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Hittorff, Jacques Ignace
Restitution du temple d'Empédocle à Sélinonte, ou l'architecture polychrôme chez les Grecs (Band 1) — Paris, 1851

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https://doi.org/10.11588/diglit.4796#0866
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840 CORRECTIONS ET ADDITIONS.

Page 135, (i) 1. 8, grade; lisez grande.

— i4o, 1. 9, Paretti; lisez : Peretti.

— i54> I. i et 2, qui paraissent; lisez : qui paraît.

— 162, 1. i3, de Sélinonte; lisez : di Selinunte.

— 164, 1. 25, PI. XXIV; lisez : PI. XXII.

— 172, 1. 8, mentionnée; que; lisez : mentionnée, que.

— 176, 1. 14, et fort enclin ; lisez: et il est fort enclin.

— 182, 1. 4, de la polychromie aux monuments; lisez : de la polychromie ap-

pliquée aux monuments.

— 2.01, 1. 23, celle d'Apelle, ; ajoutez : celle de Protogènes et.

— 204, 1. 7, aurait dit : « Ne pas nier; lisez : aurait dit, « ne pas nier.

— 240, 1. 1, un petit tahleau en bois. Il n'y a ; lisez : un petit tableau en bois ;

il n'y a.

— 244, 1- a5, F. in ; lisez : F. v.

— 254, b 16, éconduire; lisez : égarer.

— 264,1- 2, F. vi ; lisez : F. vm.

— 266, 1. i5, des Propylées; ajoutez : Voici sur le même sujet d'autres obser-

vations faites récemment. M. E. Burnouf, dans un article sur les Propy-
lées d'Athènes, publié dans « les Archives des missions scientifiques, » jan-
vier i85o, p. 29 et 3o, dit : « Jamais il n'y eut (dans la Pinacothèque) de
tableaux fixés aux murs par des tenons, puisque nulle part on ne voit de
traces de clous de métal, et que la surface du marbre est partout intacte. «
« Le mur de la Pinacothèque n'est point préparé pour recevoir le stuc,
il est taillé à lagradine, et simplement dégrossi; non-seulement il ne reste
aucune trace de stuc, mais une telle surface est impropre à le recevoir.
Aux Propylées on voit courir le long des antes une petite bande, légè-
rement en creux, taillée au ciseau, polie dans toute son étendue, et por-
tant toutes les marques d'un travail achevé, cela veut dire, en archi-
tecture, que l'édifice n'a jamais été fini. Aussi, toute la surface des murs
des Propylées devait-elle être abattue au niveau de la bande courante, et
cela explique comment elle n'est encore taillée qu'à la gradine. Les join-
tures des pierres ne sont même pas effacées, parce que, avant de poser la
pièce de marbre sur l'assise déjà établie, on en taillait les bords, non pas
à angle droit, mais à angle obtus, de peur qu'en la déposant [posant] la
pression n'en détachât quelque éclat. Plus tard, la partie obtuse devait
être abattue au ciseau, et la surface du mur étant polie, les jointures des
pierres disparaissaient. Nous devons conclure de là, ajoute M. Burnouf,
que les tableaux vus par Pausanias n'étaient ni peints à l'encaustique sur
les parois, ni peints sur des panneaux de bois fixés aux murs : ils étaient
donc détachés et indépendants de l'édifice. » L'auteur appuie son opi-
nion sur celle de M. Desbuisson, pensionnaire de l'Académie de France
à Rome, cité, p. xxvi, pour sa restauration des Propylées. Sans contester
ni le mérite de ce travail, ni la valeur de l'opinion de cet architecte", il
 
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