortement le bras, je vous crois... Ah ! cette co-
quine-là !... Qui est-ce qui curait dit çà V

— i.royez-moi, dit le médecin, il n'y a'ni gens
prédestinés, ni devins, ni sorciers, — mais il y a
beaucoup rie misérables, et cette femme en est une!

Le. maire ne tarda pas arriver, — et le docteur
n'eût pas rie, peine à lui démontrer que l'arrestation
d'Antoinette élait absolument de ligueur, en présence
de pareils événements.

Le girde champêtre, aidé de Pierrot, fut chargé de
cette désagréable mission, — et, deux heures après,
la population du village ne fut pas médiocrement sur-
prise et indignée de la voir passer avec les menottes,
— car on avait bien fait les choses; — mais quand,
on sul pour quelle cause on la conduisait provisoire-
ment à Loos, où Sri trouve une ries maisons centrales
les plus importa»le* de France, ce ne fut qu'une cla-
meur de rage el de fureur, — et la malheureuse eui,
sans doute, couru grands dangers si Pierrot n'eût
pas été là pour la protéger contre la foule.

Antoinette fut jugée aux assises suivantes, à Douay,
et condamnée à dix ans rie travaux forcés.

Quant à Gertrude, au bout de huit jours, elle fut
rétablie, — et trois semaines après la kermesse, on
célébra ses noces.

Je n'ai pas besoin de dire que Laval me prit pour
son girçon d'honneur : il me devait bieu çà, puis-
qu'il me devait sa femme.

■Mahius BaK.

FIN.

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