PI. XXXIX. — Lettre : Un prisonnier priant, les jambes entravées.
Bas-de-page : Un ange guidant deux pèlerins. (Le tableau de cette page
est sûrement de I.)
PI. XIV. — La lettre seulement : Un ange assis jouant de la harpe.
Fragment de Milan.
PI. VIL — Bas-de-page : Moïse apportant les Tables de la Loi.
PI. XI. — Lettre : L’Eucharistie dans un ostensoir.
Bas-de-page : La Confession et la Communion.
PI. XVIII. — Lettre : « Noli me tangere » (Jésus, en jardinier, apparaît
à Marie-Madeleine).
Bas-de-page : Jonas vomi par la baleine.
PI. XXIV. — Bas-de-page : Le Sacrifice d’Isaac.
Peut-être faut-il ajouter à cette liste, dans la planche XII de Milan, dont
le tableau est de G, la lettre (Crucifix) et le bas-de-page (L'épreuve de la vraie
Croix par l'impératrice sainte Hélène : résurrection d’un mort). Peut-être y avait-
il là un croquis de G, comme certains caractères le feraient supposer, mais la
manière de traiter les plis de la draperie tient plutôt de J.
Peut-être aussi J a-t-il repeint une partie de la planche VIII ? (voir
ci-après : Description, folio 122).
L’étroite parenté des bas-de-pages : Turin, XXXIV, Massacre des Innocents;
Milan, VII, Moïse apportant les Tables de la Loi, et Milan, XVIII, Jonas vomi
par la baleine, avec le tableau-type : Turin, XXXVIII, J’ ésus-Christ enseignant
le Pater aux Apôtres, est particulièrement manifeste.
Le style de J est un reflet de celui du présumé Hubrecht van Eyck,
mais il dénote aussi l’influence considérable de Johannes.
Dans la planche XXXVIII de Turin : Le Christ enseignant le Pater aux
Apôtres, de même que dans les autres peintures du même groupe, on remar-
quera une façon très caractéristique de dessiner la bouche, avec la lèvre supé-
rieure mince et serrée, tandis que la lèvre inférieure est assez épaisse, montrant,
dans sa partie médiane seulement, la muqueuse, fort rouge. Cette particularité
est empruntée au style de Johannes van Eyck, chez qui elle est frappante dans
les visages de Madones et de jeunes femmes (voir entre autres la Vierge du
chanoine van der, Maele). Elle ne se rencontre pas chez le présumé Hubrecht.
Autre comparàison : Les rochers que l’on voit au bas-de-page de la pl. XVIII
de Milan {Jonas vomi par la baleine] ainsi que ceux de la planche VII de
Milan (Moïse apportant les Tables de la Loi) sont construits d’une manière
manifestement imitée des rochers de la main H (Cf. planche XXIII de Milan :
Jésus au Jardin des Oliviers, et pl. XXIV, Le Crucifiement).
4°
Bas-de-page : Un ange guidant deux pèlerins. (Le tableau de cette page
est sûrement de I.)
PI. XIV. — La lettre seulement : Un ange assis jouant de la harpe.
Fragment de Milan.
PI. VIL — Bas-de-page : Moïse apportant les Tables de la Loi.
PI. XI. — Lettre : L’Eucharistie dans un ostensoir.
Bas-de-page : La Confession et la Communion.
PI. XVIII. — Lettre : « Noli me tangere » (Jésus, en jardinier, apparaît
à Marie-Madeleine).
Bas-de-page : Jonas vomi par la baleine.
PI. XXIV. — Bas-de-page : Le Sacrifice d’Isaac.
Peut-être faut-il ajouter à cette liste, dans la planche XII de Milan, dont
le tableau est de G, la lettre (Crucifix) et le bas-de-page (L'épreuve de la vraie
Croix par l'impératrice sainte Hélène : résurrection d’un mort). Peut-être y avait-
il là un croquis de G, comme certains caractères le feraient supposer, mais la
manière de traiter les plis de la draperie tient plutôt de J.
Peut-être aussi J a-t-il repeint une partie de la planche VIII ? (voir
ci-après : Description, folio 122).
L’étroite parenté des bas-de-pages : Turin, XXXIV, Massacre des Innocents;
Milan, VII, Moïse apportant les Tables de la Loi, et Milan, XVIII, Jonas vomi
par la baleine, avec le tableau-type : Turin, XXXVIII, J’ ésus-Christ enseignant
le Pater aux Apôtres, est particulièrement manifeste.
Le style de J est un reflet de celui du présumé Hubrecht van Eyck,
mais il dénote aussi l’influence considérable de Johannes.
Dans la planche XXXVIII de Turin : Le Christ enseignant le Pater aux
Apôtres, de même que dans les autres peintures du même groupe, on remar-
quera une façon très caractéristique de dessiner la bouche, avec la lèvre supé-
rieure mince et serrée, tandis que la lèvre inférieure est assez épaisse, montrant,
dans sa partie médiane seulement, la muqueuse, fort rouge. Cette particularité
est empruntée au style de Johannes van Eyck, chez qui elle est frappante dans
les visages de Madones et de jeunes femmes (voir entre autres la Vierge du
chanoine van der, Maele). Elle ne se rencontre pas chez le présumé Hubrecht.
Autre comparàison : Les rochers que l’on voit au bas-de-page de la pl. XVIII
de Milan {Jonas vomi par la baleine] ainsi que ceux de la planche VII de
Milan (Moïse apportant les Tables de la Loi) sont construits d’une manière
manifestement imitée des rochers de la main H (Cf. planche XXIII de Milan :
Jésus au Jardin des Oliviers, et pl. XXIV, Le Crucifiement).
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