Histoire de l'esprit humain ou mémoires secrets et universels de la république des lettres (7.1767)

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H I S T O I R E

„& ancienne. S’il etoit besoin de vigilance,
„on le voyoir aElif, toujours en mouvement,
„pensant ä tour, se refusant möme le Som-
„meil. Des que les affaires lui donnoient
„du reläche, il devenoit aussi mou qu’une
„femme, & se livroit tout entier au plaisir
„& aux charmes de l’oisivete \
Quin-
neralites avec d’autres generalites; en sorte qu’on peur
regarder ces portraits comme ces tableaux, oü en chan-
geant l’inscription qui est: dessous on les fait egalement
servir ä representer un Empereur, un general & un Capi-
taine turc, parce que le visage qui fait le principal du
portrait a ete fait de fantaisie, & ne ressemble pas plus
ä celui qu’on a voulu peindre, qu’ä. ceux auxquels on
n’a pas songe..
60 Quintus' Curtius Rusus quis suerit, qiiando vixe-
rit incertum est. Nam locus lib. decimi Cap. IX. unde
<etatem ejus colligere conati funt viri eruditi, ita ambiguus
est, ut ibi per nouum sidns, P. Githceus Cs Jacob. Bon-
earsnts, Augustum ; Mathaus Ruderns Cs Jacobus Perißo-
nius, Valens Alcidalius Cs Mich. Tellerius Claudium ; Janus
Rutgersius, Gerh. Voßius, Henricus Bceclerus, Joan. Locce-
nius, Philippus Caroli, Cs nuper Joannes Clericus, Vejpasia-
num; Joan. Isaacus Pontanus Trajanum; Cajpar deniq’ue
Barthius. p.ii6^ ad Clandian. Theodojinin iiitedexerit. Pt
suit sane Theodosii, avo Curtius quidam sive Turcitis Rusus
Apronianus qui Virgilium cmendavit,' sed longe is a noftro
haud dubie diverfus suit, cujus atatem innuit Cs alter locus.
IV. 4. Tyrus nunc tandern longa pace cunsla rcscrente, sub