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Il paraît qu'on fait ces scies circulaires à On voit que M. Jaspart ménage des sur-
tous les diamètres, depuis 10 centimètres prises aux industriels marbriers et qu'il est
jusque 1 mètre. Elles permettraient donc de nécessaire que nous tenions nos lecteurs au
scier de fortes épaisseurs allant jusque 40 cen- courant de ses inventions. C'est ce que nous
timètres. Mais nous avons entendu dire que ferons avec plaisir.
•tT"fc*
Cheminée n° 288
M. Jaspart étudiait en ce moment des lames Nous avons oublié de dire que les scies
droites basées sur le même principe, renfor- de M. Jaspart sciaient aussi bien les matières
cées par dés tôles très minces et que l'on met- les plus dures, telles que les granits,
trait dans les armures ordinaires. On aurait syénites, labradorites, etc., mais avec une
ainsi des traits de 2 millimètres au lieu de vitesse moins forte, quoique étrangement
5 millimètres, avec une descente ultra rapide; plus rapide que celle fournie par les moyens
ce serait une révolution économique dans la actuels,
marbrerie.
<5 t\_P
.L'influence des fumées sur les marbres et pierres
(suite)
L'action nocive des brouillards urbains sur
les plantes est moins due aux acides sulfu-
reux qu'à l'interception de lumière qu'ils
créent, à l'abaissement de température et au
dépôt d'autres matières en suspens dans le
brouillard : poussière et suie.
Lors d'une série d'expériences faites par
■M. S. Rideal en 1903 sur des plantes en crois-
sance, il constata que les brouillards très
opaques, mais dont la teneur d'acides sulfu-
reux n'était pas supérieure à celle de brouil-
lards légers et relativement clairs, nuisaient
plus à la croissance que les brouillards légers.
Les poussières de charbon et la suie çon-
Il paraît qu'on fait ces scies circulaires à On voit que M. Jaspart ménage des sur-
tous les diamètres, depuis 10 centimètres prises aux industriels marbriers et qu'il est
jusque 1 mètre. Elles permettraient donc de nécessaire que nous tenions nos lecteurs au
scier de fortes épaisseurs allant jusque 40 cen- courant de ses inventions. C'est ce que nous
timètres. Mais nous avons entendu dire que ferons avec plaisir.
•tT"fc*
Cheminée n° 288
M. Jaspart étudiait en ce moment des lames Nous avons oublié de dire que les scies
droites basées sur le même principe, renfor- de M. Jaspart sciaient aussi bien les matières
cées par dés tôles très minces et que l'on met- les plus dures, telles que les granits,
trait dans les armures ordinaires. On aurait syénites, labradorites, etc., mais avec une
ainsi des traits de 2 millimètres au lieu de vitesse moins forte, quoique étrangement
5 millimètres, avec une descente ultra rapide; plus rapide que celle fournie par les moyens
ce serait une révolution économique dans la actuels,
marbrerie.
<5 t\_P
.L'influence des fumées sur les marbres et pierres
(suite)
L'action nocive des brouillards urbains sur
les plantes est moins due aux acides sulfu-
reux qu'à l'interception de lumière qu'ils
créent, à l'abaissement de température et au
dépôt d'autres matières en suspens dans le
brouillard : poussière et suie.
Lors d'une série d'expériences faites par
■M. S. Rideal en 1903 sur des plantes en crois-
sance, il constata que les brouillards très
opaques, mais dont la teneur d'acides sulfu-
reux n'était pas supérieure à celle de brouil-
lards légers et relativement clairs, nuisaient
plus à la croissance que les brouillards légers.
Les poussières de charbon et la suie çon-