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système Harrison, ou système à parallélogramme,
appliquant le long trainage de la lre théorie avec
des bielles courtes ;
4° Systèmes à roulement par galets sur plan
horizontal sans relèvement et lames à rubans-;
5° Système à roulement par galets sur plan
profilé.
Ce dernier système, qui est aussi le plus récent,
est à notre avis le plus souple, le plus pratique, et
celui qui, sans livrer le sciage aux hasards d'une
théorie trop entière, permet d'approprier l'outil au
sable et au marbre employés.
Mais prenons chaque système en particulier.
1° Système à longues bielles de suspension. —
Ce système fut autrefois le seul employé. Les
armures des très vieilles scieries nous le montrent
môme appliqué avec excès. C'est-à-dire que le
cadre des lames était suspendu par quatre cordes à
des rouleaux disposés sous la toiture du bâtiment
d'une façon fixe.
Quand le bloc commençait à se scier, les bielles
(ici les cordes) avaient une longueur déterminée et,
à la fin du sciage, la longueur des bielles était aug-
mentée de toute la iiauteur du bloc.
On avait ainsi, semblait-il, un traînage aussi
long que possible de la Jaine contre le marbre.
Disons tout de suite que le système était défec-
tueux, et la remarque très ancienne que le sciage
était plus rapide au commencement qu'à la fin
prouvait bien qu'il y avait une limite à fixer à la
longueur des bielles.
En effet, si nous admettons que le grain de sable
doive user le marbre par frottement, il n'en est
pas moins vrai (pie, dès qu'une portion de la course
est terminée, il y a des chances pour que le grain
de sable se soit échappé de dessous la lame, malgré
les grandes épaisseurs qu'on leur donnait autrefois,
ou bien qu'il ait été usé dès le commencement.
Petit à petit on a donc diminué les longueurs
des bielles de suspension.
En même temps qu'on les diminuait on diminuait
aussi l'amplitude des courses, car la partie de la
course où la lame touche le marbre diminue rapi-
dement dès qu'on raccourcit les suspensions. Du
même coup on augmentait le nombre de tours.
11 semblerait donc qu'insensiblement on dût
arriver aux bielles courtes ou manivelles du
deuxième système, et rien ne nous dit qu'on n'y
serait pas arrivé. (.4 suivre.)
(Sarrières Réunies d'Jfâauteville
E. COULON, à Hauteville (Ain)
Seul concessionnaire des Carrières communales
PIEIUtËS
pour Marbreries, Monuments, Sculpture, Constructions de luxe
J)alles sciées de toutes épaisseurs, j^locs bruts
axxée " Le Bâtiment „
Journal des Travaux Publics et Particuliers
Les Travaux Officiels, le Moniteur de la Propriété Immobilière et le Moniteur
du Bâtiment (réunis)
Bulletin général des adjudications officielles
Société anonyme au Capital de 600.000 francs
Directeur : M. Stanislas FERRAND, Architecte-Ingénieur
Ancien Député de la Seine
Téléphone
147-28
Parait le JEUDI I le DMAICHE «Tir
Bureaux : 14, rue Saint=Georges, 14, PARIS
ABONNEMENTS
Seine et S.-et-Oise". Un an : 20fr.; 6mois: 12 fr.
A ut. départements — 22IV.; — 13 fr.
Les abonnements
partent des 1er et lô île chaque mois.
ANNONCES
la ligne (3" pag») 1 fr. 50
— 12' page; 4
Article dans le corps du journal... 8 »
On traite à forfait pour l'année.
Pierre CECCARELLI
MARBRIER
CAItHARA (Italie)
Travaux courants, Travaux d'art dans tous les marbres italiens
DEVIS SUR DEMANDE
LE COTTAGE
Revue internationale, mensuelle, illustrée, documentaire
DE L HABITATION A BON MARCHÉ
ET DE LART EN TOUT ET POUR TOUS
Publié avec la collaboration de nombreux architectes,
artistes.décorateurs, hygiénistes, ingénieurs, sociologues,etc.,
parmi lesquels : MM. Bluysen, Combien, A. Dumont (Bru-
xelles), E. Fatio, V. Horta, Alexander William Harvey
(Bournville-Birmingham), P. Jaspar, Ch. Plumet, Taelemans,
Van Hoecke-Dessel, etc., architectes ; MM Combaz, Henri
Meunier, Serrurier-Bovy, etc., décorateurs ; les docteurs
Cazalis, Pol. Demade, Lust, Malvoz, Nyssens, etc.; MM. Jean
d'Ardenne, G. Benoit-Lévy, Roger Bornand, de Wouters, de
Montenach, Jean Lahor, Henri La Fontaine, Paul Otlet,
Octave Uzanne, Emile Vandervelde, etc., publicistes.,
sous la direction de Charles DIDIER
Le Cottage paraît chaque mois en un luxueux fascicule de
48 pages, très illustré, contient des plans d'habitations de
5.ooo à 5o,ooo francs, des intérieurs, mobiliers, décora-
tions, etc. et une planche hors texte, en simili-aquarelle,
représentant une habitation de campagne, avec plans et
devis.
Le numéro, 1 franc ; l'abonnement, 10 francs pour la Bel-
gique, la France et la Suisse ; fr. 12.5o pour les autres pays
Un numéro spécimen sera adressé gratis à tout architecte qui en fera
la demande à l'Administration Centrale, 33, rue Forestière, à Bru-
xelles.
système Harrison, ou système à parallélogramme,
appliquant le long trainage de la lre théorie avec
des bielles courtes ;
4° Systèmes à roulement par galets sur plan
horizontal sans relèvement et lames à rubans-;
5° Système à roulement par galets sur plan
profilé.
Ce dernier système, qui est aussi le plus récent,
est à notre avis le plus souple, le plus pratique, et
celui qui, sans livrer le sciage aux hasards d'une
théorie trop entière, permet d'approprier l'outil au
sable et au marbre employés.
Mais prenons chaque système en particulier.
1° Système à longues bielles de suspension. —
Ce système fut autrefois le seul employé. Les
armures des très vieilles scieries nous le montrent
môme appliqué avec excès. C'est-à-dire que le
cadre des lames était suspendu par quatre cordes à
des rouleaux disposés sous la toiture du bâtiment
d'une façon fixe.
Quand le bloc commençait à se scier, les bielles
(ici les cordes) avaient une longueur déterminée et,
à la fin du sciage, la longueur des bielles était aug-
mentée de toute la iiauteur du bloc.
On avait ainsi, semblait-il, un traînage aussi
long que possible de la Jaine contre le marbre.
Disons tout de suite que le système était défec-
tueux, et la remarque très ancienne que le sciage
était plus rapide au commencement qu'à la fin
prouvait bien qu'il y avait une limite à fixer à la
longueur des bielles.
En effet, si nous admettons que le grain de sable
doive user le marbre par frottement, il n'en est
pas moins vrai (pie, dès qu'une portion de la course
est terminée, il y a des chances pour que le grain
de sable se soit échappé de dessous la lame, malgré
les grandes épaisseurs qu'on leur donnait autrefois,
ou bien qu'il ait été usé dès le commencement.
Petit à petit on a donc diminué les longueurs
des bielles de suspension.
En même temps qu'on les diminuait on diminuait
aussi l'amplitude des courses, car la partie de la
course où la lame touche le marbre diminue rapi-
dement dès qu'on raccourcit les suspensions. Du
même coup on augmentait le nombre de tours.
11 semblerait donc qu'insensiblement on dût
arriver aux bielles courtes ou manivelles du
deuxième système, et rien ne nous dit qu'on n'y
serait pas arrivé. (.4 suivre.)
(Sarrières Réunies d'Jfâauteville
E. COULON, à Hauteville (Ain)
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Directeur : M. Stanislas FERRAND, Architecte-Ingénieur
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A ut. départements — 22IV.; — 13 fr.
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Van Hoecke-Dessel, etc., architectes ; MM Combaz, Henri
Meunier, Serrurier-Bovy, etc., décorateurs ; les docteurs
Cazalis, Pol. Demade, Lust, Malvoz, Nyssens, etc.; MM. Jean
d'Ardenne, G. Benoit-Lévy, Roger Bornand, de Wouters, de
Montenach, Jean Lahor, Henri La Fontaine, Paul Otlet,
Octave Uzanne, Emile Vandervelde, etc., publicistes.,
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48 pages, très illustré, contient des plans d'habitations de
5.ooo à 5o,ooo francs, des intérieurs, mobiliers, décora-
tions, etc. et une planche hors texte, en simili-aquarelle,
représentant une habitation de campagne, avec plans et
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gique, la France et la Suisse ; fr. 12.5o pour les autres pays
Un numéro spécimen sera adressé gratis à tout architecte qui en fera
la demande à l'Administration Centrale, 33, rue Forestière, à Bru-
xelles.