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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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https://doi.org/10.11588/diglit.6801#0102
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15 CENTIMES

LEjGRELOT

— BieD, je vous donne quarante huit heures.

— Merci, patron 1

Et Saint-Genest-Faribole trempe brièvement
sa plume d'oie dans son encrier et exprime
cette phrase typique qui est le comble du
boniment figaresque :

« En apprenant ces nouvelles, M. Magnard
semble hésiter. Il vient de me dire : il faut
attendre. Ah, lecteurs, encouragez-le à atten-
dre. »

Oùs qu'est mon goupillon? ah, lecteurs, en-
couragez Magnard à attendre, je vous en con-
jure. Autrement c'en est fait de la religion, de
la famille, de la proprilliéte.

Si Magnard ne veut pas attendre, c'est la fin
du monde, savez vous 1

L'éloquence de Goblet

Pour un beau triomphe oratoire, M. Goblet,
ministre da l'Intérieur et des sergents de ville
a eu un fameux triomphe oratoire.

Jamais, en dépit des questions brûlantes
(égyptiennes ou autres) qui l'agitent, la Cham-
bre ne s'est sentie plus en gaîté qu'en enten-
dant le potentat de la place Beauveau pronon-
cer son désormais célèbre : Si j'ose m!exprimer
ainsi.

Enfoncé monsieur Prud'homme! Si j'ose
m'exprimer ainsi 1

M. Goblet a des euphémismes à lui pour dé-
signer ce bal qui... ce bal que... Bullier enfinl
qu'il enguirlande de cette périphrase cocasse:
« Ce bal dont le nom vous a été donné tout à
l'heure. »

Et l'échauffourée du Luxembourg. Ecoutez
un peu :

«... C'était l'heure de la musique si j'ose
m'exprimer ainsi. »

Mais ose donc, je t'en conjure, Goblet de
mon cœur, ose donc.

Maintenant, nous arrivons à la preuve de la
présence d'étrangers sur le boul'Mich' :

La preuve qu'il y avait des étrangers, c'est
que l'un d'eux s'est servi d'un couteau cata-
lan. »

Un couteau catalan. "Vous avez bien lu ! Le
porteur de cette arme prohibée ne pouvait être
qu'un habitant de la Catalogne, ô ma mèrel

Bref, le pauvre ministre a fait un fiasco ter-
rible.

Ce qui faisait dire à Lockroy :

— Pas étonnant que Goblet se soit mis en
quatre pour excuser les sergots qui considè-
rent comme une insulte capitale la prise de
leur numéro par un pékin qu'ils assomment.
— Goblet devait nécessairement défendre les
casse-tête, puisqu'il est député de la Sommet

Etrange !

Hier, en traversant la rue d'Aboukir, l'en-
seigne que voici m'est entrée dans l'œil :

dépôt de bougies et de sardines sans
arêtes

Des bougies sans arêtes! C'est assez co-
casse — sifose m'exprimer ainsi.

* #

Charade

Pour n'en pas perdre l'habitude :

Mon premier est le petit d'un lapin, pris
d'un besoin pressant.

Mon second est ce qu'on dit souvent en
jouant à l'écarté.

Mon tout : un proverbe bien connu.

Le petit d'un lapin pris, etc., c'est : lape-
reau vidant sa panse.

Ce qu'on dit avec un certain plaisir en jouant
à l'écarté : Et atout.

Le proverbe bien connu : La Providence a
pensé à tout.

(Ju'on me pende !

MONTHETOUT

PETIT COURRIER DU GRELOT

A Monsieur lintérieur, à Epinay-sur-Orge.
Monsieur,

"Vous êtes dégoûté, m'écrivez-vous, qu'on
ne vous donne jamais dans les restaurants que
des serviettes humides. Il ne peut pas en
être autrement, cher Monsieur, et voici
pourquoi : quand un consommateur se retire
et que sa serviette n'est pas trop dégoûtante,
on y cingle quelques gouttes d'eau du bout
des doigts, on la remet dans les plis, on la
presse, et on la repasse à un autre consomma-
teur.

Pour éviter cet inconvénient, prévenez donc
vos compagnons de restaurant, que vous avez
trouvé un truc: celui de mettre une bonne
cuilleréo de moutarde dans votre serviette
avant de vous retirer.

Si chacun veut faire comme vous, vous fini-
rez probablement par avoir des serviettes
propres.

La mienne, on ne vous la resservira jamais
nulle part, car si on m'a enlevé la moutarde,
j'essuie mes bottines après ou j'écrase une
fraise dedans.

Agréez, je vous prie, etc.

À Monsieur Montétar, àPouill//.

Cher Monsieur,

J'avoue que dans les années de ma généreu-
se, jeunessej'ai demandé l'abolition de la peine
de mort, mais je me rétracte hautement, en face
de l'affaire du Pecq.

Que décidera le tribunal, je l'ignore, mais si
j'étais membre du jury, je vous affirme que je
voterais de manière à procurer la peine de mort
à Pessayron d'abord, à son frère ensuite et
surtout à la femme.

Je connais des gens absolument doux qui
m'ont assuré qu'ils n'agiraient pas autre-
ment.

Bien à vous.
—o—

A Madame Jaimadroite à CMlons-sur-Marne.

Non, madame, il ne faut pas monter dans le
compartiment des dames seules si vous êtes
gentille ; montez avec les hommes, ils auront
mille soins de vous, tandis que dans le com-
partiment des dames seules, vous n'y ren-
contrerez que de vieux laiderons qui ne feront
que bougonner tout le temps et qui pueront
le tabac â priser.

Veillez agréer, je vous prie...

A Monsieur Licholsuette, à Namur (Belgique).
Monsieur,

Il est en effet question, comme vous le dites,
d'annuler le vote du conseil municipal de
Paris, concernant M. Camescasse. C'est stupide,
comme vous le dites fort bien, car l'Etat ne
peut pas empêcher ce qui est fait d'avoir eu
lieu.

Que l'Etat désapprouve, c'est fon droit, mais
qu'il déclare qu'il n'y a rien eu du tout, c'est
une de ces plaisanteries qu'on pourrait à pei-
ne écouter sans rire, de la part des pension-
naires de Charenton.

Bien à vous.
René Lebrun.

DINAH SAMUEL

roman parisien par félicien champsaur

En parlant du livre de Félicien Champsaur,
Dinah Samuel, il parait que je m'expose a
faire des mécontents. On me dit à l'instant
que la consigne a été donnée, qu'une conspi-
ration, dite du silence, s'organise contre le
volume en question. Je n'aurais aucun scru-
pule à violer cette consigne, si elle m'avait
été communiquée, étant de ceux qui n'en re-
çoivent de personne, et trop jaloux d'une in-
dépendance et d'une sincérité qui, me tenant
lieu d'autres mérites, m'ont valu de précieux
témoignages d'estime et de sympathie litté-
raires.

Aussi bien, point n'est besoin de le prendre
de si haut au sujet de cette petite intrigue; la
chose est simple : Tout ou à peu près tout ce
que Paris, sur ses deux rives, contient de lit-
térateurs, d'artistes, ou soi-disant tels; roman-
ciers, journalistes, critiques, auteurs dramati-
ques, poètes, comédiens, peintres, sculpteurs,
musiciens, célèbres ou simplement connus,
médiocres et ratés, se trouvent portraicturés
dans le livre de Champsaur. Or, l'auteur a
commis cette inconcevable folie de dire sur
tout et sur tous ce qu'il pense absolument, et
comme son œil n'est pas des plus bienveil-
lants, vous jugez du déchaînement. Et notez
que, parmi ces indignés, il n'en est pas un
seul qui n'eût été souverainement marri de
ne pas se voir citer dans la foule des noms il-
lustres et autres. Il faut pourtant savoir endu-
rer les petits inconvénients de la gloire. Rap-
pelez-vous le mot de Figaro à Bazile : « Souffre
la vérité, coquin, puisque tu n'as pas de quoi
gratiner un menteur. »

Il vaut pourtant qu'on y prenne garde, ce
livre. Son auteur a vingt-trois ans, et voilà
déjà plusieurs années qu'il est connu. Il faut
voir dans cette précocité du talent une force
réelle, une puissance de sève et de jeunesse
qui réjouit à notre époque de quintessence et
de subtilité vieillottes. Celui-là est vraiment
jeune, avec toute la turbulence, le diable au
corps, la gaieté, l'exubérance du vingtième
printemps, dont le scepticisme n'est ni amer ,
ni désespéré, où le rire est près des larmes, 1
l'esprit toujours éveillé et s'écbappant en pa-
radoxes qui se croient souvent des pensées
profondes, avec une candeur et une sincérité
qui ne sont pas les moindres attraits de cette i
nature ardente et généreuse.

Cette sincérité, on la sent d'un bout à l'autre
du livre ; aussi M. Champsaur ne doit-il pas
souhaiter qu'on en manque avec lui. Je lui
dirai donc tout franc mon sentiment.

Dinah Samuel, on l'a deviné, c'est Sarah
Bernhardt. Champsaur, qui, quoique jeune,
est un malin — on l'est au berceau quand on
doit l'être — a compris l'atiraction que serait
pour son œuvre, une figure comme celle-là, si
masquée qu'elle fût, et il en a hardiment fait
l'enseigne de son livre.

Mais c'est lui-même qu'il raconte, c'est son
enfance en province, ses débuts à Paris dans
la vie littéraire, ses amours, ses amitiés; et
c'est pour eela que ce livre sans queue ni tête !
vous prend et vous intéresse. Il est surtout
un chapitre charmant, d'une note unique
dans le livre, c'est celui qui parle de ses pre-
mières années à Grivedesvignes, nom fantai- j
siste et poétique qu'il donne à une petite ville,
assise au milieu des contreforts des Alpes, et
qui fut son berceau, comme disent les bio-
graphes. Mille riens lui reviennent à la mé-
moire ; ce sont de menus faits ingénus, gros-
sis par l'imagination enfantine et dont l'hom-
me se souvient avec quelle joie et quelle dou-
ceur ! puis c'est le collège, les écoles buisson-
nières avec les camarades, les amourettes de
galopin, naïves et tendres, enfin le départ
pour Paris, inconnu et terrible, avec les pleurs
silencieux de la. maman. ,

Cela est frais, parfumé et suffirait à faire
distinguer Champsaur. Mais attendez ; le
décor change Nous voilà à Paris, et la farce
commence. Conduit par l'auteur, nous par-
courons tous les bastringues; brasseries de
femmes de la rive gauche, cafés littéraires de
la rive droite, Fernando, les Ilydropathes, le
Mûrger, la Grand-Pinte, le Chat Noir. On est
saoûl à moitié route, et quel défilé ! Tous les
grands hommes futurs des deux rives y pas-
sent et y débitent leurs mots d'esprit. C'était
là en effet un monr'e à peindre ; mais avec
plus de mesure. On s'éternise à ces tables de
marbre, dans la fumée des pipes, devant ces
montagnes de soucoupes, au milieu des con-
versations hyperboliques de tous ces génies
qui n'aboutissent pas, posent devant eux
mêmes et souvent montrent à froid, chroni-
quant pour les filles et s'abrutissant pour la
plus grande gloire des lettres qui en est encore
à attendre la preuve de leur puissance qu'il
dépense et en discussions stériles et en vai-
nes récriminations. Tous y sont peints, les
paresseux et les vides, comme les travailleurs
et les inspirés ; il ne nous est pas fait grâce
du moindre de ces bockeurs, dont le chef, le
Deus, le grand Kardac qui domine tout de sa
majestueuse personne, n'est autre qu'un
bohème, de talent, c'est vrai, mais qui en est
encore à son premier volume et qui ne vaut
pas la moitié de tout le train qu'il fait.

Non, en vérité, malgré toutle talentdépensé
dans cette odyssée parisienne, malgré l'esprit
répandu à foison au milieu de tout ce fatras,
je ne puis sans fatigue, assister à tout cet
étalage de vide et faux enthousiasme. —
Champsaur a trop vécu dans ce milieu factice,
il y a pris une manière de dire souvent pré-
tentieuse et peu naturelle. Il est jeune, ces
défauts s'atténueront, j'en suis sûr, et quand
il sera plus lui-même, il sentira tout le prix
de la simplicité qui est la véritable expression
d'un esprit sincère comme le sien. Son origi-
nalité, qui est réelle et grande, n'y perdra rien,
au contraire.

Je cite encore une idylle, racontée avec l'ar-
deur et la mélancolie ironique d'un cœur
blessé qui saigne encore et se souvient dou-
loureusement, où plus d'un accent vrai se
rencontre, malgré ce terrible et continuel
besoin de recherche pénible et forcée qui m'en
gâto souvent l'émotion ; enfin de jolis vers
avec les mêmes défauts et les mêmes qualités.

Tel est ce livre, bizarre, fou, déguingandé,
mais pas le moins du monde indifférent d'un
homme dont on attend beaucoup et qui peut,
s'il le veut, justifier ces espérances.

Henri Mornand.

CHRONIQUE THEATRALE

Tristes spectacles à l'Ambigu et au théâtre
Cluny, avec les Cerises, comédie-vaudeville en
quatre actes, de MM. Vast-Ricouard, et C'est la
loi 1 drame en cinq actes, de M. Mary Cliquet.

Ces deux productions, mal conformées, mal
conçues et mal venues ont sombré dans cent
pieds de ridicule.

Elles ont été sifflées et justement sifilées. Le
mieux est donc de n'en pas parler.

MM. Vast-Ricouard ont déjà fait leurs preu-
ves avec le Parisien, et prendront sûremeut
leur revanche.

Quant à M. Mary Cliquet, qui est, pîralt-il,
un brave notaire, nous espérons pour lui et
encore plus pour nous que cette leçon lui suf-
fira et qu'il n'abusera plus désormais du droit
que lui confère la loi de Ventôse... de faire des
actes.

w

* * -

La nouvelle tentative du théâtre scientifi-
que faite celte semaine à la Gaîté par M. Louis
Figuier, quoique beaucoup plus intéressante
ne nous paraît pas appelée à un sort meilleur.

On sait que M. Louis Figuier qui avant
Jules Verne, avait entrepris de vulgariser la
science en la mettant à la portée de tous dans
une foule de petits ouvrages très répandus
et très appréciés, se propose de compléter son
œuvre en mettant à la scène les événements
principaux qui ont amené les grandes décou-
vertes des temps modernes.

Aujourd'hui il nous montre Denis Papin
découvrant la vapeur avec la fameuse mar-
mite: la prochaine fois, ce sera Guttemberg
découvrant l'imprimerie.

La tentation est assurément très louable,
mais nous doutons qu'elle devienne jamais
très fructueuse. Denis Papin a été écouté
avec intérêt et bienveillance, mais il nous faut
bien constater que le succès n'a point répondu
a l'attente de l'auteur.

Heureusement pour lui, M. Louis Figuier
n'a point besoin des recettes de la marmite de
Papin pour faire bouillir son pot.

Les artistes engagés spécialement pourcette
représentation ont fait ce qu'ils ont pu pour
sauver la pièce, notamment M. Cosset et Mme
Duguerret.

*

Le Musée Grévin a ouvert ses portes cette
semaine.

Cette inauguration, trop pompeusement
annoncée, n'a été qu'une immense déception.

Pour notre part, nous ne pardonnerons ja-
mais aux organisateurs de ce musée de cire
d'avoir transformé la vieille brasserie de Mul-
house, où régnait une admirable fraîcheur, en
un four aussi surchaullé.

J. de la YeRDJEUK.

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