Hachenberg, Paul: Eloge Du Palatinat: Ou Discours Prononcé En Latin L'An 1671. A Heydelberg. En Présence Des Sermes Electeurs Palatins Charles Louis Et Charles De Glorieuse Mémoire (Mannheim, 1769) [VD18 13798499]

3°

LaPrîncesie

Palatine

Elisabeth.

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efforts , & qui a tellement éclairci les autheurs latins &
les sciences , qu’il n’a rien laissé à taire aux Critiques de
nos jours. Ainsi j’estime qu’ apres Melanchton , qu’il a
p ûseul bien imiter, on doit le présérer à tout autre Ecri-
vain , car depuis le rétablissement des belles lettres il n’y
a point eu de génie plus abondant pour le grec. plus noble
pour le latin, ni plus heureuxjxmr font.

Ici je ne saurois m’empe |_
de ces grands hommes à ce!
l’honneur de son sexe , dont J -
vation à mon esprit, & dor -
me sentir emû, comme je le 1s
vinité. J’avouë qu’il y a aus -
donné au monde d’illustres P Ë
tinat a encore la gloire d’avoî Ë
mées par letude de la sag
cette hile Flamande , dont v Ë
d’un prodige, elle ne l’a été ef -
qui sont frappés de voir naîtr Ë
chose de grand. Mais pour ne |
sujet d’admirer & de loüer, q |
séxe , élevée au faîte des gra |
Princesse s'applique à l’étude
rende très illullre par cet end
le monde comprend de qui je
d’ELISABETH quelle porte
méconnoisse , lorsqu’on a la n
lettres. Cette Minerve Palat
nôtre Jupiter & comme une <
le païs de Ses Pères eut été
Dieux , & lorsque sa maison
& malheureux exil, se tourn


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