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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 26.1896

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https://doi.org/10.11588/diglit.6806#0122
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LE GRELOT

LE

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Droit..............

'Echo de Paris......

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"Gazette des Beaux'.

Gazette de France.

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^prand Journal......

^Illustration.........

"Intransigeant.. ~. •.

"Jour................

"Journal...........'•.

Journal des Débats..

Journal officiel......

"Justice..............

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"Libre Parole........

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"Mondé illustré......

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"National.... ■

"Nouvelle Revue,.....

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Patrie...............

Petit Journal.......

"Petites Affiches......

Petite Fépublique ...

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"Revue illustrée......

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Siècle...............

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"Tour du Monde-----

Univers............

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Journal illustré... î 75

Journal pour rire. 2
Monde illustré.... 2
iVature............2

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Nouvelle Revue...
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Revue illustrée ...
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Univers illustré...
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5 olté Bergère, Paria

Henry VAUDÉM0NT

Notre collaborateur Henry BRE-
GEOT, qui, depuis plus de vingt ans,
sous les pseudonymes « Henry Vau-
démont » et « Gringoire », écrivait ici
les spirituels articles que nos lecteurs
connaissent, est mort le 17 courant.

Cloué depuis six mois dans son lit,
par un mal impitoyable, il a tenu jus-
qu'au bout, sans faiblir, sa vaillante
plume : son dernier « Carnet d'un
Sceptique » est du 19.

Il meurt bien jeune — quarante et
un ans ! — mais la vie est toujours as-
sez longue quand elle a été bien rem-
plie et qu'elle a été, comme la sienne,
dépensée sans compter pour la cause
de la Liberté et de la Justice.

Puissent les regrets profonds que
sa fin prématurée inspire à tous ceux
qui l'ont connu adoucir un peu la
douleur de sa mère et de sa veuve
auxquelles nous adressons nos plus
respectueuses condoléances.

LA RÉDACTION.

Carnet d'un Sceptique

MESSIEURS LES MAQUEREAUX

Quatre jeunes gens de Levallois-Perret
prenaient le frais et un bock à la ter-
rasse d'un café. Une douzaine de gentle-
men à rouflaquettes se précipitent sur
eux et les assomment, histoire de se dé-
gourdir un peu.

L'un de ces malheureux a reçu un
coup de couteau appliqué si doucement
que la lame a pénétré de huit centimètres
dans la boîte crânienne et qu'elle y est
restée.

Diable ! Il ne lait pas bon avoir une
g... qui déplaise à messieurs les maque-
reaux.

Jadis on tuait pour voler ; maintenant
on tue pour ligoler.
Il est vrai que cela coûte si peu cher !

A BORD DU « BENGALI »

Témoin, ce marinier d'eau douce qui,
d'humeur peu commode, rossait si verte-
ment la femme qu'il avait enlevée à un
de' ses amis. La pauvre amoureuse, désa-
busée et endolorie, retourna vers son
seigneur et maître, et celui-ci, noblement,
lui permit à nouveau r*3sagé'~du pot de
chambre conjugal. 0t,:

Fureur du marinier. Il se met à la re-
cherche de son infidèle, la découvre à
Ivry, à bord du remorqueur le Bengali,
en train de vaquer avec son mari...

Au fait, ils vaquaient à ce qu'ils vou-
laient, ça ne vous regarde pas, ni moi
non plus.

... Il lui reproche sa perfidie; l'époux
intervient — c'était son devoir, à cet
homme.

— Ah ! c'est comme cela* s'écrie l'a-
mant exaspéré. Il sort son revolver
qui est-ce qui n'a pas son petit revolver
sur"lui ? — pan ! pan 1 !

Et les deux conjoints de s'ensauver
dans leur cabine avec, chacun, deux pe-
tites boules de plomb dans la tête.

Eh bien ! le marinier a été acquitté !

N' vous gênez plus ! Faites vos amis
cocus ; logez-leur, au besoin, deux ou
trois balles dans la peau.

Pour le prix que ça coûte !

POUR UNE ESTRADE

M.

Calvignac, le maire encombrant de
la bruyante cité de Carmaux, avait pris
sous son écharpe de défendre cette année
la célébration du 14 juillet.

Le Cercle républicain progressiste, qui
avait organisé un banquet, fait construire
une estrade et préparé un feu d'artifice,
tenta de fléchir cet empêcheur de s'amu-

ser en rond. Calvignac fut inflexible; et
le 14 juillet, à six heures du soir, deux
sergots apportaient au président du Cer-
cle un ukase municipal qui lui enjoignait:

« D'avoir à enlever imm'édiatement une
« estrade construite en bois et à saillie
« sur la voie publique, établie sans notre
« autorisation.

« Faute par lui d'obtempérer à la pré-
« sente injonction dans un délai de quinze
« minutes, il y sera pourvu d'office à ses
« frais. »

C'est dur, quand on a fait une estrade
en bois et à saillie, d'être obligé de la dé-
mancher, surtout en quinze minutes ; le
Cercle ne put s'y résoudre et,crânement,
passa outre.

Ici, je cède le crachoir à Lucjen-Totor
Meunier, du XIXU Siècle :

« M. Calvignac racole deux gardes-
« champêtres, cinq ou six ouvriers de
« bonne volonté, autant de pioches (ça
« fait seize, si je compte bien — cette ré-
« flexion est de votre serviteur 0. Revoir)
« et arrive sur la place devant le Cercle.
« Là, trois mille personnes sont rassem-
« blées, très surexcitées. Le lieutenant
« de gendarmerie représente énergique-
« ment au maire qu'il n'a pas le droit de
« violer un domicile privé. Alors la co-
« 1ère de M. Calvignac ne connaît plus
« de bornes :

« — Vous êtes un agent provocateur!
« dit-il au commissaire de police, et si
« nous n'avions pas affaire à ce triste
« gouvernement, vous n'agiriez pasainsi.

« Aussitôt, la main du commissaire de
« police s'abat et voilà M. le maire fourré
« au violon. »

Bone Deus ! Et pendant qu'on allait je-
ter cet infortuné magistrat sur la paille
humide d'un cachot, comme un vulgaire
pape, les crins-crins du Cercle républi-
cain progressiste attaquaient allègrement
la Marseillaise !

j?oor Calvignac ! Ce qu'il devait rager !

Son supplice fut de courte durée ; on
le relâcha peu après, assez à temps pour
qu'il pût aller serrer les mains à son ami
Jaurès, qui arrivait justement à Carmaux

— où il va, du reste, quatorze l'ois par
mois.

Lucien-Totor Meunier n'admet pas
qu'on touche >— en quoi il a bien raison

— à cette grande date du 14 Juillet. Et
.comme il ne faut pas le chatouiller beau-
coup pour qu'il embouche la trompette
héroïque, il s'écrie :

« Le 14 juillet 1783, le peuple de Paris,
« soudainement aussi, venant au secours
« de l'Assemblée sur laquelle la royauté
& braquait ses canons, tordit dans ses
« mains puissantes, écrasa sous ses pieds
« l£ Bastille, la forteresse féodale, la
« vieille prison en laquelle s'incarnaient
« treize siècles d'oppression 1 »

Tordre la Bastille ! Comme un terchon
mouillé 1

Lucien-Totor, etc., cette hyperbole est
énorme !

« Le 14 juillet, c'est la date sacrée. Et
« qui refuse de chômer avec nous cette
« fête si justement dite nationale, n'e3t
« pas des nôtres, n'a pas l'âme française,
« H'a pas le cœur républicain. »

Attrape ça, Calvignac 1

QUI QU'A RAISON ?

Oui, mais, voilà ! Le lendemain, dans
le même XIXe Siècle, Camille Pelletan
déplorait qu'à propos de quelques plan-
ches, un commissaire de police se fût
permis de coffrer le maire, son chef hié-
rarchique. Et, mis en goût par le lyrisme
de Lucien, etc., il y est allé aussi de sa
petite tirade enflammée :

« Sublime Hoche, le plus grand des
« soldats républicains, et peut-être des
« soldats français; intrépide Marceau,
« qui débutas par cette victoire de la
« rue, avant ton éclatante série de hauts
« faits; vaillant Camille (Desmoulins, ne
« pas confondre), qui avais donné ta co-
te carde à cette journée, etc.. Est-il vrai
« que la pieuse célébration de ce3 glo-

« rieux souvenirs était attachée aux P0'
« teaux de l'e3trade de Carmaux ? "Vo118
« ne vous en doutiez assurément paS* *

Voyons, Totor et Camille, tâcher de
vous mettre d'accord. Faut pas se chip0'
ter entre frères.

Qui faut-il conspuer?

Calvignac ou le commissaire de poli<^

Tous les deux, il me semble ?

O. Revoir-

CHOSES ET AUTRES

Un milliardaire qui s'en va

On télégraphie de Ntw-York que M. Va»'
derbilt a passé une mauvaise nuit. Son ét»1
s'est aggravé.

C'est embêtant de s'en aller quand on est s'
riche, mais quoi ? La vie ne vaudrait pas d'ctfe
vécue, s'il n'j avait la mort au bout.

Le malheureux crève ; le riche meurt. ^
moins, le même trou les reçoit tous les deu*'

Il n'y a que la mort qui soit juste!

Li-Hung... à vos souhaits!

J'ai eu le bonheur d'assister à l'arrivée à P8J
ris, de l'illustre vice-roi de Paravent-TchiH 6
procuré un j- j/,nCe

petit moment de doOc
,eÇ'

cela m'a
gaieté.

Un monsieur jaune de sa suite tenait respe"
tueusement une cage contenant deux volail|eS
d'une blancheur immaculée et chargées, m'a-1'
on dit, de pondre chaque jour à Li Hung..- S
vos souhaits ! des oeufs frais pour sa consoD?'
mation.

Avouez que si vous alliez faire une tourD^
dans le Céleste-Empire, il ne vous viendra'1
pas à i'idée...

Ces Occidentaux, ça n'a pas de nez pour delf
sous ! Le vice-roi est descendu au Grand-Hôte1/
aux frais du gouvernement, c'est-à-dire deJ»"'!
toi, vous, nous.

C'est bien drôle ! Ce personnage à queu<
vient à Paris pour tâcher de nous soutiré
quelques millions et il nous fait payer ses fr»'5
d'auberge.

Sommes-nous assez jobards !

L'idiot de la Cascade

Etes-vous un inventeur méconnu, un po<
débinard? Allez-vous en un jour de revue °
Longchamps et faites semblant de tirer un coUP
de revolver sur le Président de la République

Si vous n'èles pas assommé sur place, voJ8
pouvez être certain que votre inventio» conti-
nuera à rester sous le boisseau et que vos'
ticots seront, comme devant, condamnés au*
derniers usages.

Il est vrai que si on ne vous démolit pas,
en esquintera un autre à votre place parce qu*'
dans ces cas-là, la foule éprouve l'irrésistibl"
besoin de venger sur n'importe qui le crime qa'
n'a pas été commis.

On a fourré FrançoU à l'ombre; il aura 1<!
loisir de se remettre de ses nombreux horioD*'
Et puis après?

Cet homme ne mérite que beaucoup d'ellébore1
C'est beau l'enthousiasme !

Un de nos confrères, le XIX' Siècle ( il n'y *
que lui !) s'écriait, il y a quelques jours, à pfd'
pos de la revue :

Hier, dans l'immense foule massée auto"1
de Longchamps, un homme charriait le
poids de son inguérissable tristesse; uIJ
homme malheureux, seul, tout seul »u
monde, abandonné de tous, mort à l'espoif'
au désir même... Lorsque les étendards o»1
passé devant lui, d'un geste irrésistible 6^
mains se sont tendues, pendant qu'un âprê
sanglot déchirait sa poitrine. Oh! la guerr«!
la sainte guerre, pour la reconstitution de &
patrie, la guerre pour ravoir la Lorraine flt
l'Alsace !

Oui! ouil marchons! tout de suite! Je
suis prêt ! Oh ! l'indicible joie de s'en ailef
du côté de la frontière, vers les champs de
bataille, vers les balles, vers la mort, &
mort glorieuse et bénie.

Sapristi ! Pas de bêtises ! Ne le laissez P*5
partir, hein! Il est capable de nous flanquer d«5
complications avec les Pruscots !

On prévient, avant de dire des affaires com&e
cela 1

Courrier de cabinet

M. Goubel, gardien du phare de Walde, Se
trouvait dans les cabinets d'aisances de s*
maison, lorsqu'un boulet plein, lancé par &
batterie de la Commission d'expérienc0s
vint frapper l'encoignure de la maison (où 60
trouvent les cabinets) et y effectua, u0*
trouée de deux mètres de long sur autant àe
large.

A moitié enterré sous les briques, M. Goubf!
ne perdit pas son sang-froid, parait-il, mais »'
dut y perdre le papier qu'on doit toujours avo'
dans ses poches dans ces moments-là.

Les boulets ne sont pas des melons; ils à°^'
nent assez souvent la colique à ceux qui "
l'ont pas, mais ils la coupent presque toujoU1
à ceux qui l'ont.

P. darin.

,ète
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