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https://doi.org/10.11588/diglit.9068#0179
Amurat 11. Liurejsèptiesmc. 151
poix-raiiine d estrempez d'huile ; & si remparerent la bresche soudain, beaucoup plus -*
forte qu auparauant. Au moyen dequoy Thuracan estant de recour de sa course,chargé 14 4 f •
d'vn îniiny butin, descîaues &: de despoiiilles, le camp se partit de là tout ensemble'; &: ^ I44^
bien-tost après fut la paixfai&e auec les Grecs. Le Peloponese qui auoit tousiours gar-
dé son ancienne liberté, commença lors premièrement à estre tributaire aux Turcs: Se LePeiopone-
au regard des Thebains qui auoient abandonné leur ville pour aller quant &c les autres se faic cnbl1-
garder llstme, ils y demeurèrent presque tous, partie tuez sur la place, &£ le reste J^**^*
faics esclaues. La ville auiîi de Pinde, auec le pais adjacent, &: la contrée qui est au sécond,
dehors de cette encoleure, tout aussi-tost que la muraille fut forcée, vindrent és mains
cTAmurac»
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poix-raiiine d estrempez d'huile ; & si remparerent la bresche soudain, beaucoup plus -*
forte qu auparauant. Au moyen dequoy Thuracan estant de recour de sa course,chargé 14 4 f •
d'vn îniiny butin, descîaues &: de despoiiilles, le camp se partit de là tout ensemble'; &: ^ I44^
bien-tost après fut la paixfai&e auec les Grecs. Le Peloponese qui auoit tousiours gar-
dé son ancienne liberté, commença lors premièrement à estre tributaire aux Turcs: Se LePeiopone-
au regard des Thebains qui auoient abandonné leur ville pour aller quant &c les autres se faic cnbl1-
garder llstme, ils y demeurèrent presque tous, partie tuez sur la place, &£ le reste J^**^*
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