Haudicquer de Blancourt, Jean
L' Art De La Verrerie: Où l'on apprend à faire le Verre, le Cristal, & l'Email. La maniere de faire les Perles, les Pierres, les Pierres précieuses, la Porcelaine, & les Miroirs. La Mèthode de peindre sur le Verre & en Email. De tirer ... (Band 2)
— Paris, 1718 [Cicognara, 1674-2]
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https://doi.org/10.11588/diglit.30710#0134
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-
1-64
Livre sixième
- 1-4 Chapitre CXLVII
- 4-6 Chapitre CXLVIII
- 6-7 Chapitre CXLIX
- 8-10 Chapitre CL
- 11-12 Chapitre CLI
- 12-13 Chapitre CLII
- 13-14 Chapitre CLIII
- 14-15 Chapitre CLIV
- 15-16 Chapitre CLV
- 16-17 Chapitre CLVI
- 18-19 Chapitre CLVII
- 19-20 Chapitre CLVIII
- 20-23 Chapitre CLIX
- 23 Chapitre CLX
- 24-25 Chapitre CLXI
- 25-26 Chapitre CLXII
- 26-28 Chapitre CLXIII
- 28-30 Chapitre CLXIV
- 30-31 Chapitre CLXV
- 32-33 Chapitre CXLVI
- 33-35 Chapitre CLXVII
- 36-37 Chapitre CLXVIII
- 38-39 Chapitre CLXIX
- 39-40 Chapitre CLXX
- 40-41 Chapitre CLXXI
- 41-42 Chapitre CLXXII
- 42-43 Chapitre CLXXIII
- 44-46 Chapitre CLXXIV
- 46-48 Chapitre CLXXV
- 48-53 Chapitre CLXXVI
- 53-56 Chapitre CLXXVII
- 56-59 Chapitre CLXXVIII
- 59-64 Chapitre CLXXIX
-
65-110
Livre septième
- 65-68 Chapitre CLXXX
- 68-70 Chapitre CLXXXI
- 70-73 Chapitre CLXXXII
- 73-74 Chapitre CLXXXIII
- 75-76 Chapitre CLXXXIV
- 77-78 Chapitre CLXXXV
- 78-80 Chapitre CLXXXVI
- 80-81 Chapitre CLXXXVII
- 82 Chapitre CLXXXVIII
- 83 Chapitre CLXXXIX
- 84-85 Chapitre CXC
- 85-89 Chapitre CXCI
- 90-93 Chapitre CXCII
- 94-96 Chapitre CXCIII
- 97-99 Chapitre CXCIV
- 100-102 Chapitre CXCV
- 103-104 Chapitre CXCVI
- 104-105 Chapitre CXCVII
- 106-107 Chapitre CXCVIII
- 107-108 Chapitre CXCIX
- 108-110 Chapitre CC
-
111
Livre neuvième
- 111-116 Chapitre CCI
- 116-119 Chapitre CCII
- 119-121 Chapitre CCIII
- 121 Chapitre CCIV
- 122-123 Chapitre CCV
- 123-125 Chapitre CCVI
- 125-127 Chapitre CCVII
- 127-128 Chapitre CCVIII
- 128-129 Chapitre CCIX
- 130-131 Chapitre CCX
- 132-134 Chapitre CCXI
- 134-40 Chapitre CCXII
- 141-145 Chapitre CCXIII
- 145-147 Chapitre CCXIV
- 147-148 Chapitre CCXV
- 148-150 Chapitre CCXVI
- 150-152 Chapitre CCXVII
-
152-209
Livre dixième
- 152-154 Chapitre CCXVIII
- 155-156 Chapitre CCXIX
- 156-158 Chapitre CCXX
- 159-160 Chapitre CCXXI
- 161-162 Chapitre CCXXII
- 162-168 Chapitre CCXXIII
- 168-170 Chapitre CCXXIV
- 170-171 Chapitre CCXXV
- 172-173 Chapitre CCXXVI
- 173-176 Chapitre CCXXVII
- 176-180 Chapitre CCXXVIII
- 180-182 Chapitre CCXXIX
- 183-184 Chapitre CCXXX
- 184-187 Chapitre CCXXXI
- 187-188 Chapitre CCXXXII
- 188-189 Chapitre CCXXXIII
- 190-192 Chapitre CCXXXIV
- 192-196 Chapitre CCXXXV
- 197-198 Chapitre CCXXXVI
- 198-199 Chapitre CCXXXVII
- 200 Chapitre CCXXXVIII
- 201-203 Chapitre CCXXXIX
- 203-207 Chapitre CCXL
- 208-209 Chapitre CCXLI
- 209-231 Livre onzième
- 232-255 Livre douzième
- 1-24 Traité des pierre precieuses
- Farbkeil/Maßstab
i34 l’Artdbla
en la refondant, car elle devient d’un
rouge pâle. Voila la maniere de faire la
Rocaille dontiaplûpart des Ouvrîers fe
fervent, où on voit qu Jil n’y a nulle pré-
paration au Plomb , ce qui fait que la
Rocaille eft pleine d’impureté.
CHAPITRE CCXII.
La maniere depcindre fur le Verre.
ÏA peinture fur îe Verre eft fi belle ,
-j qu’elie eft l’admiration de tous les
Sçavans dans les beaux Arts. Peut-on
rien voir deplus admirable, qu’unepein-
ture qui demeure permanente fur leVerre.
&qui refifte pendant plufieurs iiecles , à
l’injure de tous les tems ? Quoique ies
premiers hommes qui l’ont inventé ,
n’ayent pas acquis ce degré d’excellence
oii font parvenus ceux qui leur ont fuc-
cedë, l’honneur neanmoins, leur en doit
être dû , puifqu’ils font les premiers qui
ont trouvé ce fecret admirable , étant
beaucoup plus aifé d’augmenter ou di-
minuer aux chofes inventées, que de les
trouver.
Si le Verre étoit maniable , & qu’il
n’eût pas cette frangibilité qui lui eft na-
en la refondant, car elle devient d’un
rouge pâle. Voila la maniere de faire la
Rocaille dontiaplûpart des Ouvrîers fe
fervent, où on voit qu Jil n’y a nulle pré-
paration au Plomb , ce qui fait que la
Rocaille eft pleine d’impureté.
CHAPITRE CCXII.
La maniere depcindre fur le Verre.
ÏA peinture fur îe Verre eft fi belle ,
-j qu’elie eft l’admiration de tous les
Sçavans dans les beaux Arts. Peut-on
rien voir deplus admirable, qu’unepein-
ture qui demeure permanente fur leVerre.
&qui refifte pendant plufieurs iiecles , à
l’injure de tous les tems ? Quoique ies
premiers hommes qui l’ont inventé ,
n’ayent pas acquis ce degré d’excellence
oii font parvenus ceux qui leur ont fuc-
cedë, l’honneur neanmoins, leur en doit
être dû , puifqu’ils font les premiers qui
ont trouvé ce fecret admirable , étant
beaucoup plus aifé d’augmenter ou di-
minuer aux chofes inventées, que de les
trouver.
Si le Verre étoit maniable , & qu’il
n’eût pas cette frangibilité qui lui eft na-