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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0208
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LE GRELOT

jnsqu'à son dernier soupir comme la plus
courageuse des Sœurs de charité, resta six
heures évanotr.e quand on vint chercher la
bière.

Le lendemain elle entrait à la Charité avec
une fièvre cérébrale.

Trois mois après elle en sortait méconnais-
sable.

Très-belle encore, cependant, mais avec
quelque chose de hagard dans les yeux.

— Rose, lui dirent ses camarades, mainte-
nant que te voilà veuve, est-ce que tu ne vas
pas te remettre dan* le mouvement?

— Parbleu! fit Rose... et manger doncl
allons, saule, marquise!...

La marquise sauta douze mois.

Puis au jonr anniversaire de la mort de son
mari, elle voulut aller passer la journée à
Saint-Maur.

C'était le mois dernier.

11 faisait une chaleur étouffante.

Rose proposa une partie de canot.

— Vous verrez , disait-elle aux aimables
gommeux qui l'entouraient... il y a là-bas, en
face decette sorte de masure... sous ces grands
saules... un endroit charmant pour se bai-
gner.

— Mais celte maison , fit un des gommeux,
n'est-ce pas celle où ton mari...

— Est mort?... Je crois qu'oui... Eh bien,
après?... il y a si longtemps que cela est ar-
rivé I... un an... faut il pas pleurer toate sa
vie?...

Et Rose, qui était à la barre, gouverna vers
la petite anse mystérieuse sombre sous son
manteau de verdure-humide.

Quelques mètres'âvant d'accoster :

— Ça m'ennuie .ue. barrer... Jules» donne-
moi ta rame.

— Mais...

— Donne donc!... et prends ma place.-..

— Ne te lèves pas si brusquement... tu vas
nous faire chavirer I...

— Poltron, va!... on ne sait donc pas sa
gymnastique?...

Et pâle, souriante, résolue, Rose se leva.

On était juste devant la petite .maison.

Alors, montant snrle banc du rameur,comarie
si elle eût voulu prendre sa place, elle regarda
les volets fermés de la maison inhabitée, puis
lui envoyant un baiser de la main : ,

— Allons... saute, marquise!
Et elle s'élança dans la Marne.

Voilà la dernière chronique de l'Hôtel des
Ventes

NICOLAS FLAMMÈCHE.

GRELOTS-FIN ANCS

On avait baissé sur les discours àa U*xcw>
et de Saint-Pétersbourg, ainsi que s*f la me-'
bilisation de la moitié de l'armée m»s« ; 'cm a
repris ensuite sur la publicité donné* à aue
conversation qui aurait été tenuu qui*ze joups
auparavant. Bien des gens simples cmT peine
à comprendre comment des actes, séiUatU. la
guerre de cent lieues, peuvent être 'tr*«rfor-
més en actes pacifiques, parce qVil plaît de
publier une conversation antérieure, dans la-
quelle on déclare positivement que l'on s'ab-
tieudra de tout ce qui pourrait resiembler à
des actes de guerre.

On a laissé ces braves gens à la rjeherche
de la solution de ce qui leur semblait une
charade, et on remonte. Pas de beaucoup,
niais enfin on remonte. Il est vrai qus l'on
était talonné par la liquidation, et que si noir
que fut l'horizon, il n'était guère probable
que l'orage éclatât- d'ici là, ei voilà ce qui a
fait que te 3 p. 100 s'est relevé à 70.87, et le
8 p. 100 à lo4.87.

Le comptant a, par ses achat?, beaucoup
aidé au relèvement des cours. Ce pauvre
comptant De peut pas rester à rien produire;
il s'écarte avec juste raison des fondrière*
dans lesquelles les sociétés du coin du bois et
leurs intermédiaires veulent l'attirer. II va
donc aux rentes et aux valeurs d«s grandes
compagnies, ce pauvre comptant, et bien il
fait.

L'Italien est lui aussi un peu Hiieuxjteou à
70.70. On fera bien de ne pas en avoir de trop
gros paquets. Le bon M. Dcpretis a eu sois de
nous apprendre que l'équilibre budgétaire
n'était pas bien assuré, et s'il devait y avoir
guerre, et que l'Italie dut y prendre sa part, si
la chose se prolongeait, je craindrais fort pour

les coupons. Le chef des tribus d'Ismafil,
M. de Rothschild, on peut en être sûr, ne
paierait qu'autant que le gouvernement italien
lui aurait approvisionné ses caisses.

MM. de Rothschild et leur groupe ont de
gros paquets de billets hypothécaires qui leur
ont donné, il y a quelques mois des règlements
des avances qu'ils avaient faites pendant la
guerre au gouvernement espagnol. Provisoi-
rement, ces titres ont de bonnes garanties.
C'est la banque d'Espagne qui prélève sur
les contributions directes les sommes néces-
saires au service de ces valeurs. Mais une fois
ces titres sortis des caisses de MM. de Roths-
child et des banquiers de leur groupe, et.
placés alors entièrement dans le public, est-il
bien sûr que les contributions directes con-
tinuèrent à prëndre le chemin de la banque
d'Espagne, surtout si des embarras politiques
surviennent. Or, la terre d'Espagne est fé-
conde en embarras de cette sorte.

Le 5 p. 100 turc valait 10.50, il en vaut près
de H. Il vaudrait 12 et même 24 que cela
n'apporterait pas la plus pauvre petite piastre
aux porteurs de titres. Les diverses obliga-
tions ottomanes sont aussi bien dépréciées. Il
devient de plus en plus difficile d'en vendre
en bourse. Le meilleur parti à suivre, c'est
encore de prendre le prix minime qu'on en
trouve encore. Ce sera au moins cela qui ne
sera pas perdu.

Les fond|/vrusses se sont aussi relevés. Je
n'en persisteras moins à donner le conseil
d'en sttrtïr aù'plus vite! Dût-on y être entré' à
20;fr!'iàd-déssus du cours 'actuel, même aVé'c
le'mafhtiwi1 de leur'prix, on n'est là'qu'au
commencement de la perte. Datas un an , le
5 p. lOO'qui vaut encore plus de 80, pourra
bien n'en valoir que 4, et le À 1|2 p. 100 30,
au lieu de 70, et comme j» désire le bien de
tout le mondet si, parmi les lecteurs du Gre-
lot, il en est qlii veuillent garder 'cé's'Vft'Wirs,
je serai enchanté de voir" rdes*prédictionsl'à
l'égard des fonds russes ne pas se réaliser?"

Les fonds égyptiens, qui, il y a quelques
mois, touchaient à 175, ont été ramenés à
près de 280 fr. plus haut par les arrange-
ments que MM. Joubert et Goschen ont fait
accepter au khédive. Le paiement des cou-
pons dejanvier est assuré. Certes, ce n'est
pas du produit des impôts qui avaient été
rais en réserve pour fournir les ressources
nécessaires au paiement de ces coupons que
viendra l'argent qui sera touché en janvier
par les porteurs de titres. Personne n'oseraîV
le sDUtenir. C'est tout au plus si le produit.de
•es impôts en aura fourni le quart. Heureuse-
ment, i^Égypte, est toujours un de ces pays
dans* desquels :\eii répétitions des contes 'des
Mill* et'une Nuits se continuent. L'ex-roinislre;
des finances, "qui aurait fait un excellent lieu*"
tenant d'Ali-Baba, avait'Tine fortune person-
nelle de 50 et quelqife's millions de francs
qu'on vient de lui prendre. Cela aid'traàcom-
pléter les sommes, nécessaires nu coupon de
janvieT, et permettra de préparer ici une nou-
velle émission de valeurs égyptiennes, dont
le succès est ici indispensable à tant de gens,
si l'on-veut qu'ils restent millionnaires. '

ARfEL.

Krascati : Cette magnifique salle ne désemplit pas
Plein» les jours de bal, comble le vendredi, jour de con-
cert, pour entendre Arban l'inimitable cornetiistes, ses
solites distingués et son orchestre sans rival, elle regor-
gera de monde quand viendront les bals masqués dont
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geurs prévoyants l'emportent pour oublier les ennuis
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Coulisses et du Parterre. — Indépendamment des
anecdotes particulières sur chacun de nos grands
artistes, on trouve çà et là les bons mots des cou-
lisses et du parterre, des épigrammes finement ai-
guisées, de joyeux propos, des réparties spirituelles
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