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https://doi.org/10.11588/diglit.48955#0125
Ch. XXI. DESCRIPTION. 119
Et le jour a trois fcis chasse la nuit obscure
Depuis que votre corps languit Ians nourriture.
Phedra, alt 1. j~c. 3,
Asfuerus. Ce mortel, qui montra tant de zele pour
moi, vit-il encore?
Afaph. —-—Il voit F afire qui vous eclaire.
Eslher, aft. 2. fc. 3.
Oui, c’est Agamemnon, c’est ton roi qui t’eveille;
Viens , reconnois la voix qui frappe ton oreille.
Iphigenie.
No jocund health, that Denmark drinks to-day.
But the great cannon to the clouds lhall tell ;
And the King’s rousc the heav’ns lhall bruit again,
Re-speaking earthly thunder.
Hamlet, ast i.fc. 2«
... --— In the inner room
I spy a winking lamp, that weakly sirikes
The ambient air, scarce kindling into light.
Southern, Fate of Capua, aid 3.
In the funeral orations os the Bi chop of Meaux, the
following passagcs are rased sar above the tone of
the subject :
L’Ocean etonne de se voir traverse tant de fois, en
des appareils st divers, 8c pour des causes n disserentes,
6-a p. sn
Grande Reine , je satisfais a vos plus tendres desirs,,
quand je celebre ce monarque ; Sc s°n cceur qui n’a ja-»
jnaisvecu que pourlui, s’ evcille, toutpoudrequ’ilestj.
H 4 '
Et le jour a trois fcis chasse la nuit obscure
Depuis que votre corps languit Ians nourriture.
Phedra, alt 1. j~c. 3,
Asfuerus. Ce mortel, qui montra tant de zele pour
moi, vit-il encore?
Afaph. —-—Il voit F afire qui vous eclaire.
Eslher, aft. 2. fc. 3.
Oui, c’est Agamemnon, c’est ton roi qui t’eveille;
Viens , reconnois la voix qui frappe ton oreille.
Iphigenie.
No jocund health, that Denmark drinks to-day.
But the great cannon to the clouds lhall tell ;
And the King’s rousc the heav’ns lhall bruit again,
Re-speaking earthly thunder.
Hamlet, ast i.fc. 2«
... --— In the inner room
I spy a winking lamp, that weakly sirikes
The ambient air, scarce kindling into light.
Southern, Fate of Capua, aid 3.
In the funeral orations os the Bi chop of Meaux, the
following passagcs are rased sar above the tone of
the subject :
L’Ocean etonne de se voir traverse tant de fois, en
des appareils st divers, 8c pour des causes n disserentes,
6-a p. sn
Grande Reine , je satisfais a vos plus tendres desirs,,
quand je celebre ce monarque ; Sc s°n cceur qui n’a ja-»
jnaisvecu que pourlui, s’ evcille, toutpoudrequ’ilestj.
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